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Norbert Sautelles
3 abonnés
497 critiques
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3,0
Publiée le 30 mai 2022
Encore une histoire sur le pauvre Ip Man. Il est probable que la réalité soit très différente de tous ces films qui célèbrent son art personnel du kung-fu. Ici nous avons une production avec beaucoup de moyens pour tout ce qui concerne les éléments techniques: décors, costumes (nous pouvons noter un très bon travail sur les costumes), maquillage et l'ensemble des productions values. Le scénario est encore le patron standard avec les méchants Japonais, avec la méchante école concurrente, avec le maître trahie, une histoire romantique contrariée, avec le maître qui est assassiné ou en tout cas ici il y a un maître qui meurt tout seul puis un autre qui est assassiné. La qualité de ce genre de film est liée aux combats et aux chorégraphies. Dans ce film ils arrivent à intervalles réguliers et sont plutôt bien exécutés, l'acteur principal étant convaincant; Les chorégraphies sont bien mises en scène avec beaucoup de plan d'ensemble et très peu de plans rapprochés. Les chorégraphies incorporent beaucoup de destructions d'éléments de décors, ce qui leur donne du punch. Le metteur en scène n'insiste pas sur la violence des combats, mais il y a en a quelques-uns de spectaculaires et vraiment violents dans leur manière de casser les meubles les murs et le décor environnant. Dans les éléments très typiques de ce genre de production, il y a une direction d'acteur et une dramaturgie approximative voire à la serpe, ainsi que des éléments de philosophie associés au kung fu bien sûr, qui sans être risibles sont parfois un peu lourds (et un peu ridicule). Sinon il est très sympathique de revoir Sammo Hung (pas longtemps) ainsi que Yuen Biao (sur toute la durée du film), vieux comparses de Jackie Chan (époque où il faisait les cascades lui même).
Les combats sont variés et spectaculaires et Dennis To, qui reprend derrière Donnie Yen, est à son tour un sacré artiste martial qui n'a pas à rougir de porter ce prequel. Il endossera par ailleurs une seconde fois le rôle pour Kung Fu Master. Comme la majorité des films de cette franchise, la crédibilité et l'avènement de faits majeurs dans la vie du maître Ip Man, impose du spectacle au détriment d'un portrait exemplaire. Il est certain qu'on prend du plaisir, mais ne pourrait-on pas laisser les histoires d'espionnage à d'autres. Avec le cinéma, ce personnage sera devenu populaire et reconnu au-delà de ses frontières, un mythe sans contour, chronologie ni véracité. Un pur produit de cinéma.
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18 103 critiques
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1,5
Publiée le 1 avril 2021
De nombreux acteurs de cette suite d'Ip Man avec Donnie Yen sont au casting de ce film mais c'est tout ce que ces films ont en commun. L'acteur principal n'est pas Donnie Yen. Son visage et son langage corporel étaient ceux d'un acteur inexpérimenté. Il y a deux histoires d'amour inutiles qui sont incluses mais elles n'apportent rien à l'intrigue. Elles n'aident pas du tout à construire son personnage. Les enfants acteurs sont probablement les pires que j'ai vus de ma vie dans un film car ils récitent leurs textes littéralement ligne après ligne...
film moyen. le scénario est excellent pendant presque tout le film sauf a la fin où ça dérape complètement qui est en plus incohérent avec tout ce qui c'est passé pendant tout le long du film. il n'est pas censé y avoir de méchant de fin vu que le film est censé montrer l'enfance et l'adolescence de yip man pas d'action, le méchant du film est l'un des personnages censé être celui du premier film du coup c'est un foirage TOTAL, ont ne voit pas yip man se marier comme c'était prévu. a la fin, ont a le sentiment d'avoir loupé une grosse partie du film ou de ne pas avoir compris une grosse partie du film.
Alors que Wilson Yip avait déjà sorti sur les écrans son second opus, Herman Yau sort à son tour un film consacré à Ip Man. Ce qui est plutôt malin c’est qu’il s’intéresse à une période que n’a pas traité son prédécesseur et le spectateur découvre ainsi la jeunesse du futur Maître du Wing Chun. Pour l’incarner, on a fait appel à Yu-Hang To qui, s’il n’a pas le charisme de Donnie Yen, ne se montre pas moins talentueux lorsqu’il s’agit de faire parler ses poings et ses pieds. On peut également saluer la présence dans le casting d’Ip Chun, l’un des fils du Maître qui incarne Leung Bik apportant aussi une touche d’authenticité dans l’histoire. Ip Man : La légende est née se caractérise moins par le côté spectaculaire mais se révèle un beau complément à ce qu’on a déjà pu voir.
