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    A la merveille
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    266 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 septembre 2013
    Il s'agit là d'un nouveau chef d'oeuvre à la Malick et qui est à nouveau bien incompris. Les acteurs sont excellent et m'on captivé du début à la fin. A voir deux fois plutôt qu'une.
    funpav
    funpav

    13 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 mars 2013
    je commence à m'interroger sur les raisons qui font que certains puissent porter tant d'estime au cinéma de terence malick. J'avais aimé les mossions du ciel il y a plus de 30 ans, j'étais resté sceptique devant la ligne rouge, j'avais trouvé très fade le nouveau monde, je m'étais embêté devant l'arbre de vie, et j'ai sans doute encore été plus déçu par ce film. Mais que peut on en retirer? que le cinéaste se fasse plaisir avec des envolées esthétiques est une chose, qu'il parvienne à trouver des producteurs pour financer une succession de scènes sans liant, fades, creuses, insipides, en est une autre, mais qu'on trouve des gens à s'extasier devant ce type de cinéma m'étonne. Je suis prêt à parier qu'on montre ce film sans dire qu'il est de malick, 90% des gens qui encensent ce film diront que c'est inepte! pitié! qu'on ne compare pas ce cinéaste à kubrick comme j'ai vu que quelqu'un le faisait! kubrick était un génie dans tous les types de cinéma qu'il abordait, malick est un metteur en scène prétentieux, et son art ne m'émeut pas, sa réalisation me conduit à regarder ma montre toutes les 10 minutes, à me dire toutes les 5 minutes mais c'est quoi ce film (dont j'ai l'impression qu'une partie a du être faite dans les rushes de l'arbre de vie, tant on retrouve la même façon de filmer. Il veut "faire genre" de filmer comme cela... a oui il y réussit. Mais qu'est ce qu'on s'embete, devant tant de froideur. C'est glacial ce cinéma - et pardon de le dire, c'est profondément chiant jusqu'à la dernière scène dont on ne comprend même pas comment elle finit le film! a fuir!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 mars 2013
    Terrence Malick deviendrait-il stakhanoviste ? Alors qu’il lui arrivait de prendre son temps entre deux projets, voici qu’il nous sort A La merveille à peine deux ans après son Tree Of Life majestueux pour certains et problématique pour d’autres. Sur quel pente le cinéaste américain allait-il nous amener ?
    danna2509
    danna2509

    22 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2013
    C'est magnifique! Dommage que le film s'essouffle dans les vingt dernières minutes. Cela dit il y a tellement d'idées et une telle maîtrise du langage cinématographique que même s'il y a des défauts, ce film est à découvrir. Les changements de point de vue et la caméra en mouvement permanent de Malick donne à cette oeuvre quelque chose de dansant et d'enthousiasmant. Cependant, j'avoue que j'en suis ressorti moins abasourdi qu'après avoir vu Tree of Life qui est bien plus aventureux. A la merveille est plus intime, peut-être plus féminin.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 mars 2013
    Objet cinématographique difficilement appréhendable et compliqué à expliquer, ce A la merveille m’a plutôt convaincu même s’il m’a manqué de l’émotion pour le faire passer au stade supérieur. Mais, bon, Malick, ça reste quand même très costaud…
    Lotorski
    Lotorski

    12 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mars 2013
    J'ai trouvé cette dernière oeuvre de Malick en-dessous de ses précèdents films. Il me semble qu'il retourne sur des chemins qu'il avait déjà exploré. Par ailleurs, on comprend vite qu'on va assister à une immense longueur. Et, une fois n'est pas coutume, l'accompagnement musical m'a déçu, car il m'a semblé trop lointain.

    Il y a quand même une qualité que Terrence Malick a toujours eu et qu'il a su garder ici aussi : un talent incroyable pour trouver des prises de vues magnifiques et surprenantes.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 490 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 octobre 2020
    A la merveille est un film du réalisateur Terrence Malick. L'histoire commence avec le personnage de Ben Affleck à Paris où il tombe amoureux d'une mère célibataire nommée Marina jouée par la belle Olga Kurylenko. Lorsque le visa de Marina expire et que le personnage d'Affleck hésite à l'épouser, Marina et sa fille retournent à Paris. Il est impossible de ne pas comparer A la merveille à Tree of Life simplement parce que les deux films sont tournés exactement dans le même style. De beaux plans et une réalisation magnifique accompagnés d'une partition classique. Je pensais que A la merveille était peut-être un peu trop tôt pour une autre épopée de Malick et je ne pense pas que ce soit le cas en ce qui concerne la raison pour laquelle ce film échoue. Les deux personnages que je cherchais et que je voulais voir le plus étaient le Père Quintana et Jane de Rachel McAdams. Nous avons ici un prêtre qui lutte dans sa relation avec Dieu et une femme qui a souffert du chagrin et de la perte d'un enfant mais qui a trouvé un moyen de continuer à vivre en harmonie avec une grande foi. Ces personnages très intéressants sont sous-utilisés car le film se concentre davantage sur Neil et Marina que nous commençons à détester à la fin du film. Peu importe à quel point un film est abstrait ou alambiqué je n'ai jamais eu de problème pour arriver à une sorte de compréhension et généralement plus un film me laisse libre de l'interpréter plus je respecte le film. Cependant A la merveille nous laisse avec deux personnages dont nous n'avons plus aucune raison de nous soucier et le film ne nous donne aucun moyen de les comprendre ou de comprendre sa fin...
    Pascal L.
    Pascal L.

