Derniers Avis : 300 : La naissance d'un Empire - Page 20

Autant le premier m'avait attiré pour son esthétique et le charisme de certains personnage, Leonidas en premier lieu. Cette suite ou plutôt devrais-je dire parallèle puis suite m'as rebuté sur plusieurs aspects, la simplicité du scénario qui finit par nous donner un vrai nanar, des détails troublant comme l'armée des athéniens spoiler: composé de poètes, de sculpteurs et autres fermiers qui pourtant sont bodybuildés à la Rambo.
Un simplicité des costumes des athéniens par rapport aux spartiates, seule une cape bleu remplace la rouge... Alors qu'on sait que les athéniens aussi bien que les spartiates étaient équipés en cuirasse et autre plastron métallique.

Néanmoins, Artemise, jouée par Eva Green réhausse le niveau avec un jeu d'actrice excellent. Hormis la scène de sex dont on pouvait se passer et qui n'apporte absolument rien à l'histoire.

Bien que ce film ne se veut pas être un film historique, j'ai été outrés par la fausseté de l'histoire à tel point qu'elle va à l'opposé de la vraie. spoiler: Elle ne commande pas seulement une armée, elle est surtout reine d'Halicarnasse et surtout,le point qui m'as étonné : Artémise ne perd pas la bataille de Salamine, mais elle la gagne ! Je passerais sur l'histoire nanar dans le film où sa famille se serait faite massacré par les grecque où sa mère et elle même aurait subit un viol, puis qu'elle fût recueillit et élevée par les perses... On connait la suite, VENGEANCE ! -_-'
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La seule chose que j'ai apprécié - on ne va pas cracher dans la soupe - c'est les combats épiques, bien que, un peu trop facile à mon goût (à croire que les guerriers perses étaient des bras cassés :D

Finalement, rien d'exceptionnel à l'horizon, un nanar très joli visuellement, sublimé par le jeu de l'actrice Eva Green, mais dont on nous ressasse la fausseté d'un conflit du bien contre le mal. D'un occident lumineux et d'un orient ténébreux... Quand on s'intéresse un temps soit peu à l'histoire, c'est tout autre.

Huit ans après le succès inouï de "300", les producteurs américains avides d'argent ont jugé bon de tirer des bénéfices sur nos chers spartiates et nous sortent donc pour l'occasion une belle grosse merde visuellement immonde. Tandis que Léonidas et ses 300 spartiates s'engagent dans le défilé des Thermopyles pour retarder l'armée perse du roi Xerxès, la guerre fait rage sur la mer Egée. Au large de de l'île de Salamine, la flotte grecque menée Thémistocle, s'apprête à affronter l'immense flotte perse et celle qui la commande : la redoutable Artémise. Lorsqu'on prend un peu de recul, le second long-métrage du brillant réalisateur Zack Synder était incroyablement culotté : il fallait oser mettre en scène 300 guerriers en slips aux rouges et aux tablettes en béton qui allaient casser la gueule aux Perses dans un univers gore et un brin fantastique. Mais cette suite n'a ni l'ambition, ni la grâce de son prédécesseur. Pour cette suite, Noam Murro, réalisateur israélien méconnu spécialisé dans les spots publicitaires (rien que là, ça me fait déjà marrer) se voit confier le projet, et au lieu d'imposer son style se contente d'essayer de reproduire les mimiques de Synder, comme par exemple en usant à outrance les ralentis inutiles. Qu'on le veuille ou non, "300" possédait un style indéniable avec une réalisation comme seul Zackounet sait les faire, servis par des effets spéciaux magnifiques et des punchlines renversantes. Mais "300, la naissance d'un empire" se résume à une succession de batailles navales mal filmées, de dialogues insipides, de flashbacks inutiles et tente de s'inscrire dans la lignée de son aîné mais n'est pas Synder qui veut. Les scènes de batailles qui constituent les trois quarts du film sont assez confuses, les effusions de sang se multiplient, ça tranche des jambes, des bras, des têtes à tout va, les décors sont dignes d'un documentaire et l'esthétique se rapproche d'un mauvais jeu vidéo. Les scénaristes se foutent du monde en nous livrant une histoire tenant sur un post-it à la réalité historique complètement erroné. Le paroxysme du ridicule et de la vulgarité est atteint lors de la scène où Thémistocle et Arthémise se violent mutuellement. Les acteurs n'ont ni le charisme ni la prestance des Spartiates de Léonidas, point à la ligne. Digne d'un blockbuster de série Z, "300 : la naissance d'un empire" est une "suite" aussi inutile que médiocre, vulgaire, dénué de finesse, où le cerveau se liquéfie.

