Derniers Avis : J'ai rencontré le Diable - Page 30

Une énorme claque dans la gueule ! Kim Jee-woon (2 Soeurs) pond, ici, un film choc et d'une violence extremement brutal ! On est loin des film de vengeance previsible auquel on s'attend seulement à la mort du "méchant" mais non, tout le film est une grande surprise. Le héros du film traque l'assassin de sa bien-aimé en voulant jouer sur sa peur, sa souffrance avec une grande brutalité car nous, spectateur, on est dans l'angoisse et le stresse du début à la fin. L'ambiance glauque et sombre ne peut qu'accroitre nos frissons afin de réussir à nous pétrifié. Nous avons ici un homme brisé qui devient un monstre pour traquer un monstre. "La faim de vengeance" est très bien réalisé et montré dans ce chef d'oeuvre sud-coréen. Quant aux scenes de souffrance on est à la limite du gore et on a l'impression d'etre devant un torture-porn entre "I Spit On Your Grave" et "Hostel". Quant au Serial-killer, il est aussi décomplexé qu'effrayant, on a une sensation d'etre en danger chaque fois que sa presence à l'ecran nous captive. Ici toute est réussi, on a tout les ingredients pour nous surprendre, nous impressionner, nous scotcher à notre siège enfin tous ce qui peut jouer avec nos nerf. Un thriller horrifique à decouvrir absolument, 2h15 devant une terreur permanente et une violence sans limite. 5/5

Le gentil est sadique, le méchant complètement taré. Certaines scènes sont très dures, on voit beaucoup de sang.

4/20 Je n'arrive même pas à comprendre pourquoi fait-on ce genre de film quel intérêt du sang de la torture du sang de la torture du sang de la torture du sang de la torture du sang de la torture du sang de la torture.
Pourtant j'adore les Freedys par exemple.
Ce film est tellement passionnant, tellement beau, tellement profond, que j'ai détesté.

Film violent et déglingué dans la lignée du nouveau cinéma sud-coréen (du moins dans sa face visible, la plus exportée à l'international), J'ai rencontré le diable se base sur une structure linéaire de "vigilante movie" où un homme membre des services secrets traque un serial-killer assassin de sa femme. Le film fonctionne sur le mode du chat et de la souris ainsi que sur le principe d' et si bien qu'on finit par se demander qui a rencontré le diable ? Rien de nouveau mais le procédé est ici appliqué de manière jusqu'au-boutiste, du moins dans la forme et le déroulement des événements. On regrette néanmoins un manque d'analyse de fond qui donne au film un côté gratuit plus préoccupé par l'épate de son sujet que par la "substantifique moelle" à en tirer. Mais pour en mettre plein les yeux au spectateur; le coller à son siège et le mettre mal à l'aise, on peut faire confiance à ce thriller de Kim Jee Woon. Avec sa photographie au vitriol et son atmosphère des plus sordide, "J'ai rencontré le diable" nous coupe le souffle tout au long de cette course poursuite folle entre une bête immonde increvable (Choi Min-Sik) et un homme ivre de vengeance libérant peu à peu sa face la plus sombre (Lee Byung-Hun). Le mécanisme est un peu gratuit malheureusement, mais fait incontestablement son effet.

Chef-d'oeuvre !! Encore un énorme film du talentueux Kim Jee-Woon j'ai pri une vrai claque un vrai film de cinglé !! Lee Byung-Hun et Min sik Choi (relou a ecrire leur nom) sont juste hallucinant une performance remarquable, ils sont tous simplement blufant !! Et que dire de la réalisation de Kim Jee-Won comme toujours irréprochable, chaque plan nous met une claque, rien n'est laissé au hasard il controle le sujet a 100%, et la tension qu'il nous met dans ses scène d'action on reste émerveillé devant son écran !! L'histoire est a premiere vue banale, une histoire de vengeance etc , mais elle prend une autre tournure et c'est là que ça devient jouissant !! Bref je pourrais continuer encore des lignes et des lignes a dire du bien du film ... juste je dirais deux chose : de un achete ce putain de dvd et met play, et de deux vivement le prochain film de Kim Jee-Won !!

