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    J'ai rencontré le Diable
    Note moyenne
    4,3
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    Eliot L.
    Eliot L.

    10 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 décembre 2014
    J'ai rencontré le Diable:

    Histoire: Soo-hyun, agent des services secrets Sud-Coréen se lance à la poursuite du tueur en série (Kyung-Chul ) de sa fiancée alors enceinte. Avec en tête, un plan de vengeance aussi diabolique que l'est le criminel avec ses victimes. Une histoire violente et sanglante très bien retranscrit à l’écran.

    Ce film est d’une violence inouïe, mais violence à demi gratuite, car il y a quand même un message derrière tout ce sang. Mais il est vrai que au premier passage, ce film pourrais ressemblé à un vulgaire torture porn, mais la vérité et bien plus complexe.

    Jee-Woon Kim dans ce rôle déstabilisant et destructeur nous montre une superbe adaptation de la perte d’une personne chère et de sa vengeance par la suite.

    Cette acteur peut expressif du visage mais transmettant un fort caractère, n’est en fin de compte qu’un masque, propre au personnage.

    Byung-Hun Lee comme acteur, n’a plus rien a prouvé vu sont rôle dans "OldBoy". Acteur dans des rôles de dément, qui arrive à nous faire bien ressentir la colère et la tristesse, deux traits de caractères qui sont bien présent dans ce film.

    Et pour en revenir aux scènes de violences extrême, elles ne sont pas toutes gratuite, mais il est vrai que certaine le sont, mais pour le reste, elles ont un petit message révélateur pour le Film, mais qui reste assez subtile, mais le point fort du Film et sa bonne tension en mode thriller qui est bien crée par les deux acteurs, et les passages stressant.

    Mais heureusement le film ne tombe pas dans les simples films de thriller horreur au scène ridiculement gore, car dans celui-ci, elles sont bien monté et construite et nous amènent de plus en plus au développement des personnages, surtout du côté de : Kyung-Chul.

    En parlant de développement des personnages, il y a une certaine logique au déroulement de l’histoire et des événements.

    Ma note pour: J'ai rencontré le Diable est de: 14,5/20.

    Au final un bon thriller gore qui reste sérieux sans tomber dans le ridicule et le cliché, avec de très bons acteurs.
    L?c!s_H00d
    L?c!s_H00d

    165 abonnés 391 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 juin 2015
    "J'ai rencontré le diable" me narguait depuis longtemps. Je n'avais entendu que des éloges envers ce thriller Coréen donc j'avais assurément un apriori de départ. Maintenant vu, je comprends parfaitement toutes ces critiques.

    "J'ai rencontré le diable" est une fresque, un opéra ultraviolent d'un esthétisme classieux et sublime. Kim Jee-Woon ("A Bittersweet Life") nous livre une œuvre sombre et malsaine à travers la vengeance d'un agent envers le tueur de sa fiancée. Ce jeu de chat et souris sanglant nous tient en haleine malgré des longueurs présentes tout le long de la première partie. La mise en place de cette traque se fait avec soin et calme grâce à la réalisation. Les plans-séquences sont longs et très millimétrés. Les mouvements de caméra fluides et mouvementés accentuent l'ambiance lourde et pesante qui repose. Digne d'un David Fincher, "J'ai Rencontré le Diable" est une merveille de ce point de vue là. La mise en scène de l'histoire est d'autant plus merveilleuse grâce à l'implacable scénario. Les protagonistes principaux, respectivement interprétés par Lee Byung-Hun ("Le Bon, la Brute et le Cinglé") et Choi Min-Sik ("Old Boy"), alternent leurs rôles de traqueurs-traqués avec une très grande finesse. Les rebondissements, certes sont peu "nombreux" mais n'empêchent pas le spectateur d'être captivé parce qu'il voit. Le rythme effréné, malgré une lente mise en déroulement, les plans coups de poings, nous scotchent à notre siège pendant plus de 2h. Du côté de la bande sonore, rien de marquant. Elle est bonne et efficace mais ne reste dans notre mémoire pour laisser la place aux scènes gores. Les thèmes sont quant à eux abordés avec une grande qualité. Le principal étant la vengeance et ses effets "secondaires", il est traité avec brio et maestria. Le personnage principal, le héros de cette aventure, se perd dans son but jusqu'à en devenir le Diable à l'instar de son adversaire. Cette cherche de soi, cette légère réflexion sur le pardon, est tout de même d'une jouissance exceptionnelle. Nous nous identifions à cet agent qui a tout perdu et prenons part au massacre de ce tueur en série. Les rôles sont très bien écrits, charismatiques et d'une psychologie complexe.
    Jubilatoire et pervers, "J'ai Rencontré le Diable" se démarque donc des thrillers habituels grâce à sa maitrise et son éprouvant ficelage scénaristique.
    Moins extrême que je ne le pensais et l'espérais mais tout de fois ultraviolent et réaliste, c'est un film que je recommande très fortement pour les âmes non-sensibles.
    Death_Metallus
    Death_Metallus

