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    Saint Laurent
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    2,9
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    383 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 septembre 2014
    De loin le meilleur film de cette rentrée française 2014, un biopic saisissant qui nous place au cœur de cette vie, au cœur de ce talent. La musique, le cadrage, le jeu de miroirs, les jeux d'acteurs, les envies les passions, tout est transcrit à la perfection avec une fluidité merveilleuse. Tout en gardant le temps de montrer et d'expliquer (l'amour charnel/passionnel, la libération de la femme, la folie, la démence et le génie), le film sait garder un rythme soutenu, pop, et hors du temps.
    Un chef d’œuvre donc, à voir de toute urgence !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 septembre 2014
    2H30 d'ennui mortel...De bons acteurs mais cela ne suffit pas à tirer ce film vers le haut...L'emploi des split screen (façon Mondrian) est ridicule ou pas assez assumé...Comme le premier film sur YSL on est loin de la captation de ce qu'a pu être son art !!! Reste sa vie privée mais là encore on cherche l'émotion !!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 octobre 2014
    Enivrant, film aussi précis et calibré que les costumes de son principal protagoniste, Saint Laurent reste, malgré son montage perçant, un film relativement hermétique et tombe assez vite dans un faux rythme assez pesant. Un électrocardiogramme avec des moments de pur extase (la rencontre entre Yves Daint-Laurent et Jacques de Bascher par exemple) qui peut vite retomber dans une certaine inoffensivité. Ceci dit, Gaspard Ulliel donne toute une splendeur à son personnage, et Bonello sait jouer avec le temps et avec les différents temps forts de la vie de Saint-Laurent, peut-être trop parfois. La réalisation est magnifique, réglée au millimètre, les couleurs sont en parfaite osmose tout au long du film. On voit tout de Saint-Laurent, mais la longueur rend le film un peu brouillon. Un sublime puzzle, pas terminé. Mais c'est si beau.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 septembre 2014
    ENNUYEUX... Je reste sur le film de Jalil Lespert, qui n'a peut-être pas le même rendu en qualité d'image et en détail de reconstitution, mais qui au moins bénéficie d'un vrai scénario et qui raconte une tranche de vie et la raconte bien. Là ce sont des anecdotes qui se succèdent et même ces moments de vie choisis ne sont pas forcément captivant, bref c'est long, très long et même Gaspard Ulliel n'arrive à nous sortir de cet ennui: il n'incarne pas Yves Saint-Laurent ; c'est la mimique qui prime et non le jeu. Vite vu vite oublié.
    Dan59fr
    Dan59fr

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 septembre 2014
    On pouvait espérer que Saint Laurent méritait mieux que l'image qu'en montre Bonello de 10 années de la vie du créateur ! Il y a eu quand même, dans la vie de Saint Laurent, d'autres valeurs que ces moments de débauche, étalés grossièrement ! Difficile de comprendre que ce film ennuyeux vient d'être sélectionné pour représenter la France aux oscars, drôle de publicité pour un créateur français de génie.
    Le film de Jalil Lespert était, de loin, plus objectif et instructif sur la vie de Saint Laurent, et aussi plus agréable à regarder : ce sont quand même les conditions d'un bon film, qui ne sont pas réunies dans le film de Bonello !
    francoisegaultier
    francoisegaultier

    8 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 septembre 2014
    Ce film est beaucoup trop long , on s'ennuie d'autant plus qu'à la fin apparaît Helmut Berger dans le rôle de saint Laurent plus âgé et c'est vraiment raté ...on n'y croit pas un instant ... Pourquoi avoir choisi un acteur avec un nez épaté et un visage carré pour incarner le personnage ??
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 janvier 2015
    Au total, 2h30 d'inepties. C'est mal joué. C'est insipide. C'est bruyant. Les dialogues sont creux. Aucun scénario. On parle d'esthétisme : où ça ? Une pure escroquerie sur le nom de St-Laurent. Par pitié, épargnez-vous ce navet.
    alain-92
    alain-92

    307 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 septembre 2014
    Un film fort, luxueux, un rien démoniaque, magnifique de bout en bout en ce qui me concerne.

    "Il faut parfois savoir être infidèle pour que ça dérape, pour que ça revive, en fait " déclare Bertrand Bonello. La réussite est totale. Le réalisateur s'appuie sur le trio formé par Yves Saint Laurent, Pierre Bergé et Jacques de Bascher. Le montage sophistiqué, mais captivant, nous plonge dans une époque reconstituée avec brio, finesse, une certaine folie, aussi, mais toujours dans une grande élégance.

