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Un visiteur
3,5
Publiée le 7 juillet 2013
Ç´est l'un de mes films préféré ! Je vous dit tout de suite que c'est un film à prendre au second dégrée même aux cinquième degrés haha !! Sacha baron Cohen est hilarant !! Le film est drôles ! Bonne comédie mais vraiment à prendre au second degrés ! Si vous vous attendez à un chef d'œuvre , ou à une comédie faite dans les règles de l'art n'y allez pas !! Mais si vous avez un humour décalée , un peut second degrés ! Ben ce film est pour vous !
Une petite comédie folle dont certaines vannes et certains passages font mouches, mais bon c'est léger, même de la part de Sacha Baron Cohen! Attention c'est de la bouse!
Sacha Baron Cohen n'étant pas connu pour sa finesse, on sait où l'on débarque en allant voir "The Dictator". Et on est loin d'être déçu. Car l'acteur s'emploie encore une fois comme un petit diable dans une comédie complètement déjantée et décomplexée, où nous n'avons pas d'autre choix que de laisser le cerveau à l'entrée de la salle. Des fois, ça marche, des fois ça casse, surtout quand l'humour se situe en dessous de la ceinture. Mais au final, j'ai passé un bon moment, car on rit beaucoup.
Si ce film confirme tout le talent comique de S. B. Cohen, il en montre aussi les limites et surtout, un inquiétant manque d'inspiration. Vous me direz, impossible de faire mieux que "Borat" sauf que là, Cohen, en décidant de retourner à la fiction (une première depuis "Ali G"), en tire un canevas assez convenu voire bâclé malgré quelques gags assez fendards ou encore un sous-texte subversif toujours aussi acide mais noyé au milieu d'un étalage de bons sentiments et la sensation que ce grand malade s'est fait récupérer et que, sous couvert de 2-3 blagues acides ou osées, on lui impose un ton plus consensuel. Les 2nds rôles sont sympathiques, on rit bien mais le rythme a du mal à suivre et on s'ennuie parfois un peu devant ce spectacle assez policé au fond. Marrant mais pas inoubliable. D'autres critiques sur
Drôle, dans l'ensemble, on s'attendait pas a un gros film humoristique, mais que ce soit un bon divertissement. C'est un peu raté, le scénario est bien trouvé, et un ou deux rebondissements sont les bienvenus, malgré qu'ils soient prévisibles, mais cette fin est complétement nulle, même si elle ne gâche pas pour autant le reste du film puisque que le résultat final n'est vraiment pas super... C'est aussi cet accent qui déjà n'est pas toujours compréhensible, mais qui devient insupportable au bout d'1h20. Je rajouterais aussi que certaines scènes sont vraiment peu imaginatifs, et ça tourne même au ridicule parfois. On retient quelques vannes marrantes de ce film, mais c'est tout. "The Dictator" peut etre sympa a regarder pendant une soirée entre potes, mais c'est clair que ça s'oublie vite après.
NE UN 11 SEPTEMBRE. Borat président, c'est de la bombe... La liberté d'expression en République de Wadiya et surtout de Sacha Baron Cohen. Et même si tout n'est pas trés drole, quelques répliques sont bien piquantes.
Certes Larry Charles a laissé tombé le found footage mais le film demeure excellent ! La VF et la VO sont toutes les deux excellentes même si l'original est meilleur. Pour ce qui est de la vulgarité, je pense que SBC a largement depassé le seuil de tolérance ! Toujours dans le même esprit que dans Ali G, Borat et Bruno le film nous fait passer un excellent moment pas très subtil.
Pour ceux qui recherche du subtile, des idées une élévation de l'esprit quelconque il faudra repasser mais les autres metteront leur cerveau en mode veille et passeront une heure trente agréable. Le cinéma de Sacha Baron Cohen s'est assagie depuis Borat et Bruno et sa dernière production a un coté très Scary Movie. Attention à ne pas se formater davantage sous peine de créer d'ici 5ans, une comrom avec jennifer Lopez en rôle titre. Pour l'instant c'est Anna Faris qui assure le rôle féminin. Même si la couleur de cheveux a évolué on la reconnait en 30 secondes et heureusement elle est drôle parce qu'à l'instar de notre Jamel national (qui lui l'est beaucoup moins) cette actrice n'a qu'un personage à son répertoire. Les sketchs composant la pellicule sont reliés par une trame relativement habile reposant sur l'incarnation par Sacha Baron Cohen de son personnage favoris : un halluciné ne reculant devant rien mais à qui il réserve toujours une scène plus séance dont on ressort un peu plus heureux et abrutis.