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    Kirikou et la sorcière
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    186 critiques spectateurs

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    Paul B
    Paul B

    36 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2020
    Une fable intelligente, on peut même y voir une satire et si l'on s'offusque de quelques incohérences, on se rappelle que le film est destiné aux enfants alors ça passe.

    Une bonne expérience.
    Fabien S.
    Fabien S.

    457 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2020
    Un très bon film d'animation français. Une très belle fable fantastique sur un enfant africain qui combat une sorcière.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 août 2020
    Insupportable. J'étais gamin quand il est sorti, j'ai subi ce dessin animé et j'en ai de très mauvais souvenirs : histoire complètement nulle, et surtout, surtout, des chansons horribles qui restent dans la tête.Ce film est traumatisant à souhait.Une pure histoire d'un village africains qui se font piller par une vieille qui vit seule dans un bordel de tipi. Quelle est donc cette logique dans ce film. Parlons de la fin du film qui n'a juste aucun sens mais vraiment. Je pense que soit la fin à été baclé soit l'histoire ne se résume rien. Bref je rejoins ceux qui disent qu'il "dérange" sans vraiment trouver les mots corrects pour le caractériser.
    Mathieu B.
    Mathieu B.

    22 abonnés 759 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    Kirkou n'est pas grand, mais il est vaillant ! Et aussi très futé ! Contrairement aux villageois qui sont peureux et ingrats même lorsque Kirikou les sauve ou remet la source d'eau en fonctionnement. Et il a raison de demander pourquoi la sorcière est aussi méchante, parce qu'elle a une raison. Il y a beaucoup de symboles et de belles valeurs dans ce joli dessin animé. Sagesse, solidarité, humilité, compassion, courage et, à la fin, le pardon ! Très beau film aussi bien pour adultes que pour enfants.
    floramon
    floramon

    63 abonnés 1 360 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 novembre 2019
    Le film est très mignon et très ludique pour les enfants en plus de cela il peut également plaire aux adultes, même si j'ai eu un peu de mal avec la 'nudité ' le film transmet de belle valeur, il m'a plut.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    92 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 août 2019
    Un beau film d'animation, intelligent et vraiment à la façon d'un conte. Résultat du mélange de plusieurs contes et légendes africaines, les messages et les leçons de vie sont multiples dans ce conte à tiroirs. La progression du personneg de Kirikou est homogène et intéressante.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    582 abonnés 2 753 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 août 2019
    Kirikou incarne ce refus de céder aux superstitions et au silence qui les entoure ; c’est dire qu’il suit un parcours en sens inverse du cheminement éducatif traditionnel, celui qui voit un jeune candide se former par sa confrontation directe à l’existence. Ici c’est le monde qui apprend du nouveau-né, source vive de sagesse dans laquelle Michel Ocelot place toute sa poésie graphique et sonore. Sa franchise, ses questions dérangent et remuent l’ordre établi, raniment dans le cœur des hommes les épines qu’ils pensaient à jamais enfouies en eux. Sur une subtile métaphore du viol se construit le personnage démoniaque de Karaba, sorcière nourrie par la peur et les fictions qu’elle engendre. Nous retrouvons d’ailleurs l’appellation sorcière employée pour désigner à la fois une puissance maléfique, mais également une femme bannie de la société de ses pairs et contrainte de vivre retirée, persécutée par sa propre solitude alors qu’elle passe son temps à persécuter autrui. Dans cette violence cyclique et sans fin, Kirikou apparaît tel un coup de poignard qui viendrait mettre à nu les corps et leurs maux, les guérissant par le seul fait de les déshabiller par la force de sa parole pure. Se tiennent donc, dans le film de Michel Ocelot, non seulement un vibrant hommage aux pouvoirs de la fiction, mais aussi une mise en garde contre l’aveuglement éventuel que pourrait susciter la fiction auprès de son public. Cette seconde dimension étant incarnée par le retournement de situation final qui vient heurter, pour un temps, la zone de confort du spectateur : on y voit le village tout entier se liguer contre les deux amants, ce qui renverse subitement la polarité jusqu’alors adoptée entre bien et mal. Les frontières sont poreuses entre l’un et l’autre, et le long-métrage l’illustre à la perfection. Kirikou et la Sorcière constitue donc un magnifique acte de foi dans l’enfant, seul à même de révéler aux adultes leurs erreurs, de faire choir leurs idoles pour les raccorder à leur humanité fondamentale.
    war m
    war m

    21 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2019
    «Kirikou n'est pas grand, mais il est vaillant», dit la chanson (de Youssou N'Dour). «Kirikou... est très beau et on a du pot», dit le spectateur.
    Minority_report
    Minority_report