    Des parcelles de l'univers de Saint Laurent se glissent astucieusement dans le film. Proust bien entendu. La voix de La Callas ou encore Marrakech, ville dans laquelle l'inspiration venait plus facilement. De Marguerite Duras à Visconti. Une allusion à Catherine Deneuve. Les fameux et fabuleux costumes de la revue du Casino de Paris. Mais aussi la rue Saint Anne et le Palace du temps de Fabrice Emaer, entre autres, rien ne manque. Les références historiques pour ponctuer les années se font par un astucieux montage. Les évènements, d'un côté de l'image pendant que de l'autre défilent les mannequins avec les dates des collections.

    La remarquable photographie de Josée Deshaies magnifie l'ensemble. Belle sans être pesante. Raffinée, mais jamais trop appuyée, elle illumine parfaitement les différentes périodes qui constituent le film. Du grand art.

    Ce film se regarde comme on découvre avec passion un magnifique album de photos.
    Une distribution impeccable contribue à cette réussite.

    Amira Casar prête ses traits et son talent à la célèbre Anne-Marie Munoz.

    Jérémie Renier dans le rôle de Pierre Bergé est étonnant. Amoureux mais aussi remarquable homme d'affaires, il est à la fois protecteur et tyrannique.

    Gaspard Ulliel, au charisme ravageur, est parfait dans la tourmente, l'égoïsme, ou la légèreté souvent capricieuse. Sans rechercher la ressemblance physique à tout prix, il est tout simplement impressionnant.

    Louis Garrel manipulateur à souhait, sombre et destructeur est tout aussi impeccable.

    La scène dans laquelle Valeria Bruni Tedeschi se retrouve rajeunie et transformée en quelques minutes, par le seul regard et les recommandations du génial Saint Laurent est, à mes yeux, le plus bel hommage que le réalisateur rend au couturier.

    À la toute fin du film des journalistes de Libération veulent être les premiers pour annoncer le décès du couturier et trouver le titre accrocheur. Bertrand Bonello est l'un d'eux.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 septembre 2014
    Certes le duo Ulliel / Garel est réussi, toutefois le film est long, très lent voire ennuyeux.
    On a vraiment du mal à rentrer dans le film. Certes les acteurs sont bons, la BO excellente mais le rythme est décousus.
    hpjvswzm5
    hpjvswzm5

    38 abonnés 459 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2014
    Saint Laurent est un des films que j'attendais le plus cette année, pas par intérêt particulier pour le sujet, mais bien évidemment pour son réalisateur, Bertrand Bonello, que je connaissais de nom et que j'ai appris à adorer avec De la guerre et surtout L'Apollonide, qui était plus que magnifique. Par ailleurs j'avais bien apprécié Cindy son court-métrage, surtout pour sa fin. Ce mec a une fascination pour la musique assez extraordinaire, j'ai l'impression qu'il croit a un certain pouvoir de la musique, pas la soupe habituelle sensée nous faire ressentir des émotions et à laquelle hollywood semble accorder beaucoup d'importance, mais celle qui nous traverse l'âme, qui nous bouleverse, qui agit comme une catharsis, et qui est même capable de faire sangloter Asia Argento (c'est dire si c'est fort). Ça donnait notamment cette scène sublime de L'Apollonide avec Nights in withe satin (ou Amalric jouant de la guitare dans De la guerre).

    M'enfin revenons à Saint Laurent, avec un réalisateur pareil, et un casting trois étoiles, comment ça pourrait ne pas être bien ? Ça ne peut pas. Parce que Bonello ose faire ce que Lespert n'a pas fait, s'intéresser à un homme, en dresser le portrait, et ce avec une vision très belle, sombre, triste, et une mise en scène géniale rhabillant l'esthétique naphtalinée du film sorti en début d'année.

    Parce que Bonello est un vrai metteur en scène, qui arrive à dire énormément de choses avec rien. Au début du film on ne sait rien des personnages, de Bergé, même de ysl, et il suffit que Bergé débarque dans l'atelier et on a compris, pas besoin d'en dire plus. Idem pour Saint Laurent, on ne le voit pas pendant un moment, mais il suffit qu'un personnage fasse remarquer que monsieur Saint Laurent a relancé sa musique et c'est bon, on sait qu'il est là, on a tout compris du personnage.Ce que je trouve génial dans ce film, c'est que Bonello gagne sur les deux tableaux, il impose sa vision du personnage, extrêmement personnelle, et arrive aussi dépeindre l'univers de la mode avec pas mal de justesse. J'ai adoré la scène de réunion entre Bergé et un partenaire américain, où les deux ne parlent pas la langue de l'autre, et ont besoin d'une traductrice, c'est une cacophonie, les phrases et les deux langues se mêlent (imagé bien sûr), ça dure des plombes, c'est bien mis en scène, c'est assez fabuleux. Globalement le film c'est du cinéma, du vrai, pas un fade téléfilm, Bonello n'a jamais autant inondé le film de musique, il crée des images assez sublimes, il maîtrise sa narration, il nous fait des split-screens pour nous montrer le temps qui passe, a-t-on besoin d'avoir plus ?

