Derniers Avis : Goldfinger - Page 2

L'un des meilleurs James Bond a mon goût.
James est opposé à un mégalomane passionné par l'or qui a un projet criminel de grande envergure.
Les James Bond Girls sont séduisantes et l'une d'entre elles, Pussy, a un rôle stratégique dans l'histoire qui aura son importance à la fin.
A voir et à revoir.

Je le dis d’emblée, je ne suis pas très James Bond.
Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.

« Goldfinger ».
Troisième épisode de la jeune série James Bond.
Terence Young a laissé sa place à Guy Hamilton.

« Goldfinger » est mon premier James Bond vu dans un cinéma « Art et Essai » en 1977 !
Quatre grands souvenirs : Gert Fröbe, une femme nue peinturlurée d’or, un reflet dans un oeil et une voiture avec siège éjectable.
Une voiture que j’avais eue comme cadeau quand j’étais petit, copie conforme au film avec le siège éjectable et la figurine !
J’étais content de découvrir le film dans lequel je retrouvais cette voiture nommée Aston Martin DB-5, la voir réellement vivre, si je puis dire.

Je ne m’éternise pas : « Goldfinger » est un bon cru, je le préfère au premier épisode, cependant, il reste derrière « Bons baisers de Russie », en ce qui me concerne.

Le générique annonce la couleur avec des formes féminines couvertes d’or dans lesquelles ondulent les personnages qui nous seront donné à voir. Et cette fois, le générique est accompagné d’une chanson interprétée par Shirley Basset
La saga évolue pas à pas.

James Bond doit surveiller les agissements d’un homme d’affaire milliardaire, Goldfinger, obsédé par l’or. Apparemment, il en possède une grande quantité.
spoiler: Au cours de sa mission, 007 va découvrir que ce milliardaire a pour folie d’irradier le stock d’or entreposé à Fort Knox ; cet or inutilisable estimé sur 58 ans, permettra à l’or de Goldfinger d’exploser sa valeur.

Goldfinger, c’est Gert Frobe, celui de mes souvenirs.
L’extravagance est de retour après la parenthèse « Bons baisers de Russie » ; on parle de bombe atomique quand même, spoiler: bombe utilisée seulement pour irradier un simple entrepôt d’or !
Et on parle aussi de gaz mortel aspergé du haut d’une escadrille volante.
Si on y réfléchit bien, cette extravagance reste encore dans le domaine du raisonnable !!!

Gert Frobe campe un méchant assez classique, il impose par sa stature mais tout passe par son homme de main, le redoutable Oddjob (Harold Sakata), d’une stature toute aussi imposante, affublé d’un chapeau coupe-tête.

Autre souvenir : le fameux reflet dans l’oeil. spoiler: James Bond voit son agresseur dans l’oeil de la femme qu’il s’apprête à embrasser.

Une belle trouvaille de mise en scène.

Autre souvenir : une femme au corps recouvert d’une peinture or allongée sur un lit.
J’avais le souvenir qu’elle était nue. Elle l’est. La mise en scène nous la fait deviner. Pourtant, j’ai eu des doutes, les fameuses photos du film nous montrent un corps portant un maillot, lui-même enduit d’or.
Je ne vous cache pas ma déception, je pensais voir au moins une autre victime peinte en or, la signature d'Auric Goldfinger. Peine perdue.
Après tout, Auric Goldfinger n’est pas un serial killer !

La James Bond girl ?
Sur le lit, gît Jill Masterton (Shirley Eaton) ; spoiler: la malheureuse, surprise à aider Goldfinger à tricher et séduite par James Bond, finira assassinée le corps nu couvert d’or.

Elle est écartée dans la première demi-heure du récit.
Dans l’entourage de Goldfinger, Pussy Galore sous les traits de Honor Blackman. Avec un prénom pareil, on pouvait s’attendre à une nunuche, au contraire, on a droit à une James Bond Girl de caractère :
« Cessez le charme, je suis immunisée » dit-elle à James Bond étonné qu’une « pussy » ne lui tombe pas aussi facilement dans ses bras !
Caractère qui finira par céder, comme toute James Bond Girl qui se respectent.
Cahier des charges, oblige !
Pussy a tout de l’opportuniste. Elle s’appuie sur Goldfinger pour empocher une belle somme qui assurera ses beaux jours, elle ne compte pas le servir ad aeternam. spoiler: Quand elle réalisera que Goldfinger est synonyme d’arme atomique, elle sera l’alliée inattendue de l’agent 007.


