Derniers Avis : Bloodshot - Page 8

Objectivement le film fait son taff
Personnellement vilain diesel reste vilain diesel on ne peut pas être déçus car ont sait à quoi s'attendre , j'aimais bien cet acteur dans ses début cependant c est de pire en pire .
Les bon point l'univers est intéressant mais
Mal exploité , de bon effets .

Une compilation pas du tout douteuse, pour un résultat fort d'expériences visuelles retranscritent avec sérénité. Un premier film percutant et visuellement à la pointe, avec la philosophie graphique d'un Jeeg Robot, l'abattage d'un Lucy et les qualités visuelles d'un Ghost In The Shell. Percutant, malgré le peu de surprise suscité par l'histoire. Les alliances sont intéressantes et Guy Pearce toujours persuasif.

Mise à part une ou deux scènes d'action prenantes (comme celles de l'ascenseur vers la fin) je confirme que Bloodshot n'est pas fameux et ne correspond pas aux normes actuelles du genre.
La mise en scène ne fait pas preuve d'imagination, c'est souvent filmé en gros plan, l'histoire manque de finesse et n'est pas racontée avec soin rien de complexe mais parfois j'étais perdu car lorsque l'on n'accroche pas à un film on ne fait pas d'effort particuliers pour suivre le récit.
Les scènes d'action manquent d'éclat (à part comme je l'ai signalé quelques passages) , les effets numériques n'ont pas assez de cachet, je ne suis pas un grand admirateur de Vin Diesel mais dans ce film il se débrouille plutôt bien.
L'ensemble n'a pas assez de fraîcheur et de punch pour nous plaire, on a l'impression de perdre sont temps devant une production ne parvenant pas à divertir (ce qui est son but premier) et utilisant mal son budget (il serait de 45 millions de $ donc ce n'est pas du Marvel mais avec tout ce fric on peut faire mieux qu'une série B de seconde zone).

Ce film qui était initialement prévu pour une sortie en salles en France a dû, vue la situation sanitaire, se résoudre à une sortie en vod. C’est dommage car, sur un scénario assez simple – « Total Recall » est déjà passé par là -, la réalisation et les effets spéciaux sont en tous points réussis et Vin Diesel ne vieillit pas ! Ce pop-corn movie est une bonne récréation en ces temps de confinement...

Marvel, Dc, deux noms qui se ressemblent un peu trop, depuis quelques années : synonymes de gros blockbusters à l'humour qui tâche, prenant souvent le pas sur les enjeux (jamais sur l'action, qui reste au centre des films formatés de ces deux grands noms de l'édition de comics) et toute réflexion possible, ces deux géants du cinéma, appartenant respectivement à Disney et Warner Bros, pourraient avoir trouvé un nouveau concurrent en la personne de Valiant Comics, boîte indée qui débarque avec Bloodshot sous le financement généreux de Sony Pictures (45 millions de dollars de budget pour un premier essai, pas trop mal non plus). .

Qui décida de sortir le film en VOD plutôt qu'au cinéma, prétextant le coronavirus et espérant que le service d'offre à la demande lui offrira une autre destinée au box office que la maigre espérance de le voir se rembourser au cinéma. Dès ses premières minutes, on est bien loin d'un long-métrage qui pourrait sortir dans nos salles obscures, sa personnalité de dtv daubesque renvoyant chaque seconde à sa triste destinée en VOD.

Triste destinée pour Baboulinet, qui voyait surement en Bloodshot la possibilité de donner un certain coup de vent à sa carrière : après l'extinction de la franchise qui le fit connaître, le dernier Riddick datant de 2013, et les derniers jours annoncés de la saga Fast & Furious (la seule qu'il lui reste, soyons honnête), le timing était bon pour se relancer sur le devant de la scène avec l'arrivée sur les écrans de ce qui s'annonçait comme le futur géant Valiant. C'est en effet ce que laissait présager l'annonce du film avant les premières bande-annonces; évidemment, quand on voit le résultat (en VOD, on ne le précise jamais assez), on comprend qu'il se range plus du bord d'XXX 3 que de celui du relativement moins mauvais Le Dernier Chasseur de sorcières.


