Avis sur Le Géant de fer

Tout simplement parfait, j'ai toujours considéré le Géant de fer comme LE film d'animation de mon enfance avec le roi lion ( je ne saurais pas dire combien de fois je l'ai visionné ) ou encore l'un des plus beaux dessins animés de tous les temps . Depuis il y'a à peu près un an, j'ignorais que c'était Brad Bird ( réalisateur de Ratatouille, les Indestructibles ou encore d'épisodes des Simpsons ) qui avait réalisé ce chef d'oeuvre ( et je le remercie ) ainsi que c'était un animé qui avait reçu de belles critiques mais n'avait pas tellement bien fonctionné ... Bizarrement, pour un film d'animation non produit par Disney, ou encore Dreamworks, la qualité de l'animation est parfaite et le design reste d'un niveau très haut !( j'aime énormément le personnage de Dean ) . Je me suis racheté la bande-son du film il y'a peu et je suis content que ce soit Michael Kamen qui l'ait composée car, même si elle change assez des bandes-son traditionnelles( violons beaucoup moins présents ), elle n'en reste pas moi magnifique ! Profondément touchante, l'histoire est exemplaire ( ainsi que les divers messages qui sont bien insistés durant le film comme "Une âme ne meurt jamais" ). Je dois aussi reconnaître que le géant de fer fait partie des rares animés qui me boulversent jusqu'à la fin ( une larme coule à chaque fois que je regarde cette fin extraordinaire, appuyée par la composition magistrale ) . Que dire de plus ... Ce film ne contient ( pour moi ) aucun aspect négatif qui nuirait ou gâcherait le plaisir ! Brillant de tous points, le Géant de fer est un ultime chef d'oeuvre et un des sommets de l'histoire de l'animation . Une perfection du genre .

Deviens ce que tu choisis de devenir...Choisis!
Ce film ne raconte pas seulement l'amitié touchante d'un enfant pour un robot, il transporte des messages très profonds, à travers des dialogues savoureux et plein d'humour, tels que le libre choix entre le bien et le mal, la recherche de la paix, le sens du sacrifice, la soif de résurrection...Ce film qui n'a pas fait beaucoup de publicité est tout bonnement un des tout meilleurs films d'animation américain. Tout public, A voir absolument!

Le chef d'oeuvre de Brad Bird ... pourtant passé inaperçu en 1999. Un film d'animation dans la droite ligne du E.T de Steven Spielberg mais avec un robot extraterrestre géant de 30m qui s'écrase dans un petit bled paumé des USA à la fin des années 50, en pleine guerre froide ... en pleine période d'intolérance et paranoïa extrême ... au moment où tout un pays vit dans la peur d'une nouvelle guerre nucléaire ou l'arrivée d'un nouvel envahisseur. Les différents niveaux de lecture sont ingénieux. La qualité des dessins est scotchante et le film n'a pas pris une ride. On reconnait bien là le travail de l'homme qui réalisera plus tard le touchant Ratatouille ou le spectaculaire Les Indestructibles.

