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Ju Casey
1 abonné
15 critiques
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5,0
Publiée le 30 mars 2021
Très belle histoire, les personnages sont attachants, magnifiquement bien écrit j'ai adoré le regarder et je le recommande a tout ceux qui aime les films d'animation.
Visuellement très intéressant. Poétique et délicat. Il rappelle les premiers films de son père plus que ceux oniriques qui ont fait sa réputation. Ce film est très beau et il transporte. Ce n'est pas le chef d'oeuvre absolu mais il mérite largement une bonne notation.
Ce film n'est pas terrible. Le scénario est mal fait et le film part un peu dans tous les sens. Pour les fans de Hayao Miyazaki, vous allez être déçu !
Légèrement déçu par La Colline aux Coquelicots. En effet, je trouve que ce film souffre clairement de la comparaison avec les autres films Ghibli, et ce même si je suis loin de les avoir tous vu. Pour l'instant, c'est d'assez loin le moins bon que j'ai vu, même si globalement le film reste pas mal. Le principal regret que j'ai, c'est que le film a très peu d'ambition comparé aux autres : l'histoire se concentre sur un groupe de lycéens et va décrire leur procédure pour que le quartier latin ne soit pas détruit. Et parallèlement, on va suivre une histoire d'amour entre une lycéenne et un lycéen. Autant dire que ça donne un côté teen movie au film, qui est assez original comparé à ce que fait Ghibli d'habitude, mais qui ne rattrape pas certains défauts. L'histoire et le développement des personnages est bien moins réussis que dans d'autres films, et le tout n'est franchement pas émouvant, sûrement car je n'étais pas très attaché aux personnages. La direction artistique est également très loin d'avoir l'inventivité d'un "Château ambulant" ou la poésie d'un "Tombeau des lucioles". Ça n'empêche que comme toujours, l'animation est excellente, mais elle n'a pas cette direction artistique qui permet de rendre le film inoubliable visuellement. Après, ça reste un film des studios Ghibli, qui ont un réel savoir-faire, le film reste donc agréable à regarder et ne traîne jamais en longueur car il ne dure que 1h30. Je suis donc peut être un peu sévère en mettant uniquement 3 étoiles, mais je ne me vois vraiment pas lui mettre plus tant le film est moins qualitatifs que les autres films de Ghibli que j'ai vu. Bref, petite déception, même si ça reste un bon teen movie devant lequel vous pourrez passer un bon moment. Je ne vous le déconseille pas spécialement, même si c'est loin d'être un chef d'œuvre du studio Ghibli.
LA COLLINE AUX COQUELICOTS (2012): C'est dans une ambiance très lycéenne début des années 1960, que nous allons apprendre à connaitre cette jeune japonaise se prénommant Umi. Volontaire, elle veillera que tout son petit monde se sente bien dans cette vieille demeure se situant au sommet d'une colline surplombant le port de Yokohama. Un dessin animé bien rythmé par une orchestration swing, jazz. Je ne doute pas qu'Umi soit amie avec ce crayon qui lui a dessiné les traits d'un visage si avenant Une personnalité intelligente et entreprenante, qui réussira à développer autour d'elle une grande sympathie. Un scénario d'une grande tendresse, qui passionnera par cette intrigue sur les origines d'Umi et de son ami Shun. Les relations entre garçons et filles seront d'une grande courtoisie pour mener à bien une révolte sur un sujet qui pourra faire sourire. Une fin émouvante qui se conclura par une magnifique chanson Japonaise. Un film agréable pour ses personnages, son histoire, ses déclarations fortes et émouvantes, une mise en scène et une animation soignées, des décors réussis, une richesse musicale, une petite pépite de Goro Miyazaki, cette fois-ci papa Hayao était derrière le fiston, après le médiocre CONTES TERREMER. LA COLLINE AUX COQUELICOTS, un GHIBLI rempli de charme.
Un film où Miyazaki père est scénariste et son fils réalisateur adaptation d'un manga de 1980. Pas de magie, ni d'univers fantastique c'est un film réaliste et en partie historique comme le sera le dernier film de Hayao un peu moins de deux après Le vent se lève. L'ensemble est intimiste et se rapporte au Japon d'après guerre jusqu'à un peu avant les J.O. de 1964 à Tokyo qui furent un événement mondial important. La sensibilité est le point fort du film, il manque peut être un peu de créativité et de rythme mais aussi des pointes de poésie qui auraient pu en faire un chef d'oeuvre. Mais cela tient d'un art qui ne se commande pas. C'est tout de même une atmosphère fort agréable, très humaine, bienveillante et cohérente qui est transmise dans ce film romantique à souhait. Dans ce sens pas pour les petits mais recommandable pour les ados peu exubérants.