Il faut bien comprendre que prendre Vin Diesel pour jouer Bloodshot est aussi stupide que de choisir Jason Momoa pour jouer The Crow. Ce n'est pas qu'une question de physique; son interprétation est tout aussi abominable que ses traits gonflés de Toretto. Ce n'est pas faute de tenter la tragédie : sourire aux lèvres, les morts de sa femme (Vin ne joue pas dans des films communs, on meurt plusieurs fois dans les siens) représentent un parfait exercice de style pour cet acteur confirmé.

Toujours avec son sourire. C'est comme son meilleur ami, il ne sort jamais sans lui : Eiza Gonzalez le drague parce qu'elle est une femme et qu'il est Vin Diesel, sourire tentateur. On lui dit que sa femme est morte, sourire peiné. Sourire content quand il croit tuer les méchants qui ont tué sa femme. Sourire surpris lorsqu'il apprend le fin mot de l'histoire (dans un twist prévisible dès le premier quart-d'heure). Sourire, sourire, sourire everywhere : comme on peut le voir, Vin Diesel a étoffé son panel d'émotions touchantes.

Il se paie le luxe d'être secondé par Guy Pearce, encore plus mauvais ici que Liam Neeson dans Men in Black : International; s'ils écopent à peu près du même rôle, il ajoute à sa composition désastreuse un soupçon de Michael Keaton dans Robocop, s'alignant sur la logique d'un scénario envieux de toutes les bonnes idées déjà sorties auparavant. Les souvenirs manipulés de Total Recall, l'esthétique et la présentation du trans-humanisme du Robocop de Padilha (oui, encore), l'espace blanc modélisable de Matrix : il pille sans vergogne un tas de références du cinéma de science-fiction (d'autres films qui ne le sont pas, aussi), comme si réunir tout un tas de bonnes idées en une seule mauvaise allait la rendre plus agréable.

Parce que le principe du long-métrage, déjà qu'il ne respire pas l'originalité, est abordé n'importe comment : entre la femme de Diesel et son retour en plein film qui ne sert à rien d'autre que confirmer des hypothèses de scénario, et afficher une dernière fois le naufrage du jeu d'acteur dramatique de la vedette, le développement anarchique et sans plan des autres humains avec implants robotiques (si ce n'est pour le méchant bras droit de Pearce qui reste méchant tout le long) et la gestion terrible de ses enjeux, Bloodshot se permet l'audace d'ajouter à son écriture déjà bordélique un comic-releef proprement imbuvable campé par Lamorne Morris et son jeu stéréotypé.

Ses blagues, on les prévoit; les coups de Diesel, on s'en moque; le charme de Gonzalez ne suffit plus à se détourner de la réalité : Bloodshot est bien une débâcle cinématographique totale bourrée d'effets spéciaux cheaps et d'un humour au rabais, proche des mauvaises comédies policières de la fin des années 90-début années 2000. Sa raison d'être, profondément mercantile et malhonnête, ne trouve aucune légitimité dans ses scènes d'action (pourtant son élément moteur) peu inspirées et mal filmés, cutées à l'extrême et peu mémorable.

On retiendra un ou deux money shots placés de façon opportuniste dans une scène d'action sous terre abusant de projection de poussière rouge au ralenti (seul effet à peu près nouveau qu'il tentera d'apporter), et surement pas le plagiat de mise en scène en plan-séquence numérique des affrontements dantesques entre aliens de Man of Steel. La photographie ne leur jamais honneur, entre ses teints gris bleutés et ses couleurs chaudes artificielles en fin de film, climax d'une niaiserie sans limite.

