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    Twixt
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    312 critiques spectateurs

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    Sasha dlp
    Sasha dlp

    18 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2023
    J’ai était un peut déçu par ce film, serte le film a un super esthétique et son histoire avait un super potentiel mais j'ai trouver la fin bâclé et y'a quand même des incohérences dans le film notamment le fait que Edgard Allan poe soit présent
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    313 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2019
    Création originale de la part d’un grand monsieur du genre épouvante/fantastique. Originale de part sa mise en scène parfois complexe, ses exercices de style, et l’orientation de son récit, scindé entre le monde des vivants et celui des morts. Francis Ford Coppola fait directement appel à des pionniers de la littérature tels que Charles Baudelaire ou Edgar Allan Poe, afin d’apporter une touche macabre à sa verve poétique. Au milieu de cette intrigue d’outre tombe, un écrivain de seconde zone, campé par Val Kilmer, bouffi et gnangnan. Le fait que le film tienne tout entier sur ses épaules était un risque assumé, mais était-ce un choix judicieux ?! L’acteur manque affreusement de prestance. Un étrange voyage entre rêves et réalité, teinté de nuances claires obscures et de questions sans réponse. Mitigé dans son ensemble. 3/5
    Cronenberg
    Cronenberg

    211 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2018
    Fantaisiste et purement surréaliste. On dirait une adaptation de roman, ce film de vampire original et décalé demeure culte et sympa à voir. Ça ne fait pas peur, ce n’est pas l’objectif, le but est de montrer d’une manière particulière de quelle manière se débrouille un auteur pour écrire un roman. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 novembre 2016
    Il était une fois, un Francis Ford Coppola jouant l’épouvante. Retour en enfance, on va parler deux minutes de vampires et fantômes. Les codes du réalisme prônés par le genre actuellement sont totalement laisser au placard ici. On se rapproche plus du Casper des années 90 que d’un Conjuring. Cela prouve que le cinéaste américain a su rester un grand enfant. Après un passage tonitruant chez la fille, voilà qu’Elle Fanning s’attaque au père. Et avec tout l’innocence qu’on lui connaît, elle se laisse embarquée dans de fâcheux rôles. Mais ici, la star c’est Val Kilmer, et sa dégaine à la John Travolta dans Pulp Fiction. Twixt est un fabuleux film d’horreur qui ne fait pas peur.
    Extremagic
    Extremagic

    54 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mai 2016
    Coppola c'est un réal un peu à part dans ma tête. Il est presque abstrait. Disons que j'ai du mal à l'associer à des films, enfin je veux dire que quand on me dit Le Parrain, Apocalypse Now, Rusty James, ou même Dracula, etc, je ne les associe pas directement au réalisateur mais plutôt à des incontournables. En fait j'ai jamais l'impression de voir du Coppola, mais bien de bons ou grands films. Comme si ce mec n'avait une marque de fabrique, un signe distinctif. Le truc avec un film comme Twixt c'est que ça se viande sur trop de choses pour que ce soit réellement bon mais je ne peux pas m'empêcher d'avoir une certaine sympathie pour le film. Parce qu'en fait d'une c'est pas dégueulasse à regarder et ça relève presque d'une entreprise expérimentale. Les défauts du film sont légion mais un certain charme s'en dégage. Je pense que le film est d'autant plus appréciable si on connait bien Poe (ce qui n'est pas mon cas, il serait grand temps que je m'y mette d'ailleurs) et par extension toute cette littérature policière/fantastique, baroque et horrifique. Et je ne le répèterais jamais assez mais le policier et le fantastique c'est peut-être un des meilleurs cocktails cinématographiques. Le film se vautre parce que son scénario est ou abscons, ou perché, ou cliché, parce que visuellement c'est beaucoup trop lisse pour pleinement convaincre et parce que globalement tout ça est très artificiel. Maintenant si le film fonctionne pas trop mal à mon sens c'est parce qu'on a toujours l'impression qu'il y a toujours une intention honorable derrière, mais bon de bonnes intentions ne suffisant pas parce que l'enfer en est pavé, j'irais jusqu'à dire que dans tout ce foutoir et bah il y a plein d'idées, maladroitement amenées mais il serait prétention et précipité de cracher dessus. Je dirais que Coppola n'ayant plus grand chose a prouvé s'amuse, et tant pis pour nous si on ne le suit pas dans le délire, le spectateur attentif saura s'emparer du suffisant et nécessaire pour y trouver de l'intérêt que ce soit formellement, scénaristiquement, philosophiquement, etc. Et même si c'est parfois moche, si c'est parfois laborieux, si c'est parfois précipité, si c'est parfois abscons, si c'est parfois risible, et bien parfois ça vaut sacrément le détour.
    rogerwaters
    rogerwaters

