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    My Beautiful Boy
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    167 critiques spectateurs

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    Fabien S.
    Fabien S.

    457 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2019
    Un très beau drame . Steve Carrell joue un père qui veut son fils de la méthamphétamine . Un très beau rôle. Un très bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 août 2019
    Film qui m'a boulversé. Non pas que l'on découvre le problème des drogues dures... Mais on découvre en revanche, que celles-ci touchent tout le monde sans exception, y compris les enfants suivis,studieux et plein de centres d'intérêt(s).
    Le fait que cette histoire traite d'un père et son fils m'a beaucoup touché également, car bien souvent, dans les films ( et dans la réalité?!), le pilier familial reste la maman. Les deux acteurs principaux, sont beaux, justes et touchants dans leurs rôles respectifs. Steve Carell est tellement talentueux et campe tellement bien ce rôle de père aimant.

    Ce film, je m'en souviendrai!
    Laura L
    Laura L

    28 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 juillet 2019
    Quel chef d'oeuvre..."My beautiful boy" est saisissant, rempli d'amour et d'émotions ! Timothée Chalamet et Steve Carell y sont extraordinaires et interprètent divinement bien leur rôle.
    Cet amour infini que le père porte à son fils, prêt à tout pour le sauver du monde de la drogue dans lequel il s'est laissé emporté... est tout simplement magistral et touchant.
    Je trouve que ce film est difficile à voir. Il nous montre les effets dévastateurs de la drogue, de la dégradation progressive d'une personne, et la peur que cela engendre autour de leur proches, ce sentiment constant d'impuissance. Ce film est poignant. Il nous transperce de l'intérieur, les scènes sont dures et marquantes. On rentre dans un sentiment d'empathie, on a envie de traverser l'écran pour leur venir en aide.
    Ce film mérite d'être connu bien davantage, voir même, diffusé dans les écoles à titre préventif.
    Je m'en rappellerai très longtemps.
    NarnoNarno
    NarnoNarno

    26 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 juillet 2019
    Rarement un film aura essayé de traduire la situation dramatique qui plonge une famille aimante dans la spirale de la drogue. Ici, le junkie est un fils de bonne famille, dont les relations familiales, et particulièrement paternelle, sont fortes et unies. Le mal-être difficilement explicable de l’adolescent (faut-il d’ailleurs toujours trouver une origine à une dépression?) amène le jeune homme vers une consommation régulière de drogues dures, et vers une voie qui s’annonce à sens unique et implacable. A ses côtés, un père concerné, proche, témoin, dépourvu et impuissant. Ce sont tous ces adjectifs que F.Van Groeningen met subtilement en scène. En suivant le parcours des deux protagonistes, le réalisateur filme un équilibre instable, fait de hauts et de rechutes, cycliquement inéluctables. A l’image de la mise en scène ponctuée de flash-backs et de musiques variées qui donnent du ton et de la puissance au récit, des aller-retours en moments heureux et tragiques alternent constamment et jouent particulièrement sur nos émotions. Là où le film fait mouche, c’est dans sa renonciation à trouver la bonne solution, et dans le poids de la pression familiale qui se veut régénératrice, mais s’avère âprement décadente. Le réalisateur flamand tente une immersion au cinéma US de manière plus assagi qu’à l’accoutumé, sans pour autant renier son art dans la description des sentiments les plus anodins et les plus forts. Même si on peut regretter quelques facilités déjà vues (ah! ces journaux intimes en dessous des lits...) et cet american-way-of-life qui nous emmène dans une famille parfaite sans défaut, l’essentiel se joue sur la forme et moins sur le fond. Car, le scénario est assez répétitif et peut donner l’impression d’un temps un peu long (surtout au début). Son épilogue, qualifié par certain d’une forme de happy-end, peut être aussi perçu comme un éternel recommencement, et donne (encore) froid dans le dos. S.Carell est magistral dans son rôle de père actif et impuissant. T.Chalamet est parfait dans le rôle du fils meurtri, jouant de sa jeunesse et de son investissement total pour le rôle. A leurs côtés, M.Tierney tente de se faire une place derrière ce magnifique duo, et les scènes finales mettent enfin en valeur tout son potentiel. “My Beautiful Boy“ n’est pas un film coup de poing car sa réalisation feutrée nous épargne de scènes chocs et finalement dispensables. Mais il distille judicieusement une émotion vive et poignante comme une perfusion qui nous emporte, un mauvais trip sans overdose mais poussant à la gueule de bois tenace.
    Cinememories
    Cinememories

