Derniers Avis : The Divide - Page 22

Très étonnant de voir un film Américano-Britannique être dans les pas du cinéma Espagnol. Nous sommes dans du très bon thriller en huis clos sous très haute tension, façon survival avec tous les antagonismes de l'espèce humaine. Un sujet très souvent traité, avec ici un rajout post-apocalyptique, habilement maîtrisé. On peut critiquer les quelques clichés mais on s’aperçoit assez vite que rien n'est si simple, un collectif fragile et vacillant, des personnalités complexes. Entre déraison et raison (surtout déraison), entre aider et s'aider. Le point dramatique (chut !) est ce silence sur la dérive de certains et "sa" dérive ersonnelle, cette absence d'avis sur ce qui se passe donne une accroche superbe. Des propos crus pour marquer, des situations aussi choc. Un regret est "l'inexplication' du monde extérieur, surement pour laisser place entièrement à ce qui se déroule dedans. Pour public averti (violence, propos et situations). Un excellent film à découvrir ! 4.5/5 !!!

Film peut-être bien réalisé, mais scénario qui est resté bloqué à l'entrée du bunker. Sans grand intérêt, la violence (mouais bof) y est gratuite et les personnages ne sont pas très attachants (un regard long dans le vide ne suffit pas à créer de l'émotion...)

Désolée c'est vrai que rapport budget /réalisation, le film s'en sort très bien.
Mais j'ai détesté la violence, soulignée trois fois, au cas où les humains n'auraient pas encore compris de quoi sont capables certains individus pour survivre.-lorsque plus rien de les retient- un scénario sur la déchéance un peu facile - une version Typiquement américaine - on aurait aimé sa déclinaison sous différentes cultures: version norvégienne, version africaine, version japonaise ....là cela commencerait à devenir intéressant.A suivre....

Pour les amateurs de 8 clos comme moi, ce film est un des plus grand dans le genre que j'ai pu voir. Seulement, passer une scène d'introduction magistrale, une heure de film tout simplement sublime et une scène de fin qui vaut le détour, the divide n'a rien d'autre à nous donner. Outre son casting plutôt pas mal, mais pas toujours crédible et un déroulement des évènements proche de ce qui pourrait arriver ( la mise en scène en est pour beaucoup ) le film tombe après une première partie excellente dans les abîmes pour ne devenir qu'un véritable film de cul post apocalyptique. Oui mesdames et messieurs, vous m'avez bien compris. Après, tous dépends de vos goûts mais j'avoue que la seconde partie de ce film ne m'a pas vraiment emballé. Le scenario aussi manque d'originalité mais le réalisateur nous a quand même reservé un bon film mais qui, malheureusement, n'ira pas plus haut.

Vu au festival de Gerardmer. Bien que le film tente de brouiller les pistes, on voit assez vite où va le film, une fois qu'on à compris que l'abris est peuplé de survivant totalement stupide. Le film fonctionne néantmoins' notement grace a son ambiance qui se dégrade continuellement et des acteurs au top de leurs formes.

Un huis-clos qui commençait bien puis qui finit par être aussi dérangeant que les protagonistes du film. The Divide rempli son contrat à moitié car il nous révèle bien les aspects les plus sombres d'une humanité sans aucun repère mais de façon beaucoup trop longue et démonstrative (d'où un sentiment d’oppression). Les acteurs tiennent la route tout comme certaines scènes assez déroutantes... mais on s'ennui assez vite face à celles-ci. Bref, The Divide est destiné à un public averti plutôt deux fois qu'une.

