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    Une histoire vraie
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    275 critiques spectateurs

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    Gilles Nussbaumer
    Gilles Nussbaumer

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 décembre 2021
    La chienlit absolue.
    J'ai cru à une blague. Attendre que le film démarre, voir le gars avancer durant des longueurs interminables à 2 sur sa tondeuse, avoir des dialogues inintéressant au possible. Pas d'histoire, pas une Filmer une vdm.
    Et le film se termine sur une platitude incroyable.

    Boulversifiant pour certains, le Néant pour moi.

    À la fin, de colère de ce foutage de gueule, j'avais envie de tuer des petits chats.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    920 abonnés 4 839 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juin 2021
    Un très beau film qui est aussi une histoire de vie.
    L’occasion pour cet homme de tirer les conclusions de son existence. Que garde-t-il de bon et de mauvais?
    C’est émouvant et sensible avec une galerie de personnages vraiment attachants.
    Cinémonde
    Cinémonde

    132 abonnés 1 415 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2021
    Le film est pas mal, les plans sont magnifiques et l'histoire est très belle, malheureusement le cinéma de David Lynch est un peu trop ennuyeux et un peu long. Le film n'est pas assez divertissant, comparé aux films indépendants de Ken Loach ou autres films indépendants.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 415 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 avril 2021
    Alvin Straight (Richard Farnsworth) est un vieil homme. Il marche avec deux cannes et il est presque aveugle. Il ne peut pas conduire une voiture et son frère vient d'avoir une attaque. Lui et son frère ne se sont pas parlé depuis plus de 10 ans et Alvin décide qu'il doit voir son frère. Alors Alvin traverse l'Iowa en direction du Wisconsin sur une tondeuse à gazon. Le film dure presque 2 heures d'ennui total. D'abord nous voyons plan après plan des champs de maïs de l'Iowa en train d'être récoltés et des gros plans de l'asphalte qui passe à toute vitesse sous la tondeuse à gazon. Par intermittence nous sommes soumis à la philosophie familiale de ce vieil homme qui parle aux gens qu'il rencontre sur son chemin. La plupart de ces discussions sont mélodramatiques et banales. Le problème n'était pas tant que le film soit ennuyeux ou qu'il n'avait pas de sens ce qu'il était. Mais qu'il s'agissait d'une bande de types d'Hollywood qui prenaient de haut les habitants de l'Amérique moyenne. Il y a de petites maisons à colombages des portes moustiquaires. Les vieux qui traînent au café de la petite ville sans raison. Y avait-il une vieille serveuse sympathique je ne m'en souviens pas. Mais il y en avait certainement une. Et pour couronner le tout il y a la Spacek qui bégaie et dont les enfants lui ont été enlevés par le grand méchant gouvernement et nous sommes censés nous sentir désolés pour elle et peut-être même pleurer parce que tout cela est si triste. Dépeindre la vie dans une petite ville américaine doit être difficile pour les citadins sophistiqués qui font des films. Même les meilleurs efforts récents peinent à faire les choses correctement. Mais Une histoire vraie ne semble même pas essayer de l'être et il n'y a donc aucune excuse...
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    160 abonnés 2 421 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mars 2021
    Une histoire vraie est un bon film de David Lynch (comme d'habitude).
    Sans doute le film le plus terre-à-terre du réalisateur : aucune vision onirique ou personnage étrange et burlesque (ce dont je ne suis pas particulièrement fan dans les films du réalisateur). Ici, Lynch raconte l'histoire vraie d'Alvin Straight, ayant décidé de faire presque 400 kilomètres sur son micro-tracteur tondeuse à gazon, afin de voir son frère. Cette idée, assez loufoque, est bien retranscrite à l'écran. Les acteurs sont bons, à commencer par Richard Farnsworth et Sissy Spacek, qui rendent leurs personnages extrêmement attachant.
    C'est un bon film.
    Tom Bombadil
    Tom Bombadil

    5 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2020
    Quelle curiosité que ce Une Histoire Vraie.
    Rencontre improbable entre les studios Disney et le très singulier David Lynch, le huitième long-métrage du cinéaste se montre bien plus "terre-à-terre" que les précédents, l’artiste abandonnant toute idée liée à son univers si particulier, qu’elle soit surréaliste, symbolique ou onirique, pour livrer une adaptation de faits réels, indubitablement ancrée dans notre monde, sans artifices.
    Lynch signe ici son film le plus "banal", constat d’autant plus flagrant car il est situé entre deux pierres angulaires de son cinéma typiques de son style, Lost Highway (1997) et Mulholland Drive (2001). Mais si le film est plutôt classique et détonne dans la carrière du bonhomme, il n’en est pas moins bon et n’est pas si impersonnel que cela.

