Derniers Avis : The Lady - Page 19

Nous y sommes allés sans en lire les critiques.
Nous avons adoré. Luc Besson nous donne une autre image de ses films d'actions.
Un beau film sans trop de mélo et qui permet de mettre en avant le junt birmane.
Michelle Yeoh ressemble étonnement à la vraie héroïne.
Un bon moment mais le combat idéologique aurait être plus mis en avant.
Nous le conseillons.

Beau film, mais l'histoire d'amour d'An Sang Su Kyi est cruelle et pleine de souffrances. Sa famille et ses proches semblent avoir souffert encore plus que l'opposante birmane, qui s'entête dans un combat sans issue et perdu d'avance. Des années d'exil loin de son mari, qui n'ont en rien changé la situation politique en Birmanie ni la répression du régime. A la fin du film, on se demande si tout cela en valait vraiment la peine? Son mari incarne une certaine sagesse et une force héroïque.

Tout simplement du Grand Cinema ou la caméra de Mr Besson capte à merveille la Birmanie ainsi que des acteurs superbe . Merci Mme Michelle Yeoh d'avoir eu l'initiative de soutenir le calvaire de cette femme ( Aung San Suu Kyi )
toujours aussi prisonnière de ses pensées pour un futur meilleur en Birmanie

Les films (et les productions) de Luc Besson sont toujours un mini-événement tant ce réalisateur français a su depuis des années et des années instaurer du mystère, de la rareté et de la singularité à ces projets par l'intermédiaire de ces héros, masculins ou féminin, qu'il a réussi à tous élever au rang d’icône. Avec The Lady, il s'attaque à un personnage qui est déjà une icône dans son pays et son pari était de retranscrire le plus fidèlement possible le parcours de cette femme charismatique qui a fait passer sa famille et sa vie privée derrière le destin de son pays et du peuple Birman.
Si on se place du point de vue du biopic, on peut dire que le film est plutôt réussi car il revient sur plus de 10 ans de combat, de 1988 à 1998, même si ce sont surtout les 4 premières années qui sont mis en lumière soit le départ d'Oxford d'Aung San Suu Kyi, les débuts de son engagement politique et de son assignation à résidence quelque temps après. Le film se focalise principalement sur son histoire d'amour incroyable avec son mari et sur le choix que doit faire Suu entre sa famille et sa patrie. Du coup, le côté politique passe un peu trop au second plan et on aurait aimé avoir plus de détails et d'explications sur la situation politique de ce pays que la junte militaire dirige de façon tyrannique; une façon pour nous de peser encore plus le courage et la force de cette femme face à un régime contre qui personne n'osait se dresser.
Le film manque donc de rythme et de rebondissements, comme tous les biopics vous me direz, et les plus de deux heures de projections n'évitent malheureusement pas les longueurs nous faisant perdre de l'attention à plusieurs reprises. Quoiqu'on en pense, Michelle Yeoh signe sans aucun doute le rôle de sa vie et force notre admiration et notre respect au travers de ce personnage qui ne véhiculent que des valeurs positives, entre espoir, générosité et don de soi (il y en a pas beaucoup qui peuvent monter sur le nuage magique de Tortue Géniale !)
La situation en Birmanie n'est pas raconté pour la première fois. L'an dernier, le deuxième épisode de Largo Winch utilisait ce décor pour la première partie du film.
Mais c'est surtout le seul et unique Sylvester Stallone qui aborda le premier depuis longtemps ce sujet il y a trois ans avec l'excellent John Rambo. Sly ouvre une fenêtre au monde entier sur le génocide que subit le peuple Karen avec cette histoire de groupe de missionnaire chrétien venu apporter des médicaments, de la nourriture, des livres et des prières à un peuple opprimé. Il a choisit de faire un film violent et de répondre à la violence par la violence...philosophiquement à l'opposé de The Lady.
Une phrase m'avait marqué à l'époque : "Do you have any weapons ? Course no....you won't change nothing...."

Luc Besson revient avec une histoire forte, celle du combat de Aung San Suu Kyi, prix Nobel de la Paix en 1991. Le sujet est poignant et forcément intéressant. On s'attache à découvrir comment cette femme à sacrifié sa vie privée pour lutter pour la démocratie de son pays la Birmanie. Luc Besson choisit d'insister sur les dévouements personnels de cette "Lady" au détriment d'un combat politique relégué au second plan. Le drame familial est assez réussi, mais se risque à simplifier cette lutte d'une manière très manichéenne. On a ainsi l'impression d'un devoir de mémoire qui survole certains éléments clés, sans jamais surprendre le spectateur, ni dans le côté historique ni dans le côté sentimental. Pire, le temps finit par devenir long. Les effets tire-larmes sont faciles et peinent à construire une puissance émotionnelle authentique. Malgré ses quelques reproches, Michelle Yeoh incarne Aung San Suu Kyi avec admiration et un portrait attachant, délivrant un grand rôle et un spectacle noble.
Autres critiques sur: http://cineglobe.canalblog.com/

Besson essaye de faire du cinéma grand public, c'est-à-dire un plat qui, à défaut d'avoir un gout de riz cantonais, nous donne une salade périmée dans laquelle on trouve un mélange de faits réels, de scènes d'actions éculées et de bons sentiments. L'excellente prestation de David Thewlis n'excuse pas le manque de style et d'originalité du film. "The Lady" complète la liste très longues des films français plats et mélodramatiques. Besson est de ces réalisateurs qui, en essayant le meilleur, aboutissent au pire.

