Un chef d'oeuvre qui pourrait tout aussi bien paraître au cinéma. On est touché par le destin de ces enfants sans véritables "grands" avenir si ce n'est grâce a leur courage, leur envie ; cependant tout cela es repensé par l'influence des cités beaucoup de scène en découlant. Je suis triste du destin de Lakdar (Samy Seghir) qui au passage est un excellent acteur transmettant l'émotions que certains grands acteurs mondiaux n'arrivent pas a transmettre au grand écran ; triste jusqu'à sa descente aux enfer, l'espoir qu'il avait est parti en fumé suite a l'erreur d'un médecin dans un hôpitaux "de cité" c'est a dire avec des médécins surbooké, incapable de suivre (qui pourrait ?). Une succesion de faute qui n'est finalement la faute de personne, Lakdar amené a la folie par perte d'espoir(selon moi l'enlevement n'est même pas de sa faute, il a voulu se venger de celui qui a brisé sa vie futur, sa vie rêvé et aucun euros ne peut régler cela (nos rêves ne valent-t-il pas tout l'or du monde ?) mais bien sur ce n'est pas non plus la faute du dit médecin
Le film augmente ma tristesse vis a vis de Lakdar que son père est un homme brave n'ayant pu l'amener au urgences parce qu'il travaillait. Ce dernier essaye de s'intégrer à la France, d'éduquer ses enfants selon de bonnes morales mais comment dans une cité, pareil a celle présenté ? Le père ne décourage pas et il m'apporte pitié car j'aimerai lui venir en aide suite a son courage dans un monde aussi horrible que le sien, sa tristesse et l'amour qu'il porte a son fils est montré a la fin qui m'as au passage fait pleurer
Le message que ce film m'as transmis est la détresse des cité crée nottament (avis personnel) par la concentration de ces jeunes de cité aux problèmes sociaux, familiaux ... La France au lieu de les aider en les intégrant a part entiere a la société, les concentre et augmente de fait la violence.
Cette détrésse est montré par la professeur d'histoire géo, une jeune professeur remplaçante comme nous en connaisons tous, nous lycéen mais envoyé dans un lycée du "93" ; pour les professeur, personne éduqué, non influencé ayant choisi comme vocation l'éducation avec le but de transmettre, il est difficile de voir ça et je comprend qu'il arrivent parfois a bout, leur opinion étant divergente, leur conditions de travail déplorable, les évênements impitoyable ...
Un film que je recommande, qui fait réfléchir aussi bien sur les cités, la violence, les trafic qui en découlent mais aussi ses jeunes (influencé, menacé, empêché d'étudier ...) qui sont promu a un avenir souvent peu glorieux et la détresses des professeur de banlieux envoyé dans ces zones difficiles (la vision de ces prof, la dépression dont ils sont souvent victimes, leur vocation rêvé n'étant pas la réalité.
J'ai adoré d'où mon emportement a l'écriture de cette critique.