Derniers Avis : La Guerre des Boutons - Page 6

Film seulement commerciale. Ennuyeux et long, inutile de dépenser de l'argent pour rien. À fuir!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

J ai préfère l autre guerre des boutons plus proche de mes souvenirs. La j ai trouve ça parfois gnan gnan (combat d instit) parfois touchant (le petit lebrac) ... Mais c est plaisant à regarder. Et pkoi fred (sans omar) a voulu faire de don camillo ?

Ce n'est pas la première adaptation de "La Guerre des Boutons". Il y a n'a eu 4 en tout : l'original en 1963, un remake américain en 1995 et enfin 2 dernières coup sur coup en 2011. Le scénario diffère légèrement des autres (normal car ce n'est pas un remake). De ce côté, peu de changement. Le principe du film, la gueguerre entre enfants de villages opposés est toujours efficace. Cependant les finitions ne sont pas superbes. On apprécie les superbes images de campagne. Vers la moitié du film, on commence à sommeiller... Le film commence à être lassant. Et la fin n'est pas à la hauteur... Côté acteur, Seigner, Chabat (très bon) et Fred sont personnages trop secondaire.. Elmosinio, parfait en instituteur ! Côté enfant, l'ensemble est bon mais sortent du lot Vincent Bres et Salomé Lemire. Ainsi, un divertissement assez sympathique mais qui reste familial voire pour enfant.

Merci ! Merci Yann Samuel ! Merci ! Contrairement à l'autre truffe toi au moins tu a su capter l'esprit du livre ! Merci. Oui parceque là où "La Nouvelle Guerre des Boutons" prenait place dans une période dramatique et que de ce fait le ton également du film basculait plus de ce coté là, là au moins c'est une comédie. Une comédie qui fait rire. Parceque c’est là le but de la guerre des boutons, faire rire. Et si l'on regrette quelques défauts non négligeable tel la fade mise en scène ou la réalisation trop superficielle, le film divertit et c’est là le plus important. Certes les gages ne nous font pas tous rire, mais au moins le second degré est là, le même que le livre d'ailleurs, cet aspect puéril et ridicule des choses, en témoigne l'idée géniale des adultes qui se battent au match ou la dualité entre les deux instituteurs. Et donc oui on est dans le ridicule de situation comme la scène de combat où les Longevernes attaquent nus. Ça c'est la guerre des boutons. Là également on a des "combats", là au moins les enfants sont en premier plan. Ils sont d'ailleurs bien joués et tous les personnages, que ce soit Lebrac donc ou l'instituteur sont bien développés. Les comédiens s'en donnent à cœur joie, Fred Testot est hilarant dans le rôle du curé, Alain Chabat excellent ( juste trop peu présent ) et la jeune Salomé Lemire parfaite. Son personnage est d'ailleurs, contrairement à l'ajout féminin de celui de Christophe Barratier, réellement utile et bien utilisée. Malgré cela, le film souffre tout de même dans sa mise en scène donc mais aussi de sa photographie et d'un traitement, bien qu'assez divertissant, trop superficiel pour nous permettre de savourer pleinement le film. Bref, si la version de Yann Samuell dépasse de loin celle de Christophe Barratier, aucune des deux malheureusement n'est suffisamment à la hauteur du livre de Louis Pergaud.

Au lieu de la fronde anar qui portait le livre de 1912 avec ses enfants des campagnes nigauds et contents de l'être, le film et le scénario de Yann Samuell nous livrent un tableau sans surprise d'enfants empaillés dans le folklore sépia des sixties, et nous sert sans conviction une bluette intégrationniste. Yann Samuell ten­te bien deux ou trois écarts (un curé progressiste, une fillette féministe), mais ils paraissent un peu artificiels, comparés à toute cette pesanteur patrimoniale. Cette matinée enfantine, somme toute assez anodine, passerait mieux auprès des spectateurs assez vieux pour se souvenir si le scénario n'accumulait une série d'invraisemblances historiques. Décidément ces reprise ne sont pas au top après avoir vu ce film je regrette mon sévère 2 a "La Nouvelle Guerre des Boutons" qui a coter de sa mérite 3,5 car je pensais que celui-ci serai meilleur vu les notes.

Plutôt correct quand je repense aux souvenirs que j'avais de l'original. A réserver à un public jeune.

Pas lu le roman et pas revu le 1er film depuis 30 ans mais j'en garde un bon souvenir donc en voir une nouvelle version n'était pas pour me déplaire et j'ai pas été déçu du voyage. Le casting des enfants est parfait, ils ont tous la gueule de l'emploi (le traitre, le chef des "méchants", Lebrac, Lanterne, les Gibus,..), côté adultes là aussi rien à redire, le duel Elmosnino / Chabat, entre autre, tient ses promesses. Au final on obtient un petit film rafraichissant et sympahtique.

