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    The Deep Blue Sea
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    2,7
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    96 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 août 2012
    Très beau. Ça me donne envie de revoir les précédents films de Terence Davies.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 173 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 juillet 2012
    The Deep Blue Sea (2012) est l'adaptation de la pièce de théâtre éponyme (1952) de Terence Rattigan. Elle avait déjà connue une première adaptation cinématographique en 1955 par Anatole Litvak, avec Vivien Leigh & Kenneth More. Ce qui frappe en premier lieu, c’est la mise en scène complètement amorphe qui finira par nous assommer, alors que le film dure un peu plus de 90 minutes, on aurait juré qu’il en faisait double, c’est dire à quel point on a pu trouver le temps long. Certes les reconstitutions de l’époque (le début des années 50) y sont parfaitement retranscrites, surtout les intérieurs, mais l’ensemble s’avérant tellement linéaire et contemplatif, seules les prestations de Rachel Weisz & Tom Hiddleston parviendront à nous extirper de notre léthargie.
    Myene
    Myene

    17 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2013
    Si la critique a été envoûtée par cette romance et Rachel Weiz , dont j'ai ressenti plus la glace que le feu . Je suis restée à distance mais je reconnais la beauté formelle de ce film
    marseyopolis
    marseyopolis

    18 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juillet 2012
    L'histoire sans aucun interet d'une dinde anglaise, mal filmée, mal dirigée… reconstitution à chier, lumière et image minable, comédiens grotesques, situations minables… j'ai tenu une heure. Un vrai navet cuisiné à l'anglaise (bouilli, sans doute)
    Julien D
    Julien D

    1 101 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 juillet 2012
    Terence Davis vient d’offrir un sublime cadeau aux nostalgique du cinéma traditionnel britannique grâce à cette adaptation pleine de mélancolie d’une pièce de théâtre aujourd’hui terriblement démodée. La qualité esthétique des images, leurs lumières et la lenteur des mouvements de caméra donnent une agréable douceur à la reconstitution, et c’est justement avec cette délicatesse que sont paradoxalement filmés les sentiments violents de ce triangle amoureux. Derrière cette façade ultrastylisée, le classicisme du scénario, le manque de profondeur des personnages et la lenteur de la narration ne se font finalement oublier que par le jeu exceptionnel de Rachel Weisz et de Tom Hiddleston.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 juillet 2012
    Terrence Davies est considéré par les adeptes de ses films comme un esthète cinématographique, peut-être l’un des plus importants dans le paysage européen actuel, et comme un réalisateur qui refuse les concessions mercantiles et industrielles. Le succès commercial n’est pas toujours au rendez-vous mais la critique et les festivaliers des multiples rencontres de cinéma l’ont généralement accueillis avec enthousiasme. The Deep Blue Sea vient confirmer cette carte d’identité raffinée.

    Pour le lire la suite, c'est ici : http://critiqueconnection.wordpress.com/2012/07/05/the-deep-blue-sea/
    jspl
    jspl

    22 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 juillet 2012
    Un vrai bijou. La musique, l'esthétique, l'absence de bavardages inutiles, les réminiscences littéraires et musicales, le jeu éblouissant des acteurs, tout y est et font de ce film un véritable chef- d'œuvre dont on sort bercé par les images et ébloui.
    Hallyne de Cinéglobe
    Hallyne de Cinéglobe

    17 abonnés 376 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juillet 2012
    "The Deep Blue Sea" est un drame sentimental bercé par la mélancolie de deux bons acteurs: Rachel Weisz et Tom Hiddleton. Une véritable tragédie passionnelle qui garde un aspect très théâtral. Les décors sont peu nombreux mais emplis d'une véritable atmosphère et d'une mise en scène très stylistique. Avec une certaine prétention, Terence Davies donne une âme à son oeuvre; les éclairages, la nuit intemporelle, les habits d'antan, la brume...

    L'histoire évolue au travers d'un rythme extrêmement lent, parfois à la limite de la suffocation. Il faut arriver à rentrer dans cette ambiance lourde et déséquilibrée.