    126 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2015
    Présenté à tort comme un retour de Francis Ford Coppola au film horrifique qu’il a pratiqué lorsqu’il était artisan chez Corman, Twixt est avant toute chose une œuvre arty très personnelle où Coppola s’interroge sur la création et ses affres, sur la paternité et la douleur de voir disparaître sa progéniture avant soi-même, tout en réaffirmant son goût pour une forme visuelle tarabiscotée, comme dans son Dracula du début des années 90. Le tout est à chaque fois dynamité par un humour qui n’est pas toujours bien venu, mais qui permet en tout cas à l’ensemble de ne pas paraître trop prétentieux ou abscons. Le résultat n’est pas le navet tant décrié, même si on est loin des grandes heures du cinéaste d’Apocalypse Now et qu’on lui préfère de très loin une œuvre telle que le formidable Tetro. L’ensemble, très court, se regarde avec un certain plaisir pour peu que l’on s’amuse en même temps que le réalisateur.
    Jahro
    Jahro

    43 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 novembre 2014
    A l’âge où d’autres coulent une retraite paisible, Coppola, s’il se fait dorénavant rare, n’a pas encore abandonné les salles obscures. A plus de soixante-dix ans, le père de Roman et Sofia continue d’essayer, de laisser aller ses envies, de clore à sa manière une carrière pas loin d’être irréprochable. Ainsi vient Twixt. Un nom aussi imprononçable que difficile à justifier : peut-être faut-il regarder la version turkmène ? L’important n’est pas là : FFC voulait avant tout manifestement rendre hommage à ses inspirateurs – et s’offrir au passage une incursion dans l’expérimental. De Carpenter donc, il glisse quelques images de Carrie, puis surtout reprend à peu près toute la trame de L’antre de la folie : un auteur de thrillers de gare qui se trouve pris au piège d’une bourgade entre rêve et réalité. On pourra aussi voir du David Lynch dans la mise en images, l’écriture presque automatique, cette histoire asynchrone qui s’autorise de fait toutes les extravagances. Mais la pierre angulaire est clairement Edgar Poe, omniprésent, tour à tour légateur de ses traits, ses rimes, le cadre d’une de ses œuvres et une partie de sa méthode. Que fait papy au milieu de tous ces grands noms ? Eh bien, il s’amuse. Sous une interminable et mystérieuse bande-son, il joue des filtres, contraste la couleur sur un brumeux noir et blanc, lutte contre l’attrait du second degré. Et pour tout dire, ne trouve jamais vraiment son ton. Mais il crée l’atmosphère, Et pour ça, on ne veut pas encore dire « Jamais plus ».
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 083 abonnés 4 212 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juillet 2014
    Bon, Coppola livre avec Twixt un film en demi-teinte, avec on le sent de bonnes choses, mais surement délivrée de manière peu claire et absconse.
    Le casting est convaincant. On retrouve un Val Kilmer très éloigné de ses débuts, mais il trouve de nouveaux rôles du coup, et il s’en empare avec un plaisir évident. Je l’ai trouvé sobre et juste dans ce métrage, et du coup peut-être pas assez exubérant compte tenu du ton du film, mais il livre vraiment une interprétation soignée. C’est le cas aussi de Bruce Dern, pour le coup plus excentrique, et qui amène justement ce qui manque au personnage de Kilmer, sans oublier Ben Chaplin, étonnant Edgar Allan Poe, très convaincant. Au-delà de cela Elle Fanning a une présence magnétique indéniable, même si pour le coup elle n’apparait pas tant que cela, et le film dispose aussi à son avantage de second rôle de belle tenue, notamment David Paymer.
    Le scénario est déjà moins attrayant. Comme dit en intro, il y a de bonnes idées, on le sent, mais elles sont mal développées. Certaines sont laissées au bord du chemin trop vite, d’autres s’intègrent mal à une narration fragmentée qui manque de fluidité, et le caractère trop souvent métaphysique du métrage finit par lui nuire quelque peu. Je comprends Coppola, je vois ce qu’il a essayé de faire, mais à mon avis il aurait mieux fait de s’orienter vers quelque chose de proche d’Arizona Dreams, où le conte et l’onirisme ne sont jamais loin, mais où l’on a bien les pieds sur terre un minimum. Le rythme en pâtit un peu aussi, car pour un film d’une heure vingt il parait tout de même assez long.
