Troisième épisode avec Sean Connery et James Bond commence à s'essouffler. Bien que l'Aston Martin fasse son apparition dans la panoplie de luxe de l'agent britannique, on sent que l'acteur commence à se parodier dans son rôle de Gentleman. Quelques scènes malaisante avec notre regard du XXI siècle, rend des scènes proche du viol ou du harcèlement. On regrette aussi le manque d'action de notre héros qui semble se plaire dans ce rôle d'otage, on aurait voulu plus de réaction de sa part, surtout dans une histoire intéressante de cambriolage de Fort Knox, le tout face à un méchant d'envergure.
En 1964, Guy Hamilton devient le nouveau réalisateur de la saga « James Bond ». Il en signera trois de plus au début des années 1970. Dans ce troisième opus, on retrouve Sean Connery à la poursuite d’un truand (Gert Fröbe) décidé à détruire la réserve d'or de Fort Knox. Si l’intrigue initiale est plutôt réussie et laisse présager une aventure riche en rebondissements, le rythme s’étiole progressivement pour proposer des scènes d’action convenues. Heureusement, la présence d’Honor Blackman, en tant que James Bond girl, illumine tout du long ce long-métrage. Bref, un honnête film d’espionnage.
Bond s'amuse avec ses gadgets comme jamais et séduit moult poupées. Ce troisième opus rondement mené exploite au maximum la mythologie naissante (charme irrésistible de Bond Don Juan, multitude de gadgets et la non moins fameuse Aston MARTIN). On peut regretter une réalisation pas toujours très inspirée. Ce goldfinger est souvent considéré comme le meilleur avec Sean Connery or il est moins équilibré que le deux précédents. Mais le plaisir reste intact et le charme agit.
Ne fait pas partie de mes préférés. L'action est là mais elle est distillée et non efficace. SC est très bon mais ne virevolte pas assez à mon goût et surtout est très peu bavard.
Un des titres les plus connu de James Bond, assez surpris de la qualité du film. Moins bon que les deux premiers. Le plan de Goldfinger est ridicule et le gaz dispersé à 100m d'altitude qui endort tout le monde en moins d'une seconde fait très série TV à low budget des années 80. Il y avait sûrement matière à faire mieux avec ce "grand vilain". On a aussi une scène très malaisante où Bond force un peu trop auprès d'une femme. Pour la culture à voir une fois.
Goldfinger ou l un des plus célèbre james bond! 007 s attaque à un nouveau méchant. ce film nous enmene dans un univers rythmé, fidèle aux ingredients de succès de la franchise avec l apparition progressive des gadgets de 007. Bien que vieilli et parfois en décalage avec notre époque, le film reste une référence du 19eme siècle.
Un des meilleurs premiers films de la série. Malheureusement il a beaucoup vieilli. Comme les tenues des petits soldats du méchant qui sont aussi ringardes que celles des Startrek de l'époque. On dirait des pyjamas !
C'est un excellent James Bond, troisième du nom. Dans cet épisode, 007 devra arrêter Goldfinger, un homme d'affaires. Le film est vraiment sympa tout au long et la musique est au top. En revanche, j'avoue ne pas avoir trop aimer la scène finale: on a vraiment l'impression qu'elle a été ajoutée à la va vite. Je conseille vivement ce film !
J’ai trouvé ce film d’espionnage très bon. Le personnage de James Bond a forgé la légende de Sean Connery. D’ailleurs, il est pour moi, avec Pierce Brosnan, celui qui a le mieux interpréter l’agent 007. Durant tout le film, on ressent sa classe et son charisme. Le Britannique a une élégance naturelle et sait en profiter. C’est un atout indispensable pour ce rôle de l’espion beau goss. Un James Bond sans sex-appeal ça ne serait pas la même chose, et lui en a à revendre. Au passage, la manière de se comporter avec les femmes passerait beaucoup moins bien dans l’époque actuelle. L’histoire ne se résume heureusement pas qu’à des beaux sourires. Le scénario est super. Alors certes le méchant Auric Goldfinger manque un peu de prestance, mais l’intrigue qui l’entoure est bien faite. Son plan machiavélique est ingénieux. Il m’a passionné par sa trame. Pour le mettre en œuvre, la production s'est donné les moyens en devenant à l’époque le décor le plus cher jamais construit. J’aurais aimé toutefois que le concept avec l’or soit plus poussé. On n’en voit que la surface. La profondeur du méchant est le seul truc qu’il me manque. Comme l’histoire prend le temps de se construire, certains passages vont paraître un peu plus lent que d'autres. Pour compenser, on a le droit à de bonnes scènes d’action. À noter qu’en ce temps, James Bond avait des gadgets, mais pas autant que maintenant. Les combats comme les courses poursuites, n’en resteront pas moins animé.
