Derniers Avis : THX 1138 - Page 10

franchement, j'adore georges lucas (et oui je suis un fan de star wars), mais alors la j'ai rien compros et pourtant je ne suis pas du tout hermetique a ce genre de film, mais j'avoue qu'il n 'y a meme rien a comprendre, car il n'y a rien dans ce film : pas de dialogue, pas d'action, aucune reflexion sur quoique ce soir.
pourtant l'idée était très bonne, un monde dans un tel état je pense qu'il y avait mieux a faire, dans le meme style de film je vous conseil l'age de cristal, qui est beaucoup mieux decrit, et mieux conté que ce navet pur et dur

L'un des plus beau film d'anticipation de tout les temps. Lucas est remarquable dans sa vision de notre futur, certes pessimiste mais tellement forte et triste à la fois.
Ce film a en outre le mérite de ne pas avoir pris une ride.

Peu avant la guerre des étoiles, george lucas réalisait ce film d'anticipation tristement méconnu. Je l'ai vu il y a peu de temps et je n'en revient pas: Si il était sortit en salle il y a un ans cela ne m'étonnerait pas tant il n'a pas vieilli.
Ce film visionaire se déroulant dans un univers cauchemardesque n'est à manquer sous aucun prétexte que l'on soit ou non amateur de science-fiction.

Un film étrange, mais une ambiance qui donne envie de voir la fin.

Écrire une critique sur un film expérimental est une tâche bien difficile, parce que ce cinéma là n'est pas souvent apprécié. D'ailleurs si ce film est un échec au niveau de son box office, ce n'est pas moins une très grande œuvre, une référence même.
Cette vision du monde de demain m'a vraiment intriguée. Tout ces symboles comme ce blanc monochrome omniprésent sont curieux, et nous permettent de nous faire réfléchir, c'est là tout le génie de Lucas...

Plus une expérience visuel que cinématographique. Le style a quand même pris un serieux coup de vieux bien qu'avantgardiste en 71. Ni chef d'oeuvre, ni navet, un regard inclassable sur une époque !

Un des meilleurs films de science-fiction de tout le temps. George Lucas prouve (plus que dans les Star Wars) qu'il est un très bon réalisateur. Il filme audacieusement et astucieusement cette histoire incroyable, Robert Duvall est impérial.

Le premier film de Georges Lucas est egalement son meilleur.
Cohérent de bout en bout et visuellement puissant, Lucas orchestre une fuite vers la vie,
où les décors, les mouvements et les dialogues s’eloignent de leur froideur sociale originelle
pour aller vers l’emotion. Plus abstrait que Brazil, le film trouve pourtant sa puissance dans ses details, éléments qui viendront bâtir L’ŒUVRE Lucas avec Star Wars. Même si le court métrage Georges Lucas in Love s’avère tres divertissant, THX 1138 est indispensable pour comprendre les obsessions cinematographiques futures du Monsieur : gardes masqués, ewoks, courses poursuites, batons de combat, sagesse, hologrammes…
De la Pure SF

Une curiosité étonnante de la part du futur créateur de Star Wars, parfois proche d’un minimalisme abstrait et épuré. Malgré quelques longueurs et une vision un peu désuète du futur, il s’agit là d’un document qui rappelle de beaucoup l’œuvre de George Orwell « 1984 », et qui pouvait également laisser présager, par quelques détails (notamment dans les costumes, les accessoires et les décors) de la trilogie intergalactique qui allait naître quelques années après…

Lucas signe son premier long métrage, un film de science fiction, véritable réquisitoire quant au probable manque d'humanité d'un future proche. Une oeuvre expérimentale brillante à la mise en scène éblouissante.

Dès son 1er film, G. Lucas pose les bases de son cinéma, beaucoup de références, un sens du spectacle aiguisé et une imagination assez débordante. Son esthétique très travaillée participe à crée une ambiance assez oppressante, renforcée par la partition de L. Schiffrin. Devant la caméra, les acteurs sont convaincants, notamment un R. Duvall impressionnant de bout en bout. Le gros point faible du film, c'est son scénario, assez peu palpitant, parfois incompréhensible car manquant d'explications et surtout, un thème massacré (l'histoire d'amour s'arrête vite, le personnage féminin disparaît et la critique de cette société manque de portée) et le personnage de D. Pleasance qui apparaît inutile dans la partie se situant dans la prison (ses monologues soûlent). A la fin, G. Lucas montre toutes ses qualités d'entertainer (prémices de la poursuite en speeder du "Retour du Jedi", avec pas mal de sons qui seront repris dans la saga). Une fin ouverte avec une image finale d'une beauté incroyable mais trop inégal malgré un look qui a peu vieillit. D'autres critiques sur