On le savait, le savoir-faire de quelques réalisateurs Sud-Coréens sait largement dépasser les attentes les plus inimaginables et marquer de part son franc-parler. Kim Jee-woon, déjà connu depuis le surprenant " Le bon, la brute et le cinglé ", monopolise le contrôle du synopsis avec une aisance incroyable, plus que plaisante et digne des plus grands noms du cinéma d'aujourd'hui. Si certaines scènes assument totalement leur barbarie intense, la réussite totale du thriller, voir limite drame, suscite rapidement le respect le plus profond et honorable. Probablement la plus grosse surprise du cinéma étranger de l'année 2011, bluffante de bout en bout.

Quelle claque ! Enormissime ! A voir d'urgence !

Une merveille, un éblouissement pour les yeux, ni plus ni moins. Mêler le thriller et le film d'horreur est un concept hélas trop peu exploité. On est ici au paroxysme de ce qu'on est amené à voir en terme de cruauté et de violence au cinéma, mais sans jamais sombrer dans la surenchère inutile ni dans le racoleur. Un psychopathe assassine une jeune fille. Celle-ci était en fait fiancée à un agent des services secrets qui va alors faire endurer un véritable calvaire au meurtrier pour venger sa belle, devenant lui-même une bête enragée, au point qu'on en vient à se demander qui est vraiment le "méchant" du film. une oeuvre dont seuls les coréens sont capables d'en faire; puissante, crue, ultra-violente et onirique.

Encore halluciné par le visionnage de ce film assez unique ou le parti pris du réalisateur est de nous embarqué dans cette galerie de personnage incroyable de sadisme et de perversion. Je suis assez impressionné de voir à quel point Kim Jee-Woon parvient à aller au bout de ces intentions balayant toute censure et nous proposant ainsi une oeuvre ultra créative,nerveuse, à l'interprétation magistral et qui nous fascine autant qu'elle nous dérange. En flirtant toujours entre le film gore absurde et le thriller nerveux ce film parvient à nous surprendre, nous bousculé dans nos habitudes cinématographiques et cela fait un bien fou. Ce film mérite largement son interdiction au moins de 16 ans et ne plaira bien évidemment pas à tout le monde mais cela n'en demeure pas moins une véritable réussite selon moi.

Les réalistes coréens sont de grands malades d'un coté la violence crue et de l'autre l' esthétique de leurs réalisations. Par contre je ne sais pas si c'est voulu par la réalisation ou si c'est l'accumulation mais par moment j'ai fini par en rire. Malheureusement vu le final "basique" je ne suis pas sur que le but était de faire rire, même jaune. Du coup je m'inquiète un peu car j'avais echaffaudé une fin ironico comique, c'est grave docteur?
Sinon les acteurs sont sympas.

L'un des premiers films coréens que je découvre et de loin l'un des meilleurs films que j'ai pu voir depuis ces dernières années. Le cinéma coréen prouve, encore une fois, son talent cinématographique au travers d'une mise en scène implacable, un Min-sik Choi qui fait froid dans le dos. Ce ne sont pas loin de 2h de film qui vous tiennent par les tripes.

C'est un cinéma différent de celui des Américains qui se ternissent au fur et à mesure des productions.
Malsain, glacial, violent (et gore), on n'en revient pas indemne. Si vous devez voir un film coréen, c'est bien celui là !