    Derrière ce speech étonnant mais pourtant authentique qu’est le voyage d’un vieil homme à travers 600 kilomètres en tondeuse à gazon, Lynch délivre avec émotion un lien fraternel en même temps ébranlé et inamovible, à travers le personnage d’Alvin, qui n’a pas vu son frère depuis 10 ans depuis un imbroglio entre eux, mais qui n’hésite pourtant pas à traverser deux états du pays pour le rejoindre lorsque celui-ci fait une attaque.

    Ne durant pourtant que moins de deux heures, le long-métrage est à l’image du moyen de transport utilisé par Alvin : très lent. Il y a une tripotée de films qui jouent avec le rapport au temps, qui le dilatent, le figent, le magnifient, montrent ses ravages ou la nostalgie qu’il suscite, mais dans ce lot, certains le font maladroitement, et d’autres, moins nombreux, le font bien. On pensera notamment à Richard Linklater, qui sait capter des moments fugaces mais forts d’une vie, Eastwood qui a fait de son vieillissement un thème à part entière dans ses films, ou encore Andreï Tarkovski, qui avait pour obsession de figer le temps et qui en a fait sa marque de fabrique. Lynch est également un artiste à part, qui à l’aide du montage défragmente le temps pour créer sa propre temporalité, en accord avec son univers si particulier.
    Et Une Histoire Vraie joue brillamment avec la temporalité, car le voyage d’Alvin, qui dure plus de 5 semaines, est retranscrit dans un film qui semble durer aussi longtemps. Ce qui est un défaut pour certaines œuvres qui à la longue ennuient à mourir devient donc l’une des forces du film, qui, derrière sa façade de production made in Disney, se révèle être un regard pertinent et intelligent sur la vieillesse, la fatigue causée par celle-ci et ses autres aléas, d’un point de vue plus global : le temps. Le personnage d’Alvin est filmé physiquement et moralement sous tous les angles, même les moins glorieux, la caméra montrant ses rides, les difficultés qu’il rencontre du fait de son grand âge, ses souvenirs du passé, de la guerre, de sa famille. Ce film est une œuvre qui parle du temps qu’il reste, du temps perdu, du temps que l’on cherche à retrouver. Car c’est ici la quête du héros, Alvin est à la recherche d’un temps révolu où il était en bons termes avec son frère, et cherche également à s’éloigner des mauvais souvenirs où ils étaient éloignés pendant une décennie, une décennie de temps perdu.

    Renforçant cette temporalité étendue, le papa de Twin Peaks joue la carte du contemplatif en misant sur des paysages vastes et grandioses et des plans très larges, qui montrent un héros bien petit par rapport à une Amérique sauvage et déserte. Lynch a toujours su bien filmer l’Amérique, que ce soit la cité des anges luxueuse de Mulholland Drive ou les petites villes reculées dignes d’une carte postale (comme dans sa série phare) et ici, il entraîne le spectateur sur les grands espaces dont il avait commencé une ébauche dans certains segments de Sailor et Lula. Et le fait qu’Alvin se déplace sur ce moyen de locomotion aussi atypique mais aussi traînant que cette tondeuse à gazon renforce ce gigantisme et ce rapport qu’a l’homme envers un monde trop grand pour lui, et le caractère humble du vieil homme contraste magnifiquement, comme s’il se savait insignifiant devant tant d’immensités naturelles.

    Et ces étendues de champs à perte de vue et ces routes qui n’en finissent plus ne sont que le reflet d’une Amérique morte aujourd’hui mais toujours fantasmée, une Amérique sauvage et indomptable, avec loin des métropoles connues ses recoins non encore apprivoisés par l’homme. L’ Amérique montrée dans ce film est l’Amérique du Far West, des premiers colons. Une Amérique fantasmée mais pas que, les américains aussi on un traitement similaire. Lynch dépeint un homme humble et plutôt simple, qui rencontre sur son chemin des gens aimables qui lui rendent service, comme s’il idéalisait, à la manière d’une carte postale vivante, un pays et ses habitants.