Avec ce troisième épisode, j’ai noté qu’il ne fallait pas trop se poser de questions.
spoiler: En effet, après avoir expédié Goldfinger par le hublot de son jet piloté par Pussy,
spoiler: cette dernière impuissante à redresser ledit jet qui s’apprête à piquer dans la mer, se retrouve à terre dans les bras de James Bond des parachutes autour d’eux. On voit l’avion s’abîmer en mer mais on ne voit pas nos tourtereaux sauter en parachutes.

A voir en V.O si possible pour la voix Gert Fröbe, quand même.

Peut-être la plus mythique des adaptations de Ian Fleming, enveloppée par la voix divine de Shirley Bassey. Richard Maibaum insère un premier virage dans la franchise : la James Bond Girl n'est plus un objet. Bon, ce n'est pas non plus du féminisme, mais Honor Blackman nous fait grâce d'une indépendance certaine. Pas si facile quand on s'appelle Pussy...Avant de dérouler l'intrigue sur l'Est-USA, Mr Bond étrenne pour la première fois la fameuse Aston Martin DB5 sur le col de la Furka et ses lacets dans les Alpes suisses, un mythe dans le mythe. Q y insère un GPS (précurseur vous avez dit?) type sonar en écran de contrôle, des moyeux amovibles et tranchants, des jets de fumigène et d'huile par l'arrière, ou encore un siège passager éjectable, tout un programme. La sympathie du méchant très naïf, et déjà trop riche, Auric Goldfinger, est presque déconcertante, son homme de main Oddjob l'étant beaucoup moins. On note deux faits intéressants : l'intrigue pré-générique au Mexique est complètement déconnectée de la suite du film. Aussi, on met de côté l'organisation du Spectre, dont le n°1 aperçu en contre-champ dans Bons Baisers de Russie n'a toujours pas révéler son identité. A noter que ces trois premiers films nous annonce déjà les suites dans les génériques de fin, c'est dire si le business model était déjà très puissant.

Dès le générique avec la formidable chanson de Shirley Bassey on comprend que James Bond va prendre avec Goldfinger une autre ampleur. Le passage à l’hôtel à Miami, la découverte de Goldfinger, l’improbable mini peignoir bleu de Sean Connery et le cadavre recouvert d’or de Jill Masterson donne le ton de ce que sera le film, à la fois plus délirant et plus premier degré. Le reste du film réussi une alchimie assez unique entre vraies trouvailles comme les décors grandioses, les gadgets de l’Aston Martin, l’homme de main imbattable Oddjob ; des passages très kitsch comme l’utilisation d’images accélérées, ou les personnages qui chutent de manière assez ridicule quand Goldfinger répand son narcoleptique et bien sur le charisme de Sean Connery qui est devenu James Bond jusqu’au bout des ongles (alors que paradoxalement son personnage rate presque tout ce qu’il entreprend dans ce film). Distrayant et amusant (parfois à ses dépens) il est probablement le plus réussi de la période Sean Connery.

Une bonne histoire, de bonnes scènes d'actions avec pas mal de fusillades et cascades !! Un antagoniste intéressant et imposant !! bref, ce 3ème volet est un bon cru !! Avec un très bon Sean Connery , un vrai charmeur de femmes !!!

Ce James Bond est le premier James Bond qui soit une réussite ! Le scénario est top, plein d'action et plutôt bien rythmé. Les dialogues sont bons. Bref, on a une histoire captivante. C'est la première fois qu'on a droit à un générique d'introduction chanté par un grand artiste.
On a aussi, pour la première fois, droit à une voiture modifiée. Sans oublié, enfin, un méchant et son bras droit qui sont charismatiques.

Un bon James bond ! Le scénario est intéressant. L'intrigue est bien menée. La mise en scène appétissante. La BO excellente. Goldfinger fait rentrer James bond dans une aire nouvelle.