    440 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2022
    Rares sont ces films qui traitent d’un sujet aussi sensible et qui entrevoient d’explorer l’ensemble des individus concernés, avec justesse. Le rapport à une addiction touche notamment la personne atteinte, mais les proches sont souvent mis à l’écart, victimes de leur impuissance. Mais pour le réalisateur belge Felix Van Groeningen, il existe un consensus dans la lecture d’un combat qui est peu traité au singulier. Après « La Merditude des Choses » et l’excellent « Alabama Monroe », il se propose de briser certains clichés afin que le récit génère pleinement ses doses sentimentales et psychologiques, vis-à-vis de comédiens sur qui tout repose. Bien que le tourment se résume à une spirale de déchéances et de schémas d’une famille recomposée, l’intrigue nous invite avant tout à relativiser cette notion.

    Nic Sheff (Timothée Chalamet) est jeune, créatif mais instable dans une forme de dépendance accrue. La drogue finit par le séparer de sa famille, déjà en bien piètre état, car le divorce de ses parents peut être un catalyseur dans sa conduite. Il s’évade donc de point en point, laissant son passé derrière lui et un père qui tient au garçon qu’il a élevé, encouragé et protégé. David (Steve Carell) s’implique alors dans une course-poursuite contre la peine et la haine. La drogue est synonyme d’addiction et ce mal frappe essentiellement la victime qui en consomme. Or, David, lui fait de son fils la substance qui le maintient éveillé et attentif. Il apprend ainsi à se familiariser avec les pulsions qui dictent la vie de son enfant perdu. La voie de la guérison est donc la seule issue possible pour ce dernier, mais il n’y a pas de traitement de faveur. La profondeur des deux hommes est exposée dans leur intimité et dans leur isolement mental, là où chacun cherchera, en vain, à convaincre sa moitié à la rédemption.

    Par ailleurs, derrière le vice, il existe une certaine cohérence avec le combat d’une vie, dans une époque où il faut se détacher corps et âme afin d’avoir un avenir. Nic en est l’exemple. Ne manquant pas d’opportunités, il est cependant influençable et sombre dans la facilité. Il peine à évoluer dans le sens voulu par ses parents et peine également à trouver une identité. Il s’abandonne alors dans un cimetière mental, où la violence et l’amour n’auront pas leur place. C’est un havre de paix pour cette créature trop fragile, trop peureuse et pas assez courageuse pour renaître de ses cendres. En adoptant le point de vue remarquable du père, il ne sera pas surprenant d’évoquer un parcours tourmenté, car ce dernier est tiraillé entre le passé et le présent. Cela sacrifie la structure du récit qui piétine sur une répétition de faits, mais ce sera dans la psyché des personnages qu’on trouvera le réconfort et la force de caractère de l’œuvre.

    Sensoriel à souhait, le réalisateur opte pour une approche très humaine dans ce mélodrame. En suivant David, qui doit surmonter et d’adapter aux obstacles qui le séparent de son fils, on assiste à une bonne sensibilisation pédagogique. Mais « My Beautiful Boy » peut aussi dévoiler des maladresses d’un point de vue technique ou de mise en scène, car le final suggère une destinée que l’on justifiera avant tout au montage. David et Nic sont comme ange gardien et démon intérieur. Ils sont indissociables comme la douceur et la douleur, on ne peut jamais totalement s’affranchir de l’autre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 juin 2019
    Film bouleversant, j'ai étais très émus par ce film et mis du temps à m'en remettre. Thimothé Chalamet et Steve Carrel sont excellent dans leur jeu d'acteurs.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 mai 2019
    Dure dure réalité de la vie ou ses jeunes confrontés à toute sorte de problèmes et vices ne savent plus vers qui se tourner... au finale se réfugie dans la drogue, alcool, ou autre clan pour trouver un force mutuel pour mieux supporter la descente aux enfer...

