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    The Lost City of Z
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    PaulGe G
    PaulGe G

    101 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mars 2017
    c'est long, c'est lent, c'est très très bavard, on passe d'une scène a une autre comme du coq a l'ane pour repartir dans des paroles interminables, de plus que vient faire cette épisode de la guerre de 14, quand le sujet est l'exploration. les enfants grandissent mais lui ne vieilli pas, toujours bien rasé au fond de la jungle, il y a plein d'incohérence et on s'ennui ferme . on est loin de la foret d'émeraude ou de Aguire.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    172 abonnés 1 858 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mars 2017
    Cette histoire d'explorateur lorgne du côté de Aguire la colère de Dieu, Apocalypse now, Mission, voir les aventuriers de l'arche perdu. Le problème, c'est qu'il ne parvient jamais à la hauteur de ces grands films. D'une part il semble avoir manqué de moyens : on passe directement des salons londoniens à la jungle amazonienne sans découvrir les ports et les villes d'Amérique du sud, sans jamais ressentir la durée du voyage, sans même être ébloui par le caractère envoûtant de la nature. D'autre part, le scénario se disperse, en particulier avec une séquence sur la guerre de 14-18, tournée elle aussi avec peu de moyens, qui n'apporte pas grand chose. Le propos de Gray est humaniste : les Indiens sont des êtres humains comme nous et ils ont construit de grandes civilisations. Certes, cela pouvait faire tiquer l'aristocratie britannique au début du vingtième siècle, mais c'est tout de même assez largement admis aujourd'hui. Quant à la personnalité de Percy Fawcett, aventurier en quête de gloire, prêt à sacrifier sa vie de famille pour réussir, mais qui prend conscience de la façon injuste dont sont considérées les populations amazoniennes, elle m'a laissé un peu indifférent. On ne ressent pour lui ni empathie ni hostilité. Reste quelques bonnes scènes comme la rencontre avec l'esclavagiste brésilien et les débats de la société de géographie. Mais l'ensemble manque de souffle. Entre le portrait d'un arriviste frustré et la plongée dans l'univers des tribus amazoniennes, Gray n'a pas su choisir. Dommage.
    ffred
    ffred

    1 508 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mars 2017
    Auteur de quatre chef d’oeuvre sur cinq, dont le plus beau mélo (Two lovers, mon film préféré de 2008) et le plus beau polar (La nuit nous appartient) des trente dernières années (seul The immigrant est légèrement raté), James Gray nous revient avec un grand film d’aventure. Changement de style pour le réalisateur qui, pour la première fois, ne retrouve pas son acteur fétiche Joaquin Phoenix et ne tourne pas à New York. De Londres à la forêt amazonienne, il nous retrace l'histoire vraie de Percy Fawcett (qui aurait inspiré le personnage d’Indiana Jones) explorateur britannique du début du XXè siècle. D’entrée, je me suis laissé prendre par l’histoire et j’ai adhéré totalement. Pourtant, le rythme est plutôt lent et les péripéties dans la jungle n’occupe qu’une partie du film. Mais une...
    jeff21
    jeff21

    53 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 mars 2017
    L'idée d'adapter le livre paraissait à elle seule une bonne idée. Tout pouvait faire un très bon film.Mais rien n'est vraiment bien rendu :ni l'obstination de l'explorateur, ni la découverte de terres lointaines, ni les voyages interminables pour aller découvrir d'autres terres, ni le mode de vie des indiens, ni la cruauté de la jungle amazonienne. Tout est terne, plat, insipide sans émotion ni poésie. Vide. James Gray ne signe pas le meilleur de ses films.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    165 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2017
    C'est toujours un plaisir de voir un film de James Gray, même si ici nous sommes bien loin de New-York. Après des années d'attente, il réalise enfin ce film adapté du livre éponyme, se focalisant sur l'explorateur et non sur la partie contemporaine où un journaliste cherche à retracer l'aventure de l'explorateur. Car il s'agit bien de l'histoire vraie de l'explorateur britannique Percy Fawcett et de sa quête pour trouver cette fameuse cité perdue. Même si le film connait quelques longueurs, il n'en est pas moins intéressant. Toutes les explorations, les retours à Londres entre la joie des retrouvailles et les conflits familiaux dus aux absences répétés de Fawcett, donnent une bonne dynamique. Les personnages sont vraiment bien écrits et bien incarnés. Charlie Hunnam est bon en père et explorateur obsessionnel et Sienna Muller en mère et femme indépendante. Les thématiques de la relation au père, l'obstination, la place de la femme à cette époque sont assez bien abordées. La réalisation est à l'image du style du cinéaste : maitrisée et sobre. Un très bon film sur l'obstination d'une quête.
    traversay1
    traversay1