Malgré quelques blancs historiques, Besson nous offre un film tout simplement un très beau film dont la clef de voute est Michelle Yeoh et l'histoire d'amour avec David Thewlis. Besson offre un film avec une femme héroïne mais dans un registre différent montrant ses talents dans une réalisations que nous n'avions jamais vu avant (mis à part le dernier combat)

Magnifique!
Très beau film,belle histoire d amour.
Film poignant!
On apprend beaucoup de chose sur la Birmanie vu que c est une histoire vraie!
A voir!
Bravo à Luc Besson,un chef d oeuvre!

j'attendais ce film avec impatience, plus pour la vraie Aung San Suu...
j'ai relativement aimé, mais je trouve qu'il se passe trop de choses en un laps de temps qui est trop court (pour tout ce qu'il y a à dire !) : du coup, on est constamment dans des émotions fortes et c'est un peu éprouvant !
Bien sûr Michelle Yeoh est EXCELLENTE , ainsi q l'acteur qui fait son mari !!!
je pense q le réalisme et l'intensité qui vient du fait que c'est une histoire vraie et contemporaine donnent beaucoup d'intensité !!

Magnifique, excellente adaptation pleine d'émotions et de sens. Beau parcours des acteurs, qui ont trouvés le ton juste et extraordinaire travail de Besson. A voir pour une leçon d'histoire et une leçon humaine.

Une histoire de vie incroyable... De belles images d'un pays magnifique...Pas un Besson extraordinaire...

merci Luc besson, et tous les formidables acteurs de ce film. Je ne suis pas fan de ce realisateur depuis quelques temps el là je dois reconnaitre que je me suis laissé emerveiller par cette histoire toujours d'actualité, ce qui lui donne encore plus de force. Je pense que ce film doit etre vu et va aider l'orchidée de fer a faire aboutir sa volonté de faire revenir la démocratie en Birmanie. J espère qu un jour je pourrai y aller et sentir autour de mol la liberté retrouvée. Ce film est une très belle histoire d'amour aussi de ces êtres partagés entre leur famille et leurs convictions.
Merci pour ce témoignage d un destin hors normes et bravo pour la realisation et les images, la residence reconstituée, les images de Rangoon, etc ...

Vrai nanar cinématographique. Les acteurs sont mauvais, à part peut être le mari. Discours politique néant, l'actrice principale semble faible et je n'en pouvais plus de la voir pleurer sans cesse la dernière heure. La force et la détermination de cette femme hors du commun ne passe à aucun moment du film. C'est d'un manichéisme puéril. Les gentils filmés dans des ralentis sans fin accompagnés de violons dégoulinants et les méchants sur des roulements de tambour, s'en est drôle et grotesque. La musique -mauvaise- est omniprésente, incessante et fatigante. Les choix musicaux sont très discutables et Le pompon est détenu par la scène des moines marchant vers la demeure d'ann sang sur du U2. C'est mauvais et énervant.

Eric Besson est un talentueux conteur de merveilleuses histoires. Il est agréable et facile de le suivre dans cette histoire de Michael et Suu, la fameuse "Iron Butterfly" birmane: un flashback pour nous faire revivre les moments clé de la vie de cette femme jetée dans l'Histoire du monde dès sa jeunesse.

Nous suivons de manière intense à la fois les côtés tragiques et anecdotiques de sa vie publique et privée romancée avec une certaine crédibilité. La scénariste insiste sur la fragilité de cette femme, mais je suis certain qu'elle avait une très haute conception de son rôle pour son peuple. Ainsi le côté religieux hautement important pour ce peuple dans la vie de tous les jours et dans la conception de sa destinée n'est que très peu abordé dans le film.
spoiler: Un moment de cinéma exceptionnel en invention et en émotion pure: le suivi par Daw Aung San Suu Kyi de la remise de son prix Nobel par un poste de radio en accompagnant au piano à distance l'orchestre en direct de Stockholm. La "musique" y paraît être le seul langage universel ! L'actrice Michelle Yeoh, ex-James Bond girl et actrice star du film "Tigre et dragon" nous livre ici une interprétation sensible, donnant de magnifiques images avec son visage doux et expressif. Ses interviews confirment d'ailleurs son engagement profond pour "The Lady". Merci à Luc Besson d'apporter un témoignage universel d'humanité à propos du peuple birman qui ne peut que l'aider à mieux vivre dans son pays.

Un film magnifique, esthetique et bouleversant. A voir d’urgence !