    Visuellement c’est en revanche très soigné pour voir le petit budget. Coppola livre une mise en scène très propre. S’il ne montre pas une grande ambition lui qui peut se montrer tout de même beaucoup plus audacieux, toutefois son travail est efficace et s’adapte bien au film, à sa tonalité. Les décors sont convaincants, mais l’ambiance et le travail sur la photographie sont nettement au-dessus, instaurant un climax particulier à ce métrage. Il y a certaines scènes qui sont d’une grande beauté, alternant parfois avec des morceaux qui pourrait presque rappeler Sin City (noir et blanc très stylisé, notamment lors de l’exécution), bref Twixt est un mélange d’expériences visuelles imaginatif. Sinon rien d’horrifique ici, en tout cas visuellement, et j’ai été déçu par la bande son. Compte tenu de l’ambiance du métrage j’attendais énormément plus que ce que Twixt propose. Dommage, vraiment.
    Au bout du compte on ne tient là un film pas déplaisant, avec des atouts certes, mais qui parait tout de même pas tout à fait abouti. Pas très à l’aise au niveau de sa narration et de l’exploitation de son potentiel, il a aussi des ratés notables coté bande son et il est dommage que les décors ne soient pas plus audacieux pour s’adapter au brillant travail sur l’image. J’accorde 3, et les amateurs d’expériences particulières pourront surement apprécier.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 950 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2014
    Mi-gothique, mi-poètique, "Twixt" donne une impression d'impalpable et d'intangible, comme si le spectateur prenait part à un rêve / cauchemar et pènètrait dans un univers peuplè de fantômes assoiffès de sang! En tout cas, Francis Ford Coppola n'a rien perdu de sa libertè artistique depuis "Youth Without Youth" et "Tetro" dans un conte horrifique placè sous le signe de la maîtrise technique et de l'intelligence! Alliant la bouffonnerie et l'èmotion, c'est un film qui joue sur deux dimensions de manière très littèrale: la dimension satirique et ironique puis la dimension mèlancolique et èmouvante! Val Kilmer en Stephen King du rabais et alter ègo de Coppola, Ben Chaplin dans la peau d'Edgar Allan Poe et Bruce Dern en shèrif novateur (et fabricant à ses heures perdues de nichoir à chauve-souris) sont parfaits! Mais c'est le jeu incroyablement gracieux de la jeune Elle Fanning qui impressionne et son errance avec Kilmer au beau milieu d'une forêt sombre est un joli moment de cinèma, mieux encore un rêve de cinèma! il est juste dommage que le final soit rapidement expèdiè! Reste que "Twixt" nous transporte et rèussit à être drôle et morbide! Ce qui n'est pas si facile à maintenir dans un film sur la perte entre rèalitè frappadingue et univers des rêves, d'un metteur en scène qui a perdu son fils dans un accident de speedboat en 86! Scène reprise - on imagine dans la douleur - dans "Twixt"...
    Parkko
    Parkko

    134 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2014
    C'est marrant parce que j'avais entendu un peu de tout à propos de ce film : très mauvais, très bon, nanar, aucun intérêt si non signé de Coppola. Bon, déjà moi je suis pas du tout un fan de FFC. Je dis pas qu'il n'a pas fait de bons films, au contraire y en a de très bons, par exemple Apocalypse Now, mais globalement FFC c'est pas trop mon truc, y a plus de films de lui que je n'aime pas que l'inverse.
    Mais Twixt, bizarrement, m'a plu. Le film a une superbe ambiance, j'aime ce genre de film où un mec arrive dans une petite ville glauque si le réal arrive vraiment à foutre quelque chose. Et FFC y arrive, il a pas mal de bonnes idées, ce clocher et sa façon de le filmer, c'est déjà super. Et puis même si les révélations etc etc. et la tournure de l'intrigue sont un peu décevantes, il y a tellement de trucs réussis, il y a une vraie atmosphère, un vrai univers, que je trouve que le film est vraiment intéressant.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    114 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 août 2013
    Ce qui touche dans Twixt, c'est ce parfum mélancolique qu'il exhale - quand on sait que Coppola cherche à remonter le temps, jusque dans ces périodes reculées, bénies où le génie jaillissait de lui comme le pétrôle d'un puits texan, jusqu'aux Jardins de Pierre et la mort de son fils dans un accident de hors bord... Alors oui, le film émeut dans sa dimension psychanalytique, dans ce travail de deuil qu'il essaye d'accomplir pour libérer les forces motrices d'un créateur au point mort. Mais si l'on fait abstraction de tout cela, il faut bien reconnaître que Twixt sort habilement des sentiers battus, fort d'un scénario malin, en revanche, il ne réinvente en rien le cinéma comme mise en abyme du processus de création. Il se pose en faiseur de deuils mais pas de miracle. Un attachant petit polar horrifico-métaphysique diablement futé en somme. Rien de plus.
    Septième Sens
    Septième Sens