Considerer comme le meilleur épisode de la saga, on a tous, en effet, dans celui-ci. Les filles, Laston Martin Db5, les scènes d'action, le méchant le plus réputé avec son colosse asiatique et son chapeau melon. Des scènes d'anthologie extrême, le personnage de Q, les gadgets don't le plus célèbre et le plus utile, la Db5. Le chanteuse qui chante Goldfinger, on l'a tous en tête, également. La fille en or, aussi, allongé sur le lit. Le scénario est plus que malin, tiré du roman de Ian Fleming, et la première réalisation de Guy Hamilton ! Le bijoux de la saga des James Bond, c'est celui là et un autre, outre de retrouver Sean Connery, qui nous fit découvrir ce personnage emblématique, des années plus tôt. Là, on s'appuie juste sur l'aspect général de l'épisode, qu'aucun autre, ne trouvera où fugassement, le même niveau d'excellence !

Goldfinger, c'est OSS17 au service de sa majesté!
Le film est très beau et bien rythmé. Presque aussi beau que "Au service secret de sa majesté" qui est pour moi la référence".
Non, le problème c'est Bond lui même qui se plante à chaque fois qu'il essaye un truc. Ils auraient clairement dû prendre Regis, le stagiaire de la compta du MI6 à sa place.
spoiler: Exemple: Il provoque directement la mort de 2 James Bond Girl (un "record" pour la série), se fait capturer 2 fois, plante lamentablement sa voiture, et, pire, à la fin n'arrive même pas à désamorcer la bombe.

Bref, les seules choses qu'il fait convenablement c'est picoler et l'amour. spoiler: C'est d'ailleurs en se tapant Pussy qu'il sauve le monde.

James Bond est donc mauvais, mais c'est ce qui le rend attachant. D'ailleurs tout le monde est gentil avec lui et lui offre à boire, M, Félix, Pussy et même Goldfinger qui aurait dû le tuer 10 fois.
C'est peut être pour ça que le film est réussi et d'ailleurs Goldfinger est à rapproché de son film jumeau: "Skyfall". James Bond y est humain (mais James Bond quand même) et le film est réussi.

A jamais le meilleur de tout les Bond, prenez un vilain très Charismatique, Auric Goldfinger avec la crème des Homme de main, Hod Job ou comment un mec ne disant jamais un mot crève l'écran à chaque apparitions avec sa silhouette imposante et son chapeau qui coupe tout, la plus mythique des voitures et ma préférée parmi toute, l'Aston Martin DB5 avec ses gadgets inoubliables, le sièges éjectable, les plaques interchangeable, et surtout les roues types Ben Hur, c'est bien écris, chaque scènes est bien amenées, et surtout la réplique la plus culte de la saga spoiler: " do you expect a talk, no mister Bond, i expect you to die
"bref on est proche de la perfection.

Le "Gooldddfiiingeeerr" de Shirley Bassey va résonner dans votre tête pendant quelques heures après avoir regardé le film éponyme. Le signe que cette 3ème adaptation des aventures de James Bond au cinéma a de quoi marquer les esprits.

Que ce soit le corps peint en or, le chapeau de l'homme de main ou la scène du laser, ce sont des images que l'on peut immédiatement rattacher à ce film, même lorsque l'on ne l'a jamais vu. C'est la force de Goldfinger : avoir réussi à créer des images fortes.

Et c'est d'autant plus intéressant que cette fois-ci, le réalisateur ne pouvait pas se reposer sur les décors pour marquer les esprits puisqu'ils sont plutôt banals. A l'exception évidemment de Fort Knox. Cette fois-ci, pas de décor paradisiaque ou de désert, pas de base du méchant ultra-sophistiquée, etc ...

L'intérêt est ailleurs : celui du plan du méchant, dont on ne comprend l'ampleur qu'à la fin du film et qui est, pour une fois, assez original. La réalisation de ce plan demande toutefois de grosses ficelles scénaristiques et une certaine tolérance du spectateur à l'invraisemblable.

Mais qu'importe, tant que l'on a notre dose d'action, de gadgets et de beaux costumes.

Je resterai plus critique en revanche sur la gestion du rythme. Le film a tendance à traîner un peu en longueur par moment, risquant de faire décrocher le spectateur. C'est dommage parce qu'en enlevant un bon quart d'heure, on aurait pu dynamiser l'ensemble.