    3 122 abonnés 4 629 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mars 2017
    Fawcett, vous dites ? Oui, Farah, bien sûr. Non, Percy, un explorateur de la première partie du XXe siècle. Inconnu au bataillon, enfin disons qu'il ne fait pas partie des aventuriers les plus connus. Sa singulière destinée et son rêve d'Amazonie, qui a tourné à l'obsession, sont racontés par James Gray dans The lost City of Z qui cette fois laisse loin derrière lui les paysages urbains qui constituaient jusqu'alors sa principale inspiration. Un changement de registre qui est aussi perceptible dans une tonalité différente : plus question de récit dense et intense, son film revisite le film d'aventures vu comme une sorte de quête d'absolu, quasi mystique, avec une conviction forte mais douce en même temps. Surprenant. Les premières minutes dans la jungle sont les plus déconcertantes, rien d'épique ni de spectaculaire, comme si Fawcett trouvait son Amazone de confort, malgré les serpents, les piranhas et les indiens hostiles. On ne s'ennuie pas dans cet univers ouaté mais il faut prendre ses marques et se résoudre à accompagner notre héros dans cette odyssée avec son regard bienveillant et sa volonté inébranlable (Gray l'a paré d'un certain nombre de qualités qui ne correspondent peut-être pas à la réalité mais qu'importe puisque c'est sa vision et qu'elle lui permet de livrer un certain nombre de messages qui lui tiennent à coeur). Devant la caméra de James Gray, Fawcett devient un explorateur "responsable" et engagé qui n'est pas loin de s'ériger en défenseur de l'environnement. Tout aussi intéressant, sinon plus, est son rôle de chef de famille, souvent absent, mais dont les liens familiaux restent le ciment avec notamment sa femme, lumineuse, incarnée avec perfection par Sienna Miller. Charlie Hunman, lui, impose son charisme viril au côté d'un Robert Pattinson, trop peu employé et méconnaissable. Les dernières minutes de The lost City of Z apportent une émotion dont le film est relativement chiche par ailleurs. Le film n'est certainement pas un chef d'oeuvre, il rappelle parfois le mésestimé Aux sources du Nil, de l'excellent Bob Rafelson, mais sa facture originale marque une étape intéressante dans la carrière de James Gray, l'un des deux ou trois cinéastes américains les plus passionnants de sa génération.
    MaxLaMenace89
    MaxLaMenace89

    58 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mars 2017
    Avec The Lost City of Z, James Gray livre le meilleur du cinéma, celui de l'obsession. L'obsession de l'inaccessible, du mythe : le cœur même de l'intrigue et des motivations du protagoniste principal, d'une part ; mais aussi celle d'une cinéaste à la recherche d'un art perdu, invoquant l'aventure classique d'un David Lean ou d'un John Huston, filmant intégralement en 35mm face aux pires conditions de la forêt tropicale colombienne. En résulte un objet qui brille de mille feux, transpirant le Septième Art par tous les pores, sublimé par la fantastique photographie de Darius Khondji. La texture foudroyante de l'image n'a d'égale que la portée mystique de son récit, entamée dès la première image du film, sublime spectre d'une soif de découverte qui ne nous quittera pas pendant les deux heures qui suivront. C'est sans compter le dernier plan, ultime coup de génie qui nous caresse la pupille tout en ouvrant les portes de notre interprétation. Cette dimension spirituelle trouve sa force lorsque Gray n'hésite pas à étreindre toute l’ambiguïté du personnage, cœur d'un film éminemment subjectif (jusque dans le travail du raccord d'image digne de Kubrick). Fawcett est un homme emprisonné par les limites d'un monde sceptique, et sa verve de dépasser les frontières du connu nourrit finalement ses propres contradictions, dans le caractère épique comme intime, faisant naviguer le métrage aux confins de la chimère lovecraftienne : c'est là, dans les lianes de l'ambition, face à l'inconnu fantasmé, que l'Homme transcende sa foi, sa légende. Magnifique épopée initiatique à la conquête de l'âme terrienne, The Lost City of Z est un chef d'oeuvre de cinéma qui, avec les années, conquerra sans aucun doute l'aura classique d'Apocalypse Now et Aguirre.
    dagrey1
    dagrey1