    11 abonnés 417 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 novembre 2014
    J'ai Rencontré Le Diable est un thriller coréen dont l'intrigue a beaucoup de points communs avec le Seven de David Fincher, ce qui d'emblée ne traduit pas une grande originalité. Toutefois, le traitement est assez différent, plus proche du film gore dans son approche que du polar classique. Pour ma part, je ne trouve pas que cette approche plus brutale mais aussi plus "basique" soit très judicieuse dans ce genre-là, notamment car la dimension de suspense est, de ce fait, un peu laissée de côté. Et même si l'on apprécie ce film sans s'enfermer dans un genre précis, on trouvera simplement que les émotions des personnages sont retranscrites avec maladresse. L'effet coup de poing escompté dans cette démarche radicale est annulé dès lors qu'il n'y a aucune nuance de rythme dans tout le film. La violence est là dès les premières minutes jusqu'à la fin du film et, un peu comme une drogue, on finit par s'y accoutumer avant que celle-ci ne fasse plus aucun effet. Pour ce qui est de l'originalité, J'ai Rencontré Le Diable ne fait qu'adapter le principe du rape & revenge (La Dernière Maison Sur La Gauche (1972), I Spit On Your Grave (1978)) ou plus largement du film vigilante, éculé depuis des décennies.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 novembre 2014
    J'ai rencontré le Diable... Détrompez-vous il n'est pas ici question d'un obscur film d'horreur teinté de figures satanistes et de vierges possédées. Non il est question d'un thriller sombre, poignant, très violent, émouvant, marquant. Nous sommes en présence d'une pépite coréenne, une histoire de vengeance qui n'a pour ainsi dire, rien à voir avec les schémas hollywoodiens habituels tant sa mise en scène, son cadrage, ses jeux d'acteurs sont atypiques.

    Choi Min Sik est époustouflant, épatant, grandiose. Il arrive à incarner ce qui se fait de plus abject chez l'homme, un psychopathe dans toute sa splendeur, dépourvue de remords, calculateurs, égocentrique, sadique, la liste est longue. Byung Hung Lee est quant à lui au sommet de son jeu, froid, renfermé sur lui même après le meurtre de son épouse (rassurez-vous je ne spoil rien), avide de vengeance, vengeance qui se tournera vers l'assassin de sa femme. On se surprendrai presque, je dis bien presque, à avoir de l'empathie pour Choi Min Sik, et c'est là tout le génie du réalisateur. Par ce scénario qu'on pourrait aisément qualifier "d'horrible", le chasseur devenant la proie, Jee Won kim, le réalisateur, arrive à réveiller nos plus bas instincts. Le final est très très poignant, aux antipodes d'une morale bienpensante que l'on retrouve trop souvent. La vengeance apaise-t-elle le deuil ? qui est le plus abominable finalement ? Le jeu en valait-il la chandelle ? Vous trouverez la réponse à ses questions au sein de ce thriller magistral, servit par une cadence lente par moment, effroyablement rapide à d'autres. J'ai rencontré un beau film, assurément.
    Kloden
    Kloden

