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Note moyenne
3,0
11 titres de presse
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Studio Ciné Live
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Franceinfo Culture
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Le Monde
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Les Fiches du Cinéma
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Paris Match
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Ecran Large
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La Croix
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aVoir-aLire.com
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Cahiers du Cinéma
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Les Inrockuptibles
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Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Franceinfo Culture
Michael Cahill n'a pas besoin de gros effets de cinéma pour emmener son spectateur dans un monde parallèle, quasiment identique au nôtre, mais pourtant radicalement décalé.
Le Monde
(...) une curiosité aussi originale que poétique, et une méditation sur le regard scientifique d'une rare justesse.
Les Fiches du Cinéma
Mike Cahill signe un film hybride et stimulant, entre romance et anticipation, qui aborde pêle-mêle les questions du hasard, de la détermination et de la foi.
Paris Match
Cela peut paraître flou, mais Mike Cahill effectue la mise au point avec talent, parvenant à exposer sa réflexion sans perdre de vue l’essentiel : communiquer des émotions au spectateur (...).
Ecran Large
A condition de l'accueillir, "I Origins" s'offre, fragile, comme une aventure enivrante
La Croix
Entre fable, science-fiction et poésie, un récit aussi candide qu'audacieux.
aVoir-aLire.com
La mise en scène est soignée, d’une esthétique indépendante rafraîchissante, se rapprochant au plus près des âmes, se nichant dans le creux des idées, pour finalement embrasser un fantastique au postulat existentiel, qui pourrait laisser les sceptiques sur la touche.
Cahiers du Cinéma
Un de ces films sans destinataires, regardant à peine l’Amérique et ne plaisant qu’à ceux qui ne les regardent qu’à peine.
Les Inrockuptibles
Une curieuse tentative de SF indé moyennement inspirée.
Télérama
Ce pensum de SF de Mike Cahill, aussi agaçant par sa prétention intellectuelle que par sa naïveté "spirituelle", rappelle combien Woody Allen a raison : l'éternité, c'est long, surtout vers la fin !