Derniers Avis : Les Cinq légendes - Page 7

bon film qui m'a fait rêver et qui fera rêver les grands et les petits. à voir en famille, car ce film donne une bonne leçon de moral. mélange d'humour et de surprise, à ne pas manquer.

EXCELLENT FILM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
AVANT VISIONNAGE : j'étais impatient de découvrir l'interprétation de Dreamworks de différents personnages mythiques!!!!

APRES VISIONNAGE: je n'étais pas déçu par le résultat!!!!!!!!!!
Les personnages sont exceptionnels et très attachants!!!!
L'histoire est original et ne manque pas de rythme!!!!!!!!!
L'animation (et surtout la neige) est excellente!!!!

A voir!!!
(je ne comprends pas que ce film n 'ait pas le même succès que la Reine des neiges de Disney!!!!)

Depuis quelques années, les studios DreamWorks Animation peuvent enfin rivaliser avec Pixar tout en suivant leur propre voie. Quittant les longs-métrages un chouïa enfantins (Shrek ou du moins ce qu’est devenue la saga, Madagascar, et j’en passe !) pour se diriger plus vers le divertissement mature (dont Dragons est le parfait représentant en date). Et pour leur nouvelle production, la firme du pêcheur lunaire met les bouchées doubles : un budget de 145 millions de dollars, Guillermo del Toro (Blade II, L’Échine du Diable, Hellboy 1 et 2, Le Labyrinthe de Pan, Pacific Rim) officiant en tant que producteur, un casting vocal hors normes… allant jusqu’à être le premier film d’animation hollywoodien à gros budget dirigé par un Afro-Américain en la personne de Peter Ramsey. Un illustrateur qui s’est penché sur divers projets (Predator 2, Independence Day, Fight Club…) avant de rejoindre Dreamworks et de travailler sur quelques écritures concernant Shrek (le troisième opus et un téléfilm). Et qui, pour son premier long-métrage, se voit offrir du grand spectacle. Le bonhomme a-t-il réussi à nous émerveiller ?

Depuis bien des siècles, une troupe de personnages mythiques, constituée du Père Noël (Alec Baldwin / Miglen Mirtchev), le Lapin de Pâques (Hugh Jackman / Jérémie Covillault), la Fée des dents (Isla Fisher / Nolwenn Leroy) et le Marchand de Sable, protègent les espoirs et les rêves des enfants. Notamment contre le croquemitaine Pitch (Jude Law / Boris Rehlinger), qui instaure la peur. Bien qu’il ait été battu dans le passé, cet ennemi revient dans le but d’annihiler la croyance des enfants envers leurs gardiens. Le groupe aura fort à faire pour vaincre Pitch. Mais cette fois-ci, ils seront aidés par un cinquième « Gardiens » qui leur a été désigné : Jack Frost (Chris Pine / Gaspard Ulliel), un éternel ado solitaire qui ne pense qu’à s’amuser et vouloir se montrer au monde qui ignore son existence.

On pourrait presque croire que Les Cinq Légendes serait un dérivé de L’étrange Noël de Monsieur Jack qui, déjà, donnait une « image » à des fêtes (les villes d’Halloween et de Noël), bien qu’ici, ce sont des personnages et non des festivités qui sont représentés. Mais il faut savoir que le nouveau-né de DreamWorks est l’adaptation d’une œuvre romanesque intitulé The Guardians of Childhood écrite par William Joyce. Un détail qu’il est bon de rappeler pour montrer que les deux longs-métrages d’animation n’ont rien à voir. D’ailleurs, il suffit de regarder les premières minutes des Cinq Légendes pour s’en rendre compte.

