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    Pina
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    Jacques A.
    Jacques A.

    2 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 février 2014
    Le seul véritable film en 3D depuis son invention (la 3D). Vous n'avez jamais vu un spectacle de Pina Bausch ? Allez voir cet hommage. Heureux et ravi de l'avoir vu.
    ocelot
    ocelot

    19 abonnés 927 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 janvier 2014
    Excellent documentaire et le meilleur film en 3DS de tous les temps. Enfin, jusqu'à aujourd'hui (Janvier 2014). A voir !
    willyzacc
    willyzacc

    72 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 avril 2011
    J'y suis allé en néophyte total, j'en ressort subjugué par la beauté des mouvements, des chorégraphies, la beauté de la musique , des plans de Wim Wenders qui accompagne à merveille le travaille de Pina.. un film époustouflant.
    Lucille T.
    Lucille T.

    34 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2011
    Volupté, n, f : plaisir moral ou esthétique très vif. Très Vif.
    John Henry
    John Henry

    99 abonnés 704 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 novembre 2011
    Des corps constamment en mouvement. parfois ça émeut, souvent pas, à réserver quand même aux fans de danse contemporaine !
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    83 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 avril 2011
    Hormis l’utilisation de la 3D, qui de fait transforme le long-métrage en spectacle vivant, avec l’impression pour le spectateur d’être parmi les danseurs, Pina révèle un dispositif simplissime qui alterne les captations des spectacles sélectionnés par la chorégraphe et les témoignages des membres de sa troupe. Pour le mettre en scène, Wenders a deux excellentes idées : la délocalisation des spectacles et l’utilisation de la voix off pour les commentaires des danseurs. En effet, le cinéaste réussit l’extraction de leur milieu naturel (le théâtre ou l’opéra) des représentations des ballets en les implantant dans des décors naturels surprenants au premier abord, dont l’interaction avec l’œuvre de Pina Bausch apparaît néanmoins très vite comme évidente, logique, tombant sous le sens. Sous la rampe d’un tramway, en plein désert, au sommet d’une carrière ou même en pleine ville, le réalisateur trouve les lieux adéquats, au creux desquels le travail de recherche de la chorégraphe semble prendre et trouver tout son sens et sa valeur. Le film a aussi le mérite en filigrane de rappeler combien Pina Bausch était fidèle (les témoins attestent de nombreuses années passées à son service et même une des nouvelles participantes est la fille de deux danseurs toujours en activité) et combien sa troupe (le Tanztheater Wuppertal) se singularisait par sa mixité ethnique et sa disparité générationnelle.
    C’est notamment avec Konthaktof (dont la reprise par une troupe de teenagers sert de toile de fond au formidable documentaire Les Rêves dansants de Pina Bausch) que l’ouverture aux non-professionnels et aux tranches d’âge habituellement écartées de la discipline que l’ampleur et la cohérence de la démarche de Pina Bausch prennent tout leur sens. Elle a effectivement révolutionné le rapport au corps en faisant de celui-ci l’unique support dans les limites de son anatomie, donc de ses facultés, de la représentation pessimiste de la nature humaine. Chez Pina Bausch, le corps est souvent malmené, roulé à terre, brisé, écartelé dans des postions presque incongrues. Tous les éléments constitutifs du corps doivent contribuer à l’exécution du geste chorégraphique et, en écoutant les danseuses, on est soudain surpris de la ressemblance mimétique qui se dessine avec celle qui fut leur mentor. Mais plutôt que les écouter, Wenders donne avant tout à les regarder. Alors que nous entendons les voix des danseurs égrener souvenirs, sensations et anecdotes, nous, nous sommes fixés sur des visages immobiles, rendus graves et tristes par l’absence inconsolable et éternelle qui les envahit au point de les momifier. Il n’est pas dès lors nécessaire d’en rajouter, d’en dire davantage : le chagrin de la perte, la peur du vide et les interrogations sur l’avenir affleurent sur chaque visage, jeune ou mois jeune, européen ou asiatique.
    Artiste de la solitude, se questionnant sans fin sur le désir et les mécanismes de l’aspiration qui le régissent, Pina Bausch accède à l’éternité par le film de son ami Wenders qui met à son service la technologie la plus avancée, avec modestie et infiniment de tact et de respect. Grandiose et sublime.
    Misoramengasuki
    Misoramengasuki