Ce navet est juste un prétexte pour filmer des mecs qui s'épilent le torse, les cuisses et les aisselles (mais pas le visage / "ben non on n'est pas des tapette") en slip de bain ET du sang gratuitement juste pour dégoûter le spectateur (cf. : les bruits mouillés et les éclaboussures sur l'écran). L'image est si artificielle que ca fait film de studio mal équipé et tout ce qui faisait symbole fantasmatique dans le premier volet fait ici plutôt caricature, voire pastiche...

Suite pas très intéressante, le côté artistique du premier qui m'avait plus est presque inexistant dans celui ci, remplacé par beaucoup plus de violence. La 3D n'est pas non plus très bien exploité. Déçu.

En 2006, un OVNI cinématographique signé Zack Snyder débarque sur nos écrans. « 300 » divise la critique mais remporte un vrai succès populaire. Ses combats « hyper stylisés », ses superbes images de synthèse et sa terrible violence ravissent largement les amateurs de film d'action. 8 ans après, la suite très attendue se devait de confirmer la très bonne impression laissée par son prédécesseur. Les fans sont un peu désarçonnés en apprenant que le réalisateur d'origine laisse sa place a Noam Murro, complètement inconnu du grand public. Pourtant les craintes s'arrêtent là ! « 300, l'univers d'un empire » tient toutes ses promesses tant l'ambiance si particulière de la franchise est respectée. Les scènes de batailles, maritimes cette fois, sont toujours sublimes, parfaitement rythmées, spectaculaires et d'une violence inouïe. Un petit « supplément d'âme », apporté par un scénario plus profond et mieux travaillé, font de cette suite une véritable réussite. La guerre entre Perses et Grecs n'est heureusement pas finie et un troisième épisode viendra à coup sûr compléter cette série en passe de devenir culte. Parfait !

Une vrai daube qui ne mérite pas de porter le titre 300.
Visuel nul et l histoire est inexistante. Aucun lien avec 300..
Scène de cul inutile digne des films sans contenus.
Amateur de 300, passez votre chemin sans hesitation

j'étais très septique avant de voir le film vus la prestation du premier volet ( un petit moment sympa sans plus) mai pour finir je me suis retrouvé plus qu'agréablement surpris.
les scènes de combat en reste néanmoins le point fort du film les dialogues et le scénario n'on pas été pour autant négligés un très bon film que je conseil vivement.

Le premier 300 était un bon divertissement et visuellement impressionnant. Ça suite directe respecte donc scrupuleusement la même recette. Mais je trouve qu'elle fait même encore plus fort. Le scénario sans casser trois pattes à un canard et intéressante à suivre et en même temps elle traite d'un propos plus politique que l'histoire des Spartiates. L'idée que l'histoire de celui-ci ce passe en alternative du 1 est bien trouvé. Visuellement c'est une GROSSE CLAQUE. C'est beau, stylé, les éclairages ainsi que la mise en scène sont impeccables. Les ralentit (certes un trop pressent pour certains) sont magnifiques et en mettent vraiment pleins les yeux (l'ouverture avec les éclairs et une vraie merveille). Rarement les morts "sadiques" et les démembrements ne nous ont pas paru si beaux. C'est presque poétique à voir. Et pourtant c'est gore, très gore. Au passage l’interdiction -12 me parait pas trop approprier au vu du degré de violence que l'on a l'écran. Car comme je le dis, c'est beau à voir, le sang est presque un personnage tellement chaque giclé a de l'effet. Mais quand même. Un -16 me paraissais plus approprié. Surtout que l'on a droit à quelques scènes un peu dur (des viols) et une scène de sexe avec Éva Green plus qu’explicite. Autre point vraiment bien trouvé et qui permet au film de se démarquer du premier. C'est qu'il y a beaucoup de batailles navales. ça change des fantassins et au final mine de rien. ça permet à 300: la naissance d'un empire de se renouveler et de ne pas tomber dans la facilité. En conclusion j'avais vraiment peur de voir cette suite car Zack Snyder n'était plus à la réalisation et j'avais dans l'idée que Noam Murro nous ponde une suite très "voire top" proche de l'original et qui aurait été juste un copié/collé du film de base. Mais non, le film à réussir aux la mains à prendre la relève et au risque dans choqué quelqu'un. Je trouve même cette suite mieux que l'original voire encore plus impressionnante visuellement. Je conseille donc à tous ceux qui on aimé le premier de regarder cette suite. Car franchement, ça vos le coup.

Sur la technique y a rien à dire, par contre certaines scènes sont semble interminable et parfois on a vraiment du mal à croire au rôle que joue les acteurs ou peut-être que chez moi la magie du cinéma ne prends plus...

