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Un visiteur
2,5
Publiée le 1 mai 2017
Niveau technique, c'est bien fait, mais je trouve les dessins un peu plat, manque de relief, d' ombre et lumière. Niveau scénaristique, c'est une jolie histoire, mais qui ne laisse aucune place à la surprise, tout est térriblement prévisible. A la toute fin du film, spoiler: les diodes des différentes pièces du robots s' allument, et rejoignent le robot, qui commence à se reconstruire, et le film se fini là. Personnellement, j' aurai préféré que le film stop 1mn avant, qu' on voie juste une diode s' allumer, et qu' on s' imagine que le robot est encore en vie. M' enfin, de toute façon, dès les 20 premières minutes du film, on sait que ça vas se finir comme ça, et c'est un peu dommage.
Un film remasterise qui n est pas exceptionnel mais qui plaira devantage aux garcons. ..lol. Pour l histoire, elle est succincte et habilement mis en scene sans trop de longueur. Le robot, disons ainsi se met assez vite dans le bain et l ensemble jouxte bien entre les peripeties et lzs situations ou les emotions sont un peu plus forte... C est p as s exceptionnel mais pour les petitq c est mignon et visuellement cela aurait pu etre pire.
Les différents niveaux de compréhension sont une marque de fabrique dans les films Pixar, alors il n’est pas étonnant de trouver ce même aspect dans le long-métrage d’un de ses futurs auteurs. Brad Bird dépeint un monde à la fois paranoïaque et inconscient qui peut virer au chaos à chaque instant. Le Géant de fer est la critique violente d’un monde et d’une façon de penser.
Si Brad Bird a connu le succès avec "Les Indestructibles" (2004) et "Ratatouille" (2007), c'est avec "Le géant de fer" qu'il s'est lancé dans le long métrage d'animation. Si ce dernier est passé plutôt inaperçu à sa sortie, il connaît un regain de popularité ces dernières années. Dans la même lignée que les productions Dreamworks, Pixar ou Disney, l'intrigue qui s'articule autour de ce géant de metal tombé du ciel reste dans les limites du convenu. Ce formatage n'empêche pas d'en apprécier cette belle histoire d'amitié sur fond de Guerre froide. On passe un bon moment et c'est ce qui compte.
Déjà pas très beau à l’époque, Le Géant De Fer aura bien du mal à convaincre une nouvelle génération de se laisser bercer par cette histoire déjà vue et revue. Revoir aujourd’hui, le film de Brad Bird est surtout une curiosité pour redécouvrir d’où il est parti et apprécier ainsi encore plus les progrès qu’il a pu réaliser depuis mais seuls les fans inconditionnels prendront vraiment du plaisir à revoir ce long métrage sur grand écran. [Lire la critique complète sur le site]
Le géant de fer est un bon dessin animé réalisé par le très prometteur Brad Bird. L'animation est très bien. Le doublage ne m'a pas semblé mauvais. L'histoire est franchement intéressante avec un regard très original sur la Guerre Froide (une première il me semble dans un dessin animé). Les deux personnages sont très sympathiques, que ce soit l'enfant ou le robot. On ne s'ennuie pas, il y a quelques bonnes situations comiques. Un dessin animé très originale.
Signé Brad Bird, Le Géant de Fer est très certainement le meilleur film d’animation de la fin de années 90. Ressorti en version restaurée en décembre 2016, c’est l’occasion pour les nouvelles générations de découvrir cette amitié entre un enfant et un robot qui n’a pas pris une ride. Car ce film de robots possède tous les ingrédients nécessaires pour plaire à toutes les tranches d’âges. Scénario complexe et simple à fois, Le Géant de Fer raconte la découverte d’un robot de quinze mètres de haut par le jeune Hogarth. S’il va vite être considéré comme un danger pour la civilisation, le robot ne pourra alors compter que sur l’enfant pour prouver qu’il possède une âme bienveillante. Le Géant de Fer est une œuvre précieuse qu’il est important de connaître pour l’altruisme qu’il provoquera en chacun de nous. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Le chef d'oeuvre de Brad Bird ... pourtant passé inaperçu en 1999. Un film d'animation dans la droite ligne du E.T de Steven Spielberg mais avec un robot extraterrestre géant de 30m qui s'écrase dans un petit bled paumé des USA à la fin des années 50, en pleine guerre froide ... en pleine période d'intolérance et paranoïa extrême ... au moment où tout un pays vit dans la peur d'une nouvelle guerre nucléaire ou l'arrivée d'un nouvel envahisseur. Les différents niveaux de lecture sont ingénieux. La qualité des dessins est scotchante et le film n'a pas pris une ride. On reconnait bien là le travail de l'homme qui réalisera plus tard le touchant Ratatouille ou le spectaculaire Les Indestructibles.
Quand une oeuvre d'art atteint à ce point la perfection, conjugue les meilleurs aspects d'un film d'animation et arrive à marquer les esprits de façon admirable, il serait malhonnête de ne pas la qualifier de "chef d'oeuvre". Non seulement les critères techniques sont largement respectés en offrant une qualité d'image, d'animation, de son, de musique et d'effets spéciaux spectaculaire, mais c'est surtout toute la poésie et la pure émotion que peut délivrer un film qui placent celui-ci en haut de l'affiche. Il est regrettable que l'accueil du public à l'époque n'ait pas été à la hauteur de l'excellence de ce film d'animation.
L'humour est décapant ! Les doublages français sont parfaits, les dessins et l'animation idem. L'aventure est prenante et les personnages charismatiques. Pas d'ennui, on passe un très bon moment devant ce film familial avec une excellente BO de vieux rock.
L'histoire d'un jeune garçon et de son robot. Le scénario peut avoir un air de déjà vu, mais ici on a sans doute sa meilleure exploitation jusqu'à présent. Les personnages sont très attachants, le doublage est de qualité, et l'animation est bluffante !
Reconnu comme un classique du dessin-animé pour beaucoup, je ne peux que me joindre à eux. Peut-être pas un film à voir, mais si vous ne l'avez jamais vu, et que vous cherchez un très bon dessin-animé, c'est le Géant de Fer qu'il faut choisir.
Dans les années 50, un jeune garçon solitaire croise le chemin d un gigantesque robot de l espace, amnésique et échoué sur terre. De leur amitié naitra l enseignement de belles valeurs, avant que le gamin ne le protège d une armée paranoïaque, avec la complicité du ferrailleur du coin. Le thème du terrible titan perdu chez les hommes répond à celui de King-Kong ou de Frankenstein, avec l accent mis sur la finalité d un terrifiant pouvoir qui peut être canalisé différemment en fonction de l induction qu il rencontre. Ce craquant spectacle pour enfants se laisse agréablement voir pour sa tendresse et sa pédagogie.