Quel chef-d'oeuvre pour moi, ce film est juste une perle, j'ai adoré, psychologiquement, on en sort pas indemne, j'avais envie de pleurer à la fin tellement il m'a choquée, je m'attendais pas du tout à ce que ça se déroule comme ça, je pensais pas que le film serait aussi marquant, je me suis sentie mal à la fin, je ne comprend pas moi aussi comment on peu le trouver nul, pathétique et ennuyeux, le faîtes que les survivants (surtout Josh, Bobby et Marylin) soient un peu "fou" n'est qu'un aspect de se qu'il pourrait se passé si un jour, la fin du monde nous tomberait dessus, leurs instinct animal prend le dessus, et ils se transforment presque en sauvage assoiffé de sang, ils se sautes dessus, se tapent dessus, s'insultes, le viol fait aussi partie du manque d'affection durant la captivité, ils se disent qu'ils vont surement tous crever et veulent profité des derniers instants qu'ils leurs restent, mais ils le font de manière atroce et gore, la mère de famille se voient endosser le rôle de la pute de service, se faisant malmener par deux hommes devenu ces tortionnaires. J'admire beaucoup le talent d'actrice de Lauren German (Eva) et d'acteur de Milo Ventimiglia (Josh) que je connaissais déjà grâce à la série Heroes, c'est d'ailleurs la seul raison pour laquelle j'ai voulu voir le film, je le conseil pas aux âme sensibles.

Groggy comme après une partie de jambes en l'air arrosée de coups de poing furieux, la blatte aux allures de cafard drogué s'avance dans l'Antre des mourants, la tanière où l'on vient dépérir. La fin du monde vu par Xavier Gens aurait pu s'appeler la guerre des Sexes. La pute, la Vierge et le Soumis se lancent des regards maladifs, sous le nez du Chasseur sanglant, les lèvres mollement fermées sur son cigare puant, ricane mon vieux, ricane, la porte a été violée, utopie désuète que la votre, il est dès à présent trop tard. Le mal les ronge, la folie les étouffe, l'objectif halluciné de la caméra se faufile entre les genres, défie les cris, percute les corps -en charpies. Petit à petit les chaires se putréfient, les cheveux tombent et s'émiettent dans l'atmosphère, les globes oculaires tourbillonnent en rougissant. Sur un matelas gorgé de sang, où s'amoncellent stupre et gouttes de luxure, la fin des temps, doucement s'allonge, gamine brutale, illogique et immature, prête à tout pour faire de ces instants de trêve , un cauchemar qui dure, qui dure...

The Divide parvient à combiner l'ennuyeux au désagréable.Proche du téléfilm dans sa réalisation, ce huis clos souffre d'incohérences, de nombreuses scènes nauséabondes, d'autres humiliantes (surtout pour Rosanna Arquette),d'un jeu d'acteur pathétique, et d'une fin plus que décevante.A ne pas recommander!

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Si Xavier Gens nous avait énormément déçu avec son adaptation éponyme du célèbre jeu vidéo (Hitman - 2007), force est de constater qu’avec The Divide (2011), il nous séduit et ce, sans le moindre mal ! Un huis-clos minimaliste de science-fiction (au budget très restreint) se déroulant dans un New-York post-apocalyptique où suite à des bombardements nucléaires, un groupe de survivants se retrouve terré dans un abri situé dans les sous-sols d’un immeuble. Le film est très expéditif, en effet, dès le début, les premières images nous dévoilent les bombardements et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les survivants s’enfuient tous vers l’abri en question (excellente mise en situation et plans de caméra dans l’escalier). Aucune information ne nous ai donné concernant les raisons de ces bombardements, bien que l’un des personnages principaux ai une idée clairement bien précise à ce sujet, le réalisateur ne se donnera pas la peine de nous éclairer à ce sujet. Bien que le début et le final aient lieu en extérieur, l’intégralité du film se situe en intérieur, nous avons donc bel et bien affaire à un huit-clos oppressant où les survivants vont petit à petit devenir ingérable. Cette Série B est doté d’un scénario qui n’a rien de très original, on a déjà eu affaire à ce genre de scripte avec Cube (1997) & The Hole (2001), on devine donc aisément ce que va devenir chacun des protagonistes. Mais là où Xavier Gens nous surprend, c’est qu’il parvient aisément à nous tenir en haleine durant près de 120 minutes, alors que le film se déroule quasi intégralement en sous-sol, où huit individus évoluent à travers quatre pièces disséminées dans une cave lugubre. Si le scénario manque cruellement d’originalité, le réalisateur compense par le biais d’une mise en scène soignée (notamment avec la séquence où la caméra passe à travers les bouches d’aération, hélas ce procédé n’est pas assez exploité), ces prises de vues sont d’ailleurs un clin d‘œil à un autre film se déroulant en huit-clos (Panic room - 2002), sans oublier l’autre point fort du film, la B.O qui quant a elle, s'avère parfaitement utilisée.
On aura aussi plaisir a y retrouver une distribution pour le moins éclectique, avec deux acteurs connus du grand public : Michael Biehn & Rosanna Arquette aux côtés de jeunes acteurs plus ou moins connus, tels que Milo Ventimiglia, Michael Eklund & Lauren German. Au final, Xavier Gens séduit et rassure à la fois, après les déboires de son précédent film, avec ce huit-clos flirtant par moment du côté du torture-porn, il nous offre un film de science-fiction crédible, certes trop schématique et pas assez original, mais il n’empêche qu’au final, on est devant une honorable Série B, à la fois efficace et palpitante.