Un véritable navet , inregardable, jamais vu un film faire autant l'apologie de la guerre et du nationalisme. de plus on baigne dans le mensonge historique à chaque seconde.

grand fan de 300 je me suis précipiter sur ce film et bien ça ne vaut pas l(original
c'est long tres long malgré des combats epiques
spoiler: surtout la course du cheval a travers les bateaux

pas de grandes tirades a la leonidas
a force de bidouiller l'image on ne distingues pas trop les batailles maritimes
c'est beau mais c'est vide

Je n'attendais pas cette suite avec impatience, pourtant étant fou de mythologie grecque et de toutes les histoires ayant un rapport avec ce pays, je n'ai pas pu m'empêcher de le visionner. Honnêtement, ça reste une grosse déception. Le génie qu'avait Snyder sur le 1er film, à nous pondre une scène culte à chaque nouveau plan et chaque nouvelle réplique, presque toutes entrées dans la légende du cinéma (This is Sparta ! Tonight we dine in Hell, etc...), ici il n'en est rien. Le film est beau et impressionnant, mais rien n'est réellement captivant. Hormis la force impressionnante du héros qui sort du lot, le reste est vraiment pas top. Eva Green en première position, son jeu d'acteur n'a d'égal que celui du 36ème film de Steven Seagal, et je parle même pas de Xerxès, totalement transparent. Ils ont essayé de nous remontrer des personnages du 1er film, à savoir le messager qui se prend le mythique "This is Sparta !!!" en nous le montrant sous un meilleur jour, or la sauce ne prend pas. Le seul vrai point positif que j'ai apprécié, c'est la première partie du film qui nous montre ce qui se passe en parallèle de la bataille des 300 dans les Thermopyles. Les batailles sont extrêmement gores, le sang gicle partout, mais bon, les effets visuels à ce niveau-là font limite trop 3D/images de synthèse, c'est peu réaliste bien que très jouissif. La femme de Leonidas n'est plus que l'ombre d'elle-même, les effets visuels étant moins chiadés que dans le 1er film, on voit que l'actrice a bien vieilli, et la fin avec elle est juste ridicule, on n'y croit pas une seule seconde. C'est pas très bien mis en scène, et ce qui aurait pu sembler mythique n'est finalement qu'un pétard mouillé. On espère maintenant que la suite sera bien le 3ème et DERNIER film de la franchise, mais surtout que Snyder sera aux commandes, car on risque le plus bas niveau si ce dernier opus se révèle en-dessous de "Rise of an Empire".

Tout bonnement superbe, les combats sont parfaitement réalisés, les coups d'épées produisent des gerbes et des flots de sang. Éva Green est géniale dans ce rôle, et je pense même que ce doit être sa meilleur interprétation. L'idée de scénario montrant le "avant" le pendant et l'après de la bataille des 300 de Leonidas est très bien trouvée et au vu de la scène finale, ont devraient s'attendre à une suite.

Nettement moins intéressant que 300, les acteurs sont moins charismatique et le scénario pas très recherché mais les scènes d'actions sont pas mal et on ne s'ennuie pas, bref un film correct à regarder à la tv.

Cette suite est fidèle à l'original ... l'originalité en moins justement. Il y a donc pas grand chose à garder.
Scénario réduit au minimum et cousu de fil blanc pour justifier 1h40 de massacre entre une armée de bodybuildeurs ayant une attirance douteuse pour se balader en slip en cuir et des randoms méchants à 99% masqués qui ne servent que de viande hachée. La chef des méchants est très ... méchante et c'est tout (appréciez la profondeur du personnage).

Tout ce beau monde est malheureusement hémophile et dans cette région, le corps humain dispose de 75 litres de sang qui circule à 120 bars de pression dans les veines. Attention aux coupures ! Vous l'aurez compris, le moindre coup d'épée se termine par une gerbe de 3 litres de mauvais faux sang numérique sur 2 m de long. Malgré le budget, ces pertes sanguines sont cheap au possible.

Ici on aime se foutre sur la gueule en pleine mer sur des barques en bois sans rambarde et pour rajouter un coté "badass" aux batailles, on le fait en pleine tempête, sinon, c'est pas drôle. Le WTF des batailles est risible.

Concernant les armes, Star Wars avait ses sabres laser pour trancher net, s'il avait eu les forgerons grecs, il serait resté au glaive ... à moins que leur système osseux soit défaillant dans nos 2 armées. Ca tranche comme dans du beurre mou tout au long du film. Crédibilité à son maximum mais on est plus à ça près.

Pour les dialogues, dans cette contrée, on parle peu, on beugle parfois mais quand on ouvre la bouche pour sortir des sons articulés, on le fait d'une manière épique. Les discours sont peu nombreux et complètement crétins mais le style y est là. Chaque réplique se transforme en "quête de l'anneau".

Enfin c'est filmé comme 1h40 de trailer épique ou l'équipe de post prod avait oublié de virer tous les curseurs graphiques positionnés à fond par un stagiaire farceur. Comme pour le 300 originel d'ailleurs.

Bref, vous l'aurez compris, c'est simplement une copie du premier opus avec une facture à 110m$. Ceux qui ont aimé aimeront (et je me demande bien pourquoi), pour les autres, passez votre chemin.