    114 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 octobre 2014
    Depuis sa récente explosion, notamment due à la transition progressive de son pays vers une démocratie fonctionnelle dans les années 1990, le cinéma sud-coréen n'a cessé de creuser plus avant le thème de la vengeance avec toute la fougue, la créativité et la percussion caractéristique des milieux artistiques nouvellement libérés après avoir été trop longtemps maintenus sous camisole. A tel point que s'en est suivie la création d'un sous-genre du polar, dérivé du vigilante, presque exclusivement axé sur la vendetta personnelle. Devenue marque de fabrique, cette obsession fut même le ticket d'entrée des réalisateurs de ce mouvement neuf vers une exportation et un succès à l'international. Si le billet fut validé par Park-Chan Wook et son chef-d'oeuvre Old Boy, le polyvalent Kim Ji-Won avait lui aussi surfé sur la vague nationale en signant A bittersweet life, que je me rend compte avoir peut-être un peu sous-estimé sur le coup. Pourtant, quelques années plus tard et probablement conscient que le filon du film vengeur, presque devenu passage obligé pour tout cinéaste coréen, s'était considérablement épuisé, celui qui est devenu le fer de lance du septième art dans son pays décidait de signer une approche censée condenser de façon exponentielle les thématiques du genre. Une manière à la fois de s'en détacher, d'en signaler les défauts, mais aussi pourquoi pas d'en dessiner un chant du cygne en signifiant sa mort tout en célébrant sa beauté morbide. Il est vrai qu'on retrouve quelque chose de crépusculaire dans cette photo au spectre ponctuel, presque kaléidoscopique mais sans trop de nuances et dans des tons généralement sombres. L'image est froide, la lumière manifestement artificielle, mécanique, et l'ambiance glauque ne se départit jamais d'une beauté inhumaine. Sans contrecarrer la noirceur de son scénario, Ji-Won signe à nouveau quelque chose de profondément cinématographique, avec tout ce que cela signifie de pouvoir de fascination et d'impressions sensorielles. L'entreprise globale, celle d'un corpus filmique complété par une tentative de conclusion, pouvait paraître prétentieuse mais dans les mains de Kim Ji-Won, artiste habitué à se saisir d'un genre pour le décliner avec l'emphase fascinée qui le caractérise, elle semblait avoir tout pour réussir. C'est le cas, à en juger par l'accueil dithyrambique reçu par le film, mais de mon côté, je suis un peu resté à quai. Moi qui m'attendais à voir revivre sous un jour nouveau mais non moins marquant la radicalité surpuissante de Old Boy (je me suis sans doute, une nouvelle fois, trop projeté le film intérieurement avant de le lancer), je suis vraiment resté sur ma faim face à l'emprise trop légère qu'I saw the devil a eue sur moi. Pourtant, le parti pris dénote une absence de concessions qui lance à fond le long-métrage sur la voie de l'expérience totale. Mettant à la fois le genre face à ses limites et le spectateur face à lui-même, le scénario (peut-être un peu étiré, mais bon, là n'est pas vraiment le problème), tient vraiment du génie. Sa conclusion, peut-être un peu trop lisible dans ses intentions, demeure quand même marquante, au-delà du simple rappel à David Fincher que Jee-Won cite parmi ses trois ou quatre réalisateurs contemporains préférés. Le problème, c'est que dans les faits, je n'ai pas été retourné. La violence physique m'a pratiquement laissé de marbre, alors qu'elle est précisément, au-delà du simple argument de vente, la véritable voie d'entrée vers le trivial de ce récit animal et de sa remise en perspective décapante de la nature des pulsions humaines. Dans la même ligne d'idées, je n'ai pas ressenti avec la force escomptée le dégoût, la rage coupable et la jubilation malsaine qui sont visiblement les points d'ancrage sur lesquels le film cherche à s'amarrer. Le problème ne vient surtout pas de Lee Byung-Hun, plein de classe et de violence froide, ni même du world-class talent Choi Min-Sik totalement investi en tueur animal lourd de symbolique. La glace et le feu, qui s'éteignent et se liquéfient pour mêler leurs essences, dans une entreprise d'autodestruction au-delà de tout contrôle. Mais non, ma gêne vient d'ailleurs, sans doute des choix de mise en scène. Dans un premier temps, j'ai adoré la lenteur détachée des cadrages, qui semblaient vouloir banaliser les scènes de dinguerie de Min-Sik pour appeler à un dégoût encore plus prononcé. Ça, ainsi que la découverte rapide de l'identité du tueur, m'ont rapidement porté à espérer un processus filmique original en forme de jeu vis à vis des codes, de détournement des attentes. Mais in fine, l'impression prolongée de voir Kim Jee-Won se refuser à appuyer trop fortement son bagage dramatique (par exemple par une utilisation trop ponctuelles de la bande-son) a handicapé le film à mes yeux. Pour un sujet si jusqu'au-boutiste, j'aurais tellement préféré voir I saw the devil s'abandonner à un baroque sans limite, qui lui aurait donné une assise d'un autre acabit. Terriblement frustrant, I saw the devil est donc un de ces films avec lesquels je n'ai pas réussi à entrer en connexion (un peu comme Memories of Murder), sans doute aussi parce que je ne lui ai pas laissé assez de libertés a priori. Cela ne doit bien entendu surtout pas remettre en question son statut et l'urgence qu'il y a à le voir, qu'on soit rompu ou non au polar coréen. Une oeuvre radicale et majeure.
    max M.
    max M.

