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    Pseudonym
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Pseudonym" et de son tournage !

    Gang des barbares et Internet

    La naissance du film est à mettre en parallèle avec le sentiment d'horreur qu'a éprouvé Thierry Sebban lors de l’affaire du gang des barbares, mais aussi avec un sujet de société bien actuel qui l'interpelle en tant que père : la dangerosité d’Internet pouvant donner le champ libre aux agissements les plus pervers. Le metteur en scène explique également qu'en France, plus de 10 000 personnes disparaissent par an et que l'on peut se demander si Internet n'a pas aggravé les choses en étant devenu un vecteur de ce sinistre phénomène.

    Violence perverse

    Thierry Sebban voulait travailler sur la violence perverse et dévastatrice d’un prédateur qui satisfait un désir de pouvoir absolu de disposer de la vie d’autrui. Il explique : "Le prédateur de Pseudonym est un genre de « thrill killer », qui fait tuer pour le frisson. Un meurtre qu’il contemple via Internet, pendant lequel il jouit de la souffrance de sa victime. Des instincts morbides liés en quelque sorte à l'acte sexuel. Dans le film, la violence est plus psychologique que réelle. Elle s’effectue la plupart du temps hors-champ, mais également de façon sonore ou musicale."

    Peintre de la cruauté

    Toujours au sujet de la violence représentée dans le film, Thierry Sebban s'est inspiré notamment de la peinture de l'Anglais Francis Bacon qui illustre le mieux l’animalité de l’être humain.

    Une musique menaçante

    Thierry Sebban a voulu que la musique du film soit électronique parce qu'elle symbolise le monde moderne et son aliénation à la technologie. Le compositeur Nicolas Baby (membre du groupe FFF) a construit la musique essentiellement autour de la violence qui évoque une menace qui plane, comme un personnage à part entière, et clairement associée au rôle de Monsieur, le prédateur campé par Simon Abkarian.

    Un film militant

    Pour Thierry SebbanPseudonym n'est pas un thriller moralisateur mais a pour vocation d’embarquer le spectateur dans une fiction qui pourrait arriver… Il s'agit également pour le réalisateur d'un film militant qui parle d’une cause dont les parents ont la responsabilité de s'emparer.

    Un rôle éprouvant

    Pour ce premier long métrage derrière la caméra, Thierry Sebban a longtemps hésité à interpréter Alex. Le metteur en scène a finalement décidé de ne pas faire supporter ce rôle éprouvant à un autre acteur pour lequel il confie s'être fêlé une côte et fini couvert de bleus !

    Retrouvailles

    Les comédiens Igor Skreblin et Simon Abkarian avaient déjà collaboré avec Thierry Sebban sur la série de Canal+, Pigalle, la Nuit. Le cinéaste se rappelle pourquoi il a fait appel à eux : "J’ai tout naturellement pensé à eux pour les rôles de Sergueï et Monsieur car ils ont la puissance et la finesse de jeu pour incarner ce genre de personnages mais aussi la générosité nécessaire pour ce type de projet."

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