Partant pas trop dans le drame conceptuel, la base du film est respecté : l'humour - et un brin touchant pour accompagné le tout avec quelques clin-d'oeil... Franchement très bien comme film. Et personnellement pourtant, j'm'attendais vraiment à un film ultra pourri... Et bien non. Donc bonne pioche alors...
"Les seigneurs'' ,ce film me donnait vraiment envie de découvrir ce fameux premier essai à la comédie de la part d'Olivier Dahan,surtout que j 'avais vraiment aimer la bande annonce ,malheureusement a part quelques scènes bien sentie et une ambiance attachante,ce film semble recycler tout ce qui fais la comédie françaisse d'aujourd'hui...Et puis j'ai vraiment eu l'impresion d'avoir a faire a Camping 2 pour le thème social...Ce film avait le casting et le thème sympas de la reconversion des anciennes gloires de 98 ,mais malheureusement niveau scénario et dialogues c'etait pas sa,c'etait mal exploité et tellement caricatural,mais pris au deuxième degré l'histoire des huisiers et des capitalistes devient par contre très drole. Il en reste quelques bonnes idées bien sur et les roles sont sympas(Joeystarr et Gad se détache du lot,ils sont les plus droles ) , on passe pas un moment désagréable certe mais c'est une déception (comme 90%des comédies de l'héxagone),et puis le tout est si prévisible...A voir à l'occasion quand dehors il pleut comme en Bretagne ...
ouais...bof...avec tout ces acteurs je m'attendais a mieux que sa... vraiment pas terrible... j'ai souri a quelque passage, ce n'est pas un film que je conseillerais.
Chacun dans leur registre, les Expendables de la comédie française ne font rien de nouveau. Purement commercial, on rit tout de même parfois dans ce film gentillet.
Sans rentrer dans les détails du pourquoi je suis allé voir ce film, je dois dire que, si je ne m'attendais pas à l'oeuvre du siècle, je nourrissait malgré tout le secret espoir de sourire au moins... une fois... Bien mal m'en a pris. Ce film est tout simplement une purge. La pire qu'il m'ait été donné de voir même. Farandole d'humoristes 'bankable' plus mauvais les uns que les autres, scénario qui tient sur un timbre poste (je ne m'attendais pas à autre chose ceci dit), mais surtout clichés si ÉNORMES qu'ils en deviennent indigestes après à peine 10 minutes. Le film essaye de dénoncer les excès du foot en les caricaturant avec la subtilité d'un enfant de 3 ans qui aurait redoublé sa première section. Voir ce film peut cependant s' avérer intéressant si l' on voir comment un gros budget peut être si mal utilisé !!!
Aaaaaaaaaah c'est dommage ! Ce film aurait pu être super mais non ce n'est pas le cas ! Il se laisse voir, certains passages sont drôle, le scénario n'est pas degueulasse ! Et le casting est génial voir un peu trop d'ailleurs ! Mais tout ces bons points sont mal utilisés ce qui rend un film.... bof.... Heureusement que je les vu chez un ami et pas au ciné car ça ne vaut pas de payer... Bref pas super quoi ! J'ai failli mettre 1 étoile et demi mais je dois avouer que tout de même la prestation de Gad Elmaleh est géniale c'est pour cela que j'en mets 2 et demi :)
"Les Seigneurs" était sans doute l’un des projets les plus alléchants de l’année, avec son casting comique quatre étoiles et la présence intrigante du sérieux Olivier Dahan sur le siège du réalisateur. Malheureusement, il manque au film un scénario un tant soit peu construit pour espérer convaincre. On a droit, ici, à une intrigue hyper minimaliste (un groupe d’anciennes gloires du foot tente de sauver un petit club breton) qui ne craint pas de se prendre au sérieux en se la jouant Ken Loach (avec une description bien caricaturale des gentils Bretons victimes de la crise mais heureux quand même et des méchants huissiers de justice sans scrupule). La caricature touche également les personnages, tous plus monochromatiques les uns que les autres… mais qui ont la chance d’être sauvé par leurs interprètes. Car, bien qu’il les sous-exploite pour la plupart, "Les Seigneurs" peut compter sur ses acteurs pour sauver les meubles. On retrouve donc un Gad Elmaleh hallucinant en meneur de jeu hypocondriaque, Omar Sy en clone de Thuram étouffé par une femme castratrice, Ramzy Bedia en goal camé qui veut jouer avant-centre, Frank Dubosc en attaquant égocentrique qui fait l’acteur, JoeyStarr en terreur des terrains ou encore Jean-Pierre Marielle en Président de club (sans oublier le cameo amusant de Jean Reno). Etonnement, José Garcia, qui tient le rôle principal, est sans doute le personnage le moins drôle… ce qui pousse même à se demander pourquoi Dahan a fait appel à lui pour exploiter aussi peu son génie comique, surtout face à des camarades de jeu déchaînés qui, au détour d’une scène ou à l’occasion d’une réplique inespérée, parviennent à faire rire. Ces bons moments (les crises d’angoisse de Ziani, l’interrogatoire de Marandella devant le Juge d’Instruction, l’interview de N’Dogo qui prétend être en thalasso…) sont cependant trop rares pour parler de réussite. La faute en incombe également à Olivier Dahan qui prouve qu’il n’est pas un réalisateur de comédie et qui nous livre une réalisation étonnement plate et sans saveur, qui n’économise pas les longueurs. Et puis on aurait aimé qu’un film qui sait se montrer crédible dans son approche du foot (les clins d’œil aux Bleus de 98 sont appréciables, comme les extraits de presse et l’apparition furtive de Téléfoot, le générique de fin façon vignettes Panini est excellent…et surtout les matchs ne sont pas ridicules), aille bien plus loin dans sa description de l’envers du décor (ce qu’avait su faire "3 zéros") et ne joue pas non plus vraiment avec le football d'aujourd'hui. Le regret est d’autant plus amer que l’amorce du film (où Orbera va recruter ses anciens partenaires) laissait penser qu’on aurait droit à une intrigue davantage tournée vers les travers du foot. "Les Seigneurs" (qui s’avère être un titre peu pertinent) est donc loin de la comédie de l’année annoncée, ce qui s’apparente à un sacrilège au vu de l’or que le réalisateur avait entre les mains… mais reste un gentil divertissement tout public qui ne mérite pas forcément les commentaires acerbes dont il a fait l’objet lors de sa sortie.