    Et quand ils trouvent une aide il tournent le dos ou rechute de plus belle pour re-suivre les amis... mettant en danger leur propre vie... voulant être Homme sans passer par la case gamin... « j’ai 18 ans ta plus rien à me dire »
    Caine78
    Caine78

    6 028 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mars 2019
    Les premières minutes n'étaient pas franchement pour me rassurer, mon inquiétude quant à connaître une nouvelle déception signée Felix van Groeningen après « Belgica » étant forte. Beaucoup de mal à trouver le ton juste, une certaine banalité du propos, personnages moyennement attachants... Je n'accrochais pas, voire m'ennuyais un peu. Il faut aussi avouer que moi, la drogue, ce n'est pas trop mon truc, et à de rares exceptions, son traitement au cinéma m'a rarement emballé. Cela a sans doute pesé sur mon ressenti, mais il faut croire que le problème était plus large puisqu'au bout d'un (bon) moment, j'ai fini par raccrocher les wagons. Je ne sais pas exactement ce qui a provoqué ce regain d'intérêt. Le film apparaît moins démonstratif, moins pesant : les situations deviennent plus complexes, les enjeux plus concrets. On est, certes, dans une logique mélodramatique, mais le réalisateur n'en fait pas trop : un peu édifiant, sans doute, mais l'accumulation d'épreuves pour les parents face à un mal semblant irréversible fait son effet, à l'image de quelques scènes assez marquantes. Original ? Pas vraiment. Disons que le talent du réalisateur, d'abord maladroit, finit par prendre le dessus, également par sa capacité à choisir les bons acteurs (si j'ai quelques réserves sur Timothée Chalamet, Steve Carell fait preuve d'une belle sobriété, sans oublier Maura Tierney, dont la délicatesse n'a d'égale que la douceur du rôle), auquel nous pouvons ajouter (surtout) une bande-originale toujours aussi étonnante et inspirée : du grand art. Bref, loin d'être mon coup de cœur de l'année comme avait pu l'être « Alabama Monroe » voire « La Merditude des choses », « My Beautiful Boy » reste un drame plutôt sensible, un peu hollywoodien mais pas trop, traitant plutôt correctement d'un sujet très (trop?) régulièrement abordé sur grand écran : honorable. PS : ne partez pas avant la fin du générique, vous aurez l'occasion de profiter du magnifique « Let If Enfold You » de Charles Bukowski.
    toumanu
    toumanu

    2 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2019
    Ne faites pas comme moi et allez le voir en version originale ! Ce film est bouleversant et timothée Chalamet interprète ce rôle avec grandeur.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 172 abonnés 3 973 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2019
    Dans « My beautiful boy », Steve Carell est le père de Timothée Chalamet remarqué dernièrement dans « Call me by your name ». Ce dernier est un adolescent tombé dans la drogue dès son plus jeune âge. Son père essaie tant bien que mal d'aider son fils à remonter la pente, quitte à se faire détester. Le récit alterne les scènes douloureuses et les flash-backs explicatifs de cette dépendance. Bien que Steve Carell soit étonnant dans son rôle de père qui s’épuise au point de s’oublier, la mise en scène est trop linéaire pour ressentir une quelconque émotion. C’est une déception d’autant plus grande quand on sait que ce long-métrage est signé Felix Van Groeningen, qui a réalisé le plus beau film de 2013, « Alabama Monroe ».
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 mars 2019
    Difficile de ne pas rester de marbre devant My Beautiful Boy, où l'on suit David Sheff, un père qui se bat pour sauver son fils Nic de ses addictions aux méthamphétamines et un témoin impuissant face des différentes guérisons et rechutes de ce dernier.

    Sans tomber dans le pathos, le voyeurisme ou la morale puritaine, le réalisateur belge Félix Van Groenigen dresse un portrait de l’addiction, un mal de plus en plus répandu aux Etats-Unis, et qui ne discrimine pas.

    Les flashbacks entre différentes périodes (avant/après), fréquents dans la première partie du film, permettent de constater que l’environnement dans lequel grandit Nic est chaleureux, bourgeois, presque sans histoire. Et lui-même est un jeune homme tendre, adorable. Son addiction n’en devient que plus incompréhensible et tragique.
    Timothée Chalamet est magistral dans ce rôle de junkie, en proie aux drogues dures, et Steve Carell prouve une fois de plus qu’il peut s’illustrer brillamment dans le registre dramatique.