Remake du film culte d’Yves Robert, "La Guerre des boutons" version Yann Samuell restera surtout dans les annales pour son affrontement aberrant avec "La Nouvelle Guerre des boutons", l’autre remake signé Christophe Barratier sorti 1 semaine après ! On ne dira jamais assez de mal de cette situation grotesque (due à une guerre entre producteurs suite à l’entrée du roman d’origine dans le domaine public) qui, en outre, n’a profité à aucun des deux films qui n’ont pas obtenu les scores espérés au box-office. Mais, plus grave, il y a fort à parier que la course entre les deux projets pour sortir en premier sur grand écran se soit fait au détriment de la qualité du film. Car, "La Guerre des Boutons" de Yann Samuell, qui paraissait pourtant plus prometteuse que son rival (avec des bandes-annonces amusantes et un casting un peu plus hype), s’avère particulièrement inégale. On passera gentiment sur la mise en scène, qui ne se risque pas à la moindre innovation formelle (ce qui parait invraisemblable de la part du réalisateur de "Jeux d’enfants"), et sur les gags, tous plus inoffensifs les uns que les autres quand ils ne sont pas carrément maladroit (la séance de torture de Papier Mâché fait tâche). Concernant l’interprétation, on aura du mal à se contenter des prestations livrées par les acteurs. Chez les adultes, si Eric Elmosnino assure en prof attentif et Fred Testot amuse en curé énervé, on ne peut qu’être déçu par la sous-exploitation d’Alain Chabat et par le jeu prévisible de Mathilde Seigner. A l’inverse, on ne peut pas reprocher grand-chose aux gamins du film (qui sont les vrais héros de l’intrigue), si ce n’est qu’ils ne marqueront pas les esprits que ce soit le chef Lebrac (Vincent Bres), le méchant Aztec (Théo Bertrand) ou le culte Tigibus (Tristan Vichard), dont on attendait beaucoup plus mais qui souffrent d’un manque de mise en valeur par le réalisateur. Seule Lanterne (découverte de la jeune Salomé Lemire) tire un peu son épingle du jeu, sans plus. Difficile, dans ces conditions, de prétendre également ou, à tout le moins, approcher la place du film d’Yves Robert dans la culture populaire. Le comparatif entre les deux films démontre d’ailleurs que les temps ont bien changé (voir, par exemple, le scène où les enfants attaquent leurs ennemis complètement nus, et qui est filmée ici avec beaucoup de "précaution") et oblige à se poser la question de l’intérêt de faire le remake d’un film appartenant à une époque révolue et qui ne correspond plus franchement aux goûts du public actuel. Car on ne retrouve jamais vraiment la nostalgie qui aurait pu permettre au film d’être une réussite (la faute à la photo pas assez travaillée et au manque d’immersion de l’intrigue dans son époque, sans doute). Dans un registre similaire, "Le Petit Nicolas" avait bien mieux réussi son coup (grâce à d’excellents dialogues et à une mise en scène travaillée), preuve que l’exploit est possible. Encore aurait-il fallu mettre un grand réalisateur (et surtout, un grand directeur d’acteurs) aux manettes de ce remake qui se regarde sans déplaisir mais qui s’oublie très rapidement.

Aîe, Aïe, Aïe... Toute cette guerre de film pour ca...
Honnêtement il faudrait mieux s’abstenir...
Grosse déception, Seule chose positive, des acteurs plutôt touchant.

très mauvais film, la version d'yves robert était plus fidèle au roman de pergaud, même s'il avait adapté l'histoire au début des années 60 ; j'ai préféré l'autre version "la nouvelle guerre des boutons"
ici on a donné la vedette exclusivement aux enfants, ça parle tout le temps et on ne comprend pas toujours ce qu'ils disent et puis le duel elsomino/chabat est ridicule, au fond le film montre que la guerre entre les deux villages rivaux a tout le temps éxsisté , on ne retrouve dans aucuns de ces deux films l'esprit du roman original et pourquoi pas un troisième, qui lui se passerait dans le futur où les enfants auraient des portables et se battraient à coup de textos et autres gadgets futuriste, soyons sérieux !

Bon film rempli d'émotion... Mention particulière aux enfants, mais aussi à Mathilde Seigner et Eric Elmosnino !!

Franchement je n'ai pas vu l'original, mais à mon avis un remake ne devait pas exister. Pas emballer par l'histoire, pas emballer par les acteurs, on retrouve une nouvelle fois une comédie bien franchouillarde et on constate que les français peine à trouver des idées de nouveaux scénario pour les films. Je n'ai pas aimé, simplement parce qu'on ressort des films qui ont marcher à l'époque dans le but de gagner du fric, parce que oui maintenant le cinéma est une industrie et non un art.
Du coup on se retrouve avec un scénario tout tracer, un manque d'originalité et un film qui nous laisse sur notre faim, parce qu'on s'attend toujours au meilleur avec leur campagne de pub.

Bien monté. Bien interprété par une bonne bande de gamins... Bien monté.

On replonge agréablement dans l'histoire.

Par moment ennuyant, par moment sympa. Pas très bien joué par les enfants... A voir une fois...

Comme l'original, ce film m'a donné du plaisir. C'est jouissif de vivre ces histoires de Clochemerle, et de voir ces gamins s'éclater dans des combats homériques. Cela a un goût éternel d'enfance qui ne peut que faire vibrer toutes nos papilles un peu blasées. L'esprit de l'histoire est bien préservé, et les petits acteurs sont épatants. Ils jouent bien, sur un scénario qui ne s'éloigne pas trop du film d'Yves Robert. Le réalisateur s'attache particulièrement au personnage de Lebrac, joué par un jeune acteur attachant. J'ai aimé aussi le rôle de la petite fille qui illumine le récit de sa belle robe blanche. Alors on pardonne certaines baisses de rythme, et des adultes peu convaincants à l'image d'Alain Chabat. Mais je ne peux m'empêcher de penser ce que peut représenter cette guerre des boutons auprès d'une jeune génération qui ne sait plus ce qu'est une chemise à... boutons.