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    Loin de la foule déchaînée
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    3,8
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    142 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    12 028 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juillet 2019
    "Far from the Madding Crowd" est le premier roman qui a fait connaître Thomas Hardy! Beaucoup diront que c'est l'un de ses meilleurs où la splendeur de la nature et l'âpretè des paysages britanniques collent parfaitement avec la sensualitè tourmentèe de Bathsheba Everdene et Gabriel Oak! C'est l'Angleterre victorienne comme si on y ètait avec les passions qui bouillonnent à l'intèrieur des personnages! Quarante-huit ans après le classique de John Schlesinger, l'amour est toujours dans le prè! Après le triomphe de "La chasse", Thomas Vinterberg signe une adaptation très honorable et magnifiquement filmèe, bien meilleure que certains autres remakes historiques! Mais à l'instar de ces paysages que le film donne à admirer grâce au travail remarquable de Charlotte Bruus Christensen, "Far from the Madding Crowd" version 2015 est agrèablement romanesque malgrè sa courte durèe (la version 1967 durait 1h de plus). Le principal attrait du film, c'est èvidemment Carey Mulligan! Femme indèpendante et courageuse, elle se montre très à l'aise face au charme animal du beau Matthias Schoenaerts! Carey, Matthias...et la valse des sèducteurs! Quant à Juno Temple, elle nous offre - dans un rôle secondaire - ses plus gracieux instants de tristesse...
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    84 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mai 2019
    Ne connaissant pas les œuvres originales, on n’est pas tenté de la comparer et on est objectif. Ce film a des qualités indéniables, marqués en grande partie par l’histoire (qu’il réexploite du coup) mais aussi par le casting, l’interprétation et l’attirance réservé dans 2 personnes de classes sociales différentes. C’est tendu, presque frustrant par moment, et pourtant très logique et réaliste, et ça vient donner un coté inhabituel à cette relation et au film qui sort de la comédie romantique classique. La fin est à la fois bonne et mauvaise en fonction de comment on regarde les choses mais en tout cas le film est soigneux (décors, costumes, narration, …) et le je t’aime moi non plus assez bien exploité.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    106 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 janvier 2019
    AUTANT EN EMPORTE LE VENT. Une chasse à la femme, chifoumi mais l'ange Gabriel est favori. Les hommes ce danger. Le passé était hier, le futur demain et le jour d'après n'existait pas. Thomas Vinterberg a bien changé. Sa poésie du mouvement, l'exigence de l'amour, les ombres du coeur. Attachant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 janvier 2019
    Film rempli de sensibilité avec de très bons acteurs permettant de s'évader à une autre époque ...A voir
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    9 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 octobre 2018
    3,5 étoiles - Loin de la foule déchaînée

    De belles images ... des paysages splendides ... des acteurs d'une grande profondeur ... un film émouvant. La dimension sentimentale vibre dans chaque scène. Un film, certes, académique et un scénario somme toute assez classique : une banale histoire sentimentale en construction. Néanmoins, c'est très bien fait et le génie de ce film c'est d'avoir superbement associé l'émotion sentimentale des personnages a une scénographie iconique. Film qui ne laisse pas insensible.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    584 abonnés 2 755 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mai 2018
    On est loin des passions déchaînées et de l’âpreté d’ensemble qu’insufflait Thomas Hardy à son œuvre originale. Demeure ici une adaptation édulcorée et stéréotypée qui remplit son cahier des charges sans proposer quoi que ce soit d’autre. En réalité, ce film nous l’avons déjà tous vu : les coutures s’exhibent sans finesse à grand renfort de fondus au noir et de cœurs balbutiants, les très bons acteurs s’exécutent mais n’éblouissent jamais, la musique martèle un lyrisme inapproprié et répétitif. Il manque une profondeur qui aurait permis au spectateur de s’investir, une vision qu’une prise de risques élèverait au rang de pleine relecture, en somme une âme. On ressort indifférents de Loin de la foule déchaînée, tenus à l’écart d’un pilier de la littérature anglaise dont la confrontation directe – par le texte littéraire – s’impose à nous comme une évidence. Tout simplement.