pas mauvais. mais bon certains trucs sont franchement fantaisistes. comme le mec qui s'attaque à Fort knox, et qui espère s'en tirer. même pour l'époque, c'est totalment irréel. comme si des avions de tourisme pouvaient survoler Fort knox sans être abattus. dès fois y'a des J. Bond irréels mais qui peuvent, avec un peu d'imagination passer (en tenant compte de l'époque), voire disons le être savoureux. mais là c'est vraiment pour ceux qui 'fument la moquette' je dirais. 3* quand même pour le couple Connery-Blackman, et la DB5
Que dire sur ce james bond ? tout y est on est la dans un james bond cultissime, celui-qui à sans doute défintivement installé james bond dans le paysage du cinéma en lui assurant une perrénité certaine. Première sortie de james bond hors des adversaires du "spectre " apres " dr no" et "bons baisers de russie ", c'est pourtant l'un des adversaires les plus redoutable qu'il aura afrfronté en Goldfinger, et c'est sans compter son adjoint oddjob et son fameux chapeau capable d'agir tel un boomerang et de décapiter ses victimes. L'aston martin et ses fameux gadgets présentés ici ( siège ejectable, plaque d'immatriculaitons interchangeable, radars, mur de fumées ) entre elle aussi dans la légende. Evidemment un mot aussi pour la scène sans doute la plus culte de james bond, celle de shirley easton tuée en etant recouverte d'or. La musique thème de ce james bond signée shirley bassey, va elle aussi entrer dans l'histoire du cinéma et devenir culte. Bref il est difficile de lister tous les élément de james bond que cet opus a rendu culte, ce qui démontre bien le caractère exceptionnel de ce film, considéré par beaucoup comme le meilleur de tous les james bond.
En 1964, Sean Connery a déjà deux James Bond à son actif. Le succès phénoménal et croissant de ce qui s'annonce comme une saga, ne lui laisse que peu de temps entre chaque épisode mis en branle par les deux producteurs avisés que sont Harry Saltzman et Albert R. Broccoli. L'action de "Goldfinger" doit se passer aux Etats-Unis mais le tournage débute sans l'acteur qui doit d'abord finir "Pas de printemps pour Marnie" d'Alfred Hitchcock. Les scènes américaines se tourneront donc dans les studios de Pinewood situés à l'est de Londres. Terence Young réalisateur des deux premiers épisodes n'ayant pas vu ses exigences financières satisfaites, c'est Guy Hamilton, prévu initialement pour tourner "Docteur No" qui se charge de mettre en scène cette longue traque de l'agent 007 collé aux basques du mystérieux Auric Godlfinger interprété par l'excellent Gert Fröbe. spoiler: Un riche homme d'affaires que son amour maladif pour l'or pousse à envisager de s'attaquer à la réserve d'or américaine située à Fort Knox (Kentucky) . James Bond doit impérativement ramener à la raison le forcené psychopathe . Il a pour argument son fameux "permis de tuer" mais aussi son charme dont il est clairement exposé dans ce troisième segment qu'il peut être aussi son talon d'Achille. On ne s'ennuie pas une seconde d'autant plus que Sean Connery est désormais très à l'aise dans un rôle qui semble taillé sur mesure pour son jeu alliant humour et élégance à une certaine sauvagerie mâtinée d'un brin de muflerie. On l'a dit, le méchant est excellent et Honor Blackman si elle n'est pas la plus photogénique des James Bond Girl est sans aucun doute l'une des plus sexy. La scène désormais rituelle avec Miss Moneypenny (Lois Maxwell) est un délice tout comme l'entame du fil où James Bond arrivant sur un lieu d'action par la mer est affublé sur le sommet de son crâne d'un canard censé camoufler son approche. Sans doute une trouvaille de plus de "Q" (Desmond Llewelyn), le monsieur gadget du MI6. L'agacement avec lequel 007, jette l'oiseau une fois arrivé sur la berge du port en sus d'être un effet comique très réussi, montre désormais l'emprise qu'à Sean Connery sur le rôle. Le ton est donné faisant de "Goldfinger" l'épisode le plus réjouissant du début de cette saga. Guy Hamilton relève donc le gant de succéder sans démériter à Terence Young. On notera la superbe chanson du générique interprétée par la grande Shirley Bassey. Tout était donc réuni pour renforcer l'aura de l'espion au service de sa Majesté. Les spectateurs ont répondu en masse. Rien n'arrêtera plus la saga qui en sera bientôt à son 25ème épisode.
Le queutard du MI6 (S. Connery) est de retour pour une nouvelle mission. Son dernier coup lui ayant attiré les foudres d'un dangereux magnat de l'or (G. Fröbe), 007 s'en va à sa poursuite à travers l'Europe pour finir aux USA. Leurs différentes rencontres sont délicieusement accompagnées de dialogues bien ciselés qui permettent une dynamique nouvelle dans ce troisième opus qui se révèle meilleur en tout, mais peut-être pas en trucages et jeu d'acteur. GOLDFINGER est le précurseur d'une mécanique qui sera réutilisée, trop souvent, par la suite : celle des femmes qui tombent sous le charme de l'espion anglais (même les lesbiennes) et de ses ennemis aux plans machiavéliques, accompagné d'un homme de main qui succombera magnifiquement après une lutte acharnée.