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    Case départ
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    2,9
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    1 248 critiques spectateurs

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    landofshit0
    landofshit0

    253 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 octobre 2015
    Les visiteurs à l'envers voilà l'idée de case départ,des contemporains noirs qui se retrouvent projetés en plein esclavage. Le contraste aurait certainement put être drôle si Eboué et N'gijo avaient créé un vrai univers. Au lieu de cela les deux compères semblent avoir simplement listé les situations qu'un tel décalage pourrait créer pour les mettre en images. Ils ne vont malheureusement pas plus loin que ça. Le film a un vrai manque d'écriture,c'est le plus basique qui soit,les situations s'enchaines sans surprises. Opposer deux mondes n'est pas suffisant pour faire rire,il faut au moins proposer des gags digne de ce nom et les écrire,deux choses qui sont absentes de case départ.
    christophe M.
    christophe M.

    9 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2015
    Une sympathique comédie entre humour noir et satire sociale passé-présent. On passe un bon moment
    Stephenballade
    Stephenballade

    358 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 août 2015
    Comment rendre ridicule le manque de respect total envers nos ancêtres (blancs, noirs, ou autres) qui se sont battus pour acquérir ou abolir certains droits ? C'est la question qui me reste à l'esprit à la vue de ce que le trio de réalisateurs Ngijol/Eboué/Steketee nous propose comme point de vue à travers "Case départ". Bien que le montage de l’histoire rappelle immanquablement la mouture de "Les visiteurs" (mais dans le sens inverse), je dois reconnaître que nous sommes face à une certaine originalité. Mais voilà, arrivé à la fin du film, j’étais assez circonspect quant au véritable but du film. L’esclavage est un sujet grave, et les populations exploitées ont subi un lourd tribut (sans jeu de mot). Mais j’étais encore plus dubitatif après avoir lu dans les secrets de tournage le véritable dessein des réalisateurs. Ainsi le véritable sujet est l’insertion, le racisme, et sur ce que ces deux notions ont amené aujourd’hui. Ce qui veut dire que je me suis complètement planté sur le sujet car je pensais honnêtement que ce film était une véritable de leçon de respect envers l’héritage laissé par nos anciens. Mais pas que. Cela dit, je vais m’arrêter là sur mon interprétation de ce film car je m’y suis un peu perdu je dois dire. Le fait est que je n’ai pas senti le fil rouge déclaré par les réalisateurs. Thomas Ngigol et Fabrice Eboué se sont octroyés les deux rôles principaux, en frères que tout oppose, le premier archétype du gars de couleur qui ne fait rien pour s’intégrer, le second à la vie accomplie et totalement rangée. Aussi, si je me réfère à ce qu’ont voulu les cinéastes, comment peut-on prétendre s’intégrer et ne pas être victime de racisme quand on ne fait rien si ce n’est braquer les sacs des petites vieilles, emprunter les transports en commun sans s’acquitter du billet, racketter une gamine pour payer tant bien que mal ses P.V., insulter avant de prendre la tangente pour ne pas subir un retour fâcheux ? La question est posée et demeure ici sans réponse. En outre, Joël va apprendre à ses dépens que certaines choses forcent le respect, mais ce personnage haut en couleur (si j’ose dire) a tendance à sombrer un peu trop dans la caricature. Idem pour Régis. Bref nous voilà coincés en 1780, et on tourne en rond dans des gags anachroniques (pourquoi pas ?), désespérant de trouver une porte de sortie honorable vers le monde moderne. Au final, le résultat offre un propos assez décousu. Certaines scènes sont pas mal, très drôles même, mais bien trop rares pour empêcher "Case départ" de tomber peu à peu dans l’oubli. Autant effacer ce film et revenir à la case départ.
    Max le cinéphile
    Max le cinéphile