    50 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mars 2013
    A mon sens, le plus grand chef d'oeuvre que le cinéma ai porté.
    Traduisant les complexes destinée de l'amour avec un grand TOI...
    Une manière de filmer où l'on vit la scène comme si c'était notre dernier souffle.
    Je ne peux que vous inviter à pénétrer le merveilleux monde du sens aimer.
    Sid Nitrik
    Sid Nitrik

    43 abonnés 416 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2014
    Encore une fois Terrence Malick maîtrise indéniablement son sujet mais la notion de partage n'est, une nouvelle fois, pas au rendez-vous. Sorti dans la foulée de « The tree of life », alors que le réalisateur faisait de sa rareté une force, « A la merveille » s'inscrit dans la droite lignée du précédent. Autant vous dire que si « The tree of life » vous a laissé de marbre, en bien ou en mal, vous allez soit jouir, soit souffrir ici. Moi je pourrais me contenter de copier-coller mon analyse du cinquième film de Malick sauf que s'il existait tout de même un petit fil conducteur dans ce dernier, cet élément est ici totalement absent. Le réalisateur se contente d'étaler sa maestria technique et d'enchaîner des images magnifiques et empreintes de poésie mais sans aucun souci de coordination et de réelle construction d'une histoire. Pendant que l'on se contente, passivement, de peigner la girafe en attendant la fin des quasi 2h, Malick exécute un numéro abstrait qui n'intéresse que lui et passera pour stérile auprès du commun des mortels, du moins de ceux ne possédant pas un doctorat en philosophie métaphysique option secouage de cacahouètes. Les points vont à la réalisation, toujours impeccable, aux musiques, toujours magnifiques, ainsi qu'à Olga Kurylenko, toujours bandante. Espérons que, pour ses prochains films, le réalisateur remette son génie au service de choses plus simples, du moins plus accessibles aux idiots que nous sommes.
    dominique P.
    dominique P.

