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    A very Englishman
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    67 critiques spectateurs

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    titicaca120
    titicaca120

    348 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mai 2014
    guère passionnant même si le sujet laisser à penser le contraire.
    une interdiction au moins de 16 ans ridicule car c'est vraiment pas torride.
    l'histoire d'un gars qui s'est bien enrichi avec le corps des autres.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 mai 2014
    Les acteurs ressemblent beaucoup aux personnages qu' ils incarnent, ce qui me semble un minimum pour des gens contemporains et aussi médiatisés. La vérité (historique) est apparemment respectée. Le réalisateur n' a pas exagéré dans le voyeurisme, ce n' est pas un "nudie" et la souffrance du héros est évidente. On peut se demander si l' idée de filmer le début en noir et blanc et la suite en couleurs est judicieuse, mais dans l' ensemble , j' ai aimé.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    231 abonnés 2 851 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2014
    Un biopic sulfureux sur un personnage qui ne l'est pas moins, et une plongée en apnée dans le milieu des clubs de striptease et de la presse pour adultes. Steven Coogan incarne à merveille Paul Raymond, qui a eu une vie pour le moins dissolue où se mêlent sexe, drogues et...sexe. Le tout en essayant de se forger un rôle de père aimant et "normal". Hélas, la réalisation ne comprend presque aucun temps mort, étouffant presque le spectateur de scènes s'enchaînant rapidement, et ne permettant pas de souffler ou de digérer les quelques moments forts que comporte le film. Les rares moments de douceur n'en paraissent que plus précieux.
    Akamaru
    Akamaru

    2 801 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 avril 2014
    Un biopic sur Paul Raymond,sorte d'alter-ego britannique de Larry Flint. Créateur de revues érotiques,chorégraphe de spectacles de femmes dénudées à la fin des années 50,propriétaire de la quasi-totalité du quartier de Soho à Londres. Un homme qui considérait les femmes comme des objets sexuels,à la seule exception de sa fille chérie Debbie. Un homme qui aimait la grandiloquence,qui fit souffle un vent d'hédonisme sur l'Angleterre conservatrice. Bref,un vrai personnage de fiction dans lequel se glisse aisément l'hilarant Steve Coogan,qui y va à fond sur le côté iconique de Raymond. Imogen Poots est au cœur des scènes les plus dramatiques et réussies de "A Very Englishman". Malheureusement,la réalisation très gadget de Michael Winterbottom gâche presque tout. Il multiplie les effets de style,les ellipses inexplicables,les numéros musicaux sans saveur au détriment de l'approfondissement des pistes narratives. C'est une erreur de débutant pour un réalisateur pourtant très expérimenté. Dommage.
    deaq25
    deaq25

    7 abonnés 441 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mars 2014
    Le sexe et l'érotisme a toujours fais vendre et ce n'est pas Paul Raymond qui dira le contraire. Touche à tout et homme le plus riche du Royaume-Uni en 1992, "A very Englishman" est un biopic sur une personnalité peu connu du grand public, surtout en France. On découvre un homme d'affaire qui a fais du vice sexuel un business lucratif. Toujours à la limite du porno et jouant avec les limites, sa vie personnelle est plus trash que ces night-clubs et son magazine "Men Only". Une œuvre mineure et peu intéressante, Michael Winterbottom réalise un film à l’image de son inspirateur, très, parfois trop, nudisme et volage à tous les niveaux. Les moments qui semblent être crucial dans la vie de Paul Raymond sont survolés pour s'attardés sur les fêtes et les shooting photos. Le topless omniprésent du long métrage n'est pas choquant car il représente le monde de la nuit londonienne mais le film joue se repose sur cette aspect et oublie de raconter une histoire d'un homme qui a bouleversé les codes de la pudeur dans les années 60.
    A déconseiller !!
    annereporter94
    annereporter94

    47 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 janvier 2014
    Un film britannique comme, désormais, Hollywood serait incapable d'en produire... Très incorrect, trop en phase avec la réalité, trop réaliste... Certes, ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais au moins on est loin, très loin de la bêtise d'un certain cinéma américain juste préoccupé par la rentabilité...
    Kubrock68
    Kubrock68

    33 abonnés 1 209 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 décembre 2013
    C'est l'histoire vraie de Paul Raymond qui introduisit l'érotisme dans les spectacles puis dans la presse chez les anglais. Le film est parait-il fidèle à la réalité, qui a fait du héros un des hommes les plus riches de Grande-Bretagne. C'est une bio-filmée intelligente, les décors et les acteurs sont impeccables. Les rapports fusionnels entre le père et sa fille dépassent par leur finesse la bio scolaire. C'est une invitation à l'ouverture des moeurs qui s'opéra durant les années 60 et 70, que nous propose le personnage principal, avec l'argent qui tourne autour de tout ce qui est interdit.
    Ciné2909
    Ciné2909

