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Un visiteur
3,5
Publiée le 28 février 2013
La tentative de revivre après la came est réaliste et super bien jouée. La seconde partie est un peu lente, mais le fond et la forme valent le coup d’œil !
Le film est pas mal, mais assez déprimant, sur les errance d'un jeune homme mal dans sa peau qui a essayé de lutter contre son addiction, à ne pas voir si vous avez le blues...
Il faut toujours se méfier des films qui arrivent de Scandinavie. Non pas qu’ils soient dangereux mais bien parce qu’il étonnent. Il y a bien eu, par le passé, des cinéastes respectés qui offrent des métrages défiant les lois du cinéma (Ingmar Bergman pour ne citer que le plus célèbre ou Lars Von Trier depuis une vingtaine d’années). Aujourd’hui, il faut prendre en compte de nouvelles têtes. On connaît Thomas Vinderberg (le choc Festen), Lukas Moodyson (le sublime Fucking Amal) ou Nicolas Winding Refn. Il faudra ajouter Thomas Alfredson (Morse, le meilleur film de vampires depuis longtemps) et Joachim Trier. Oslo 31 août, sa deuxième livraison, se pose comme une claque absolue et se place directement comme un candidat sérieux au titre de film de l’année 2012.
La suite sur mon blog : http://critiqueconnection.wordpress.com/2012/03/08/oslo-31-aout/
Un film mystérieux, très lent, beaucoup trop de longueurs et des dialogues sans grand intérêt. Très étrange ce cinéma norvégien, j’ai pas accroché du tout.
On y va parce qu'on a déjà vu tous les films à l'affiche et en ressortant on se dit qu'on a bien fait. On suit le personnage principal, on l'écoute et on aimerait lui parler. On se retrouve à Oslo le 31 août, mélancoliques.
Un Toxico qui sort de cure et qui essaie de raccrocher avec sa vie d'avant. C'est très réaliste et très glauque. Pas d'artifice, juste la réalité, des scènes très longues ou on sent bien le malaise, ou on se demande pourquoi on vit...Très tendu tout le film.
Ma critique ne peut être que subjective (ce qui, avouons-le, démontre la puissance de ce chef d'oeuvre) tant ce film est l'accomplissement d'une pensée et d'une sensibilité qui m'habitent et qui, j'en ai désormais la certitude, m'habiteront pour l'éternité - au sens propre comme au sens spinoziste du mot.
Alors merci, merci Joachim Trier pour autant de lucidité et de grâce.
Film poignant sur un être perdu. L'acteur principal est génial, le scénario est bien écrit, et la réalisation, en toute finesse, nous ballade comme elle veut. Très très bien
Anders Danielsen Lie interprète ici un jeune homme sortant d'une cure de désintoxication, qui tente de s'intégrer dans la société, ce qui passe tout d'abord par la recherche d'un emploi. L'histoire est simple, mais les acteurs sont tous impeccables (Anders Danielsen Lie est parfaitement crédible dans le rôle principal, Ingrid Olava est brillante, Hans Olav Brenner est très bon et on peut dire la même chose du reste du casting), la mise en scène est particulièrement soignée, et le résultat final est très touchant.
Une plongée saisissante dans la vie d'un ex toxicomane qui essaye de reprendre goût à la vie. Anders Danielsen Lie est d'une justesse incroyable dans le rôle de ce jeune homme qui semble détaché de tout, de sa vie, de ses amis ect L'esthétique du film est magnifique et la bande son accompagne parfaitement sa journée. Un film émouvant et qui met en lumière un sujet difficile mais important. Le film à voir de ce début d'année 2012 !
Une pépite! On pense à peu à ce que fut 'More' de Barbet Schröder il y a 35 ans. Là, ce n'est pas la descente aux enfers progressive dans la drogue, c'est la tentative de sortie après une cure de désintoxication qui est filmée. Tous les parents de jeunes qui se droguent devraient emmener leurs enfants voir ce film, pour leur montrer combien 'l'après' est difficile, et pavé de mauvaises surprises. Le héros, formidablement joué par quelqu'un qui a du vivre ces moments difficiles, ce n'est pas possible de capter un rôle aussi justement, va de désillusion en désillusion: Il n'arrive à revoir que son passé, et il lui est impossible de se projeter dans un avenir serein. la drogue lui a fait perdre sa jeunesse, ses amis, ses rares bonheurs, sa vie peut-être. Bref, foncez voir Oslo, le 31 août!
Encore un drame norvégien d'une beauté exceptionnelle. Ce film ne manque pas de nous faire vivre en détail, la vie d'un toxico-man récemment clean, de décrire ses relations avec la société ou encore son combat psychologique qu'il mène. Sa joie et ses crises décrivent parfaitement l'état confus de ce jeune de 34 ans. Un film à voir absolument
Un film mélancolique mais si réaliste qu'il nous poignarde le coeur. Une bande son donnant des frissons, des images parfaites, un sujet marquant ...en résumé... un cocktail enivrant. Ne pouvant pas laisser indifférent... ce récit vous trottera dans la tête plusieurs jours.
Le réalisateur a choisi des plans ''pudiques", restant subtile et y mêle vérité et métaphore ce qui rend cette pellicule si différente des films traitant du même sujet.