On peut en retirer du plaisir, de le voir s'évertuer à tout plagier sans jamais réussir, et se prendre à ce point au sérieux sans s'être jamais dit qu'il ne faisait rien de bien, à condition, bien sûr, de le prendre au second degré. Bloodshot s'apprécie difficilement seul : il nécessite, à la manière de ces daubes dantesques du cinéma d'action des années 80-90, de se trouver en présence d'une bande de potes ou d'au moins quelqu'un d'autre, et de surtout bien se préparer à l'idée de voir un nanar à 45 millions de dollars de budget.

Peut-être qu'en se disant cela, la douille de voir Valiant se ramasser dès leur premier essai passera un peu mieux.

Bien loin de l'époque Pitch Black où Vin Diesel était encore crédible dans son rôle de bad boy attachant, on le retrouve encore une fois dans le rôle du super-héros en soit de vengeance. Cependant cette fois on se laisse prendre au jeu car le film s'y prête bien et nous lance dans une atmosphère particulière et intelligemment créée. Des abus il y en a mais tout autant que dans les derniers Fast And Furious qui ne sont pourtant pas des films de science-fiction.

Très bon divertissement, rythmé, à rebondissement, avec de superbes acteurs, bien que pas très connus pour la plupart je pense, si ce n'est Vin Diesel.
Mention spéciale à Eiza Gonzalez, véritable atout charme du film. 3.5/5

jadore vin diezel je le trouve tres bon avec un scenario surprenant lactrice qui et avec lui, son role lui vas comme un gant

Mon dieu que c'était cliché et téléphoné...
Le film n'a que le visuel pour lui sinon, on ne fera pas de grosse découverte dans le style.

Ce héros méritait mieux que l'interprétation sans saveur de Vin Diesel qu'une réalisation calamiteuse.

indestructible vin diesel...................scenario sur vengeance manipulé, effet speciaux tres bien fait .vin diesel qui fait du vin diesel. poser votre cerveau et laisser les producteurs hollywoodiens vous lobotomiser ........

J'ai vraiment beaucoup aimé. De l'action bien réalisé, effet spéciaux superbes et un vin diesel toujours autant en forme.

J'ai passé un très bon moment. Franchement très bien, ça reste un film d'action alors les critiques des "experts cinéphiles" qui rouspètent sur le scénario ou le jeu d'acteur pppfff.
Quand on regarde ce genre de film c'est pas forcément pour réfléchir mais pour voir de l'action, des cascades, des effets spéciaux...

Dommage pour ce film d’action qu’il n’est pas pu sortir au cinéma car je l’ai trouvé excellent. Je ne vous cache pas que d’un point de vue objectif, les 17€ pour l’obtenir en HD sont excessifs. C’est sans aucun support Blu-Ray et plus cher qu’une place de cinéma qui aurait donné une dimension encore meilleure. En effet, graphiquement il est vraiment bien fait. Que ce soit le concept de la technique avancée, ou même les plans qui jouent avec la couleur rouge, j’ai été agréablement surpris. Lors des scènes d’action, on sent une volonté d’esthétisme. Le petit hic vient de l’utilisation abusive des ralentis. À force ça devient un peu soulant et ça casse des moments dynamiques. Car dans leur ensemble, j’ai trouvé les combats stylés. Le concept des capacités améliorées est bien pensé car on ne va pas dans l’excès, tout en restant spectaculaire. Ce qui m’a plu, c’est qu’il n’y a pas que ça. Le scénario est très bon en agissant pas de manière binaire. Il y a une certaine réflexion sur les personnages et l’histoire est prenante. Le casting secondaire est bien trouvé avec entre autres Eiza Gonzalez, Guy Pearce et Lamorne Morris. Ils apportent beaucoup et son très bon dans leur jeu. Par contre, je trouve toujours Vin Diesel aussi mauvais. En plus, avec l’âge ce genre de rôle lui correspond de moins en moins. Prenez un Jason Momoa pour tout casser.

Vin diesel dans un rôle en béton ! Bien-sur on adore ! Le scénario est un peu trop rapide et pas trop développer à mon goût ! Mais l’espoir d’une suite fais rêvé !!!! 🙏🏼