Une bonne surprise pour la première de l'Étrange Festival, on note un très bon casting : Michael Biehn du premier terminator, Rosanna Arquette et notre Heroes préféré Milo Ventimiglia. On ne peut que se délecter de l'excellent jeu d'acteur, néanmoins le film n'est pas une réussite totale. Dès le début on s'attend à un grand film de SF du à la scène d'ouverture pour se terminer en huit clôt trash. On note aussi quelques incohérences dans le film comme des personnages secondaires qui disparaissent comme par magie et l'intrigue principale qui n'est pas même pas révélé à la fin. Malgré cela, The Divide reste un bon film à voir entre amis.

The Divide, un des films que j'attendais, car le concept me plaisait et la bande-annonce m'avait vraiment donnée envie d'en savoir plus. Quand estil donc ?
Le pitch de départ est plutôt basique : une explosion nucléaire en plein New-York provoque l'apocalypse, et 8 résidents d'un immeuble de la ville se réfugient dans un abri souterrain pour survivre.

A présent ils sont isolés sous l’immeuble qui s’est depuis écroulé, survivant des rations que Mickey, ancien pompier volontaire lors du 11 Septembre, avait pris soin d’entreposer dans son bunker improvisé. A mesure que leurs provisions et leur moral baissent, les tensions montent au sein du groupe, jusqu’à l’arrivée tant attendue d’une aide extérieure.

Très vite, des hommes en combinaisons anti-radiations avec des armes lourdes pénètrent dans cet abri en enlevant la petite fille présente.

Xavier Gens a cette fois-ci les mains libres pour faire son film, et pénètre dans le vif du sujet. Le specateur a réelement l'impression de faire partie de ces survivants, l'ambiance étant vraiment anxiogène et étouffante. Rien n'est expliqué sur les motivations des scientifiques, on ne sait rien d'eux, ni qui ils sont, ni ce qu'ils font.
La première heure de film se révèle ma foi plutôt passionante, et permet d'apprécier la superbe performance de Michael Biehn, parfait en leader taciturne, et celle de Rosanna Arquette, qui mettra le spectateur vraiment mal à l'aise tant son rôle est intense.
Jusqu'ici, aucun réel souci, surtout qu Xavier Gens maîtrise vraiment sa caméra. Scénaristiquement rien d'inédit, mais on est vraiment dans du très bon film de genre.

Puis une fois la première heure passée, le scénario est uniquement basé sur la déchéance des personnages, sur le fait qu'au final l'être huamin n'est qu'un animal, est sombre dans la folie (et parfois la perversité) à cause du confinement. Et on a cela durant tout le reste du film, qui multiplie les scènes dérangeantes, parfois malsaines (Rosanna Arquette reléguée au rang d'animal domestique par 2 autres persos qui virent dans le caricatural), avec efficacité certes, mais sans réel intellect.
Milo Ventimiglia nous offre une bonne performance dans l'ensemble, malgré le fait que son rôle se révèle très limité ensuite.

La fin réhausse un peu le niveau, nous gratifiant d'une très bonne séquence finale, couplée à une bande-son des plus mélancoliques.

The Divide est au final un film pas mal, passionant au début, redondant et brut ensuite, jusqu'à une très bonne conclusion.
Si vous êtes à la recherche d'un film post-apocalyptique mature, glauque, malsain, ce film est fait pour vous car sous son scénario convenu et une deuxième moîtié de film en demi-teinte, se cache de nombreuses qualités qui convaincront à coup sûr tous les passionnés du genre.
A réserver cependant à un public averti (de plus de 16 ans de préférence).