    3 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 août 2015
    Case Départ, première comédie à succès du trio Eboué-Steketee-Njigol, a rencontré un fort succès dès sa première semaine de diffusion et ce n'est pas pour rien. Certes l'ensemble peut parfois nous paraître fragile et grotesque mais il faut dire que la réalisation est très intelligente; elle manie à la perfection clichés et caricatures. Avec un scénario à la Visiteurs, deux personnes qui retournent au temps de l'esclavage pour enfin se rendre compte de la souffrance qu'ont subi leur ancêtres, on peut se dire : soit que c'est du déjà-vu et donc un total manque d'originalité, ou que c'est certes tiré par les cheveux mais efficace. Dans les deux cas, ce qui fait l'âme de ce film, ce sont ses gags efficaces et ses répliques rondement bien menées, parfois hilarantes. Le duo Eboué-Njigol est correct sans pour autant crever l'écran (il faut dire que Thomas Njigol est quand même sacrément agaçant). Bref, c'est un film qui remplit sa part du contrat : divertir en faisant rire.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 juillet 2015
    Traitant d'un sujet dur, cette comédie peine à convaincre malgré sa bonne volonté à vouloir entretenir le devoir de mémoire. Concilier les deux est difficile, malgré ça certains passages sont intéressants avec un Thomas Ngijol à l'aise devant l'écran et des répliques faisant mouches mais le reste du film présente des longueurs. L'ensemble est divertissant.
    DarkAkuma02
    DarkAkuma02

    55 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2015
    Fabrice Eboué et Thomas Ngijol réalisent ici leur premier film ensemble et ont su l’imprégner de leur humour caractéristique. Incarnant deux demi-frères, ils se retrouvent propulsés dans les Antilles à la fin du 18ème siècle, après avoir déchiré le document à l’origine de l’affranchissement de leurs ancêtres. Le scénario, ayant pour thématique l’esclavage, est prétexte à des situations extravagantes ce qui permet de rire autour d’un sujet sensible. Les gags sont plutôt inventifs. Case Départ est un film que j’ai trouvé vraiment drôle.
    rogerwaters
    rogerwaters

    128 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 juin 2015
    Comédie assez sympathique, Case départ s’amuse de tous les stéréotypes raciaux en plongeant des jeunes contemporains aux Antilles du temps de l’esclavage. Si l’humour raciste fait plutôt un bel effet, d’autant qu’il est pratiqué par ceux-là même qu’il est censé viser, la mécanique comique tourne malheureusement assez rapidement à vide à cause d’un script un peu rachitique. Le duo formé par Eboué et Ngijol est certes assez efficace, mais les deux compères manquent encore du charisme nécessaire pour assurer totalement dans une œuvre qui repose intégralement sur leur interaction. Les intentions sont donc louables, mais le résultat final est quand même assez bancal, d’autant que la fin n’est guère convaincante.
    Flotibo
    Flotibo

    43 abonnés 1 441 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juin 2015
    Thomas Ngijol et Fabrice Eboué, tous deux réalisateurs et acteurs principaux, ont plutôt réussi leur coup avec cette comédie traitant de l’esclavage. Pas facile de faire rire sur une tel sujet, alors bien sûr, on ne rit pas du début à la fin, mais on passe un bon moment grâce au talent des acteurs, des dialogues rafraîchissants et quelques situations bien délirantes.
    AV ciné
    AV ciné

    91 abonnés 617 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 janvier 2016
    Une comédie pas terrible avec un duo d'acteurs qui pourtant marche bien mais le scénario est décevant.
    La reconstitution de l'époque de l'esclavage est bien faite mais certains acteurs et certaine scènes ne sont vraiment pas terribles, en plus à force de faire le rebelle Thomas Ngijol devient agaçant.
    Une comédie donc pas très réussie.
    Chani67
    Chani67

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 juin 2015
    mais comment un film pareil peut-il être aussi bien noté?
    est-ce que les spectateurs sont passés à côté des discours homophobes et des scènes vulgaires voir sexistes?
    si les scénaristes ont cru réunir les clefs du succès, c'est qu'ils ont une bien mauvaise image du spectateur français. j'espère que vous serez nombreux à partager mon avis et à prouver que non nous ne sommes pas débiles au point de rire dans ce film, si ce n'est dans la bassesses des répliques.
    Bref, un film qui croit défendre des idées mais qui encourage l'intolérance.
    Ghibliste
    Ghibliste

    65 abonnés 577 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juin 2015
    Le premier long-métrage de Thomas Ngijol et Fabrice Eboué, "Case Départ" est plutôt une bonne surprise me concernant. Leurs deux personnages, certes caricaturaux, sont très amusants et plutôt bien campés par les deux humoristes. Le point fort du film vient selon moi des dialogues qui, s'ils ne sont pas à mourir de rire, se révèlent être le plus souvent drôles et de bonne qualité, d'autant plus qu'il s'agissait-là de traiter un sujet sensible sans tomber dans quelque chose de trop subjectif... Un pari globalement réussi. On pourra tout de même reprocher le côté répétitif de l'aventure, comme l'invraisemblance du scénario, mais on oubliera vite ce dernier point inévitable. Un bon départ.
    loicvsb
    loicvsb

