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    Vol au-dessus d'un nid de coucou
    Note moyenne
    4,5
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    1 069 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 avril 2016
    Connaissant les critiques ultra positives de ce film avant le visionnage, je m'attendais à un chef-d'œuvre du 7em art. J'ai été vraiment très déçu.
    Jack Nocholson a dans ce film un rôle sur mesure, lui permettant d'exploiter sa folie à outrance (peut-être pas autant que dans Shining mais ce n'est pas le propos). La plupart des gens disent qu'il joue son rôle à la perfection; pour ma part je trouve que Jack Nicholson fait du Jack Nicholson, ni plus ni moins. Le plus grand point positif du film est le personnage interprété par Will Sampson.
    Outre le duo Nicholson-Sampson qui est quasiment le seul intérêt du film, on s'ennuie clairement. Le film se perd dans des longueurs insoutenables qui l'empêchent, à mon goût, d'être réellement un "chef d'œuvre".
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 mars 2016
    Culte, un des meilleurs films de tous les temps. La psychologie troublante de Nicholson est si fascinante que nous sommes envoutés par son parcours. Le titre porte drôlement bien son nom, nous survolons cet environnement sans pouvoir en détourner notre attention. Un chef d'oeuvre, grandiose !
    Toto INF
    Toto INF

    35 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2016
    Vol au dessus d'un nid de coucou, c'est avant tout une belle histoire, qui nous immerge dans le monde de la psychiatrie, surtout vu côté patient. Autant le dire tout de suite, ce film est vraiment incroyable, et mérite d'être vu : des acteurs bourrés de talent qu'on en oublierait qu'ils sont acteurs, et pas réellement "malade", une bande-son qui sait comment souligner l'image, des décors et un environnement plus que convaincant, bref un sans faute qui le classe parmi les grands films.

    Après question émotions, c'est surprenant ce que le film fait vivre. On est partagé par une extrême compassion pour ces patients injustement internés qui auront eu le malheur d’être mentalement inadaptés à la vie sociale de l'époque, et une certaine compréhension de ce qui les as amené là. Tout le film s'articule sur cette dualité d'émotions, porté par Jack Nicholson et Louise Fletcher grâce à leur interprétation sans faille, pour finir en apothéose lors de la scène finale.

    Emouvant, drôle, dérangeant, et captivant, un très bon film à voir, dont la morale pourrait se résumer par : un corps emprisonné, un esprit libre.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 mars 2016
    Ce film qu’on regarde bien à un âge où la représentation de l’autorité et surtout ses caricatures sont les bienvenues me laisse sceptique aujourd’hui... Je n’arrive pas à passer le cap des 20 min, à mon étonnement, car bien que l'ayant vu dans son intégralité, sa mise en scène et son style paraissent aujourd'hui immatures.
    Le jeu cabotin à l’extrême de Nicholson n’arrange rien, il ajoute plutôt une couche à l'agacement que provoque ce cinéma.
    Beaucoup de pitreries au départ... et l'usine à gaz sent vite mauvais. Le taux de pollution et de prédictibilité de l’histoire devient vite difficile à admettre...

    L'échec de conception tient peut-être aux origines de Milos Forman, à son expérience des dernières décennies de la dictature communiste. Projet lié à un dégoût certain donc, à un besoin de vengeance et de caricature... Ce projet tiré de son choc post-traumatique se retrouve dilué dans un film sur l’état de la soupe commune à l'intérieur d’un asile américain... Merci, c’est gentil d’y avoir pensé, mais on va laisser Milos Forman remuer son linge sale tranquillement dans son coin, vu qu’en plus il a fait beaucoup mieux par ailleurs.

    Les auteurs russes qui ont stigmatisé leur administration et sa prétention se lisent difficilement... Je le note aussi, très cotés en Occident, idéologie oblige : mais qui a essayé de les lire ? Leur courage est louable, on ne peut que les plaindre, certes. Mais à part quelques lignes suffisantes et stupéfiantes, leur littérature et sa lourdeur éreintent assez vite. Ce film les rejoint.
    Sa vogue, en son temps, sa consécration et l'engouement qu'il semble encore attirer suggèrent que l’odeur délétère des pouvoirs modernes a assis comme une institution le statut de l’idiot du village, statut exploité dans la publicité et ses générations de Lapins Crétins. Plus t’es crétin, moins t’es dangereux, et quand on s’appelle Jack Nicholson on a même le droit de sympathiser et de s’attacher aux lapins crétins et de nous faire verser une larme pour eux... Avec ce spectacle, on dirait qu’on ouvre une poubelle de l’Histoire.