L'un des films de mon enfance, je me souvient l'avoir vu pour la première fois quand je devais avoir 7 ou 8 ans et je me rappelais, (bien que mon souvenir du film en lui même soit assez vague) avoir vraiment bien aimé ce film. Et c'est enfant aujourd'hui, plus de 10 ans après que je redécouvre ce film signé Brad Bird qui comme tous le monde le sait, à réaliser Les Indestructibles, Mission Impossible: Protocole fantôme et récemment Tomorrowland (je n'aime pas le titre Français).
Ca fait vraiment du bien, je suis retombé en enfance temporairement avec ce film qui raconte l'histoire touchante d'une amitié entre un jeune garçon, Hogart Hughes et un géant métallique venu tout droit d'une autre galaxie. l'histoire se passe dans les années 1950 aux Etats Unis, dans le contexte historique du début de la Guerre Froide ou les EU sont la puissance dominante du monde avec la bombe atomique.
Malgré une histoire d'amitié qui peut sembler simple et lambda de nos jours dans les films d'animation notamment dans les relation entre humain et autres créatures (Lilo et Stich, Dragons et j'en passe), l'histoire est vraiment touchante et bien développée car cette amitié est replacée dans un contexte compliqué, celui de l'après deuxième guerre mondiale qui a traumatisé l'esprit de la nation.
Intéressant dans la mesure ou la relation homme/machine est mise en lien avec tout un tas de questions technologique et philosophique par rapport à l'intelligence artificielle (dans une époque ou l'avancée technologique n'est pas ce qu'elle était de nos jours). A ces questions, Brad Bird y ajoute tout un questionnement et une réflexion sur la diplomatie et les interventions militaires de l'armée et utilise correctement toute cette réflexion pour tourner en ridicule et nous offrir une parodie de l'armée Américaine, notamment avec le personnage du sergent Kent Mansley.
Les personnages principaux, d'abords Hogart, sont également attachants. Hogart lui, l'enfant en manque d'amis, un peu solitaire est sympathique dans sa simplicité scénaristique, c'est le gosse rêveur en quête d'aventure par défaut à qui tous les enfants (même les grands enfants^^) peuvent s'identifier.
Quand au géant de fer en question, il est très attachant aussi car c'est finalement (on peut s'en douter^^), le personnage le plus humain du film, spoiler: fasciné par les comics de Superman, un peu naïf et détestant la violence, il apprend comme un enfant et a ce côté innocent attachant
. Il est bien évidemment, comme le titre l'indique, au centre de l'intrigue qui vise à savoir si il faut le qualifier d'arme ou d'être vivant à part entière. Mais ce film n'est pas pessimiste non plus et l'humour ne manque pas, ça reste dans un esprit assez enfantin, en tant que spectateur on prend plaisir à suivre naïvement l'histoire.
Il se trouve que le film se trouve être à la base un roman de Ted Hughes, n'ayant pas lu cette nouvelle, je ne saurais pas dire si ce film le respecte bien mais en tout cas ce film à gardé tous son charme même si le film date de 1999. Donc un film sympathique qui même graphiquement n'a pas trop vieillit, ça reste potable visuellement; c'est simple mais l'émotion est vraiment forte et la relation entre Hogart et le géant de fer est l'une des plus poignante que j'ai vu dans les films de rencontre entre la machine et l'homme, encore plus que Chappie même.
Un grand film de Brad Bird, à voir !

On est tellement habitué à voir les dessin-animés américains se limiter aux niaiseries manichéennes de Disney, qu'on ne peut qu'apprécier la malice et la finesse de ce "Géant de Fer". Pas étonnant lorsque l'on sait qu'aux commandes se trouve le futur réalisateur des "Indestructibles"! Sachant tourner en dérision la psychose des années 60 avec brio, humour et justesse, ce dessin-animé saura ravir le public le plus large possible! Vraiment magnifique.

Signé Brad Bird, Le Géant de Fer est très certainement le meilleur film d’animation de la fin de années 90. Ressorti en version restaurée en décembre 2016, c’est l’occasion pour les nouvelles générations de découvrir cette amitié entre un enfant et un robot qui n’a pas pris une ride. Car ce film de robots possède tous les ingrédients nécessaires pour plaire à toutes les tranches d’âges. Scénario complexe et simple à fois, Le Géant de Fer raconte la découverte d’un robot de quinze mètres de haut par le jeune Hogarth. S’il va vite être considéré comme un danger pour la civilisation, le robot ne pourra alors compter que sur l’enfant pour prouver qu’il possède une âme bienveillante. Le Géant de Fer est une œuvre précieuse qu’il est important de connaître pour l’altruisme qu’il provoquera en chacun de nous.
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Un fabuleux dessin animé à la mise en scène pleine de subtilités et d'émotions. Les graphismes sont très chouettes, une analyse pleine de justesse de la paranoïa de la Guerre Froide et du maccarthysme. C'est certes manichéen mais abordé avec beaucoup d'humour, frais et léger. Une jolie petite perle.

Sûrement un des dessins animés les plus magnifiques jamais créés. Brad Bird signe ici une fresque sublime sur l'amitié improbable entre un jeune garçon rêveur et un robot envoyé sur Terre pour nous détruire. Après un choc, celui-ci devient aussi inoffensif qu'un enfant et c'est justement ce jeune garçon survitaminé qui va devenir un adulte face à cet être géant incapable de discerner le bien du mal. On rit souvent tout en étant attristé par certaines scènes, rentrant dans l'esprit du robot finalement possesseur d'émotions humaines. L'animation est enchanteresse, les décors et la musique sincèrement magnifiques, à l'image du court long-métrage (seulement 1h15) qui, sans surplus, arrive à nous transporter dans une histoire d'amitié sincère et envoutante. Un grand bravo pour un film d'animation de qualité, chose qui se fait plutôt rare au fil du nouveau millénaire...