    Mais en dévoilant l'intrigue au fur et à mesure du récit, à coup de flashbacks fondants et de longues conversations, le cinéaste installe une certaine mesure qui maintient le spectateur par les sentiments.

    http://cineglobe.canalblog.com/
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    39 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juillet 2012
    Dans la prude Angleterre des années cinquante, Hester quitte le confort de son mariage bourgeois pour vivre l’amour irrésistible qu’elle éprouve pour un ancien pilote de chasse désargenté et instable. Tiré d’une pièce de théâtre à succès, le film de Terence Davies nous offre un magnifique portrait de femme sublimé par une Rachel Weisz au sommet de son art. Dans la lignée d’une Emma Bovary ou d’une comtesse Serpieri de Senso, on assiste à la déchéance et l’autodestruction d’un personnage qui a choisi la passion au risque de se perdre. La caméra fouille avec subtilité les affres de l’héroïne en utilisant des gros plans qui en disent plus que les mots, et les dialogues ponctués de longs silences soulignent les émotions et l’inéluctabilité d’un destin tragique. Certains reprocheront sans doute le stylo très mélo de la réalisation, mais il fallait oser aller au bout des intentions dramatiques des auteurs. Une réussite.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 juillet 2012
    Lente agonie et rigidité cadavérique émotionnelle sont les premiers termes qui me viennent à l'esprit pour aborder ce film à la limite d'une léthargie quasi insoutenable. La photographie volontairement froide n'en ressort que trop cheap et terne, même pour un Londres post seconde guerre très amoché. La bande son est irritante. Le montage qui se voulait, je ne peux qu'imaginer, enrichissant est finalement inutilement fastidieux. Les acteurs frôlent à la perfection tantôt la neutralité tantôt la gaucherie et le hors sujet le plus éloquent, ce qui pour un drame prétendu passionné est assez...conceptuel. Excepté Weisz, et encore, Ils sont à peu près tous à côté de leur personnage, dont Hiddleston qui confond surenchère avec intensité et qui favorise parfois trop l'excercice de style académique à la spontanétié et au naturel. Je suis habituellement cliente de ce type de cinéma, mais hélas ici n'en ressort que soupe soporifique sans aucune saveur. On est très loin de vibrer !
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2012
    Petite explication du titre tout d’abord : « (between the devil and) the deep blue sea » (entre le marteau et l’enclume, le marteau du désir douloureux et l’enclume de la pesanteur sociale : ainsi se débat Hester, j’y reviendrai, avec nuances). L’expression idiomatique anglaise, dont seule la deuxième partie est ici reprise, est un peu l’équivalent de notre : « de Charybde en Scylla ». Comment choisir entre deux situations indésirables, quel parti adopter en plein dilemme ? A noter : pas de reprise donc pour la sortie hexagonale du titre de la version française de la pièce de Rattigan, à savoir « Bonne fête, Esther », donné par l’auteur lui-même qui en assura la traduction, avant qu’elle ne soit adaptée dans notre pays par Constance Coline en 1954, alors que cela avait été logiquement envisagé au moment de l’annonce du projet de remake (mais le premier film, celui d’Anatole Litvak en 1955, sur un scénario de Rattigan, avec Vivien Leigh et Kenneth More, était sorti en France pour sa part comme « L’autre Homme » !). Là, c’est le metteur en scène qui est également à l’écriture (comme toujours), avec cette nouvelle adaptation de circonstance (célébrer le centenaire de la naissance de Rattigan). Le déjà chevronné Terence Davies, mais peu prolifique car très exigeant dans ses choix (7 « longs » au compteur - le premier reprenant 3 moyens métrages antérieurs - parmi lesquels on peut citer : “Distant Voices, Still Lives” et “The House of Mirth” - « Chez les Heureux du monde » pour la sortie française), auteur et réalisateur, écrivain aussi, et acteur à l’occasion, rend parfaitement justice à un autre Terence, Rattigan ! Chantre inspiré de la souffrance émotionnelle, esthète de la beauté mélancolique, passionné par l’effet de la mémoire dans le quotidien des êtres, il réussit à faire de ce travail de quasi-commande une œuvre personnelle, mais aussi très fidèle à celle d’origine. Unité de temps : 24 heures seulement (le lendemain de son anniversaire raté Hester tente de mettre fin à ses jours, apprend le départ imminent