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    Spring Breakers
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    amaziam
    amaziam

    10 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 octobre 2014
    J'ai voulu le regarder car j'admire vraiment Selena Gomez, mais franchement je n'ai pas trop aimé ce film. Il n'y a pas vraiment d'intrigue, même si les acteurs sont bons.
    Arthur C.
    Arthur C.

    26 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 octobre 2014
    Je vais tenter de ne pas être trop désagréable dans ma critique mais je me demande simplement: Comment peut-on apprécier ce film à moins d'être complètement demeuré ? Je l'ai regardé par curiosité suite aux critiques assez divisés mais aussi pour afin de voir comment ce film allait traiter du sujet qu'est le "Spring Break" (pardonnez mon orthographe). Et si on peut s'attendre à un film captivant sur les coulisses de cette tradition américaine, on a en fait un vulgaire film avec des seins, des culs et des mots vulgaires sans aucune histoire qui tient la route. Bref ne perdez pas 1h30 à regarder ce film extrêmement décevant.
    Henrick H.
    Henrick H.

    3 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2014
    Après le visionnage du film, je comprends mieux les mauvaises notes spectateurs attribuées sans doute soit par des fans de Selena Gomez, soit par des personnes pensant assister à une resucée de Projet X avec des jeunes très funs qui se lâchent lors de méga grosses teufs. Et oui, ce n'est absolument pas un film grand public glorifiant les fameux Spring Breakers. Il s'agit plutôt d'un film à charge montrant toute la vacuité de cette jeunesse essayant vainement de sortir de leur quotidien tracé et de s'inventer pour quelques temps une vie merveilleuse faite de drogue, alcool et sexe.... une vie toute aussi superficielle et artificielle. L'ensemble fait penser à The Bling Ring de Sofia Coppola de par la thématique abordée mais aussi parce que ce sont les filles qui tirent les ficelles. Le découpage est déroutant mais il plonge le spectateur dans une forme de tourbillon comme les jeunes filles peuvent le vivre. Une réussite avec une bonne bande-son.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 janvier 2015
    Premier film d'Harmony Korine que je vois et c'est pas évident de rentrer dedans. Saturation de musique, saturation d'images gerbantes et que dire du destin de ces 4 pauvres filles qui s'accrochent a l'écran comme des plaies et dont on arrive facilement a se contrefoutre. 30 minutes passent et me vient l'idée de couper le supplice et de retourner voir ce qu'Araki faisait sur La Teenage Apocalypse Trilogy. Le lendemain, je me dis tout de même que je dois finir ce que j'ai commencé et je remet Spring Breakers. Le film se transforme peu a peu en une espèce de polar glauque ou résonne une prose idiote débitée par James Franco et quelques morceaux de Britney Spears. Et puis mes yeux ne parviennent plus a lâcher l'écran, voila ou mènent nos rêves et nos frustrations. Harmony Korine n'a pas choisi son casting et ses références au hasard puisqu'il ne fait que filmer le cauchemar d'enfants qui n'auront jamais pu grandir que dans leur rêves et qui en lâchant prise ne feront que se confronter a l'enfer qui les attend ou qu'ils aillent. Spring Breakers est un film difficile d'accès au plus grand nombre mais brillant pour celui qui en saisira la portée. L'analyse que j'en fais est que l'abandon est une nécessité pour survivre mais qu'il ne mène a rien de meilleur que la soumission, c'est juste l'antichambre de l'enfer. Les jeunes qui sont dépeints (je ne crois pas que dans ce film Korine fasse une généralité car ce serait une erreur) sont l'incarnation d'une génération déconnectée d'avec le réel, sans d'autres repères que la pop culture jusqu’à la nausée, leur destin est tout tracé et on leur dit même comment l' "oublier" ce destin : Springbreak ca veut dire ce que ca veut dire (littéralement) Je me souviens il y a désormais presque 15 ans d'une emission sur MTV dont je peine a retrouver le nom. On y voyait des Springbreak