    11 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 octobre 2014
    Je vous préviens, le film est entre le thriller et l'horreur avec des scènes à la "Hostel". Mais c'est pas ce qui me dérange. Pour moi, il n'y a rien de nouveau. Voilà je m'attendais à mieux. Les acteurs sont bons, la mise en scène parfaite, les cascades très bien mais il manque un je ne sais quoi qui donnerait envie de voir le film une deuxième fois. Dommage, mais cela dit, ça reste bien au-dessus de la moyenne occidentale/hollywoodienne.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    265 abonnés 2 800 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 octobre 2014
    l'impression de voir un film au ralenti : des scènes d'une grande lenteur, une réalisation lymphatique qui alterne avec des situations d'une rare violence réaliste. ce mélange et l'esprit de vengeance poussé à bout en font un thriller glauque et insoutenable. au bout d'1h, c'est déjà trop!
    Brian L
    Brian L

    2 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 octobre 2014
    malsain. fascinant. éreintant. absolument indispensable.
    Keo7
    Keo7

    4 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 février 2020
    Un chouette tour de train fantôme avec la maestria actuelle du cinéma coréen, tour à tour violent, choquant et émouvant. Pas de doute l'avenir du Thriller est à l'Est!
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    106 abonnés 2 330 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 janvier 2015
    Un jeu du chat et du chat pour une histoire basique de vengeance jalonnée de scènes de tortures. Bien.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 septembre 2014
    Un tout grand film du genre thriller, mais aussi un film très, très dur, de par ses scènes d'une grande violence, qui peut effrayer certaines personnes sensibles, mais c'est un tout bon film à voir, pas de temps mort, le bon film, celui que l'on aime voir et revoir, j'ai adoré, même si certaines scènes sont très dures, mais je note sans hésiter 5/5.
    Stephane H.
    Stephane H.

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    I saw the devil est un film tout juste énorme.
    Un thriller mêlant action et scènes ultra violentes dont seuls les coréens ont le secret.
    Un choi min sik plus fou que jamais!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 novembre 2014
    Un chef d'œuvre !!! Je prend plaisir à retrouver Choi MinSik a chaque fois, il excelle en tant que victime et aussi en tant que tueur détraqué sanguinairement répugnant, comme ici. Ce film est dur, il tape la où ça fait mal. Un thriller comme on en redemande.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 septembre 2014
    Un film avec pour seul mot d'ordre : Souffrance. c'est clairement un film destiné a ceux qui ont les tripes bien accroché car la violence de ce film est assez dur et difficilement soutenable a certain moment.moment. Kim Jee-woon nous sert la un terrible thriller glauque à souhait qui met du temps à se mettre en route mais qui une fois lancé narre la folie destructrice (dans tout les sens du terme) d'un jeune agent secret (Lee byung-hun) ivre de vengeance partit a la recherche d'un sérial killer psychopathe et schizophréne (Choi Min-sik ), qui a assassiné sa fiancé ,et qui va à son tour devenir le chasseur et Choi Min-sik le gibier. Ce film est superbement mis en scéne et le l'histoire terriblement prenante, chaque scéne est impeccablement travailler, la tension du film monte crescendo j'usqu'a la terrible confrontation finale qui atteint son apogée tant par son dénouement que part le jeu d'acteur des 2 protagonistes. Parlons justement des 2 acteurs principaux qui sont pour moi d'une incroyable justesse , Lee byung-hun interprète parfaitement cet homme ivre de justice qui passe d'un visage calme et serein au désespoir le plus total et à la sauvagerie le plus extrême, quand à Choi Min-sik .... il signe la un jeu d'acteurs absolument terrifiant et magnifique qui ferait pâlir Anthony Hopkins (non je déconne pas) il réussie a passer de l'image du petit gars rondouillard sans importance au plus angoissant et sauvage des sérial killer avec un naturel déconcertant et bluffant, savoir que ce type n'a même pas été nominé au oscars me révolte au plus au point.Maintenant pour moi Choi Min-sik est la référence absolue pour les personnages de dangereux psychopathe.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 septembre 2014
    Un vigilante movie qui va jusqu'au bout de son sujet, sans faire de concessions ni pour ses personnages, ni pour ses spectateurs. J'ai rencontré le film haletant, prenant, dérangeant... Dommage que la crédibilité en prenne parfois pour son rhume ceci dit.
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