de Freddie après une dernière nuit, retrouve entre temps William, mais refuse de reprendre la vie commune). Londres est en (partie en) ruines, sa vie aussi (elle a trop aimé un garçon trop désinvolte, effrayé par l’excès de sa passion et qui préfère fuir ; elle a renoncé à son existence confortable : elle n’y reviendra pas, quitte à errer un temps). Unité de lieu : le quartier de Ladbroke Grove, au Nord de Londres, où se trouve la modeste maison de Mrs Elton, la logeuse du couple illégitime (on n’en sort qu’au fil des souvenirs convoqués par Hester). Unité d’action : la fin de sa liaison (comment elle a débuté, évolué, est condamnée : même ressort dramaturgique, quand Hester se souvient). Voilà qui ressemble bien à une tragédie, plus qu’à une « romance » ! Alors (mélo)drame ? C’est en tout cas de technique théâtrale qu’il est question par définition (mais en aucun cas de théâtre filmé !) : Davies réussit l’exercice délicat du passage à l’écran d’une pièce qui garde ses spécificités, mais dûment réappropriées par la nécessité d’un langage différent. Suivront quelques exemples en ce sens. Longue scène d’exposition muette (sauf la lecture « off » par l’intéressée du début de sa lettre d’adieu au trop-aimé) : c’est le matin où Hester a voulu mourir (mais elle n’avait sous la main que des cachets d’aspirine, et le maigre gaz du chauffage à pièces : insuffisant ! L’ex-Dr Miller, un autre pensionnaire de Mrs Elton, aura tôt fait de la faire vomir quand l’odeur les aura alertés à son chevet). Elle revoit, dans le désordre de ses souvenirs, ce qui l’a amenée là. Plus tard dans la journée, elle sera tentée par un moyen plus radical sur un quai de métro, mais sera arrêtée par un nouveau flot de souvenirs, nostalgiques, mais doux et fédérateurs. Eclairages subtils, travellings étudiés. Stylisation, plus que style ? Joli travail en tout cas, par exemple sur les glissements temporels (entre la Guerre et surtout le Blitz, et l’après-guerre, « aux alentours de 1950 ») : l’histoire passe sans arrêt de l’une à l’autre période (Hester se souvient, Hester dans le présent). Ces « flashbacks » cinématographiques ont tout du retour en arrière littéraire ou analepse. Couleurs froides pour société corsetée (la haute-bourgeoisie est le milieu social ordinairement traité par Rattigan, où l’émotion est bannie, réservée qu’elle est aux gens du « commun », comme ici la logeuse et son mari grabataire ou le médecin radié) et époque troublée (seule tache de couleur : le manteau rouge d’Hester - visualisation de sa faute, cf. l’héritage littéraire de « La Lettre Ecarlate » publiée un siècle plus tôt, elle a d’ailleurs le même prénom que l’héroïne de Hawthorne), intérieurs surtout (ou lieux clos, comme le métro), fonds floutés, brumeux des souvenirs. Importance encore de la musique, très présente et s’accordant à la composition dramatique. L’allegro (joué à la radio) du concerto pour violon de Samuel Barber, compositeur américain contemporain néo-romantique, est pour le temps où Hester est seule et mélancolique. Les rengaines légères sont celles des brefs moments d’insouciance dans des pubs animés avec Jackie et Liz Jackson, un couple d’amis proches de Freddie - ce n’est pas la culture d’Hester, mais elle fait des efforts pour faire chorus. Pendant le Blitz, le métro servait d’abri : moment de communion, toutes classes sociales mêlées sur les quais de la station, effaçant les barrières et laissant la guerre au-dehors, avec une chanson traditionnelle reprise en chœur (« Molly Malone », ou « Cuckles and Mussels), l’hymne officieux de la ville de Dublin (Sir Terence Rattigan - il fut anobli en 1971, six ans avant son décès - était lui-même d’ascendance irlandaise). Conflit entre raison et passion ? En fait bien au-delà, car Hester a choisi en toute lucidité la passion, sans volonté de retour en arrière (vers le confort de sa maussade vie conjugale). Hester souffre de trop aimer (l’objet de sa flamme étant nettement en deçà dès le départ, et même en rejet sans appel quand la jeune femme veut se supprimer : excessif et dérisoire de disposer ainsi de sa vie quand tant sont morts d’un vrai conflit - Freddie a vu disparaître la plupart de ses amis pilotes). Elle est victime d’une « cristallisation » ratée. « En un mot, il suffit de penser à une perfection pour la voir dans ce qu’on aime » : Hester, emboîtant le pas à Stendhal, idéalise le héros de guerre au physique avenant et le premier à l’ouvrir à la sensualité. Quand, (é)perdue, elle