    791 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2013
    C'est sincèrement un très beau film poignant, touchant, bouleversant.
    Le souci c'est qu'il est un peu ennuyeux également et de ce fait la plupart des personnes ne vont malheureusement pas du tout l'apprécier.
    Il ne faut pas s'attarder sur son côté ennuyeux et donc il faut voir et prendre en compte que la beauté et l'émotion qui se dégage de cette histoire.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    70 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 août 2014
    Pour la première fois de sa carrière, Terrence Malick ne réalise pas un chef-d’œuvre. En effet, si "À la Merveille" recycle un grand nombre de techniques et de ficelles utilisées dans l'immense "The Tree of Life", on sent ici un vide, comme si le cinéaste ne parvenait pas à atteindre la puissance lyrique de son prédécesseur, malgré la beauté des images, les amples mouvements de caméra et la profondeur de l'écriture. Il n'y a nulle ambition cosmogonique dans "À la Merveille" et la splendeur graphique semble donc ici moins justifiée, comme si les thèmes abordés étaient trop terre-à-terre, pas assez imposants pour se fondre dans le décorum malickien sans créer de décalage. De même, on se souvient des introductions bouleversantes de "La Ligne rouge" et "The Tree of Life", qui faisaient monter les larmes aux yeux du spectateur en moins d'une minute ; ici, la platitude semble être de mise, et le réalisateur s'être engouffré dans une impasse artistique, ne parvenant pas à filmer l'époque contemporaine au tournage, qu'il aborde pour la première fois dans son intégralité. Cependant, il s'agit seulement des premières impressions, car si la Palme d'Or 2011 était un chant universel à la Vie, on comprend vite que "À la Merveille" est son équivalent pour l'Amour. En effet, à travers des acteurs habités, le scénario fait confronter l'amour terrestre à l'amour divin, avec tous les sentiments qui leur sont liés, extase, déprime, jalousie, colère, et le résultat est à ce niveau très convaincant. L'histoire est après tout simple et linéaire, mais la façon dont elle est filmée augmente sa profondeur et l'universalise bien – à ce propos, il faudra attendre le générique de fin pour apprendre les noms des personnages, et il est à noter que le drame qui se joue est autobiographique.
    Cela dit, même pour les admirateurs de Malick, l'approche prise ici est assez déstabilisante, principalement en raison d'un choix nouveau vers lequel toute sa carrière tendait mais qu'il avait su éviter jusqu'à présent : si la voix off est la marque de fabrique de ses films et joue un rôle majeur dans leur beauté et dans leur profondeur, c'est la première fois qu'elle supplante complètement les dialogues, qui sont ici très rares. Cela est parfois dérangeant car, si l'écriture du cinéaste est incontestablement très belle et emplie de poésie, certaines répliques semblent ici superficielles, incongrues voire même ridicules. Ceci est surtout dérangeant si l'on ne parvient pas à rentrer dans le film, car le spectateur va alors prendre de plus en plus de distance et plonger dans l'ennui, mais en vérité, la poésie est toujours présente en quantité.
    Quant aux acteurs, s'ils n'ont pas la fraîcheur des enfants de "The Tree of Life", ils sont néanmoins excellents et surtout emplis de naturel. On ne sait pas grand-chose de leur histoire ou de leur passé, mais on a l'impression de les connaître intimement – en particulier grâce aux voix off. Olga Kurylenko est singulièrement exquise, pleine de grâce et de folie intérieure ; elle représente à la perfection l'amour et s'impose surtout comme l'un des personnages de la filmographie de Malick dont il est le plus facile de se sentir proche. Quant à Rachel McAdams, elle est rayonnante et la séquence où elle apparaît est assurément la plus belle du film, peut-être la seule à égaler les instants transcendants qui parcouraient ses films précédents, avec le passage au Mont-Saint-Michel et les plans finaux. En effet, outre la beauté plastique de cette scène, on trouve plus de dialogues – les deux personnages étant américains, ils peuvent communiquer ensemble dans la même langue – mais on sent aussi une histoire tacite entre les amoureux, histoire garnie d'émotion. Dommage que la présence de Jane ne dure qu'un quart d'heure, car il y avait là de quoi tenir un chef-d'œuvre. En revanche, le personnage de Javier Bardem est beaucoup plus problématique. Non pas que l'acteur joue mal, mais son histoire personnelle, ses doutes et sa crise de foi s'insèrent difficilement dans l'intrigue principale, voir la gâtent un peu. Il aurait donc été préférable que le père Quintana reste un personnage secondaire, parfait quand il s'agit de montrer l'importance de l'amour et de souligner les rapports de Marina à la foi, mais bien trop pesant quand il passe au premier plan, via ses rencontres avec la population malade de cette ville américaine. C'est donc bien lui le principal responsable du caractère bancal du film et de l'ennui qu'il peut provoquer. Les longueurs s'installent d'ailleurs sur la fin lorsqu'il revêt plus d'importance, et l'œuvre se clôt donc de manière inégale, sauvée aux derniers instants par une conclusion tarkovskienne remarquable, aussi apaisante que déprimante mais contenant des images superbes, au point que le sentiment océanique rencontré par Marina (le même que celui que connaissaient Mme O'Brien dans "The Tree of Life" lors de la séquence cosmique et son fils à la fin du long-métrage) se transmet facilement au spectateur.
    En somme, "À la Merveille" est un film difficilement accessible, parfois inégal mais bien marquant voire bouleversant, préférant l'immanence à la transcendance de "The Tree of Life", et qui pâtit peut-être des coupes du montage final, mais qu'il convient de voir plusieurs fois pour bien l'apprécier – encore faut-il en avoir le courage. Pour ma part, s'il m'a ennuyé au premier visionnage, il a été une véritable révélation au second.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 avril 2013
    Je suis trés divisé par ce film, outrancièrement descendu par la critique parisienne. Le film est d'un bon gout absolu, une sorte d'opéra visuel et sonore, lyrique, subjuguant... Le propos du film verse hélas dans un catéchisme catholique avec un premier degré épuisant et dérangeant. A voir, tout de même, car... c'est du vrai cinéma, tout de même !
    Jonathan M
    Jonathan M