filmés. Ou est l’apologie publicitaire ? Chez Harmony Korine ou sur MTV ? Il y a un extrait du Jardin des supplices qui colle bien au message que j'ai ressenti dans le film : "Vous êtes obligé de feindre un respect extérieur pour des personnes, des institutions que vous trouvez absurdes… Vous demeurez lâchement attaché à des conventions morales ou sociales que vous méprisez, que vous condamnez, que vous savez manquer de tout fondement… C’est cette contradiction permanente entre vos idées, vos désirs et toutes les formes mortes, tous les vains simulacres de votre civilisation, qui vous rend tristes, troublés, déséquilibrés… Dans ce conflit intolérable, vous perdez toute joie de vivre, toute sensation de personnalité… parce que, à chaque minute, on comprime, on empêche, on arrête le libre jeu de vos forces… Voilà la plaie empoisonnée, mortelle, du monde civilisé…" Pour répondre aux détracteurs, je ne comprend pas comment on peux voir dans ce film une apologie de la violence. Le personnage incarné par James Franco n'est ni cool ni sexy : Il est pitoyable, minable. Les affiches de Tony Montana qu'il a dans sa chambre prouvent bien qu'il n'y a aucune apologie dans ce film. L'Iconographie vient de Scarface, l'identification aussi. Alien n'est pas Tony Montana. Il est faible, infantile, lâche et donc désespérément humain. Le comportement totalement suicidaire de ces filles n'est ni cool ni sexy. Car c'est bien de cela dont il s'agit, un jeu de roulette russe de jeunes femmes paumées et désespérées. A la fin du visionnage aucune note d'espoir et celui qui aura envie d'aller "Spring-breaker" après ça n'a soit rien compris au message, soit est un psychopathe mais dans les deux cas : ce n'est pas le film qui en est responsable. Non je ne parlerais ni d’apologie, ni même de dénonciation. Juste d'un constat exprimé de manière poétique et décalée. Spring Breakers est une œuvre profondément pessimiste, aussi ridicule sur la forme que lucide et poignante sur le fond. On peut l'aimer ou le détester mais a mes yeux il respire les idées, les convictions et le cinéma avec un grand C.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 23 février 2015
    Ce film est doté d'une lenteur qui pourrait très bien lui faire obtenir 5 étoiles si c'était le critère unique de notation... Entre dialogues répétitifs, ambiance qui se veut cool et rock'n roll sans réellement y parvenir et aucune crédibilité de la part des acteurs (pour boire, fumer et fakre semblant de se droguer il ne faut pas être à la hauteur du talent de Di Caprio pour obtenir un rôle dans ce film, loin de là), Spring Breakers n'a pas beaucoup d'intérêt pour tous types de spectateurs...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 septembre 2014
    Comment a-t-on pu réalisé un film d'une telle médiocrité ? En tout cas personnellement, c'est absolument tout ce que je déteste : cette mise en avant de cette jeunesse à l'américaine profondément déséquilibrée et écervelée, à cela s'ajoute le surjeu de James Franco dans la peau du gangster soit-disant viril. A vouloir trop en faire et en rajouter des tonnes ça en devient ridicule, il suffit simplement de visionner la scène du braquage pour le constater, on y croit pas une seule seconde. Dommage qu'on ne puisse pas lui mettre la note de zéro. A éviter, ne serait-ce que pour vous faire gagner du temps et par la même occasion, de l'argent.
    Cédric W
    Cédric W

    9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2014
    On entre dans le film sans que l'on s'en rende compte, et on en sort suite à une générique qui arrive trop tôt. Jess Franco, un acteur, qui ose sortir de son rôle d'adonis. La bande son est à la hauteur également.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 4 septembre 2014
    Arrogant et fade ! Spring Breakers se veut être original, dénonciateur d'une réalité créée par Hollywood même mais en réalité il n'est qu'un prétexte qui masque (pas vraiment en fait) une sorte "d'américain pie" au féminin qui n'est pas assumée par Harmony Korine. "String Breakers" est un titre plus adapté.
    bsalvert
    bsalvert