Quoiqu’il en soit, le film marque un pas dans la filmographie de Dreamworks Animation : l’originalité et les sentiments à la Pixar ! Alors que nous avions droit à des gamineries appréciables qui se basaient toujours sur des références culturelles (musicales, cinématographiques…), Les Cinq Légendes fait prendre au studio une tout autre direction. En arborant une histoire surprenante, qui prend les figures telles que le Père Noël ou le Lapin de Pâques pour des sortes de super-héros qui nous gâtent pour vivre. Et en vivant, ils nous protègent. Un scénario qui se permet un très beau plaidoyer sur la notion de croyance, sans nous la rabâcher sans cesse de manière niaiseuse (comme le font souvent les films pour le jeune public). Ici, c’est délivré à renfort de personnages travaillés (surtout Jack Frost), de séquences véritablement riches en émotions et de moments assez noirs mais surtout matures. Une qualification rattachée à DreamWorks depuis Dragons (bien que Fourmiz, avant l’événement que fut Shrek, ait eu l’audace d’aller sur ce chemin).

Et comme le réalisateur Peter Ramsey a commencé sa carrière en tant qu’illustrateur (ayant qui plus est étudié la peinture avant de se lancer dans le cinéma), un film d’animation aussi haut en couleurs était pour lui l’occasion de montrer son talent visuel. Il va même encore plus loin, Les Cinq Légendes n’étant pas qu’un film d’animation aux graphismes d’une beauté et d’une justesse rarement atteinte (juste limitée par le design « déjà-vu » des personnages). Il va même jusqu’à livrer un film foisonnant de détails poétiques et humoristiques (comme les fameux lutins – elfes, je ne sais plus – du Père Noël, qui font tout de suite penser aux Minions de Moi, moche et méchant), aux diverses ambiances grandement travaillées (celle, obscure accompagnant Pitch, en particulier) et à la bande originale signée par Alexandre Desplat, nouveau génie de la composition musicale. Sans oublier de rendre le tout divertissant au possible, via des séquences d’action et de bravoure à la fluidité exemplaire et à des plans visuels de grandes ampleurs.

Si je devais toutefois émettre une réserve sur Les Cinq Légendes, c’est bien sur sa durée. 1h37 de film, c’est plutôt court quand nous avons autant de personnages à développer. Il est vrai que sur le papier, l’histoire s’intéresse bien plus à Jack Frost qu’aux autres. Mais tout de même ! Le Père Noël, le Lapin de Pâques, la Fée des dents (en Europe, son équivalent est la fameuse Petite Souris, venant remplacer les dents des enfants par des pièces) et le Marchand de Sable : cela ne vous donne pas envie d’en savoir plus sur eux, surtout qu’ils sont considérés ici comme des êtres exceptionnels, des super-héros ? Il est donc dommage que cela ne soit pas le cas. Et avec son statut de petit échec commercial (le film n’ayant même pas remboursé son budget sur le sol américain, soit 103 millions de dollars contre les 145 millions de base), pas sûr que le studio nous livre une suite qui aurait pu corriger cela.

Mais cela n’enlève rien au fait que Les Cinq Légendes se révèle être l’une des pépites de DreamWorks Animation. D’une beauté visuelle et d’une maîtrise indiscutables, et d’une maturité sans pareil (comparé aux autres longs-métrages du studio), le film est un véritable régal. Aussi bien pour les enfants que pour les adultes. Même, il serait bien plus destiné à un public âgé plutôt que les jeunes bambins, arborant des thèmes plutôt complexes pour nos chères petites têtes blondes (qui se contenteront, du coup, du spectacle) et des ambiances parfois limites niveau angoisse.

Je ne sais même pas quoi dire de ce film. Jusqu'à quelques minutes à la fin, tout est bon, magnifique ! On est pris dans cette histoire, on s'attache aux personnages (les cinq, c'est assez inhabituel), la bataille du milieu atteint l'apothéose du film spoiler: , notamment avec la disparition de Sandy, même si ça, on pouvait malheureusement le deviner...

Alors, pourquoi pas 5/5 ? Parce que, juste après la bataille final, le film se casse complètement. Tout est régler en, dans une grosse fourchette, une minute 30 spoiler: (du moment où Jack manque de se faire avoir jusqu'au moment où tout est rétablit). On ne sait même pas comment Sandy revient !

spoiler: Et le coup du « je crois en toi, mais je n'ai pas peur de toi ». Génial comme idée, mais pourquoi tu ne voix plus Pitch après ?