    63 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2013
    Si les Etats-Unis ont Hugh Hefner avec Playboy, l’Angleterre a Paul Raymond une des plus grandes fortunes du pays qui a construit lui aussi un véritable empire du charme. Il est plus que probable que vous ne connaissiez pas ce personnage (ou que vous feignez de ne pas connaitre) avant ce film de Michael Winterbottom qui vous permet ainsi de découvrir son ascension professionnelle. Difficile de ne pas s’intéresser à la vie dissolue de ce beau parleur toujours en galante compagnie d’autant plus que Steve Coogan livre une belle performance pour ce biopic divertissant sans réussir à rendre A very englishman incontournable.
    Patricemarie
    Patricemarie

    40 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juillet 2014
    Ce film vaut surtout par sa bonne restitution du laxisme des années 70, et de Londres à cette époque. La vie de Paul Raymond est quant à elle atypique et ludique à suivre.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    96 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 octobre 2013
    Dans la lignée des magnats de la fesse que peuvent être Larry Flint ou Hugh Hefner, il y a aussi le dénommé Paul Raymond, homme d’affaire britannique, promoteur de l’érotisme et d’une pornographie toute mitigée au temps d’une Angleterre puritaine et à cheval sur ses principes. Michael Winterbottom, le curieux metteur en scène de Killer Inside me, dresse là le portrait de cette homme extravaguant, homme le plus riche du Royaume-Uni il fût un temps. Osé, vintage, A Very Englishman n’est pourtant que rarement vulgaire, malgré sa ribambelle de seins nus, ses nombreux dialogues explicites. Le marché britannique de l’érotisme est alors, dans les années 50, 60 et 70, en pleine expansion, une ouverture sociale initiée par Raymond.

    Sans laisser réellement de place aux détracteurs du mouvement, Michael Winterbottom dresse le portrait du magnat à une vitesse effarante, ne s’arrêtant pour souffler que lorsque la complexité de la liaison unissant le père et la fille le nécessite. L’évolution de l’industrie de Paul Raymond est fulgurante à l’écran, jonglant d’une nouvelle idée à une autre en passant du bon temps, au lit, dans des fêtes, bref un monde paradisiaque pour personnages peu scrupuleux. Pourtant, malgré que le rythme soit soutenu, pour le moins, le cinéaste parvient à faire de son récit biographique quelque chose de très lisible, tout y étant évoqué, dans un ordre chronologique. Des clubs de Soho aux magazines pornographiques, des spectacles nus au revues écrites, tout y passe sans qu’aucun aspect ne soit négligé.

    De fait, si le film manque cruellement d’intérêt, sans doute du fait que l’érotisme ne soit plus, au contraire du porno, un sujet tabou, Michael Winterbottom fait son travail de la plus admirable des manières. Bien aidé qu’il est par son comédien, Steve Coogan, absolument excellent, le cinéaste rempli son contrat les doigts de pieds en éventail. L’on n’attendait certainement pas de se part un film aussi académique. Pour en revenir à l’acteur principal, le trop méconnu Steve Coogan, saluons sa prestation très kitsch mais jamais euphorique. Le comédien aura su cerner, sous l’emprise de son directeur, le caractère exubérant mais très humain de Paul Raymond, magnat peu scrupuleux, adultère, volage et peu regardant sur son passé. La scène clef se situe finalement en milieu de parcours, lorsqu’un jeune homme vient frapper à sa porte, lui apprenant qu’il est son fils. Peu troubler, Paul Raymond en discute comme d’un fait anodin.

    C’est finalement la présence continuelle de sa fille dans son dos qui rappellera à Paul Raymond que la vie n’est pas toujours idyllique. Le drame que vit et vivra sa fille renverra le bonhomme à ses remords cachés, à des regrets, sans pour autant tuer sa force de vivre. Portrait donc d’un homme étonnant, culotté, peut être mauvais, à première vue, mais plutôt bon gaillard dans le fond. C’est du moins l’image que donne le film à Paul Raymond, un film qui ne manque pas de qualité, de divertir son petit monde très habilement. Sans doute trop sage, le film de Winterbottom ne restera pas dans les mémoires bien longtemps, mais l’essai est concluant. 11/20
    natlin 06
    natlin 06