    Sous les partitions longues, lancinantes et nostalgiques d’un Angelo Badalamenti fidèle au réalisateur, les acteurs s’en sortent avec brio, dont on notera en premier lieu une dernière performance touchante et humaine d’un Richard Farnsworth qui cassera malheureusement sa pipe l’année suivante. Sissy Spacek interprète également avec équilibre la fille un peu à l’ouest du héros et même s’il n’apparaît qu’à la toute fin du film, spoiler: Harry Dean Stanton livre une image forte en tant que frère en l’espace d’une seule minute. Car une image vaut mille mots comme on dit, et sa réaction lorsqu’il jette un œil à la tondeuse de son frère en dit long, il n’a même pas besoin de parler (en tout cas il ne l’aurait pas fait, la scène aurait eu plus d’impact émotionnel je trouve), tant tout le propos du film est gravé sur ce visage ému et ridé, celui d’essayer de rattraper le temps perdu tant qu’on le peut encore.



    Un film atypique d’un réalisateur atypique, mais loin d’être insignifiant dans la filmographie de Lynch, ce film étant son œuvre la plus optimiste, presque bon-enfant (Disney étant producteur, rien de choquant là dessus) et sans cynisme.
    Et si c’est une prise de risque de la part d’un réalisateur plutôt conventionnel de signer une œuvre à contre-courant et sortant des normes habituelles, peut-être que la prise de risque pour un cinéaste tel que David Lynch serait de signer un film tout ce qu’il y a de plus banal et rentrer dans ce carcan hollywoodien qu’il a tendance à éviter...
    Philippe R.
    Philippe R.

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mai 2020
    Toute la sensibilité et l émotion de David Lynch sont portées ici par le touchant Richard Farnsworth, un road movie émouvant dans une Amérique bienveillante,sans méchants... Cette histoire vraie nous dévoile peut être le vrai David Lynch, pour une fois que l on sort heureux d un Lynch...
    nod s
    nod s

    5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 septembre 2018
    une tres belle histoire , un peut dans la ligné de burt monroe .tres émouvant , tres prenant , ce laisse regarder sans voir le temps passer
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    81 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2018
    Dans la filmographie éminemment complexe et passionnante de David Lynch, Une histoire vraie (1999) fait figure d’œuvre à part. L’histoire racontée, vraie comme l’indique le titre du film, est simple, limpide, profondément humaniste paraît en effet très éloignée des thématiques torturées du cinéaste.
    L’histoire vraie promise par le titre est celle d’Alvin Straight (titre original du film : The Straight story). C’est d’ailleurs à ce personnage, ici interprété par Richard Farnsworth, que David Lynch dédie ce film réalisé en 1999 soit trois ans après le décès du vrai Alvin Straight à l’âge de 73 ans. C’est cet âge qu’endosse aussi Farnsworth dans ce film qui sera son dernier rôle. En effet, l’acteur américain décèdera le 6 octobre 2000 à l’âge de 80 ans soit un an, quasiment jour pour jour, après la sortie du film en salle aux États-Unis.
    Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    582 abonnés 2 751 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juillet 2018
    « Ce qu’il y a de pire dans la vieillesse c’est se souvenir de sa jeunesse ». Cette phrase résonne à travers les champs traversés dans un flottement général, les collines courageusement arpentées malgré l’incommodité mécanique, entre deux feux de camp ou assis au comptoir d’un bar plutôt désert. A Straight Story sillonne le cœur et l’âme d’une Amérique rurale creusée par ses coutumes à l’instar des lignes causées par le passage d’une moissonneuse qui suit sa ligne droite, répète le cycle solaire, est transposée par l’odyssée d’un frère avançant dans l’inconnu pour rejoindre son semblable, uniquement guidé par la force fraternelle au rythme des saisons et des intempéries. Tout est relié par des fondus enchaînés magnifiques : le cristallin du vieil homme s’accommode, faisant cohabiter un temps deux images, le passé et le présent, la vie et la mort, l’au-delà étoilé et l’en deçà terrestre. David Lynch touche au plus profond de l’humain et signe une œuvre bouleversante de justesse et de poésie ; son regard est non pas neutre mais bienveillant, compatissant. Le calme ambiant heurte un spectateur trop habitué aux tumultes bruyants d’une production contemporaine, exige de lui une attention de tous les instants – il n’hésite pas à capter les dialogues depuis une distance importante, rendant leur compréhension plus difficile quoique possible si on tend l’oreille – comme raccordé à une nature première, à un rythme essentiel. La composition musicale d’Angelo Badalamenti diffuse une simplicité émouvante sans jamais appuyer un pathétique qui serait alors trop ostentatoire ; elle demeure apaisante, nostalgique d’une époque dont il ne reste que des survivants meurtris dans l’âme. En adaptant cette histoire vraie, Lynch offre à ses thématiques une base esthétique et émotionnelle immense, portée par des acteurs parfaits ; il continue, à sa vitesse, de sonder l’homme dans sa complexité et sa beauté fondamentales. Chef-d’œuvre.
    Ricco92
    Ricco92