Hormis ce défaut, on peut aussi compter la voix française de Jack, complètement à coté de la plaque (pourquoi ne pas avoir garder la voix de la bande annonce?). La VO est par contre excellente, avec Jude Law qui réalise, et je ne pense pas exagérer, l'un des meilleurs doublage d'un film d'animation.
En bref, ce film est excellent, mais malheureusement, la fin n'est pas terrible. A cela s'ajoute une musique pas trop mal, mais qui aurait pu être meilleure.

quel bonheur,c'est beau,poétique,spéctaculaire tout est réunis pour passer un exellent moment.

En 2012, la sortie de cette nouvelle création de Dreamwork m'avait attiré l'attention mais je n'ai pu le voir malheureusement. Après presque un an, j'ai pu enfin découvrir ce film d'animation. Et force de constater qu'il s'agit d'une merveilleuse surprise et qu'il fera partie de la catégorie des plus magnifiques dessins animés de la décennie !
Bien sur, le scénario est ultra basique : on a quatre figures de notre enfance qui sollicite l'aide de l'un des leurs pour combattre un vilain voulant anéantir ces figures justement et instaurer la peur dans le monde.
Mais une fois qu'on dépasse notre avis préjugé, on est émerveillé devant un tel spectacle !
Dès les premiers images, le design et le visuel du film nous éblouit. Splendide et de qualité, elle confère déjà un aspect féerique au contenu.
Ensuite, les personnages sont tous atypiques. Le Père Noel est un sorte de russe tatoué et très musclé, le lapin de Pâques loin de l'image candide qu'on se fait, le marchand de sable muet mais tout lumineux, la fée des dents (minute, c'est l’équivalent américain de notre sourie, d'ailleurs il y aura un clin d’œil à celle-ci...) et on fait la rencontre de Jack Frost, un personnage folklorique peu connu en France mais populaire dans les pays anglo-saxons, allégorie du froid, sympathique et gaillard. Même le méchant est incroyable classe et "badass" (les méchants de ce type sont rare dans les dessins animés). Bien sur, les enfants sont présent et vont jouer un rôle important dans le film.
L'humour est intégré merveilleusement dans le film, aussi bien avec des répliques qui tue (Jack déclarant "oh j'aime bien être enfouit dans un sac et balancé contre mon gré ^^) que des gags.
Pourtant, ce film contient de très beaux messages : croyez à des choses positives et lutter contre la peur, celle qui détruit tout. De plus, j'aime beaucoup le concept aussi spoiler: que si les enfants ne croient plus aux figures cités, elles disparaissent
. C'est aussi une nostalgie de notre enfance.
Je vous le conseille chaudement ! Ce film est un bijou à ne pas rater.
Et dernier truc : n'ayez pas peur de la VF, elle est impeccable !

"Les Cinq Légendes" ou comment croire à nouveau durant quelques minutes au Père Noël, à la Fée des Dents, au Lapin de Pâques, au Marchand de Sable... Bref, tous ces personnages qui ont fait le bonheur de notre enfance et qu'on retrouve réunis dans ce film d'animation où ils doivent unir leurs forces pour lutter contre le croque-mitaine.
L'histoire en elle-même n'est pas une originalité en soi, mais ici, les studios Dreamworks ont prouvé qu'en matière d'effets visuels, ils n'ont plus rien à prouver. Tout est splendide, avec une mention toute particulière pour le Marchand de Sable et sa poussière de sable ! Jack Frost et son bâton de glace, Pitch et sa matière noire qu'il contrôle... Bref, de ce côté-là, rien à signaler !
Concernant les personnages, ils sont tous plus attachants les uns que les autres et possèdent leur propre personnalité ; mais c'est surtout Jack Frost qui sort du lot. Le film se centre énormément sur ce jeune garçon, appelé à devenir une Légende, malgré son immaturité et sa faculté à provoquer des bêtises grâce à ses pouvoirs. Mais il n'en reste pas moins un garçon attachant, désireux d'être aussi cru par les enfants ( spoiler: ces derniers ne peuvent le voir, contrairement aux quatre autres
). Ses rencontres avec Pitch renforce ce côté "attachant" de Jack et à ce jour, il reste mon personnage préféré de ce film.
Mais n'oublions pas les enfants car eux aussi ont un rôle à jouer : spoiler: c'est en effet grâce à eux que le Père Noël et ses comparses existent. Si nos petits chérubins venaient à ne plus croire en leur existence, ils disparaîtraient. L'idée de les inclure dans la bataille finale est une excellente idée car ils apportent leur soutien à nos cinq héros et les aident à affronter leur plus redoutable adversaire.