Beaucoup de cinéastes, plus ou moins connus selon les cas, se sont un jour essayer au film expérimental. THX 1138 en est la preuve. Du moins pour George Lucas. Seulement, il faut avoir un minimum de chose à dire et une pointe de réflexion pour réaliser un film qui soit à la hauteur de son genre. Ce que le réalisateur ne fera pas. Jamais. Tout d'abord, signalons que notre pauvre industriel du cinéma populaire hollywoodien ne trouvera même pas son ton et sa personnalité. D'ailleurs, George Lucas prendra ses références et sans honte de le dire sur le plus grand film de l'histoire du cinéma, véritable pilier du septième art : 2001, l'odyssée de l'espace de Stanley Kubrick. En l'occurrence, le film raconte l'histoire de l'homme vu par l'un des leurs, parlant de son origine à sa fin. Et de ce cercle qui ne cesse de tourner de par sa natalité et sa mortalité forme de ce que l'on appelle l'existence. Par conséquent, le film expérimental doit-être un objet à la base simple de réfléxion posant les véritables questions sur les origines et les fondements de l'être humain. Il n'est donc pas seulement un object de philosophie, mais il est avant tout film de métaphysique. Le réalisateur ne l'a pas tout à fait comprit et nous sort un objet vide de tous éléments incitant à la réflexion pour tomber dans une critique de la société minable sur fond politique pitoyable. Facile et débile pour un genre expérimental, THX 1138 pourrait alors se classser parmis les quelques films de science-fiction bas du plancher qui dénonce les méfaits de la société avec peu de d'intélligence. C'est déjà beaucoup. C'est navrant de le dire, mais cet exercice de forme n'arrive jamais à trouver son fond. Et pire, il ne peut faire partit de l'expérimental, sa réflexion trouvant pour base la politiques et le pamhplet à deux sous. Révoltant en première partie, cette misère cinématographique s'enlise finalement dans le pathétique. On pourrait pleurer, mais on préferera en rire. Tout simplement fascinant.

Lucas n'a pas fait que Star wars, avec son premier film il faisait dans la science fiction expérimental avec cet ovni qui démontrait tout le potentiel de son créateur directement inspiré de 1984. Aidé par 2 acteurs de talent ( Pleseance et Duvall), Lucas sait parfaitement créer une ambiance et un univers futuriste aussi aseptisé qu'angoissant où le blanc devient menaçant et peut également rajouter un peu d'action sur sa fin. On a beaucoup parler du film comme une métaphore de son époque, il n'en reste pas moins un film à part et un véritable ovni à découvrir.

THX 1138, le premier long -métrage de George Lucas est un film de science-fiction étonnant, et d'une réussite indéniable. En effet, sur une idée originale (l'homme enfermé dans un grand labyrinthe) avec en filigrane une couleur blanche omniprésente, Lucas dépeint un régime totalitaire, qui rend passif les humains, et qui sont de fait totalement soumis. Seuls deux personnes, un homme et une femme, vont tenter de s'opposer à ce régime mais ils seront forcément punis de leurs actes, presque de manière "pacifiste". L'idée que la société est contrôlée par la technologie de pointe-ici les machines- est profonde et sonne terriblement juste 30 ans après, ce qui montre que cette idée est atemporelle. De plus, cet effet permanent de "labyrinthe blanc" et le fait que hommes et femmes aient le crâne rasé donnent une ampleur cauchemardesque à la situation que vivent les personnages. Par ailleurs, on n'arrive pas à imaginer que ce film soit si vieux, et coûte si peu cher, car son propos, sa manière d'être filmé, et ses effets spéciaux ne peuvent être que l'oeuvre d'un visionnaire. Alors, plus qu'un film de science-fiction, c'est surtout un film d'anticipation, ainsi que la vision très pessimiste de Lucas sur le monde, qui marquent le spectateur. Un film futuriste incroyable, dôté d'une force de persuasion géniale, mais aussi un film dérengeant par le propos tenu, qui glace peu à peu le spectateur jusq'au sang.

Film magnifique, estétique et lucasien... C'est étonnant ce que peu faire un jeune étudiant (THX était le travail de diplome du sieur Lucas à l'école de Cinéma et il en a fait un film). A+