réalise que Freddie est en net retrait, elle comprend sans doute qu’elle est plus amoureuse de l’amour que de lui, et en souffre tant que la seule solution qui lui paraît convenable est de disparaître. Rachel Weisz, venue au théâtre lors de ses études de littérature anglaise à Cambridge, abandonne la scène en 2001 pour se consacrer au cinéma (elle sera « oscarisée » pour son Second rôle dans « The Constant Gardener » en 2005). La jeune quadragénaire se glisse avec toute la crédibilité physique requise, après Vivien Leigh en 1995 (elle aussi avait passé 40 ans) dans la peau d’une Hester de 10 ans de moins sur le papier. Bien au-delà, elle compose une Hester magnifique, elle « est » véritablement Hester et ses fêlures, une femme à la recherche de son émancipation, et qui comprend à la toute fin (voir les dernières images, à sa fenêtre) que celle-ci va bien au-delà de la libération sexuelle et de l’autonomie sentimentale. La jeune femme est entourée de trois figures masculines : outre son père arc-bouté sur ses principes et sa morale (courte scène éclairante où l’homme de Dieu sollicité dans son église ne sait que « conseiller » à sa fille de retourner à ses devoirs d’épouse), son mari, moins attendu en la matière (profondément épris de sa ravissante femme, il est prêt à fermer les yeux sur ses « divagations » et le lui dit, lors même qu’elle part et lui réclame un divorce qu’il rejette avec force ; quand il est informé par sa logeuse de la tentative d’en finir d’Hester - Mrs Elton avait appris fortuitement, une affaire de courrier, la véritable identité en Lady Collyer de la prétendue Mrs Page et savait donc qui prévenir de l’incident – il accourt aussitôt avec un présent et son pardon), et son amant (Freddie, dont la vie a culminé à la Bataille d’Angleterre, et qui n’est plus qu’un marginal, oisif et désabusé, quand il rencontre Hester). Si c’est l’histoire d’Hester, et que Rachel Weisz y étincelle, ses « hommes » ne déçoivent pas : Tom Hiddleston (révélé par la série « Wallander » aux côtés de Kenneth Branagh, on peut citer dans sa filmographie récente : « Thor », mais aussi « Midnight in Paris ») et Simon Russell Beale (comédien de théâtre réputé et musicologue, surtout connu dans notre pays pour son rôle dans « MI-5 », la série de la BBC, et par ailleurs “gay” comme Rattigan - et « listé » en bonne place parmi les homosexuels britanniques influents) livrent l’un et l’autre une prestation convaincante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 décembre 2012
    The deep blue see est un audacieux film cerveau dont le fond et la forme sont miraculeusement en totale harmonie. La névrose du personnage principal, abandonnée par son amant, est mise en scène avec une audace formelle saisissante. Le film commence par des plans muets, rythmés par le concerto pour violon de Samuel Barber. Les réminiscences de Rachel Weisz plongent alors le spectateur dans une mélancolie sourde et déchirante. Le retour au réél fait basculer le film dans un registre très noir et glaçant. Décor, photo et interprétation sont magistrales. Vivement recommandé.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 juin 2012
    Bien filmé et bonne musique mais, trop long et noir ce hui clos....
    Schwann
    Schwann

    9 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juin 2012
    Au-delà de l'aspect plutôt théâtral du film (ce qui entraîne des rires francs que des comédies n'arrivent pas même à décrocher), The Deep Blue Sea inspire un "enthousiasme modéré", pour citer la mère du personnage interprété par Simon Russell Beale. Le scénario brasse des idées déjà cent fois évoquées, même s'il le fait bien. Avec de grands sentiments et un peu d'intelligence, on parvient toujours à faire du cinéma ; et en ce sens Hester est ce qu'Hegel appelait une "belle âme". Avec un scénario qui tient dans un mouchoir de poche, Terence Davies tente de suivre jusqu'à la fin le fil fragile qu'il s'est donné. Néanmoins, manquait-il d'inspiration pour son dernier plan ?
    flechouille
    flechouille

    3 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2012
    excellent film où la tension psychologique est particulièrement intense et remarquablement joué par les acteurs et tout particulièrement R. Weitz et T.Hidelston. L'atmosphère des années 50 est très réussie. Le scénario basée sur un thème ultra connu nous tient tout au long du film. A ne pas rater!
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