    Un public pourra y trouver son compte, pour autant qu'il se sente vivre dans une corbeille de linge sale, entouré de maîtres évidemment mal intentionnés... on ne saurait lui en vouloir. La consécration de ce film aux oscars le rassurera.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 février 2016
    Splendide, Jack est à sa place, à l'asile. Un message fort, des scènes marquantes et pour une fois des fou qui ne sont pas juste fou mais qui ont une âme.
    James D
    James D

    13 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 février 2016
    énorme film ... un panel de grand acteur aux sales gueules. du rire en pagaille , de la joie, de l’émotion , une bonne fin , tout pour faire de se film un chef d'oeuvre
    Stuntmanbob
    Stuntmanbob

    18 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2017
    On ne ressort pas indemne de cette plongée au cœur même d'un hôpital psychiatrique américain dans les années 70. L'affrontement psychologique entre le personnage joué par jack Nicholson et celui de l'infirmière en chef est juste culte. La qualité principale du film reside dans sa capacité à toujours trouver l'équilibre entre le rire et l'émotion sans que cela soit exagéré. 5 Oscars franchement mérités, un classique du genre !
    Karim A.
    Karim A.

    40 abonnés 615 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 janvier 2016
    un bijou 99% or
    Milos Forman fait peu de film, il appartient à ce club des réalisateurs qui font peu, mais qui font bien.
    spoiler: Jack Nicholson fait une prouesse d'acteur exceptionnel, quand il faut passer du malade au pas malade. Il essaye de bousculer les codes et les protocoles établis par l'administration psychiatrique, il se heurte à une femme responsable du service qui ne lui laissera rien passer. C'est un film tragique à la fin, ou ce huluberlu un peu fou sur les bords arrive à apporter des déclics de joie temporaires à ses camarades de folie.

    Merci Milos Forman.
    Paul R
    Paul R

    15 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 janvier 2016
    Que dire... sinon que ce film est un pure chef d'oeuvre ! A la fois poignant et touchant, ce film mérite amplement ses oscars. Les personnages de Patrick McMurphy, Ratched, Martini, Billy Bibbit, Turkle (aussi dans le fameux Shining de Kubrick) sont épatants. Chaque expression du visage, parole, cris, mouvement sont joués de la manière la plus juste possible. Il ne reste plus qu'à se taire et à regarder ce film décidément inoubliable.
    Anthony O
    Anthony O

    54 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2016
    Un film culte visionné que très récemment et qui a rien perdu (si l'on en croit les critiques reçues jusqu'alors) de sa superbe.
    Un scénario et un script subtil, un jeu d'acteur impressionnant, une musique parfaite.
    Que demander de plus pour passer un bon moment? Une réflexion d'après-film? Oui, ce film vous la procure également...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 janvier 2016
    Jack Nicholson dans le rôle de sa vie et de ce qu'on s'imagine lui. Une réalité difficile à avaler devant le pouvoir il ne reste que l'espoir. Tous les acteurs sont d'une finesse incroyable et le scénario d'une justesse implacable. A voir !!!
    Adeline L.
    Adeline L.

    28 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 janvier 2016
    Mac Murphy est un délinquant multirécidiviste, condamné, entre autres, pour viol. Il arrive dans un hôpital psychiatrique pour y être traité. Dès le départ, son médecin ne le considère pas comme malade et ne compte pas le garder pour un long séjour. Mais Murphy se montre très vite insolent, agressif, et narcissique. Et c’est ainsi que tout le long du film on est partagés au sujet de la personnalité complexe de Murphy. Se rend-t-il compte de ce qu’il fait ? dans quelle mesure est-il responsable de ses actes ?