    115 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 décembre 2021
    La question ici posé par Maître Malick, c'est : avons-nous le choix d'aimer, tout en sachant que la réciprocité sera inférieure à ce que l'on donnera à l'autre ?
    La folie est exprimée par le personnage joué par Olga Kurylenko. Borderline et guettant un futur plus apaisant pour elle et sa fille. Elle trouve un solide gaillard, Ben Affleck, sur qui appuyer ses sentiments. Mais, malmené par le profil taiseux que dégage ce personnage, elle sombre dans une douce sauvagerie qui l'a conduis vers l'impardonnable. Entre temps, des paroles bibliques qui font sens. Loin de moi l'idée d'être croyant, toujours est-il que les versets cités font réfléchir. Je retiendrais ce dernier : "Tu crains que ton amour soit mort. Il attend peut-être de se transformer en quelque chose de supérieur." À bon entendeur.
    Pour le reste, que dire de se travail d'image fastueux. Un caméraman aux aguets qui va filmer le moindre geste équivoque. Une caméra sans cesse en mouvement qui capte l'instantané. La lumière, les couleurs, la bande son, tout est à tomber. *TOP 4 FILM 2013*
    Septième Sens
    Septième Sens

    76 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 juin 2013
    Les Voies du Seigneur sont impénétrables, celles de Terence Malick aussi. Alors que le réalisateur le plus mystérieux de la sphère cinématographique a l'habitude de laisser passer une décennie après un film, il revient aujourd'hui seulement deux ans après The Tree of Life, Palme d'or au Festival de Cannes.

    Il semble que le récit nous présente deux individus : Neil et Tatiana, des êtres qui vont s'aimer aussi fort que se détester. Parallèlement, un prêtre catholique est en proie à de sérieux doutes sur sa vocation. Un sujet flou qui résume bien À la Merveille, un film très vaporeux. De ce fait, aucun fil conducteur n'est établit entre les différentes séquences, qui arrivent les unes après les autres sans véritable lien. Soulignons également l'absence quasi-totale de dialogues : les personnages ne s'expriment pas par des mots mais par leur corps qui finissent, à force, par être muet.

    Ajoutons à cette incompréhension totale une nouvelle protagoniste jouée par Rachel McAdams, l'ami d'enfance de Neil qui va finir dans ses bras. Les deux histoires d'amour sont filmées de la même manière, où la surabondance de mouvements de caméras et les déplacements incessants des personnages rendent l'ensemble indigeste. L'inévitable se produit alors : la douloureuse sensation de voir que ces individus et leurs sentiments nous échappent. Avec cette création, Malick est continuellement dans le « trop », ou le « pas assez ».

    Cinq langues sont parlées tout au long du film, et la place de la religion paraît prépondérante. Le cinéaste a t-il voulu rendre son propos universel ? Rien n'est moins sûr, car À la Merveille pêche là où The Tree of Life avait réussit : observer l'évolution de l'homme dans son milieu et décrire son rapport aux éléments qui l'entourent. Ici, nous tournons en rond avec une pseudo morale sur la liberté, très obscure.

    L'amour nous aime, affirme Malick. Soit, mais on s'aperçoit que l'amour est aussi fragile, à l'image du sable mouvant qui se dérobe sous les pieds de Neil et Tatiana au Mont St-Michel. Dès le départ, leur relation est vouée à l'échec. Un peu comme ce film, qui comporte à n'en pas douter de belles images mais qui souffre d'un côté expérimental trop pesant. À la Merveille ressemble plus à un exercice de style qu'à un film, et nous ne voyons pas trop l'intérêt de sortir cela sur les écrans.

    Il est difficile de se rassurer car une autre oeuvre de Terrence Malick devrait voir le jour cette année, nommée Knight of Cups. Souhaitons de tout coeur que le cinéaste, habitué à travailler des années sur un seul et même projet, ait fait mûrir son travail le temps nécessaire.
    Jérôme E.
    Jérôme E.

    29 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2013
    Une hymne à l'amour signé Terrence Malik. Le film frise la perfection niveau image et son ça c'est une certitude. Mais finalement on reste sur une histoire minimaliste où tout s'enchaine sans aucun intérêt au final, oui l'amour passe par le contact et par des hauts et des bas je pense qu'on nous apprend rien et du coup le scenario a juste d'un peu original le fait qu'il y ait très peu de dialogues mais ceux ci servent à rien au final...
    Autre petit coup de gueule, c'est la non importance de nombreux roles, Rachel McAdams qu'on voit très peu, et le prêtre joué par Javier Bardem qui aurait pu également avoir une plus grande importance. Mais la grande faille du film est bien la présence de Ben Affleck, qui campe un personnage qui n'a rien, aucune ame, aucun charisme, aucun mystère alors que justement on lui demandait de jouer exactement ces rôles étant donné qu'il doit dire 2 ou 3 phrases dans le film...
    Et le coup de coeur du film est Olga Kurylenko qui livre une de ses meilleures prestations et de loin, une fraicheur et une beauté naturelle subjugante qui sauve litteralement le film, heureusement qu'elle est là au final...
    Pour finir, c'est pas mal pour voir des belles images et entendre des belles musiques, mais sur le fond c'est quand même bien creux et c'est dommage.
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