L'histoire en elle-même, même si elle n'est pas criante d'originalité m'a transportée. Durant plus d'une heure, j'ai oublié le monde réel pour me plonger dans une histoire incroyable, émouvante et touchante.
Alors, qu'est-ce qui m'empêche d'attribuer cinq étoiles à ce film ? Le doublage français, tout simplement. Si certains doubleurs s'en sortent très bien (Nolwenn Leroy en Fée des Dents, de quoi me surprendre, mais finalement, ça passe très bien !), pour Jack Frost et le Lapin, ça se corse. Je trouve que la voix de Gaspard Ulliel (Jack) ne correspond pas vraiment au physique du garçon, même s'il a plus de 500 ans (ou plus/moins, je ne sais plus...). Quand à Jérémie Covillault (notre Lapin de Pâques^^), même s'il s'en sort très bien, je trouve qu'il ne joue pas assez sur la caractère de son personnage, dans le sens où j'aurais aimé voir davantage son côté cynique (ce qui m'avait en tout cas semblé apercevoir dans la BA).
Au final, je suis ressortie enchantée de ce film d'animation, des étoiles plein les yeux, avec à nouveau l'envie de croire à toutes ces légendes qui ont su bercer mon enfance...

Très bon film d'animation. Puise sa force dans la grande beauté de ses images, très colorées, à l'image des personnages qui les composent. Son aspect enfantin qui séduira son aucuns doutes les plus jeunes, notamment par la représentation des figures emblématiques, est compensé par le sens du détails et la fluidité étonnante pour un film d'animation.

Ce que j'ai trouvé un peu dommage, c'est que, comme dans tous ces films faisant intervenir le Père Noël ou autre personnage de ce genre, ils cassent un peu la magie pour les jeunes enfants. Et il n'est pas non plus pour les adultes car trop enfantin dans son propos, j'ai trouvé. Autrement, je l'ai trouvé joli et il y a des bonnes idées (le marchant de sable muet...).

Le Père Noël, la Lapin de Pâques, le Marchand de Sables et La Fée des dents forment un groupe de héros dotés de pouvoirs extraordinaires et que l’on appelle les quatre Gardiens. Mais sentant qu’un danger approche (à savoir le terrible boogeyman, Pitch Black), ils invitent un certain Jack Frost, le maître de la neige et du vent d’hiver, mais ce dernier s’avère malheureusement invisible pour les enfants, car ils ne croient pas en lui. Voilà pour le synopsis de ce film d’animation qui nous provient de la société DreamWorks et qui s’avère des plus plaisants à suivre. L’intrigue est assez palpitante, l’animation globalement très réussi et l’ensemble est dotés de quelques scènes d’actions brillamment filmées. Les personnages sont dans la majeure partie bien fait, à l’image de Jack Frost et du Lapin de Pâques, par contre le Pitch Black ne possède pas un look suffisamment terrifiant à mon goût. Au final, on pourra dire tout de même qu’il s’agit d’une œuvre familial hautement sympathique et qui s’avère assez attachante.