    176 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 octobre 2017
    Après les films purement lynchiens que sont Twin Peaks : Fire walk with me et Lost Highway, David Lynch signe un film complètement différent de ses autres œuvres avec un film extrêmement classique : Une histoire vraie.
    En effet, ce film raconte une histoire qui s’est réellement déroulée, comme son titre l’indique, et qui concerne des gens simples possédant des plaisirs simples. Le rythme du récit est aussi lent qu’une tondeuse à gazon car le but n’est pas d’exciter le spectateur par un déluge d’action mais de l’attacher à des personnages possédant apriori des vies banales spoiler: (même si on découvre qu’ils possèdent chacun leurs parts de drames : Seconde Guerre mondiale pour Alvin, la perte de la garde de ses enfants pour Rose…)
    et de souligner le courage d’Alvin de se lancer dans une aventure aussi atypique et de rencontrer des personnes extérieures à sa vie habituelle spoiler: (ce qui explique que le film se termine avec les retrouvailles des deux frères qui sont à peine esquissées)
    .
    Bien que cette œuvre soit la plus classique de sa carrière et sûrement le plus lent des road-movies jamais tourné, David Lynch signe un beau film renforcé par l’interprétation pleine de douleurs intériorisées de Richard Farnsworth et de Sissy Spacek et la jolie musique d’Angelo Badalamenti qui souligne la tranquillité du rythme du film.
    Cronenberg
    Cronenberg

    212 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 février 2018
    Un film sympa mais sans plus on assiste un trajet effectué par un vieux sur un tracteur il fait de nombreuses rencontres intéressantes avant d'arriver à destination pour un bon dénouement. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 3/5
    Fabien S.
    Fabien S.

    457 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 août 2017
    Un chef d'oeuvre de David Lynch. Une histoire authentique rempli de poésie. Richard Farnsworth nous livre le plus beau rôle de sa carrière. Sissy Spacek joue son meilleur rôle après Carrie au bal du diable.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    90 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juin 2017
    Le film marque l'esprit avant même d'avoir commencé, et par deux choses encore ! Tout d'abord le titre, qui est d'une simplicité étonnante et qui a l'immense mérite de ne pas être l'étiquette d'une oeuvre mais sa définition, telle qu'elle s'adresse avec honnêteté au spectateur. Le titre anglais est "The Straight Story" : "vraie" et "straight" ont tous deux l'avantage d'être des adjectifs à la sémantique très large, et tous leurs sens s'appliquent au film pour de vrai : l'histoire est vraie, touchante, authentique, humaine. Tout ce qu'on perd en français, c'est que "Straight" soit le nom de famille du personnage principal.

    Quand à l'histoire, je suis obligé d'en témoigner à la première personne : je n'ai jamais vu d'histoire avec tant d'empathie et de compassion, à tel point que j'étais crispé par la crainte de voir apparaître un antagoniste, car la logique voulait qu'il y en ait un. Et c'est grâce à cette peur d'ailleurs que Lynch nous tient scotchés à nos sièges et nous fait les esclaves consentants de ce viol de l'esprit par tant de beauté, magnifiée par sa simplicité. Celle-ci triomphe en elle-même et pour elle-même, explose dans un hymne à l'Homme et à l'humanisme. En plus, le thème musical est vraiment beau. J'ai déjà dit "beau" mais l'oeuvre mérite bien que je m'abaisse à encore faire succéder ce mot à lui-même sans avoir plus rien à dire car nul discours ne pourrait rendre honneur à ce film. Allez, cinq étoiles !

    c3porikrin.wordpress.com
    Biertan64
    Biertan64

    42 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juin 2017
    Road trip. Tondeuse. David Lynch. Trois mots pour résumer et donner envie de découvrir l'histoire très touchante d'Alvin qui se lance à 73 ans dans le dernier voyage de sa vie pour retrouver - physiquement mais surtout moralement - son frère avec lequel il est brouillé depuis des années.
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