C’était bien , dans le genre nostalgique , Un village où les protagonistes s’ouvrent à l’envie d’aller plus loin dans le cadre de leur étude et jeunesse et essaient d’aller au delà de eux mêmes. Mais l’histoire qui aurait pu être un grand drama avec beaucoup d’émotions est une histoire basique où l’on ne ressent quasiment rien . Dommage
La Colline aux Coquelicots, second long métrage de Goro Miyazaki m'a énormément plu. Il s'éloigne de la noirceur de son précédent film Les Contes de Terremer et se rattache plutôt à la lumière et au réalisme. Sa toute première composition comportait quelque ratés mais sur le fond ( comme sur la forme ) m'avais toutefois envoûté et je dois dire qu'une fois encore le coup c'est répété. La comparaison avec le père étant devenue pénible à force, j'apprécie au contraire qu'il se détache y compris des ses propres astuces.
L'ancrage de ce film est aussi très jolie et narre une histoire qui sans être trop retors couve néanmoins un sujet et ce l’approprie. Aucune démesure dans cette Colline aux Coquelicots au contraire. La Modestie est son centre, son repère le plus estimable et elle traverse le regard de chacun de ses protagonistes. Les quelques larmes de ce film d'animation sont aussi à notés. Là est tout son lyrisme.
Je souhaite qu'un jour Goro Miyazaki redirige un film pour le Studio, sa différence selon moi l’honore. En attendant il me reste encore quelque Ghibli à découvrir ( Le Vent se lève, Souvenirs de Marnie, Le Conte de la Princesse Kaguya ) ou à revoir ( Le Château dans le Ciel, Pompoko, Princesse Mononoké, Le Voyage de Chihiro, Le Château Ambulant) pour conclure cette rétro forte enchanteresse.
Ce deuxième film de goro miyazaki, fils de Hayao, est un film magnifique mais clairement sous estimé à cause d'un retournement de situation vers la fin. Clairement ceux qui s'en plaigne n'ont pas été jusqu'au bout du film. L'image est excellente, comme tous les films du real et la musique, bien que simple, accompagne comme il faut le long métrage. Si vous êtes fan de Ghibli, je le conseille vivement.
j'ai adore ce films la, l'histoire est vraiment belle est m'arrante. les personnages sont tres attahchant aussi. mais j'ai adorais la fins je l'a trouve vraiemnt pleine d'emotions.
Ce film d’animation m’a laissé perplexe. Il exploite deux axes. L’un d’eux m’a énormément plus, alors que j’ai détesté l’autre. On va commencer par le côté positif. L’histoire d’amour est très belle. J’ai trouvé que cette rencontre et tout ce qui en découle est émouvant. De plus, la bande originale est vraiment superbe. Cela ne peut qu’être un plus considérable. Sur ce point, j’ai vraiment apprécié ce que j’ai vu. Par contre, l’autre axe, qui malheureusement est le principal, va nous raconter la résistance autour du foyer. J’ai trouvé cela très brouillon. On ne sait jamais où on va et l’action est souvent confuse. C’est vraiment inintéressant. Malheureusement, ça vient plomber le film en lui rajoutant beaucoup de lourdeur. Il y aura des scènes avec les traits exagérés comme pour donner un aspect comique/ridicule mais je n’ai pas du tout accroché. J’aurais préféré rester sur le beau récit romantique. Il était très bien maitrisé. Le décalage entre d’un côté des moments émouvant sérieux et de l’autre un grand n’importe quoi, ne marche pas trop. On ne peut pas se rattraper avec les dessins qui pour une fois dans un film des Studio Ghibli ne sont pas ouffisime. On appréciera tout de même les références culturelles à la France (un peu de chauvinisme ne fait jamais de mal). LA COLLINE AUX COQUELICOTS est l’exemple type du film qui souffle le chaud et le froid. A vous de voir si vous êtes prêt à supporter beaucoup de lourdeur pour avoir un peu de beauté.