    76 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mai 2013
    Le clocher vient de sonner, il est minuit, ou peut-être une heure qui sait ? Le temps dans cette ville perdue des États-Unis ne s'écoule pas de la même façon que partout ailleurs. Ici, c'est différent. C'est pourtant dans ce bled que Hall Baltimore, un auteur en perte d'inspiration, vient faire la promotion de son dernier livre de sorcellerie. Alors que le meurtre d'une jeune fille vient d'avoir lieu, l'écrivain décide de rester pour commencer un nouveau roman. Il y a dans le dernier film de Coppola quelque chose d'atypique, un mélange des genres qui donne à Twixt une saveur particulière. D'abord une ambiance fantastique, où les rêves de Baltimore sont filmés sous une lumière onirique réussie, qui donne une atmosphère envoûtante à ce conte. Flirtant parfois avec l'épouvante mais aussi le baroque (repensons ces effusions de sang à l'excès, rappelant fortement Dracula), Twixt tient également du drame. Fortement inspirée de l'histoire personnelle du cinéaste (mort de son fils en 1986, récit tiré d'un rêve qu'il a lui-même fait), cette œuvre se penche sur un homme perdu, tant dans sa vie personnelle que professionnelle. Incarné par un très bon Val Kilmer, ce personnage sympathique a du caractère, et il ne serait pas choquant de le voir dans un roman policier bien poisseux. En bref, de bonnes idées parsèment cette fiction ici et là, mais cela ne va pas plus loin. Avec ce cadran aux visages multiples, nous sommes perdus dans cet espace temporel infini à l'image de notre imaginaire, et décontenancés par cette histoire de vampires qui ne nous accrochera finalement pas tant que ça.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    664 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 avril 2013
    Dans ce film fantastico-horrifique de Francis Ford Coppola, Val Kilmer est loin d’être excellent dans le rôle de cet écrivain en mal d’inspiration qui se fait entraîner par un shérif (le très bon Bruce Dern) dans une mystérieuse affaire de meurtre. L’intrigue tient bien la route et la mise en scène de la part du réalisateur de Dracula s’avère bien envoûtante – notamment lors des séquences où le personnage principal fait ses rêves. On notera d’ailleurs que ces séquences possèdent une photographie des plus soignée. Dommage, tout de même, que l’ensemble ne s’avèrent pas plus terrifiants que cela et c’est ce qui me manque à mon sens à cette série B, qui s’inspire ouvertement de Stephen King et d’Allan Edgar Poe (son personnage est présent dans le film sous les traits de Ben Chaplin), pour être vraiment marquante.
    Nico591
    Nico591

    39 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2013
    La vision du dernier film de Coppola suscite toujours beaucoup d’intérêt, étant habitué maintenant depuis 15 ans aux productions indépendantes plus discrètes il aborde de nouveau après "Dracula" le thème du vampire sans pour autant en faire son sujet principal.
    Le film est vraiment superbe visuellement, très graphique j'ai adoré l'ambiance de cette petite ville qui rappelle beaucoup David Lynch.
    Cela fait plaisir de retrouver Val Kilmer au cinéma, lui qui est maintenant habitué aux DTV comme pas mal d'acteurs des années 90.
    Twixt restera quand même malgré son charme un film mineur dans la filmographie de Coppola.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    589 abonnés 2 705 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2013
    On sent une maitrise évidente, celle de Coppola, mais avec "Twixt" il ne révolutionne pas le genre, il est même en dessous des bons long métrages du genre. Mais le film n'est pas déplaisant, avec sa photographie à la "Sin city" et un Val Kilmer pas si mauvais que ça et en fin de compte on ne ressort pas déçu.
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