    Il regarde de façon très ironique la micro-société que constitue l’asile psychiatrique, se riant de la « folie » et de l’originalité des gens qu’il rencontre. Murphy n’obéit pas aux règles qui garantissent une vie commune acceptable. Sa personnalité se démarque très vite de celle des autres patients. Il influence les plus faibles, impose ses choix aux patients comme aux soignants et il pousse le vice jusqu’à s’évader et entraîner avec lui les malades psychiatriques. Il partent tous au large, dans un navire, mais le personnel soignant les retrouvent à l’arrivée. Se pose alors la question de savoir si Murphy est réellement fou ou s’il sait ce qu’il veut.

    Une commission est réunie pour en discuter et l’on conclue que Mac Murphy est dangereux mais pas malade. Il semble vouloir prouver à tout le monde qu’il est fou, et plus les médecins le disent normal, plus il fera pour qu’on le considère comme fou. Dans ce jeu de duperie, on ne sait pas très bien qui a raison. Et si Murphy se retrouvait piégé dans son propre jeu ? Car il y a un revers de la médaille : plus il fait des actes dangereux, plus il devra subir les effets de sa conduite. A force de vouloir montrer qu’il est malade, il obtient l’incrédulité des médecins et se fait prendre à son propre piège : il n’est concerné par aucune forme de compassion et ne reçoit pas les traitements de faveurs que peuvent avoir les vrais fous.

    Ainsi, se trame toute une réflexion au sujet de la folie ainsi qu’une critique acerbe de l’institution psychiatrique. On voit de quelle manière l’institution psychiatrique est une micro société où les plus fous ne sont pas ceux que l’on croit. On peut aussi voir que des personnes loin d’être folles y sont enfermée, à moins que l’on considère le vice comme une pathologie.

    Là est d’ailleurs toute la question : la transgression des règles par Murphy n’en devient-elle pas une névrose ? Il y a une confusion entre l’institution psychiatrique et la prison et ce film montre que la barrière est, bien malheureusement étroite entre les deux. Murphy semble avoir bien plus besoin de la prison que des soins psychiatriques. C’est une personnalité perverse, un mégalomane qui arrive en très peu de temps à stigmatiser tout un groupe d’hommes fragiles. Plus le temps passe, plus Murphy « prend les reines » de l’hôpital jusqu’à en faire « sien », un lieu d’excès et de débauche.

    On voit également dans ce film la violence des hommes qui peuplent les hôpitaux psychiatriques. Critique ? Réalité ? Fiction ? La violence est là et l’on peut l’interpréter comme on veut. La violence apparaît quand le fou n’est pas « cadré ». Du moins c’est ce que veux dire, entre autres et explicitement le film. Et de cadres, justement, Murphy en a besoin car il en manque cruellement. Le visage de l’autorité est incarné par une infirmière et c’est d’ailleurs bien la seule qui est capable de tenir tête à Murphy.

    Un personnage est très intéressant et attachant : un homme qui ressemble à un grand indien. Il a réussi à feinter une surdité et un mutisme dont il n’est absolument pas atteint. On peut alors voir la perversité à l’intérieur même de la souffrance. Est-ce la souffrance qui génère la perversité ? Et dans quelle mesure ? Mais son mensonge n’est-il pas plus un acte de défense qu’une réelle perversité ?

    Le film se termine tragiquement, l’hôpital est sens dessus dessous. Seul l’Indien part, la tête haute et disparaît dans l’horizon. Le choix du mutisme pour rester libre… De cet enfer qu’est l’hôpital psychiatrique. En tout cas, les autres patients n’ont pas réussi, eux, à se démarquer de Murphy et ils subissent tous les conséquences des actes de cet homme. Les dés sont jetés. Le sort est joué.
    diegosentenza
    diegosentenza

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 janvier 2016
    Les grandes performances de Jack Nicholson sont nombreuses. Mais celle de Vol au dessus d'un nid de coucou à une touche en plus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 décembre 2015
    ce film et génial bien que très bouleversant peut vous faire passer du rire au larme en passant par la joie un concentrer d"émotion pure ce film et un pure chef d'oeuvre
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 novembre 2015
    Fabuleux d'aider des personnes qui ne sont pas comme nous et leur montrer la lumière chaque jours, ce film prouve que les différences n'entravent en rien l'amitié et l'entraide
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