J'ai vu un film... vraiment moyen... Le doublage est absolument catastrophique, le jeu des comédiens est d'une pauvreté absolue, les dialogues sont fades et les combats sont le seul intérêt de ce film... Donc bof...
cette nouvelle adaptation de la vie de Yp man se concentre plus sur sa jeunesse plutôt que l'âge adulte comme c'était le cas avec les film avec Donnie Yen , mais ce film retrouve d'autres acteurs ayant joué dans un des trois précédents film notamment est l'acteur Sammo fidèle ami de Jackie Chan qui tient ici un rôle bien différent que celui qu'il tenait dans l'un des précédents film. c'est qui montre plus la jeunesse s'attarde sur son amitié avec d'autres personnes relation amoureuse le kung-fu etc . même s'il le film a quelques lacunes au niveau du scénario c'est plutôt un bon divertissement même si par moment on trouve parfois le temps long. Des belle scène d'action et de combat ainsi que de chorégraphie et un combat final qui dure très longtemps pour le plus grand plaisir.
Retour sur la jeunesse d'Ip Man ! Nous avons droit à un bon casting concernant le jeune Ip Man, mais en revanche, et même si ce film se présente quelque peu comme un "hors-série", ils auraient pu éviter de reprendre des acteurs présents dans les précédents épisodes pour venir ici incarner des personnages différents, de façon à laisser un minimum de cohérence dans cette saga. Bien que ce film soit tout à fait honorable, et que la technique martiale soit au rendez-vous, cet épisode monté sur un scénario de trahison fraternelle (ou pas) avant de se clore sur un combat final à la "Bloodsport" (à l'aveugle avec de la poudre aux yeux), restera moins attractif que les films de Wilson Yip avec Donnie Yen.
4.5/5 Un chef d'oeuvre d'action d'art martiaux, un scénario très bon des acteur avec un réel charisme et surtout des combat terriblement bien réalise super film a voir et revoir.
On est loin de la classe de Wilson Yip mais c'est quand même un bon film, avec de bonnes chorégraphies de combat et c'est plutôt intéressant de voir comment a évolué ce maître de Kung Fu.
Ça ne m'arrive pas souvent mais j'écris cette critique plusieurs semaines après avoir vu le film, cette façon de faire est peut-être moins pertinente mais au moins elle permet de soumettre ---------- à l'épreuve du temps. Force est de constater que ce ce Ip Man y échoue lamentablement. Je ne me souviens juste avoir pensé que les combats étaient assez bien chorégraphiés compensant tant bien que mal un scénario insipide. Pire ! Si j'essaye de me remémorer quelques scènes, il ne m'en revient que celles du Ip Man de Wilson Yip avec Donnie Yen que j'avais vu un peu avant donc... quitte à choisir, tournez vous vers ce dernier, bien meilleur.
Surfant sur le succès des films précédents, Herman Yau reprend le flambeau en proposant la jeunesse du célèbre maître de Bruce Lee. Il recrute un acteur ressemblant fortement à Donnie yen, allant même jusqu'à reprendre Sammo Hung Kam-bo dans un rôle totalement différent de celui de Ip man 2. Surprenant non ? A la vue du scénario et des scènes de combat, je ne vois pas en quoi la légende est née. On pourra rester volontiers sur les deux premiers films, celui-ci n'étant pas du tout indispensable.
De la guimauve, les dialogues sont au raz des pâquerettes et malgré quelques scènes de combat on s'y ennuie ferme....et la musique ne fait rien pour arranger le scénario insipide. Aucune comparaison devant les 2 Ip Man.
Dans ce film, il y a tout ce qui donne envie de regarder des films de Kung Fu : de magnifiques combats, de belles leçons… de vie aussi, des bons acteurs mais aussi de vrais maîtres qui jouent aux acteurs … Bref c'est de la bombe cette préquelle.