    54 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juin 2011
    Après "Black Swan", ses affèteries psychédéliques et sa prétention, "Pina" tombe à point pour rappeler ce que peut être la danse quand elle est pensée et exécutée par de vrais grands artistes : pas un délire sadomasochiste et narcissique, mais un moyen d’expression sans limites, d’une sensualité débordante, d’une finesse et d’une puissance uniquement bornées par l’imagination du chorégraphe et le talent des danseurs. Et Dieu sait que de l’imagination, Pina Bausch en avait, et que sa troupe savait donner corps à ses visions. Et comme le maître d’œuvre de ce film-hommage, conçu avant le décès de Pina mais poursuivi et finalisé après, s’appelle Wim Wenders, qui n’est pas exactement un clampin, le résultat est globalement excellent. Le film est à son meilleur dans les séquences tournées en extérieur, dans les environs de Wuppertal, dans son célèbre monorail ou dans des usines abandonnées. Il souffle alors sur la pellicule une liberté, une grâce, une émotion irrésistibles, qu’on rapprochera des meilleurs instants de "Dolls" de Kitano. Les moments purement scéniques, présentant dans leur cadre original des extraits de spectacles de la compagnie (Café Müller, Le Sacre du printemps, etc.) n’offrent pas toujours une telle plénitude, mais composent une vue d’ensemble de l’esthétique si particulière de la grande chorégraphe allemande. Les témoignages individuels de chacun des membres de la troupe, malgré leur côté convenu et inévitablement artificiel, laissent transparaître le respect et la reconnaissance de chacun envers celle qui leur a donné de si magnifiques partitions à jouer. Finalement, la seule véritable limite du film est son côté "monument funéraire", quelque peu statufié, vide de toute spontanéité (une notion si chère à Pina Bausch). Etait-ce évitable ? Vu les circonstances, sans doute pas.
    alexdelaforest
    alexdelaforest

    36 abonnés 205 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2014
    Très bel hommage à une grande chorégraphe, mais peut-on le retranscrire vraiment à l'écran. La technique de la scène et celle de l'écran semble imperméable sauf lorsque la dance investit l'extérieur.
    Caine78
    Caine78

    6 015 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2012
    J'ai beau très mal connaître la danse, je dois avoir été séduit les rares fois où j'y aie eu affaire, tant j'ai trouvé cela beau, élégant, parfois intense et émouvant. C'est donc avec une certaine attente que j'attendais de voir cet hommage concocté par Wim Wenders à la grande Pina Bausch, décédée en 2009. Hélas, le résultat s'avère terriblement inégal. Il y a pourtant beaucoup de bonnes idées : le fait que celle-ci n'apparaisse jamais à l'écran, que ce soit les danseurs qui en parlent, tandis que le fait de voyager d'un lieu à un autre est des plus agréables. Mais que cela ressemble à un exercice de style... Les numéros musicaux sont incroyablement inégaux, si bien que ceux que l'on aurait souhaité plus longs nous frustrent, et ceux que l'on aimerait voir passer au plus vite semblent durer des heures. Néanmoins, une grâce se dégage de l'ensemble à plusieurs reprises, en particulier dans les danses à deux... J'en suis ressorti déconcerté, agacé, touché. Un bel essai qui aurait gagné à être mieux concrétisé.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 178 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2011
    Six mois après la sortie du documentaire Les Rêves dansants, sur les pas de Pina Bausch (2010), c'est au tour de Wim Wenders (Paris, Texas - 1984) de s'intéresser à la célèbre chorégraphe allemande disparue en 2009. Cette fois-ci, le documentaire se passera d'interviews (contrairement au précédent), privilégiant quelques interventions en voix off de certains danseurs. Wim Wenders nous restitue durant plus de 100 minutes, un ballet sur grand écran, à travers lequel il a filmé différentes pièces de la chorégraphe, tant en intérieur qu'en extérieurs (dans des lieux publics, des paysages industriels ou naturels ou encore à l'intérieur du monorail suspendu de Wuppertal). Si vous n'êtes pas un admirateur de Pina Bausch ou de la danse contemporaine, il faut tout de même reconnaître que le spectacle qui nous est offert ici est tout simplement impressionnant et magique. Certaines chorégraphies sont stupéfiantes, on se laisse bercer au grès d'une superbe B.O, quant à l'utilisation de la 3D relief, certains trouveront qu'elle amplifie la profondeur de champs, d'autres trouveront qu'elle n'est d'aucune utilité, à vous de voir. Un spectacle envoutant certes, mais qui fini rapidement par lasser.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 807 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2011
    Il ne me semble pas avoir vu les bons Wenders (à part les ailes du désir), du coup je suis plutôt neutre vis à vis de ce réalisateur, et ce Pina en 3D m'intéressait mais sans plus, voir 1h40 de danse en 3D ça peut être pas trop mal. J'aimerai préciser les conditions un peu hasardeuses dans lesquels j'ai vu le film : en avant première donc, il faut arriver en avance pour avoir une place, puis présentation du film par un mec qui a connu Pina, puis chorégraphie live qui dure une demi heure, puis le film ça fait long, du coup, vers la fin je commençais à me lasser d'être assis depuis plus de deux trente dans cette salle. Sinon le film outre la fin que j'ai trouvé un peu longuette, est vraiment intéressant, filmer la danse ce n'est pas si facile, on peut très facilement se planter (Nine en est le parfait exemple), parce que simplement on fait de la mise en scène sur de la mise en scène, il y a une mise en abîme, et là Wenders le sait et s'en amuse, on est dans la salle de spectacle ou bien on regarde un film dans le film, c'est pas mal du tout.
    Mais le mieux reste lorsque Wenders sort de la mise en abîme pour rentrer dans le champ cinématographique. On a quelque chose de très beau et ça ne m'étonnerait pas qu'il se soit inspiré de la mise en scène de Powell et Pressburger dans les chaussons rouges.
    Parce que passer de la scène à la mise en scène de cinéma ça n'est pas évident, on quelque chose de très global qui fourmille dans la danse, surtout lorsqu'il y a 5 ou 6 danseurs au minimum sur scène, dur de capter chaque danseur. Au cinéma c'est rare lorsque dans une scène il y a plus de 4 personnes, mais seulement on les filme tour à tour, là dans la danse tous bougent simultanément, il y a un réel processus d'adaptation à faire. Et Wenders s'en sort pas mal du tout.
    Et puis voir la danse sortir du théâtre prendre place dans une aire urbaine ou sylvestre c'est vraiment beau.
    Du coup on a quelque chose d'assez intéressant, mais je pense que ça pêche au niveau du montage, les scènes de danse sont trop coupées (pas d'explications heureusement), il aurait fallu je pense filmer la danse dans sa longueur son intégralité, sans coupe.
    Quitte à faire (comme il le fait à un moment) un mélange entre éléments naturels dans la nature et la scène.
    C'est à voir.
    stebbins
    stebbins