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    69 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mars 2018
    En 2015, la filmographie de Vinterberg prend un virage inattendu quand ce dernier décide de se lancer dans le film en costume avec une adaptation de Thomas Hardy. L'ensemble est globalement convaincant bien que très convenu. L’interprétation solide des acteurs donnent de la crédibilité à un scénario trop romanesque à mon goût avec ses retournements improbables, voir grossiers. La mise en scène de Vintenberg est léchée et agréable à l’œil même si le cinéaste suédois ne prend pas de risques et reste très scolaire. J'aurai aimé que Vintenberg s’approprie d'avantage l'oeuvre de Hardy et que la piste intéressante du féminisme soit traité avec d'avantage de profondeur et de subtilité. Bien que le film soit donc très classique dans son exécution, il n'en demeure pas moins agréable à suivre et doit selon moi sa réussite à sa capacité à générer une émotion sincère et l'attachement du spectateur pour les personnages. Un drame en costume comme il en existe des dizaines d'autres qui ne fera pas date qui plaira aux amateurs du genre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 février 2018
    La mise en scène de la romance m’a émue aux larmes avec ses intrigues amoureuses et ses barrières de son époque.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 décembre 2017
    Magnifique film pour lequel j'ai dur d'exprimer et de mettre des mots dessus tellement il frise et rivalise avec "le parfait ". Bathsheba est une jeune femme qui se veut indépendante et ne compte se marier qu'une fois amoureuse ! Mais pour autant elle ne veut pas " subir " une relation mais en être pleinement l'actrice et la vivre une vraie histoire d'amour. Elle va d'abord recevoir spoiler: une proposition de Gabriel, un peu berger au cœur tendre qu'elle va décliner.
    Pour ensuite, partir pour la ferme dont elle est héritière. Elle va devoir trouvée sa place dans un monde dominé principalement par les hommes. Courtisé par 3 hommes, elle va devoir faire des choix qui balancent entre son cœur et sa raison illustrant bien le contexte de l'époque mais aussi à notre époque. Un point fort de ce film, hormis sa beauté visuelle, les 2 acteurs principaux Calley Muligan et Matthias Schoenaerts dont l'alchimie, la passion dévorante augmente de jour en jour mais ce fait dans un silence, dans une retenue propice à l'époque mais qui veut en dire beaucoup.
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 784 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 août 2017
    « Loin de la foule déchaînée » est une oeuvre de Thomas Hardy que je n’ai jamais lu mais dont le nom fait écho depuis « Tess » de Polanski, que je considère comme un de ses plus grands films. Vinterberg n’est pas Polanski cependant, j’ai apprécié son adaptation, sa photo, son interprétation (à voir en V.O évidemment). Un film romanesque sans pour autant être une fresque ; il manque en effet un soupçon d’intensité, de passion, de noirceur, de drame tout simplement comme l’était « Tess ». Comme je n’ai pas vu la première adaptation de John Schlesinger, je m’en tiendrai à ce qui m’a été proposé à savoir un récit de Thomas Hardy plus léger. A moins que cela soit le point de vue de Vinterberg. Peu importe, la narration scénique reste classique au sens noble du terme. Le film se laisse volontiers regarder avec ces deux personnages que sont Bathsheba et Gabriel. L’une émancipée dans la période victorienne, loin des villes, et l’autre tout en retenue, en réflexion, en pudeur.