    342 abonnés 3 486 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 août 2014
    Autant la bande annonce intriguait autant on tourne vite en rond dans ce film qui pourrait tenir en 30 minutes. J'ai personnellement adoré la crédibilté du scénario qui amène les filles en maillot devant le juge....on dirait du Paul Verhoeven qui avait filmé sa fiancée de l'époque quais nue dans tout un film (showgirls) mais ici avec qui est le réalisateur?PLV : des filles en petites tenues essayent de tenir un scénario.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 août 2014
    Très mitigé... De superbes images, des scènes a devenir cultes, un univers fascinant bien que déjà vu, mais une narration qui dans son originalité finie par lasser. Trop redondant et on en arrive a ne plus être en immersion. Parfois too mutch... Mais des éclairs de génie par ci par là. Donc ce film restera un bon souvenirs malgré ses gros défauts...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 août 2014
    Attention car nous avons droit ici à un type tout particulier d'étron : l'étron qui voulait être une rose. Spring Breakers se veut provocant, profond et stylé mais n'est au final que ce qu'il prétend dénoncer : une grosse bouse bourrée d'incohérences, d'actrices têtes à claques au jeu raté et de scènes pseudo-philosphiques fumantes au ralenti sur une plage dégueulante de mauvais goût. A vomir.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 août 2014
    Il est affolant de voir comment les gens se complaisent dans une telle stupidité, au point d'y adhérer voir même en comprendre la démarche. Ressemblant en forte apparence à un teenage-movie, « Spring Breakers », ne l'est donc pas même s'il s'est efforcé à y emprunter tout ses fondamentaux. En revanche, il n'est pas moins ridicule à l'arrivée, avec des personnages caricaturaux poussés à l'extrême sur un sujet, dont il ne présente aucun intérêt de parler. Pour toute personne connaissant l’événement ou même ne le connaissant pas, je pense que tous ont compris qu'il s'agit d'un trip estivale US totalement dévergondé. Quoi de mieux pour montrer la grossièreté du phénomène que de passer une demi-heure à exhiber des filles se faisant arroser les nibards d'alcool, à fumer ou sniffer de la drogue et dévoilant l'envie profonde de sucer des bites. L'heure qui suit n'en est pas moins complètement stupide, une fois que les filles tout droit sorti de chez Disney ont braqué leur restoroute pour se payer une virée dans les Spring Break, tombent rapidement sous la coupe d'un James Franco parfait représentant du film en lui même tant son personnage est d'une débilité affligeante. Pour apprécier ce film, il ne faut avoir qu'une infime profondeur de réflexion - Sa scène finale conclut en beauté ce que l'on pourrait qualifier de production dénuée de toute crédibilité tant Korine fini par se perdre dans ce foutoir exagéré, irritant à observer. Hormis sa photographie qui passe plutôt bien à certaines périodes ( dite maîtrisée car elle s'amuse à exploiter différents types de cadrages, alors qu'en réalité on sait pertinemment - que dans des cas comme celui-ci - que ce genre de méthode est employée par des gens comme Korine car ils ne savent clairement pas du tout ce qu'ils sont en train de faire - Histoire de faire paraître son résultat plus «intelligent» tellement ce dernier est vide). Avec «Spring Breakers», on touche clairement le fond, rarement un film ne m'a autant énervé au point de vouloir le zapper, mais ce que fait «Spring Breakers» est un cinéma tellement inutile, qu'on ne pourrait même pas le qualifier en tant que tel. Le cinéma c'est tout sauf ça, eh oui, surement pas ce genre de films qui t'empoisonne l'esprit, tellement il ne serve à rien. Le cinéma a pour but premier de divertir, d'impressionner, pour après retranscrire des sentiments, des pensées... Il n'y a rien de tout cela là dedans, il n'expose que des faits en ne savant en rien manier l’exagération mais a visiblement préférer bosser sur une réalisation qu'on pourrait définir vulgairement d'autiste. Non, ce n'est pas drôle, non ce n'est pas triste, c'est juste con. En fait en y réfléchissant, d'un certain point vu ça l'est, de faire des productions de la sorte, heureusement que ce n'est qu'un aspect du cinéma hollywoodien mais qui malheureusement, s’agrandit de plus en plus. Je ne vois aucun intérêt à réaliser des métrages comme ceux-là, mis à part pour inciter à la haine de sa propre réalisation. On montre des rappeurs qui ne savent que dire ''yo'' en fin de phrase, avec des dents en or, casquette à l'envers équipée d'un arsenal militaire, qui prennent sous leurs bras des filles dépravés, qui une fois prise conscience de la dure réalité, se conduisent comme des sal*pes débauchées pour enfin regrettées leurs actes précédents. Certains s'accorde à dire que «Spring Breakers» flirte entre film d'auteur et teenage-movie, pour le moins abrutissant - même si de mon côté je cherche encore le rapport car pour un film d'auteur il faut faire du cinéma d'auteur; ce qui j'espère, n'est pas son cas à noter sinon que tout ses films sont aussi stupide que celui-ci - mais inutile alors de préciser que la balance penche clairement d'un côté ... Chers bobos parisiens régalez-vous !
    Zoumir
    Zoumir