J'attendais de ce film une histoire magique, qui fasse rêver, artistiquement beau et avec de la bonne musique (comme nous le proposait la bande annonce). En d'autre termes, un équivalent à Dragons.
Je me suis senti complètement satisfait, DreamWorks a à nouveau réalisé un film d'animation splendide et tout aussi original, à mon goût. Chaque personnage est différent et unique dans son style. Hélas, la dernière fois que j'ai vu un Père Noël aussi cool c'était celui de Futurama!
Le scénario est simple mais intéressant, il y a du contenu et le fil de l'histoire est très équilibré. C'est exactement ce qui lui faut à un film destiné aux plus jeunes. Néanmoins, il est tout aussi plaisant au yeux de l'adulte, un peu comme le Roi Lion.
J'ai passé un bon moment en regardant ce film, une bonne animation destiné à tout le monde, et je ne peux que le conseiller si vous avez 1h30 pour remémorer votre enfance.

Très bon film d'animation. C'est bien sûr destiné aux enfants avec une histoire simple mais l’univers du film est juste féérique et les graphisme sont magnifique. A regarder !

Dreamworks exploitent le mythe des gardiens des enfants en s’efforçant de ne pas le démystifier car l'enjeu aurait pu porter à polémique. Il faut croire que cette présentation sous forme gentillette et féérique suffit à émouvoir le grand publique juvénile. Pour les autres, il faut plus que quelque fées et lutins pour se réjouir pleinement. En effet, comme l'a si bien souligné "Kaza Nova" les fêtes populaires ne se limitent pas simplement à la distribution des œufs et des cadeaux. C'est un esprit général que l'on partage ou non. Une présentation très synthétique, manquant parfois de profondeur et sans être pour autant hilarante. Il va de soit que les grands studios de l’animation moderne ne sont pas à leur potentiel maximum avec cette petite anim' sans prétention. Mais d'un œil de gosse, cela reste évidemment très divertissant. 3/5

Ca fais bien longtemps que je n'ai pas aimée autant un film d'animation. Pour moi c'est le meilleur film d'animation. Il est juste MAGIQUE !

La bande-annonce laissait supposer un magnifique conte réunissant toutes nos croyances enfantines : Le Père Noël, le lapin de Pâques, la fée des dents ou encore le Marchand de sable. Pourtant, une heure trente fut très long en compagnie de ces légendes. L'atmosphère n'y est pas, le scénario part quelque peu en vrille et les dialogues ne sont pas des plus percutants. Pourtant, partir d'un personnage méconnu (ou peu connu) pour une identification du spectateur était une bonne idée. Jack Frost, l'origine du froid et du gel, personnage folklorique anglo-saxon, est ici mis en exergue en tant qu'héros et gardien. La morale, on peut qualifier cela d'une morale, est de savoir si la croyance en quelque chose permet de dépasser ses peur, une espèce d'aura qu'on pourra comparer à Dieu (exemple extrême).
Concernant les personnages, on n'a pas d'avis là-dessus. On ressent même de la pitié pour le héros et les personnages secondaires ne sont pas intéressants. Le plus attachant même sera absent pendant un bon tiers du film, nous laissant avec des personnages aux caricatures grossières. Même l'humour instauré ne fait pas mouche. Deux trois gags glissés ne feront qu'à peine esquisser le sourire d'un enfant.
Mais voir nos légendes combattre avec leurs armes était un régal. Au bout d'un temps. A force de répéter sans cesse les diverses chorégraphies de combat, on s'en lasse. Et le méchant, le Croque-Mitaine, ne sait même pas se situer dans l'histoire. Méchant, gentil, victime du triste sort, on ne sait quoi penser de lui et fais donc de lui un personnage tierce.
Cependant, il y a quelques références qui ne sont pas mal vues. Et puis, ce film nous permet aussi de vouer un peu plus le culte anglais, avec ce Jack Frost que beaucoup sur Terre ignorait l'existence. Le fait d'insérer des petits enfants donnait un côté humain, et un peu chaleureux dans ce film zigzaguant entre rêves et cauchemars.
Fort indécis, on aurait pu espérer mieux d'un DreamWorks et de ces 5 légendes. Mais il reste tout de même un bon moment à partager en famille.