    Mais surtout, c'est un film très beau et très émouvant. Moi qui n'était pas intéressé par ysl, non seulement il a réussi à m'y intéresser, mais en plus je m'y suis attaché, et il a fini par complètement me bouleverser. Alors je vois déjà des gens me dire que ça ne colle pas avec la réalité, que le vrai Yves Saint Laurent n'était pas comme ça ou totalement détestable, mais on s'en balance complètement. Moi je vois un film beau à en chialer, où montrer Saint Laurent vieux, seul, hanté par sa solitude, bercé vers la fin par l'ave maria, c'est émouvant, quand bien même ce serait une invention de cinéma. Bonello aime son personnage le comprend, on est loin du biopic conventionnel qui chercherait à révéler la part d'ombre de telle ou telle personne traitée. Excusez-moi si je dis des bêtises, mais la fin du film, que je ne dévoilerai pas, n'est-ce pas la plus belle des manières de rendre hommage à l'artiste qui nous intéresse, qui nous fascine, et qu'on arrive à rendre émouvant ? Le tout en restant toujours très pop, très pur, simple.

    Je suis d'accord avec télérama sur le côté proustien du film (ce qui me rappelle qu'il faudrait que je lise Proust), le film s'amuse avec la temporalité, on voit le vieux Saint Laurent qui ressasse sa vie, qui repense au moment où il est "mort". C'est assez explicite avec l'idée du tableau représentant la chambre de Proust, là encore idée qui aboutie à quelque chose de magnifique. Il faut vraiment aimer ses personnages pour leur faire de telles cadeaux. Ça me rappelle le clin d'oeil à Marivaux chez Kechiche dans l'Esquive et La Vie d'Adèle, un auteur qui aide les personnages à se comprendre.

    De toute façon, il faut le voir, même moi qui ne connaît pas le cinéma je ressens que ce film est en, complètement. Et puis mes lacunes culturelles ne m'empêchent pas d'être fasciné par cet objet.

    Bon maintenant j'attends le Cavalier et le Sciamma (et j'en oublie je crois).
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 836 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2014
    Saint Laurent était un film des films que j'attendais le plus cette année, forcément revoir un Bonello après les deux sublimes Apollonide et De la guerre, ça fait envie. Cependant je ne connais pas Yves Saint Laurent et je me fous totalement de sa vie. Mais bon si Fincher peut m'intéresser avec l'histoire de facebook, Bonello peut m'intéresser avec de la couture.

    Et c'est réussi, alors ça ne m'a pas profondément touché comme ses deux films précédents, cependant c'est dans la même lignée, on retrouve le Bonello qui a mille idées à la seconde, le Bonello qui sait prendre son temps pour montrer une scène "banale" et la sublime avec de la musique qui pourrait sembler hors propos. C'est ça la force de Bonello, son cinéma, il arrive à le sublimer en choisissant la bonne musique au bon moment et ça c'est extraordinaire. Alors oui aucune scène ne vaut celle de l'Apollonide avec night in white satin, mais tout de même ! Celle avec I put a spell on you au début vaut le détour et ce n'est pas la seule. On retrouve donc cette beauté propre à Bonello et ce n'est pas pour me déplaire.

    D'ailleurs il adopte un ton très posé, proche du spleen dans son film, ce qui fait que de voir Ulliel parler en imitant la voix de Saint Laurent supportable. Parce que oui l'imitation, le factice rien de plus insupportable, sauf que là ça passe bien (et même pour Renier) mais ce n'est en rien lié à leur "jeu"/"imitation", mais c'est vraiment le fait que le ton du film, ce côté lancinant, rêveur, rêveries de dépressif colle superbement bien avec l'intonation de la voix modifiée d'Ulliel. On n'est pas dans le réel, on est perché quelque part dans les délires et fantasmes de Saint Laurent.

    Je dois souligner aussi une scène sublime (entre autres, il y a tant à dire) où au contraire on est profondément dans le réel, Berger et un américain discutent dans une longue séquence avec une traductrice. Là où un autre film aurait mis alternativement une voix plus forte que l'autre en fonction de ce qui importe, ici Bonello ne touche pas (ou quasiment pas) au son et on arrête alors la rêverie pour se trouver violemment confronté au quotidien de la gestion financière d'un groupe comme Saint Laurent.