    6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 juin 2015
    Sa faisait plusieurs mois qu'un ami me conseillait ce filme me disant qu'il etait "genial" , au debut du filme tout pourrait encore bien etre traité si le but etait encore de denoncer quoi que ce soit mais la , balancé des clichés que ce soit du coté du jeune de banlieue ou de celui d'un homme bien placé , c'est marrant au début mais sa en devient vite agaçant , pourtant comparer le racisme d'il y a des sciecle a travers l'esclavage et celui de maintenant surtout traduit par des préjugés qu'on nous montre au debut du filme aurait pue être intéressant ...
    MAIS la c'est scandaleux , les gags sont pour la plupart foireux je ne me souviens pas avoir souris a un seul moment dans ce filme . De plus pour une fois qu'un filme traite d'un sujet aussi delicat qu'est l'esclavage on nous montre les champs de canne comme des camps de vacance , le filme ne suit aucun rythme et s'efforce à peine de maintenir une intrigue .Je me suis forcé a finir ce navet quand meme mais c'est triste de voir une "comedie" française aussi médiocre et simpliste .

    A regarder à la limite avec des enfants sinon passez votre chemin , trés déçu pour ma part
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 mars 2015
    Case départ est un film humoristique qui certes ne s'inscrira pas au panthéon des films comique mais qui a le mérite d'exister au milieu de nombreux navets qui se disent drôle mais qui ne le sont pas. Je vous l'accorde l'humour est un peu gamin, ce n'est pas très raffiné, mais ça marche toujours. Eboué est l'un de mes comique préféré c'est peut-être aussi pour cela que l'humour prend toujours avec moi. J'ai un peu plus de mal avec Thomas Ngijol, qui d'après moi surjoue toujours un peu les scènes. Il y a tendance toutefois avoir de gros passage à vide où l'on s’ennuie fortement et le scénario est un peu bateau mais bon on peut dire que c'est un film qui se laisse regarder qui a des points forts et des points très faible.
    Adri P
    Adri P

    10 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2015
    un tres bon moment. On est pas dans le cultissime mais quelques sequences hilarantes et une bonne soirée légère en définitive.
    Perrine B.
    Perrine B.

    2 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 janvier 2015
    Joël est un assisté, un fainéant et un petit délinquant. Il squatte chez sa mère avec sa fille, et se déculpabilise de son chômage et de ses mauvaises actions en accusant la France et ses habitants de racisme envers lui.
    Régis travaille dans une mairie et est tellement intégré qu’il en renie ses origines antillaises. Il se sent même obligé de rigoler aux blagues racistes de son patron.
    Ces 2 hommes diamétralement opposés sont pourtant frères par leur père, au chevet duquel ils se rendent car ce dernier est mourant. Il leur lègue alors ce qu’il appelle le bien le plus précieux de la famille : l’acte d’affranchissement de leurs ancêtres. Mais les frangins n’ont que faire de ce legs et vont même jusqu’à le déchirer. Furieuse, une tante qui assiste à la scène leur jette un sort, et ils se retrouvent dans les Antilles en 1780, quand l’esclavage est toujours pratique répandue. Bien sûr, Joël et Régis ne comptent pas rester à cette époque et vont tenter de rentrer chez eux par diverses manières. Alors qu’ils sont eux-mêmes esclaves dans une plantation, pourront-ils seulement survivre dans cet environnement hostile ?
    Fabrice Eboué et Thomas Ngijol, anciens du Jamel Comedy Club, passent au format long avec ce film qu’ils scénarisent et réalisent. Il est très honorable de dénoncer l’absurdité honteuse qu’était l’esclavagisme, pour ceux qui ont oublié (le cas de Régis) ou qui au contraire, en abusent (le cas de Joël). L’utilisation du passé pour ce faire était presqu’essentielle pour faire passer l’humour sur ce sujet. Si certaines scènes sont bien réussies (le débat pour savoir si ce sont les juifs ou les noirs les plus persécutés dans l’absolu), la plupart sont grotesques et cherchent à faire rire de manière trop évidente (quand ils veulent accoupler leurs ancêtres) et dans ce cas-là, ça ne marche pas. Il en ressort même parfois une impression homophobe que la comédie ne fait pas passer. N’est pas réalisateur de long métrage qui veut.
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