Alain Chabat a le chic pour adapter des BD après Obélix : Mission Cléopatre qui a été un franc succés, ( Ta compris le jeu de mot - Non! - Tampis ) il remet le couvert avec le marsupilami toujours avec Jamel Debouze. Le film est drôle avec des gags très sympas, seul le scènario est un peu bizarre et trop fantastique, même si il est vrai que le marsupilami est un animal qu'il n'existe pas, et, autre point négatif, le marsupilami ressemble beaucoup trop a une peluche, j'aurais préféré de beau effet spéciaux.
9 ans après le pitoyable "RRRrrrr !!!", la perspective de retrouver derrière la caméra le réalisateur de "Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre" dans une nouvelle aventure cinématographique avait de quoi intéresser quelque peu. Hélas "Sur la piste du Marsupilami" enchaînes les clichés et les gags ratés. A voir pour Jamel Debbouse qui s'en sort plutôt bien.
Un bon petit divertissement familial mais encore un gros coup commercial sous forme d' un duo d'homme. Où sont les femmes ?? Cela fait réfléchir .. Un film de pote qui veulent s'amuser et se faire un max de tunes
Film autour duquel une folle campagne de publicité a eu lieu. On peut penser que de gros moyens ont été mis en œuvre pour réaliser une excellente comédie. Mais non, le film est fade et insipide, l'humour est vraiment à revoir. Le scénario est inexistant, comme l'humour et l'intérêt de voir ce film. Le casting est moyen, Alain Chabat enchaîne les films moyens. Bref, à éviter.
Le film est meilleur que ce qu'il laissait présager. Les images de synthèse ne sont pas si mauvaises et les situations moins ridicules que Jamel Debbouze avec le marsupilami pouvait laisser croire. Il est même possible de rire à certaines situations notamment avec Lambert Wilson.
Se permettre de faire un film ou l'humour tombe à plat, toutes scènes confondues, est en soit une performance. Les acteurs n'y sont ni convaincants, ni convaincus. La bestiole ne se rapproche pas vraiment de l'original, les dialogues sont insipides, creux, de même que les situations issues d'un scénario qu'auraient mieux écrits les gamins qui sont la cible marketing de ce produit généré pour le profit et surement pas dans l'intention d'élevé le niveau désespérant d'un cinéma de comédie français qui rate régulièrement sa mission: celle de nous faire rire avec intelligence.
Faut vraiment que le cinéma français arrête, de produire ces genre de "film comique" qui ne font rire personne et qui ne laisserons jamais de trace, à part celle d'un navet....
J'ai hésité a faire cette critique tant j'aime Alain Chabat, il me fait souvent rire et fait parti de mes acteurs préférés. Je n'ai trouvé que l'animation du marsupilami réussit le reste est vraiment nul. Lambert Wilson n'est pas drôle dans son imitation de Celine Dion. C'est dommage pour Fred Testo mais son rôle est aussi raté, y'a que Debouzze qui s'en tire encore pas trop mal car il est vraiment talentueux. Je me suis emmerdé grave et c’est le deuxième film d'Alain avec Rrrrr que je trouve vraiment raté. Il est temps que tu te reprennes Monsieur Chabat : Ou est l'ingéniosité Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre ?
J'adore Alain Chabat pourtant... je me rappelle de la cité de la peur, Astérix et Obelix et Didier mais alors là: Zéro pointé ou plutôt 1 demi étoile parce que j'ai bien aimé la bande annonce et malheureusement ça m'a donné envie d'aller le voir et là... quelle décéption. Scénario nul, longueurs, 2 gags (présents dans la bande annonce) rôles du professeur débile... navrant.
Alain Chabat est un fou de BD. Avant d'avoir réalisé l'excellent Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, il commença sa carrière en tant que dessinateur de bandes dessinées. Ce n'est donc pas un hasard si l'homme décide aujourd'hui d'adapter le héros de Franquin. Une nouvelle fois totalement déjanté, on trouve dans ce film un faux vétérinaire, un général fan de Céline Dion (merci à Lambert Wilson pour cette scène mythique), un botaniste plus vieux qu'il n'y paraît, un catcheur reconverti en paya, et des références à la sauce « Nuls » qu'on peut compter par dizaine. Une chose est sure, Chabat et Jamel se sont très bien (re)trouvés, pour le plus grand plaisir de nos zygomatiques. Possédant le même humour lourd et débile, ils composent un duo qui fonctionne parfaitement bien. La plupart des répliques font mouche, même si l'on peut regretter de petits passages creux dans le récit. En effet, les gags n'arrivent pas à se répartir de façon linéaire, et si nous rions aux larmes à certains moments, d'autres paraissent un peu plus longs, et ce d'autant plus que le film peine quelque peu à démarrer. On sent l'amour de Chabat porté à ce marsupial, car le réalisateur n'hésite pas à le filmer sous tous les angles, dans une jungle palombienne (en vérité mexicaine) aux couleurs débordantes de chaleur, et à l'ambiance qui respecte fidèlement l'univers de Franquin. Soulignons par ailleurs que Sur la piste du Marsupilami est le premier film français et même européen à être projeté en iMax dans nos salles. Cela faisait maintenant huit ans que l'homme à l'origine des Nuls n'était pas passé derrière la caméra, et nous ne souhaitons maintenant plus qu'une chose : qu'il y retourne au plus vite, car c'est bien le seul en France à proposer un humour de cette trempe.
Trop enfantin, trop simple. Difficile de maintenir mon attention pendant le film. Excepté Jamel Debbouze (évidemment) les acteurs sont corrects, bien que les personnages soient assez superificiels. Pas vraiment drôle à mon avis, mais suis-je le public cible ? Des enfants auraient peut-être appréciés.
Adaptation de la bande dessinée de Franquin réalisé par Alain Chabat, Sur la piste du Marsupilami fait immédiatement écho à l'autre adaptation d'Alain Chabat, le très réussi Asterix: Mission Cléopatre. Sauf que de Cléopatre au Marsupilami le fossé est grand et la qualité moindre de ce dernier en ferait presque oublier la réussite de son aîné. Car dès le début du film on constate que ce nouveau film n'est pas drôle et que la majorité des gags tombent à l'eau. Il y a bien entendu de rares exceptions où l'on se surprend à rire à l'image d'un numéro de Lambert Wilson désopilant. L'humour fait donc défaut à cette comédie qui n'en ai pas réellement une, et cela malgré le cabotinage du casting. Étonnamment ce cabotinage à du bon car il place le film dans un esprit très proche de la bande dessinée, renforcé par la photographie du film aux couleurs cartoonesques. Car quit à reprendre les éléments de la bande dessinée, Alain Chabat aurait du en reprendre les gags potaches qui aurait beaucoup mieux collé à l'univers. Au milieu de ce ratage surnage quand même les qualités techniques, de la très bonne réalisation de Chabat à une photographie soignée et colorée. Avec sa dernière réalisation, Chabat passe à côté de la bonne comédie et n'arrive pas à instaurer l'atmosphère comique qui fait défaut au film.