Goldfinger est la quintessence des films James Bond 007 et c'est l'un de mes films préféré de Sean Connery. C'est le premier film de James Bond que j'ai vu quand j'étais enfant. Goldfinger était également le film de James Bond préféré de mes enfants et au fil des ans il est devenu un classique culte pour nous. Même pour un film vieux il reste un classique et le meilleur film de 007. La raison pour laquelle ce film est si bon James Bond a une nouvelle voiture Aston Martin DB5 construite avec un écran de fumée dans lequel on peut jeter un siège de co-pilote hors de la voiture et qui a une plaque d'immatriculation tournante. La voiture a également d'autres applications telles que des mitrailleuses une lame pour déchiqueter les pneus des émetteurs de fumée et la projection d'eau. L'actrice Shirley Eaton dans le rôle de Jill Masterson qui est assassinée est l'une des images les plus marquantes de l'histoire du cinéma. La fille est peinte en or et elle meurt. Des méchants mémorables sont Auric Goldfinger et Oddjob le deuxième homme de main de Goldfinger. Oddjob porte un chapeau avec un bord en acier aiguisé qu'il utilise comme une arme mortelle dans le style d'un chakram. Le film présente de superbes filles sexy comme Honor Blackman dans le rôle de Pussy Galore Shirley Eaton dans le rôle de Jill Masterson et Tania Mallet dans le rôle de Tilly Masterson. Si par hasard vous lisez cette critique et que vous n'avez pas encore vu Goldfinger faites-vous ce plaisir et faites connaissance avec le vrai James Bond Sean Connery. Vous serez probablement accroché dès que vous entendrez la voix de Shirley Bassey dans le célèbre thème d'ouverture du film...

Un James Bond, ca se regarde comme on visite un monument hsitorique. Pour ce second volet de 007 avec Sean Connery, je me suis un peu ennuyé. Le film est daté et les péripéties ne m'ont pas captivé loin de là. Surement distrayant pour certains mais pas pour moi. 2 / 5

Finalement je n'aurais attendu que quelques heures avant d'enchainer sur Goldfinger ! Que voulez-vous, trop pris par cette entreprise. Sean Connery se livre à nouveau à une farandole qu'il maitrise aisément. Deux ou trois de ses meilleurs vannes se trouvent bien dans Goldfinger. Il porte toujours aussi bien le costume.

Une fois encore, comme pour son prédécesseur, j'ai été drôlement séduit par sa première moitié. Son pré-générique est d'ailleurs un modèle du genre, l'intro qui suit avec cette partie de carte truqué rivalise niveau pitrerie. La légèreté du début est vraiment enivrante, la partie de Golf ou bien cette course poursuite en Aston Martin truffé d'armes redoutables ( rires ) sont vraiment des atouts qui pèse au moment d'écrire cette critique. Car oui sa se gâte passé un certain temps. Pussy Galore n'y est pas pour rien. Si cette dernière n'est pas ridiculisé comme Tatiana dans le film qui précède ce dernier elle est elle aussi victime du machisme ambiant. Cette " bagarre " dans l'étable est quand même très malaisante ! Son coté un peu plus nuancé et sa place dans la hiérarchie de son Boss sont un peu anecdotique tant tout est ramené à son origine de départ, faire la belle et succombé. James Bond le goujat reste très amusant mais devient limite des fois ... Non vraiment, difficile de passé outre !

Sur le scénario Goldfinger se rapproche un peu plus du tout premier film, moins chaloupé et plus direct néanmoins sont format et son approche bien plus élaboré se rattache cette fois au second. Bons Baisers de Russie avait comme qui dirais-je " passer un cap " tandis que cette suite ressort un peu l'attirail et répète ses gammes. Moins audacieux, y compris dans la mise en scène très spectaculaire mais en net perte sur ses idées novatrices.

Je vais attendre quelques jours cette fois pour continuer avec Opération Tonnerre. Le choix est plus sur.

Dans cet épisode, James Bond (Sean Connery) est face à Auric Goldfinger (Gert Frobe) qui dispose d’une grande quantité d’or et a mis en place un plan qui pourrait avoir des impacts importants pour l’économie mondiale.
On retrouve ici l’humour qu’on avait un peu perdu dans le précédent film, c’est un point très positif. Il y a également une tension et un suspens tout le long jusqu’à la fin.
Les “méchants” sont charismatiques entre Goldfinger (machiavélique et sans pitié) et son homme de main à la force physique incroyable, et très habile au maniement du chapeau tranchant.
Les scènes d’action sont réussies, que ce soit la course poursuite en voiture (Aston Martin avec tous ses gadgets) ou encore l’affrontement final.
Le principe de la femme en or est très esthétique (dommage qu’il ne soit pas plus utilisé d’ailleurs).
Petit regret : le dénouement un peu facile, et sans beaucoup d’explications sur le revirement de situation.