    6 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2023
    Un film à l’esthétique splendide (même 20 ans après), avec une bande son envoutante et un message puissant. Un être maléfique qui aurait privé l’Afrique de ses matières premières (Or), de son eau, et l’aurait maintenu dans l’ignorance (Montagne interdite) pour en faire un objet docile... Enlevons l’épine du continent africain et redonnons lui son autonomie.
    Dylan B
    Dylan B

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mai 2019
    Kirikou est un très jolie dessin animé très sublime en espèrent qu'il y en auras un 4e femicitation à Michel ocelot pour ses beau dessin annimés
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 décembre 2018
    Déçue 2 places m'ont été offertes pour aller le voir mais il ne passe pas dans ma région
    Espérons le voir à l'affiche dans les cinémas de Reims, Châlons en Champagne ou Charleville Mezières
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 septembre 2018
    « Kirikou et la sorcière » est un film dont on a beaucoup entendu parler. Les images et les extraits issus du film n’ont jamais éveillé ma curiosité, bien au contraire, l’esthétique visuelle m’a même rebuté. Pourtant, après l’avoir enfin visionné, je suis satisfait et je dois dire que j’ai passé un bon moment. L’intrigue et l’animation ne sont pas folles, mais l’histoire est agréablement bien racontée. L’ambiance est très originale et rafraichissante. Le fait de revenir à des considérations plus simple est très appréciable. Une vraie bonne surprise en fin de compte. Ne vous arrêtez pas à vos préjugés, regardez ce film, il est très bien, et il plaira beaucoup aux enfants.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 juillet 2018
    alors pour moi, c'est un film magnifique aux couleurs splendides. il représente bien la vie africaine, et c'est tout de même intéressant à voir. je pourrai avouer que les fétiches font un peu flipper, surtout lorsqu'ils parlent. quand à karaba, c'est une sorcière aux yeux de tous, alors qu'au fond...elle ne l'est pas vraiment. je la trouve très belle pour ce qu'elle est, et le fétiche du toit me fait trop marrer xD après, chacun son avis. l'histoire est elle aussi originale, même si ça manque d'un peu plus d'actions. kirikou est très intelligent pour un petit garçon, même s'il est vrai qu'il est un petit peu trop...aventureux. je le recommande aux plus jeunes tout comme aux plus grands qui peuvent très bien finir par apprécier ce petit chef-d'œuvre divertissant avec de belles musiques.
    Fabios Om
    Fabios Om

    37 abonnés 1 264 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2018
    j'adore ce film qui etait un de mes films d'animation préféré quand j'était petit. L'histoire est très belle et intéressant avec une belle moral qui montre que même si on est petit ou pas très fort c'est pas pour ça que l'on n'ai pas vaillant et courageux et sa c'est important. Et les polémique lors de la sortie du film sur le faite que les personnage ne sont pas habiller est juste stupide car en Afrique les personne sont comme sa malheureusement car ils non pas d habi car il sont pauvre donc c'est juste la représentation des personne .
    Alexis D.
    Alexis D.