    En parlant de Berger, il n'a pas aimé le film, a tout fait pour faire en sorte qu'il ne sorte pas et je comprends, il est montré comme un petit être dans l'ombre de Saint Laurent qui tente de tout contrôler, d'ailleurs la première fois qu'on le voir est particulièrement significative, il arrive, on ne voit que son reflet, de loin, dans un miroir, le type qui rôde, qui veille, qui surveille même. Bref un vrai personnage de cinéma très intéressant car il a cette ambigüité, il semble "gentil" en apparence, mais on le voit dévorer de façon implicite Saint Laurent.

    D'ailleurs ce dernier a aussi un part d'ombre, certes il y a son passage sous acide, etc, mais je ne pense pas à ça, car ce n'est pas traité comme si c'était atroce ou autre, au contraire, on retrouve notre spleen, mais ces petites remarques qu'il peut faire et qui sont assez sèches même avec sa douce voix.

    Le point d'orgue du film est bien entendu le défilé, que Bonello a monté d'une façon plutôt bien sentie avec un Saint Laurent plus vieux, limite sénile.
    Dans les autres choses bien senties il y a le début, avec le splitscreen montrant d'un côté les collections de Saint Laurent et de l'autre les faits marquants de l'actualité de l'époque. On a vu ce qui se passait dans le monde extérieur, Bonello ne dit pas que ça n'existe pas, mais maintenant il faut plonger dans le monde extravagant et fantasmé de Saint Laurent et se préoccuper uniquement de ses problèmes de petit bourgeois.

    Finalement Saint Laurent arrive à être bien plus qu'un simple film de commande, c'est un film extrêmement riche, long aussi, mais très riche. Cependant il a pour défaut de ne pas avoir réussi à m'émouvoir et pourtant voir Garrel recoudre un oeil de son ours de peluche c'est vraiment beau.
    Marc  Régis
    Marc Régis

    30 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 septembre 2014
    Interminable défilé de mode. Sans jeu de mot, il s'agit là d'un pur décorum totalement vide de sens, d'émotion, de tout ce qui fait un film. On passe son temps à boire du champagne, danser, se droguer (quelques pilules, une piqueuse...), quant on sexe, alors là, on ne montre pas, on suggère! Tellement suggérer que ça en devient ridicule. Et cette voix off qui vient raconter les frasques du personnage Saint Laurent. Soit dit en passant, personnage méprisé par le réalisateur. Il en fait qu'un malade, une sorte de génie romantique. Et puis c'est long! Et des références par ci, et des clins d'œil par là. Helmut Berger se regardant dans les Damnés... Au final, je préfère le télé-film de Jalil Lespert. Il a le mérite d'être honnête et sans prétention.
    ICHBIAHR
    ICHBIAHR

    11 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2014
    Gaspart Ulliel brillant interprétation remarquable mais quand on a vu le premier on reste un peu sur sa faim.

    Le son la musique tient lieux de scénario elle est bonne mais elle hurle et ça gâche le plaisir, on feuillette son Vogue en papier glace mais on reste en dehors du sujet alors que dans la première version moins patinée on rentrait dans le sujet.
    Mais ca reste a voir bien sur
    Loïck G.
    Loïck G.

    295 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2014
    La longueur du Biopic entraîne obligatoirement des sautes d’humeur, mais une fois le générique tombé, on revoit en un clin d’œil la vie d’un homme à travers le prisme d’un autre créateur. Le fondu enchaîné entre les deux figure la parfaite illusion de ce que peut-être le cinéma quand il donne autant la parole aux images. Il est certain que le sujet est propice à un esthétisme particulier ce dont Bonello ne se prive pas, mais en laissant à son comédien une grande liberté d’interprétation, Gaspard Ulliel est un héros qui ne respire pas le décalque, mais plus l’identification. C’est le souffle et la respiration de ce film dès lors peut-être un peu moins facile d’accès que celui de Jalil Lespert. Il me semble par contre plus proche du personnage, plus vrai... L’ensemble du casting est parfait, avec notamment Jérémie Renier en Pierre Bergé, indiscutable.
    Pour en savoir plus
    César D.
    César D.

    34 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 septembre 2014
    bouh! je me suis ennuyé! et pas par les 2H30, non, mais plutôt par la mollesse de l'ensemble. les scènes s'enchainent avec souvent la sensation de passer du coq à l'âne, et que le montage a été fait au hasard. Gaspard Ulliel s'en tire honorablement, c'est vrai, mais ce film décousu (hihi) ne rend pas hommage à son travail. dommage. seul point vraiment positif, cette vision d'Yves Saint Laurent est moins lisse et policée que cette servie par Jalil Lespert, et donc, je pense, plus proche du "vraie" YSL. pas étonnant que Pierre Berger ne soit pas content.
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