    22 abonnés 325 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2013
    film interessant, comme quoi etre pionner rapporte , la vie revee, des belles meufs du fric, la fete , je connaissais pas tasmin egerton , maintenant oui
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 septembre 2013
    Encore un bon titre anglais en VO traduit par un mauvais titre anglais en VF (et avec une syntaxe hautement douteuse, de surcroît) ! "A very Englishman"/"The Look of Love" nous plonge donc dans la vie tumultueuse de Paul Raymond, roi du porno, pendant anglais des Hugh Hefner et Larry Flint américains. Autant le dire tout de suite, on a connu Michael Winterbottom beaucoup plus inspiré dans l'exercice du biopic quand il dressait le portrait d'un autre joyau de la couronne britannique de la contre-culture, le producteur Tony Wilson (lui aussi incarné par Steve Coogan), même s'il est vrai que "24 Hour Party People" était plus choral, traversé par des personnages secondaires largement aussi fascinants -si ce n'est plus- que le personnage principal (Ian Curtis de Joy Division, Shaun Ryder de Happy Mondays...). Ici, Paul Raymond est bien seul et le film repose entièrement sur les épaules de Steve Coogan. Ce n'est pas la première fois que ça lui arrive, il adore ça et il se démerde comme d'habitude plutôt pas mal. L'histoire ne manque pas non plus complètement d'intérêt et, s'il n'est pas totalement absurde que les auteurs se soient appesantis sur tous les petits à-côtés récréatifs (sexe, drogues...) et sur tous les drames personnels ou professionnels que le petit business de foufounes de Raymond suppose (le plus spectaculaire, touchant et révoltant restant bien sûr le décès de sa fille), on aurait bien aimé que l'accent soit mis plus sur la façon dont il a bâti son empire financier que sur la façon dont il a profité de et participé à la libération des mœurs de son pays. De ce côté-là comme de bien d'autres, le film manque pas mal de profondeur (un comble, vu le sujet...). La reconstitution de l'époque, elle, ne manque pas de charme (hormis les postiches horribles de Steve Coogan) et toutes les actrices, des premiers/seconds rôles aux figurantes, sont absolument charmantes. On ne regrettera donc pas les 100 minutes passées devant "A very Englishman". Mais on l'oubliera tout aussi vite.
    Yves G.
    Yves G.

    1 281 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 août 2013
    Michael Winterbottom enchaine les films à toute vitesse.
    Sautant de Tristam Shandy à Marianne Pearl en passant par Thomas Hardy, son œuvre kaléidoscopique reflète l'Angleterre d'aujourd'hui et ses goûts bigarrés.
    Pas étonnant qu'il se soit intéressé à Paul Raymond. Le fondateur de Men Only est quasi inconnu de ce côté-ci de la Manche, mais c'est une célébrité de l'autre.

    Comment décrire la vie d'un roi du porno ?
    Milo Forman s'y était essayé avec Larry Flint, le fondateur de Playboy. Le résultat n'avait pas été grandiose, passée l'excitation que suscite la vue de quelques jolies modèles dénudés.
    L'effet produit par "A very Englishman" (traduction stupide de "The touch of love") est un peu le même ici. Winterbottom hésite entre deux fils narratifs.
    La reconstitution chronologique qui fait revivre l'époque des premiers clubs de stiptease, le lancement des magazines-qui-se-lisent-d'une-seule-main et la naissance des vidéos X
    Et le drame intimiste autour du suicide de sa fille, écrasée par la pesante figure paternelle et lentement détruite par la drogue.
    Autant le premier se laisse regarder sans déplaisir. Autant le second leste cet aimable divertissement coquin d'une morale qui l'écrase.
    Salim S
    Salim S

    48 abonnés 500 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2013
    "The Look of Love" est un charmant petit biopic servit par un très bon casting féminin et une performance d exception pour Steve Coogan, plus connu dans des rôles comiques.
    Velma21
    Velma21

    25 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 juillet 2013
    Michael Winterbottom est un caméléon. Jamais là où on l’attend, le cinéaste britannique passe d’un genre à l’autre, comme certains changent de chemises. Même s’il semble avoir une prédilection pour le drame psychologique, ces dernières années il s’est essayé à la science-fiction (Code 46), au thriller glaçant (The Killer Inside Me) ou encore à la romance (Un Eté italien). Derrière cet apparent stakhanovisme se cache, toutefois, une vraie ambition. Celle d’embarquer le spectateur sur des sujets inattendus. Dernier exemple en date, Trishna sorti l’an dernier qui, sous le prétexte d’une relation passionnelle dans le Rajasthan contemporain, dressait un portrait glaçant de la lutte des classes dans ce pays.

    Avec A Very English Man, ce dédoublement de personnalité est bien présent. De prime abord, le film est un biopic du sulfureux Paul Raymond, sorte de Hugh Hefner anglais, porté sur les jolies filles dénudées et l’alcool. A l’écran, le réalisateur s’attache à décrire de manière chronologique les différentes époques vécues par ce personnage hors-normes. Du noir et blanc sage des années 50, on bascule soudain dans la folie colorée des années 60, suivie des extravagances chimériques des années 70. Sympathique. Mais Milos Forman avait fait bien mieux avec son Larry Flint.

    Ne vous fiez pas à son imagerie vintage ultra-sexuée. A Very English Man prend tout son sens quand il délaisse ses artifices clinquants pour se concentrer sur son véritable sujet, la relation compliquée entre un père et sa fille. Cette dernière, interprétée par Imogen Poots (Chatroom, Fright Night), est un oiseau blessé qui sera incapable de s’émanciper de l’aura paternelle.

    Le titre original, The Look of Love, rend d’ailleurs justice à cette approche. Il fait référence à une chanson de Dusty Spingfield (1967) qu’Imogen Potts interprètera, tout en douceur, à la fin du long métrage. Une fois de plus, les distributeurs français s’illustrent dans leur détestable manie de changer les titres des films britanniques en y ajoutant le mot « anglais » ou ses déclinaisons (Braquage à l’anglaise, Mariage à l’anglaise… ). Le marketing avant le sens. Soupir !

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