    Claude DL
    Claude DL

    76 abonnés 1 593 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juin 2017
    Film ciblant clairement une clientèle féminine, par son côté mélo rappelant des œuvres du même genre, tel Orgueil et Préjugés ou Raison et Sentiments. Ceci étant, j'ai apprécié la photo, très léchée, la reconstitution d'époque et la très belle prestation de Carey Mulligan. Mais l'ensemble reste pour moi un peu désuet et académique.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 février 2017
    Malheureusement c’est un gros bof pour moi. Je me suis grandement ennuyé devant. Disons qu’en plus de ne pas m’intéresser par son histoire de départ; une jeune femme qui suite à un héritage heureux se retrouve gérante d’une ferme et devient donc assez aisée dans l’Angleterre des années 1870 qui enchaine les erreurs et les rencontres malencontreuses l’empêchant de finir dans les bras de l’homme qu’elle aime (et inversement) depuis le début de l’histoire; le film ne m’a jamais surpris.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 010 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2017
    Le créateur du Dogme 95 en compagnie de Lars Von Trier, Kristian Levring et Soren Kragh-Jacobsen dont il avait inauguré l'avènement avec le très frontal "Festen", change complètement de pied avec "Loin de la foule déchainée", le célèbre roman féministe et pastoral de l'écrivain anglais Thomas Hardy qu'il adapte de manière très conventionnelle dans la lignée de John Schlesinger qui avait en 1967 proposé une version avec un casting très relevé allant de la sublime Julie Christie aux très confirmés Terence Stamp, Peter Finch et Alan Bates, reconnue aujourd'hui comme définitive par une majorité de la critique. Une critique qui justement n'a pas bien compris pourquoi après le très sociétal "La chasse" (2012), traitant de la pédophilie, Vinterberg avait choisi d'adapter de manière aussi académique le roman de Thomas Hardy, faisant ainsi redondance à côté de l'œuvre de Schlesinger. Une question que l'on se pose évidemment moins concernant le théâtre dont le côté éphémère ne confronte pas les réalisateurs et acteurs au travail de leurs prédécesseurs. Il s'agit sans doute d'un mauvais procès, chaque artiste pouvant désirer se frotter à un moment de sa carrière aux grandes œuvres classiques. La démarche au contraire d'être systématiquement superflue permet quelquefois de faire émerger de nouvelles approches des travaux majeurs d'un auteur mais aussi de remettre en lumière un artiste souvent oublié. C'est peut-être grâce à Vinterberg que certains auront envie de lire Thomas Hardy ou de voir les films de John Schlesinger. De plus le film se laisse voir avec un plaisir certain, grâce à une mise en scène qui met parfaitement en lumière les conflits intérieurs qui se jouent dans l'esprit tourmenté de cette jeune femme de l'époque victorienne héritière d'un vaste domaine agricole (Carey Mulligan) qui tout d'abord refuse à s'engager sentimentalement afin de laisser libre cours à sa soif d'indépendance pour bizarrement se laisser séduire puis détrousser en deux temps et trois mouvements par un sergent (Tom Sturridge) cupide et volage. On a reproché aussi à Vinterberg le recours à des images trop léchées, accentuant exagérément l'aspect lyrique du roman. Reprochait-on à Victor Fleming quand il filmait "Autant en emporte le vent" en 1939 de trop magnifier la beauté sauvage et espiègle de Scarlett O'Hara (Vivien Leigh) ou le charme viril de Rhett Butler (Clark Gable) ? Il est sûr que personne ne s'attendait à tant de lyrisme et de sensualité chez celui dont la source d'inspiration essentielle est la dénonciation brutale des turpitudes de l'âme humaine mais peut-être Vinterberg avait-il besoin de se ressourcer en plaçant sa caméra face aux paysages grandioses du Dorset et à l'embrasement des sentiments avant de revenir à ses préoccupations habituelles ? L'ensemble de très bonne tenue avec des acteurs tous justes, fera découvrir aux plus jeunes, rétifs aux films de patrimoine un pan essentiel de la littérature européenne du XIXème siècle qui leur montrera qu'en dehors des adaptations de comic books truffées d'effets spéciaux, il existe un autre cinéma contemporain. Notons enfin que la beauté tout à la fois gracile et effrontée de Carey Mulligan est toujours aussi délicieuse.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 octobre 2016
    Bathsheba Everdene est dépeinte comme une héroïne féministe en avance sur son temps. Indépendante en devenant maîtresse dans un domaine hérité du jour au lendemain, libre dans une société dominée par les hommes, elle apparaît comme un archétype d’une femme émancipée.
    Elle est jeune, riche, jolie et pourtant elle fera la mauvaise pioche en matière d’amour. Si l’on veut comprendre pourquoi, alors on doit aller au-delà des poncifs qu’on trouve souvent ça et là sur le film (triomphe de la passion, pas de chance, hasard, destin, etc.) :
    Eselce
    Eselce

    1 206 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2016
    Voilà un film à la fois cruel, romantique, improbable, magnifique... Matthias Schoenaerts sait décidément tout joué ! Les paysages et les décors sont splendides, l'actrice Carey Mulligan joue parfaitement la femme indécise et les acteurs sont brillants pour nous faire ressentir l'émotion de leurs personnages. J'ai beaucoup aimé.
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