    458 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 décembre 2011
    Le dernier Wim Wenders est de très loin le meilleur film tourné en 3D que j'ai eu l'occasion de voir dans une salle obscure. Le réalisateur semble avoir délibérément compris que la réussite d'une image en relief se jouait non en surface mais dans la profondeur de champ. Dans Pina la composition des plans est magnifique, solidement étayée par les chorégraphies colossales de l'artiste défunte. Wim Wenders construit son documentaire sur deux modes : celui du témoignage posthume et celui de la pure mise en scène des spectacles de Pina Bausch... C'est assurément ce dernier qui finit de nous combler pleinement, notamment la bouleversante séquence du Café Müller, d'un lyrisme peu commun. Le ton cérémonieux, presque ( involontairement ) tire-larmes des instants de témoignage sont donc moins réussis car presque inutiles à l'installation d'une beauté intrinsèque au sujet. Un spectacle qui s'affirme comme une grande fête pour les yeux et les oreilles, moment nostalgique d'un art qui a su habilement tirer profit des nouvelles technologies. C'est délicieux.
    norman06
    norman06

    298 abonnés 1 598 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 avril 2011
    Le retour en grâce de Wenders avec ce documentaire qui allie la grâce contemplative des "ailes du désir" à l'hommage crépusculaire de "Nick's movie". Utilisation novatrice du 3D.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 avril 2013
    Pina disait : Dansez, dansez, sinon nous sommes tous perdus. Elle n'avait pas tort. Regardons-là.
    DarioFulci
    DarioFulci

    83 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 août 2011
    Wim Wenders qui s'attaque à un documentaire sur la grande chorégraphe Pina Bausch, après son très bon "Buena Vista Social Club" et en 3D, il y avait de quoi saliver. Quelle douche froide ! On est effaré de constater à quel point son "travail" s'est borné à des interviews incroyablement inintéressantes des membres de sa troupe. Des personnes sommairement présentées qui nous servent des anecdotes dont on se fout sur la chorégraphe. Où est le travail de fond ? où sont les vraies questions que l'on se pose sur la création, sa mise en oeuvre, sa façon de travailler ? Rien de rien de tout cela. Wenders se contente de filmer le travail de Pina Bausch, de mélanger toutes ses chorégraphies dans des décors somptueux et basta. On est sous le charme au premier abord, la danse et ce que Bausch en fait subjugue toujours autant. Mais au bout de 30mn, on a la désagréable impression de s'être fait arnaquer.
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