    Il est du coup dommage que la narration du film soit gâchée par deux choses : la musique, omniprésente, qui vient presque étouffer la charge émotionnelle que le spectateur pourrait ressentir; et une dernière partie de film plus classique et linéaire.

    Beautiful Boy reste néanmoins une jolie expérience cinématographique sur un sujet important, traité avec pudeur et sans le triomphalisme et la célébration d’autres films portant sur l’addiction.
    yosatis1 ..
    yosatis1 ..

    1 abonné 61 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2019
    Une relation fusionnelle entre un père et son fils qui se drogue depuis l'âge de 12 ans. Les ravages de la consommation de produits illicites se font sentir bien-sûr chez l'adolescent qui est en souffrance mais également chez les parents...désemparés. Steve Carell est parfait en père soucieux d'aider son gamin malgré ses maladresses. Timothée Chalamet se révèle une fois de plus un excellent acteur, irritant et particulièrement émouvant dans ce film. Cependant, il y quelques longueurs, une demi-heure de moins aurait sans doute apporté un plus.
    math99
    math99

    11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mars 2019
    Mais quelle claque. C’est un des films les plus réaliste, je pense, avoir vu.
    Très profond, dur, on se rend compte à quel point c’est dur pour tout l’entourage, leur vie s’arrête ...

    Ce film est réellement bouleversant.
    Malo M.
    Malo M.

    1 abonné 25 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mars 2019
    My beautiful boy, adaptation des mémoires de Nic et David Sheff narre le soutient indéfectible d'un père pour sauver son fils de son addiction à la drogue.
    En plus de dialogues et de certaines situations du long métrage qui se révèlent être tracés d'avance, le film avec Timothée Chalamet possède une répetition d'actions qui certe, amène un réalisme propice à la narration, mais qui s'essoufle vite avec de nombreux stéréotypes que possèdent les films américains (lueur d'espoir qui jaillit à la fin, répliques écoeurantes de lyrisme, et plans solaires inutiles). Les liens familiaux et amicaux (sauf celui qui unit le père et le fils) sont pour la plupart survolés sans jamais réellement être approfondit (la relation de Nic avec son « parrain », ainsi que celle avec sa mère) .
    En outre, un montage alternant passé / présent, moments heureux / moments mélancoliques embrouille l'esprit du spectateur qui ne sait plus dans quelle temporalité ni même dans quel état d'esprit il se doit d'être.
    Cependant, le film de Félix Van Groeningen, à la fois préventif et permettant la portée d'un message fort renseigne les moins à même de maitriser le sujet et amène sur ceux-ci une portée éducative qui est la bienvenue.
    Le casting, notamment les deux acteurs principaux, Timothée Chalamet et Steve Carell permet de lustrer My Beautiful Boy, déjà peu étincelant sur bien des plans.
    La réalisation de Van Groeningen est un divertissement aux allures teen qui décevra bon nombres de fans d'Alabama Monroe.
    Maite.ferhat
    Maite.ferhat

    57 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2019
    J'ai eu l'occasion de voir "My Beautiful Boy" lors de la projection Club 300. Timothée Chalamet a présenté le film humblement, ce qui le reflète très bien.
    C'est un film simple, dans sa complexité. Pas de blabla, pas de fioritures. Il est brut. Et pour une fois, un film ne traite pas de la drogue du point de vu de l'addict, mais de l'entourage. C'est touchant, émouvant.
    Tout le long du film, on ressent une forte douceur et une ambiance chaleureuse, que l'on aime avoir auprès des siens. Ce film, malgré qu'il soit dur, fait du bien. On a envie d'aimer les siens.
    My Beautiful traite des rapports complexes familiaux, et des choses qui nous empêchent parfois d'être soi et de dire Je t'aime.

    Les acteurs sont exceptionnels, ne parlons pas de Timothée Chalamet qui est extrêmement prometteur et qui a déjà d'ailleurs fait ses preuves.

    Je vous conseille vivement ce film.
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