    63 abonnés 1 034 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 octobre 2016
    Sous son apparence superficielle, à l'image de ses personnages, Springbreakers réussit à dresser le portrait d'une jeunesse déconnectée de la réalité et obsédée par la possession. Mis en scène comme un rêve, Harmony Korine filme ses springbreakers de façon à les rendre impersonnels dans un environnement presque irréel. La réalisation s'appuie sur des sons, des couleurs vives et un rythme tantôt soutenu tantôt ralenti pour donner cette impression de monde alternatif. Les 4 personnages interprétées par des actrices soucieuses de briser une image de belle fille idéale sont parfaitement à l'image de cette jeunesse qui cherche l'ivresse sans en mesurer les conséquences. L'exagération permanente dans le destin de ces filles fait penser au Pain & Gain de Michael Bay, deux films qui critiquent l'idée du rêve américain à tout prix avec des personnages persuadés de mériter mieux que leur petite vie routinière et prêts à tous pour y arriver. Mention spéciale à James Franco en truand, dealer de drogue et rappeur qui incarne finalement toute l'idée du film entre paraître, argent, malaise et vie de rêve. Pour ma part, Springbreakers est une bonne surprise tant il a été décrié par mon entourage. Pas un grand film mais une réalisation bien plus intelligente qu'elle en a l'air.
    Reservoirs
    Reservoirs

    6 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juillet 2014
    Un film d'auteur ou pas alors ? Oui, sans conteste. Ce film est d'une intelligence beaucoup plus riche qu'il n'y parait. Mais comment un film à la MTV peut-il être un film d'auteur ? En lui faisant un pied de nez sacrement culotté voyons ! Je ne pense pas que l'on puisse réellement aimer, ou plutôt éprouver du plaisir durant le film en soi. Soyons clair. Mais cela fait partie intégrante du concept "Spring Breakers". Nous avons là un clip vidéo de une heure et demi, qui tend à interroger : et si nous vivions avec la Rihanna des clips, avec la danseuse twerk de Kanye West, où encore avec les plus déséquilibrés des icônes pop US ? Ce film nous montre à quel point les stéréotypes "bad-ass" US sont déviants et malades. Des armes, du silicones, de l'alcool, de la drogue, du sexe, tout est là. Mais on humanise. Mais on tente d'humaniser. Est-ce humain ? Voilà ce que le film tend à explorer. Skrillex en icône pop "bad-ass" absolue aux commandes de la bandes-originale en compagnie de Cliff Martinez n'est pas un hasard. Tout le film est une juxtaposition de cette culture pop contemporaine. Jusqu'au choix des actrices judicieux. Deux princesses Disney, visiblement toutes condamnées à un avenir de débauche - Britney Spears est un Dieu, nous fait comprendre Alien -, ce fantôme plane par ailleurs tout au long du film, comme une reine mère de la perdition et de la perte absolue au profit du nouveau "fun" made in America. Un film insupportable, que personne ne supporte et dont beaucoup refusent à mettre en question leur culture, d'où, je le pense, l'incompréhension inhérente au film. Un de ces films qui hante et pour longtemps. Harmony Korine nous veut du bien, quitte à nous exposer cruellement ce que nous avons oublié plus ou moins inconsciemment.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 juillet 2014
    Ce film fait réfléchir... Enfin, à ceux qui sont capable de réfléchir et de comprendre pourquoi le réalisateur à fait ce film.
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