Je commencerai cette critique par une affirmation : Les meilleurs thrillers viennent d’Asie. Ce “J’ai Rencontré le Diable” en est la preuve parfaite. Et parmi les autres pépites du genre on peut citer le célèbre et cultissime “Old Boy“. La raison de leur efficacité? Le fait qu’il n’aient pas peur de montrer de la violence, aussi extrême soit-elle. Et si il y a bien une chose qu’il faut noter avec “J’ai Rencontré le Diable“, c’est qu’il vaut mieux être prévenu avant de le regarder et que les âmes sensibles feraient mieux de tout simplement s’abstenir. Et dès le début on entre dans l’ambiance glauque et oppressante du film, avec une séquence d’ouverture sous tension d’une efficacité remarquable. Ce genre d’ouverture, moi ça me plonge directement dans le film et j’en ressors qu’à la toute fin. Ensuite au niveau de l’histoire, elle est simple et même très simple, mais le scénario est brillamment écrit et les nombreuses situations du film sont mises en scène avec brio, et en exagérant un peu je pourrai même aller jusqu’à dire qu’on est proche du génie. Seulement, j’en viens alors à citer l’un des défauts du film qui est sa théâtralité un peu trop marquée. Un autre gros point fort du film c’est la performance des acteurs. C’est juste incroyable de voir à quel point ils sont investis dans leur rôle. En général ce qui manque aux films asiatiques c’est de l’émotion de la part des acteurs, hors là je peux vous dire que l’on est bien servis ! Et Min-sik Choi en grand méchant est le plus remarquable tant il semble possédé et réellement fou. Quant à la violence, et on peut même aller jusqu’à employer le terme “gore”, et bien si elle est très brutale et assez crade, il s’en dégage une poésie malsaine qui s’avère plaisante pour tous les amateurs de sensations fortes. Prenez moi pour un taré si vous voulez, mais j’ai trouvé certains plans vraiment beaux à regarder, bien qu’elles montrent des choses absolument effroyables. En résumé je classerai donc ce film parmi les meilleurs thrillers que j’ai pu voir, car à la fois efficace, passionnant, gore et très beau esthétiquement et techniquement parlant. Mais je vais un peu chipoter sur la note, puisque selon moi sa théâtralité et le fait que le dénouement soit assez prévisible lui font tout de même défaut, et m’empêchent donc de le hisser au rang de chef d’oeuvre. Néanmoins, il n’en reste pas moins excellent et je parie qu’il ne lui faudra pas longtemps pour devenir culte, au même titre que “Old Boy“.

Encore un film sur la vengeance qui viens rallonger la longue liste avec entre autre, et pour rester en Corée, Park Chan-Wook qui l'a déjà traité dans sa trilogie et de façon bien plus magistrale. Un film bien noir, bien gore mais pas très orignal. Sinon c'est bien fait avec une bonne ambiance morbide et des personnages haut en couleur.

j'ai vu un film Coréen auparavant celui est le premier dans ma vie et il m'a beaucoup et je crois que ça sera pas le dernier je vais chercher d'autres film asiatique de ce genre MERCi.

Le cinéma sud coréen depuis une dizaine d’années bouscule tous les genres, du thriller au film d’horreur ou d’aventure. Jee-Woon Kim avec « J’ai rencontré le diable » offre une vision inversée et réactualisée des fameuses « Chasses de Comte Zaroff » de Ernest B Schoedsack (1934). C’est ici le bon qui chasse le méchan. Si le propos de Jee-Woon Kim est original il tire néanmoins toutes les leçons des films gore extrêmes style « Hostel » ou « Saw » quant à la brutalité des images délivrées au spectateur. Le duel entre le bourreau et le vengeur est dans la tradition, introduisant progressivement une sorte de complicité entre les deux protagonistes jusqu’à l’affrontement final qui les fait se rejoindre dans la même sauvagerie. Cette obsession de la vengeance conduit à un massacre final sur le mode de « l’arroseur arrosé » qui donne une justification morale à tout ce déferlement de vilonece gratuite. Contrairement à Eli Roth à James Wan, Jee-Woon Kim ne prend pas le risque de se faire accuser d’apologie de l’accomplissement par la violence. Ce supplément d’âme ne nuit pas à ce type de film extrême où la confusion peut contribuer à banaliser la violence au quotidien.