Film insipide sans grand intérêt et vain. L'ensemble manque cruellement de contenu. On pouvait s'attendre à beaucoup avec le pitch de base. M
anque de moyens ne veut pas dire manque d'idées. C'est le cas ici. Un vrai gâchis. 1,5/5

Original et recherché.

Xavier Gens, déjà connu pour son correct Hitman et son décevant Frontière(s) décide de s'attaquer à un genre nouveau, le survival avec un brin de monde post-apocalyptique. Sortit en DTV, le film de Xavier Gens est à mon sens une bonne pioche dans son genre même s'il n'est pas totalement exempt de défauts.
Une fin du monde, des habitants qui se réfugient dans le sous-sol habité par le concierge ... Rien de bien folichon jusque là. Mais ajoutez des hommes en combinaisons, des laboratoires expérimentales et vous ajoutez un gros plus à ce film. Sauf que des bonnes idées, il y en a, mais des éclaircissements, il n'y en a pas du tout. On aurait aimé savoir qui a propulsé cette bombe, qui sont ces gens en combinaison, que veulent-ils ? Je n'aime pas laisser ce genre de questions en suspend, d'autant que ce ne sont que des petites intrigues mineures par rapport au gros de l'histoire : le cloisonnement des personnage dans ce sous-sol. Dans ce style d'histoire, on a souvent le droit à des personnages qui font tout pour survivre contre les autres et la faim. C'est également le cas dans ce film où l'on remarque une transformation des personnages au fil du film. d'abord apeuré, puis pessimistes, les personnages vont peu à peu sombrer dans une folie démentielle où rien ne sera épargné : rationnement de la nourriture, abus sexuels, paranoïa, instinct de survie, jeux tordus, découpage de cadavres, folies et délires collectifs ... C'est bien mis en scène dans ce film car on assiste vraiment à cette descente aux enfers où tout est permis sans limites, si ce n'est la nourriture et l'eau qui manquent de plus en plus aux personnages. Cet aspect survival ce voit très clairement car on sent que les personnages peuvent basculer à tout instant dans des folies meurtrières et sanguinaires. C'est donc une bonne histoire qu'on nous propose même si j'aurai aimé plus d'approfondissement dans certains aspects du scénario comme par exemple les hommes en combinaison et la bombe.
On retrouve Michael Biehn (héros de Terminator, Aliens Le Retour ou encore Abyss) qui s'en sort très bien dans son rôle. Toujours aussi à l'aise malgré son age, le papy de la SF tire son épingle du jeu. On a aussi la délicieuse Lauren German (Hostel - Chapitre II) qui est très à l'aise dans son rôle, même si on peine à croire le changement de son personnage. Qu'importe, la belle se démène corps et âme pour lutter contre la barbarie humaine qui à gagnée ses compagnons d'infortune. Les autres acteurs sont, hélas, en dessous de ce que j'attendais même s'il faut reconnaître que les deux psychopathes sont crédibles et bien flippants.
Visuellement le film est soignée, bien que sombre, mais offre des plans originaux et bien pensés. Le style visuel est sympathique, sans trop casser la baraque. Je pense notamment au laboratoire et à la remise du concierge qui sont bien fichus. Les effets sonores sont très bons, les musiques sont, quant à elles, un bon point pour le film. On a le droit à des belles mélodies jouées au piano qui ajoute un sentiment d'insécurité et de désespoir au film, soulignant au passage l'aspect dramatique de cette histoire.

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Note : 13,5 / 20

Un survival sympathique dans la mesure où l'on assiste à une lente descente aux enfers, les personnages se ruent les uns sur les autres afin de survivre. Il est aussi important de souligner la grande qualité sonore du film grâce à ce morceau de piano qui fait toute la différence. Crédible, mais pas toujours très fair-play sur les réponses à nos questions, Xavier Gens s'en tire assez bien avec ce film petit budget qui assure le divertissement pendant toute sa durée. Néanmoins, on pouvait quand même espérer d'avantage de réponses ...