Avant de réaliser Les Indestructibles et Ratatouille pour le compte du studio Pixar, Brad Bird avait déjà réalisé un film d'animation, passé un peu plus inaperçu. Le Géant de Fer raconte l'histoire d'un petit garçon qui se lie d'amitié avec un robot géant venu de l'espace. Il s'agit d'un dessin animé qui m'était très cher quand j'étais plus petit, je le connaissais presque par cœur, j'avais usé la VHS à force de le voir. L'ayant revu récemment, maintenant à l'âge adulte, j'aime toujours autant ce film d'animation. Tout d'abord, les dessins et la qualité des animations sont excellents. Les mouvements des personnages sont très dynamiques, sans oublier les dialogues du film, très "naturels". Le fait d'avoir placé les évènements du film dans les années 70 est excellente, car on ressent l'ambiance de leur période "parano". En tout cas, Le Géant de Fer est un très beau film d'animation, un petit bijou dans le genre qui nous démontre que Brad Bird avait déjà beaucoup de talent. Selon moi, un film culte dans le genre.

Les différents niveaux de compréhension sont une marque de fabrique dans les films Pixar, alors il n’est pas étonnant de trouver ce même aspect dans le long-métrage d’un de ses futurs auteurs. Brad Bird dépeint un monde à la fois paranoïaque et inconscient qui peut virer au chaos à chaque instant. Le Géant de fer est la critique violente d’un monde et d’une façon de penser.

Le Géant de Fer est un chef d’œuvre d'animation, qui mêle une histoire d'amitié entre un jeune garçon et un robot extraterrestre . En grand secret , le jeune garçon decide lui porter secours après que celui-ci la vu s'écraser non loin de sa maison. Commence alors une extraordinaire aventure ou fou - rire et complicité et courage vont sceller leur amitié indestructible . Le premier film magistrale de Brad Bird ( Ratatouille ) particulièrement émouvant , plein de sensibilité et d'émotions. A voir absolument .

Le géant de fer est un bon dessin animé réalisé par le très prometteur Brad Bird.
L'animation est très bien. Le doublage ne m'a pas semblé mauvais.
L'histoire est franchement intéressante avec un regard très original sur la Guerre Froide (une première il me semble dans un dessin animé). Les deux personnages sont très sympathiques, que ce soit l'enfant ou le robot.
On ne s'ennuie pas, il y a quelques bonnes situations comiques.
Un dessin animé très originale.

Si Brad Bird a connu le succès avec "Les Indestructibles" (2004) et "Ratatouille" (2007), c'est avec "Le géant de fer" qu'il s'est lancé dans le long métrage d'animation. Si ce dernier est passé plutôt inaperçu à sa sortie, il connaît un regain de popularité ces dernières années.
Dans la même lignée que les productions Dreamworks, Pixar ou Disney, l'intrigue qui s'articule autour de ce géant de metal tombé du ciel reste dans les limites du convenu. Ce formatage n'empêche pas d'en apprécier cette belle histoire d'amitié sur fond de Guerre froide. On passe un bon moment et c'est ce qui compte.

Adaptation du livre de Ted Hughes. Un excellent film d'animation réalisé par Brad Bird. L'histoire prenante et touchante d'un grand robot extraterrestre qui se lie d'amitié avec un petit garçon. On montre également la paranoïa et la tension pendant la période de la guerre froide avec la présence de l'armée. On retrouve au casting des voix : Jennifer Aniston, Harry Connick Jr., Vin Diesel, Christopher McDonald, Dorothée Jemma, Philippe Vincent et Pierre-François Pistorio. Pour petits et grands.

C’est vraiment une réussite. Ce dessin animé a un ton vraiment atypique, se passant dans l’Amérique des années 50 il ne tombe pas dans le piège de la nostalgie mais se veut au contraire une critique féroce de l’Amérique paranoïaque de la guerre froide. Avec une animation réussie qui m’a fait penser à quelques dessins animés des années 80 genre Brisby et Fievel et une esthétique cohérente avec son sujet, le film est réussi au niveau visuel. Il réussi aussi à être touchant avec l’histoire de cet enfant qui devient ami avec un robot en restant très éloigné de toute niaiserie ou facilité, les personnages secondaires sont très réussis, vraiment il n’y a pas grand chose à redire.