Le pire des fast ! Le concept de ce film au début c'était surtout nous en mettre plein la vue niveau bolide et course poursuite, maintenant c'est plus expendable remixé avec le transporteur 😭😭 autant dire que l'on s'est bien éloigné du concept d'origine .. Avec des séquences un peu too much (spoiler : le bras plâtré, la traversée des tours de abu dabi ou encore la séquence du rattrapage de Paul Walker avant la chute du bus) .. Seul petit moment émouvant : la fin hommage à Paul
Depuis le Quatrième opus, la franchise Fast and Furious s'est propulsé dans les hautes sphères du cinéma d'action top bourrin, repoussant sans cesses les limites du mauvais goût, des cascades cartoonesques et d'un casting de plus en plus testostérone. Ce nouvel opus n'échappe pas à la règle c'est con survitaminé, avec des scènes d’actions invraisemblables et à couper le souffle. Scénario inexistant, dialogues niais et personnages caricaturaux. La scène finale rend habilement hommage au regretté Paul Walker.
Pour cet épisode on change de producteur mais en rien ça affecte cette saga qui de film en film gonfle son budget ( 2 fois plus important que le sixième épisode), gonfle son chiffre d'affaire et nous épate visuellement.
De loin le plus aboutit de toute la saga, plus de deux heures d'action et de scènes de cascades quasiment non stop. On retrouve toujours le même casting qu'auparavant avec toujours une touche de comédie. Les effets spéciaux sont de bonne qualité, on ne peut pas dire le contraire. Petite mention spéciale a la scène finale en la mémoire de Paul Walker qui a vraiment été bien intégré au film.
Enième suite de l'une des saga les plus lucratives de l'Histoire du cinéma, " Fast and Furious 7 " assume totalement ce qui a fait son succès et sa renommée auprès du public. Dès les premières minutes, le spectateur comprend instantanément qu'il regarde un film étiqueté " Fast and Furious ". En effet, les éléments récurrents explosent littéralement à l'écran: esthétique clipesque, filles en bikinis, courses de voitures, musique permanente, montage rapide, et enfin la présence de Vin Diesel et Paul Walker au générique... Cette première scène est un clin d'œil évident au premier film de la saga. Néanmoins, petit à petit, des nouveautés apparaissent et rappellent au spectateur que cinq autres films sont passés auparavant. La principale nouveauté tient notamment du fait de la présence de scènes d'actions totalement surréalistes, d'un humour plus présent et moins sérieux... En ce sens, le film assume pleinement son statut de blockbuster et joue avec ces codes. Le vrai but de " Fast and Furious ", c'est de divertir et ce, en mettant tous les moyens possibles et imaginables d'impressionner le spectateur, de lui en donner pour son argent. Le film s'assume comme objet de gourmandise pour les fans de la saga. De ce point de vue, la scène de confrontation entre Vin Diesel et Jason Statham ne peut que les réjouir. " Fast and Furious 7 "fait partie de ces films qui, au même titre qu' "Expendables ", s'amuse à jouer avec le public, à faire appel à ses références, sa nostalgie de cinéphile. Ce film se fait le reflet du système hollywoodien actuel, ce dernier cherchant à produire des films funs et décomplexés sans prétention.
Autant on ne sort jamais grandi de cette saga autant, le temps du film le cerveau est resté à coté du fauteuil, laissant les images défilées à un rythme impressionnant, et visionnant des scènes directement sorties d'un dessin animé. PLV : détente
Bien que ce ne soit pas mon genre de film , je dois avouer que les cascades sont spectaculaires, le film n'a pas de temps mort, et la fin est émouvante. J'ai passé un bon moment.
Dans la lignée des précédents, pour ceux qui aiment l'action, les belles voitures et les jolies filles. Un hommage émouvant pour Paul Walker à la fin du film. A voir
Qu'il était attendu cet épisode avant tout parce qu'il s'agit de la dernière apparition du regretté Paul Walker. Il y aura forcément de l'émotion surtout si vous avez suivi l'histoire depuis le départ mais Fast & Furious 7 c'est aussi un concentré d'action. On avait déjà droit à un casting de gros bras mais voilà que Jason Statham & Tony Jaa s'invitent à la fête, de quoi exploser un peu plus l'écran. Les femmes ne sont pas en reste puisque Michelle Rodriguez devra elle se confronter à la championne de lutte MMA Ronda Rousey. Des scènes aussi époustouflantes qu'improbables, un spectacle tout simplement jouissif ; la saga est à son sommet et il sera difficile si ce n'est impossible de faire mieux. Un vrai Coup de cœur Ciné2909 pour un pop-corn movie pour lequel vous n'aurez pas besoin de faire fonctionner vos méninges !
Certains crient au génie quand l'acteur d'un film decede lors d'un tournage. Quand je vois les notes de cet opus de F and F, c'est le cas ici, film qui malgré ses qualités, ne brille pas par l'interpretation de ses acteurs. Bref on reprend juste aprés le precedent épisode et notre joyeuse équipe de hors la loi se rend rapidement compte qu'on leur en veut. Scénaristiquement, encore une fois, c'est risible. Kurt Russel a une armée à sa botte et envoie qui chercher le génie en informatique? et oui, notre bande de scoobidoo fans de véhicules tuning.... Bon, je ne sais pas ce que j'ai avec cette série mais un aspect sympathie se met en place lorsque je regarde ces films et même si les coups de barres sont impressionnants et bien j'en redemande encore. Il est difficile d'occulter le décés d'un des acteurs principaux et le film se fait bien de nous le rappeler mais cela n'est pas le principal. Pour moi cet opus est l'un des meilleurs de la saga de par ses scénes d'actions irréalistes mais jouissives et même si vous l'aurez oublié une fois vu, j'ai passé un bon moment de plaisir coupable, le même plaisir lorqu'on mange du nutella à la cuillere.
Après la GRANDE déception du sixième opus, j'avais peur pour le septième. J'ai était agréablement surpris. Sa part dans tout les sens et c'est ça qu'on aime. Les effets, les voitures, les lieux sont formidable. En passe des rires au larmes, avec un hommage poignant pour Paul Walker. Un petit bémol, le film à du mal à démarrer, les 20 première minutes sont d'un ennuie sans nom.