    94 abonnés 873 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juin 2018
    "Kirikou et la Sorcière" est un long-métrage d'animation franco-belgo-luxembourgeois réalisé par Michel Ocelot et sorti en 1998. Adapté d'un conte africain, le film raconte les aventures de Kirikou, un garçon minuscule mais à l'intelligence et à la générosité hors du commun, dans sa lutte contre la sorcière Karaba, qui tyrannise les habitants du village à l'aide de ses pouvoirs maléfiques et d'une armée de fétiches. Par son scénario, ses graphismes, sa musique et ses doublages, "Kirikou et la Sorcière" s'inspire au plus près des cultures de l'Afrique de l'Ouest. C'est l'histoire de la métamorphose d'un nain intrépide, héros à contre-courant demandant au méchant de l'histoire pourquoi il s'obstine à camper cette position. Né par sa propre volonté et détenant déjà l'usage de la parole, le petit, tout petit Kirikou, est insatisfait des réponses évasives que lui concèdent des aînés radoteurs. Sans souffrir de leurs idées, donc pas encore résolu à leurs évidences, il démolit par sa soif du monde ces raisons infondées, prétendant décrypter ce qui fait de Karaba une sorcière malveillante. Lorsqu'on lui a offert de réaliser son premier long-métrage, Michel Ocelot savait déjà quel serait son sujet. Il a puisé dans ses souvenirs d'enfance et la culture africaine qu'il connaît pour avoir séjourné très jeune en Guinée. Le récit de "Kirikou et la Sorcière" est globalement issu d'un conte traditionnel auquel l'animateur a greffé un voyage initiatique absent du support évoqué; dans celui-ci, Kirikou tuait celle qui terrorisait et asservissait son village. L'approche proposée par ce film est même tout à fait antagonique, car si le comportement de l'enfant prodige est salutaire pour les siens, il est ici motivé par la lucidité et la compassion : d'ailleurs, il va au-devant des épreuves, peu enclin à se laisser impressionner par des barrières qui n'ont de dangereuses que les affabulations qu'elles génèrent. Curieux d'un univers dont il aspire à repousser les limites, Kirikou est le seul à humaniser et donc à rationaliser Karaba; paradoxalement, il est sensible à l'aura que dégage la sorcière. On devine à quel endroit le film pourra heurter : alors, prêche-t-il par naïveté en donnant une raison à ceux qui accomplissent le Mal ? Car dans "Kirikou et la Sorcière", rien ni personne n'est irrécupérable, rien n'est dû au hasard : le film invite le jeune public à prendre conscience que le monde qui se prête à leurs yeux est mouvant et surtout que ceux qui le font ne sont jamais complètement définissables. La démarche n'est pas simplement pédagogue, elle est surtout édifiante (au sens premier, celui de l'ouverture à la vertu); alors que les films qui leur sont destinés ne leur offrent que des gadgets paisibles et souriants ou, au contraire, agités et mesquins, "Kirikou et la Sorcière" propose aux auditeurs novices des personnages tous ambigus, parfois contradictoires, jamais entièrement défendables ou condamnables (cela va sans dire, les adultes et adolescents aimeront, d'autant qu'ils percevront autrement la richesse du film et quelques nuances trop âpres à élucider pour les enfants). Il invite surtout à appréhender l'autre en tenant compte de ses expériences, ouvrant avec délicatesse le regard sur ce qu'implique un contexte différent, revendiquant que selon celui-ci s'érige une vision du monde et se construisent des attitudes (l'issue est explicite : les villageois adoptent la silhouette des fétiches de Karaba lorsqu'ils ont pris l'ascendant); en somme, "Kirikou et la Sorcière", anti-Disney absolu, permet d'aborder cet autre comme celui que nous aurions pu être. La sorcière est somptueuse, outrageusement sensuelle et au-delà de son aliénation qui la rend d'autant plus passionnante, il s'agit d'une véritable Cruella auquel est accordé un droit de cité, Michel Ocelot en fait même le personnage le plus progressiste du conte, allant jusqu'à nourrir son portrait d'un discours féministe. Remettant en cause les croyances populaires obscur(antist)es, c'est notamment une fable politique, sur une Afrique engluée par des œillères complaisantes, sinon résignée : dans "Kirikou et la Sorcière", les hommes savent qu'ils seront "dévorés", ou au moins qu'en allant affronter Karaba, ils n'en reviendront pas. Pourtant, tous franchissent le pas, comme dépendants d'un mythe auquel se souscrire est une fin en soi, celle qui atteste d'une existence. C'est plus encore la métaphore d'un certain passage à l'âge adulte, Kirikou devenant un homme en surmontant ses préjugés et, surtout, un certain désenchantement (regarder le prétendu "Mal" et le fracturer), en d'autres termes en s'affirmant pleinement libre et maître de soi. Le film trouve ainsi sa place loin de tout manichéisme, glisse entre les repères du genre dont il ne se rapproche que pour les effacer par ses vérités simples et désarmantes : la couleur locale ne fait qu'amplifier ce sentiment de (re)découverte totale. La profondeur insolente du dessin animé se conjugue à un graphisme enchanteur, chaque image est tirée d'un songe, songe qu'on croirait évadé d'une œuvre du douanier Rousseau. Aussi, l'esthétique exclusivement africaine (comprenant la musique de Youssou N'Dour, précédemment examinée puis rapidement rejetée pour un "Roi Lion" aux mœurs occidentales) que Michel Ocelot et ses lieutenants ont élaboré en plusieurs années, s'est construite sur des inspirations dépassant parfois un support ouest-africain, en outre parce que la sculpture y prime sur l'art figuratif. "Kirikou et la Sorcière" abonde de symboles autrement connotés, à chercher dans l'art égyptien en particulier, mais aussi, peut-être, du côté d'une certaine animation française incarnée par René Laloux qui trouverait ici une forme post-moderne, où la coordination par ordinateur de dessins faits à la main ne ferait qu'en amplifier la fluidité, et donc la vitalité. Il fallait bien des orfèvres pour que la technique participe à l'âme d'un long-métrage sans que celui-ci s'en trouve désincarné. Dessin animé fait d'esprit et de chair, d'une majesté inouïe, "Kirikou et la Sorcière" dégage un tel pouvoir d'envoûtement et une telle puissance évocatrice qu'il a participé à l'évolution positive de l'image d'un genre auprès d'un grand public qui le croyait circonscrit aux cinéphages les plus inexpérimentés. Pour ce mobile purement dogmatique autant que pour mille autres, "Kirikou et la Sorcière" est une sorte de "Princesse Mononoké" français, souple et monumental, mais aussi terrien, idéaliste et homérique
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