    87 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mars 2017
    Percy Fawcett est un colonel britannique et un mari aimant. En 1906, alors que son épouse attend un enfant, la Société géographique royale d'Angleterre lui propose de partir en Amérique du Sud afin de cartographier les frontières entre le Brésil et la Bolivie. Sur place, l’homme se prend de passion pour l’exploration et découvre des traces de ce qu’il pense être une cité perdue très ancienne. De retour en Angleterre, Fawcett n’a de cesse de penser à cette mystérieuse civilisation, tiraillé entre son amour pour sa famille et sa soif d’exploration et de gloire…

    James Gray a réalisé "The Lost City of Z". Il s'agit d'un film d'aventure historique américain. C'est l'adaptation cinématographique du roman La Cité perdue de Z de David Grann, lui-même inspiré des aventures de Percy Fawcett.

    Le film est davantage un biopic sur le personnage principal qu'un film d'aventures. Amateur d'Indiana jones et autres fictions se déroulant dans les grands espaces, vous pourriez être déçus. "The lost city of Z" est d'abord un film sur Percy Fawcett, explorateur disparu au début du XXéme siècle. L'homme était un militaire mais aussi un explorateur humaniste. Le film souffre à mon sens de longueurs (2h20) et d'un trop grand académisme. Si l'objet cinématographique est beau, il s'en dégage pourtant beaucoup de froideur et je ne suis pas parvenu à m'attacher aux personnages, peut être à cause de cette réalisation académique. Je n'y ai pas retrouvé le souffle des films de David Lean qui se situaient un peu dans le même registre.

    Le casting du film est bon: Charlie Hunnman interprète très sobrement Perry Fawcett et Robert Pattison, Costin son compagnon de voyage. Sienna Miller est convaincante dans le rôle de son épouse, Nina Fawcett.

    Brad Pitt, producteur du film, avait été pressenti pour le rôle principal.
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    69 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 avril 2017
    The lost city of Z est le premier film de James Gray que je vois et j'avoue avoir été pleinement séduit. Le film est formidablement bien interprèté, filmé avec une grande maîtrise et une pellicule qui propose une image immergeante pour le spectateur. La fascination que ressent petit à petit le personnage principal pour l'Amazonie contamine progressivement le spectateur qui se laisse porter pendant toute la durée du film, épousant parfaitement le point de vue du héros. Le visionnage de ce métrage est une aventure, un voyage de 2h30 dont on ressort surpris, ébahi et ébloui, un des meilleurs films de ce début d'année !
    islander29
    islander29

    767 abonnés 2 277 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2017
    une fresque lente et intemporelle....James Gray garde tout son talent ici pour nous entretenir d'autres choses que de gangsters, l'exploration de l'Amazonie au début du 20ème siècle.....Il nous raconte l'histoire d'un explorateur anglais de 1905 à 1925.....
    Le film est d'une beauté sépulcrale, notamment les rencontres dans les villages indiens où les seules lumières naissent des feux de bois, clair obscur souvent.....Le film retrouve les ton propres à James Gray, et chose peu évidente parvient à nous rendre attachant les indiens, personnages magnifiques et dont il semble que nous ayons beaucoup apprendre....Le scénario va et vient entre l'Amazonie et l'Angleterre, et diffuse d'abord de la lenteur, du temps posé dans de magnifiques paysages.......Il y a aussi quelque chose d'envoutant dans l'utilisation de "La mer" De Debussy qui semble prendre possession des âmes , quelles qu'elles soient.....Un film à message qui véhicule des valeurs essentiels et une mise ne scène brillante.....Seul hic, amateurs d'émotions fortes passez votre chemin......Le films est une déclaration d'amour à l'Amazonie et à ses indiens.....Terence Malik aurait peut être pu être inspiré par le sujet.......Je conseille, c'est majestueux
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 mars 2017
    Mise en scène envoûtante, casting impeccable, photographies superbes... Entre épopée grandiose et conte intimiste, James Gray nous transporte aux confins de la psychologie humaine avec virtuosité. "The Lost City of Z" est assurément la bombe cinématographique de la semaine !
    Jorik V
    Jorik V

    1 203 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mars 2017
    Comment comprendre l’engouement critique quasi dithyrambique pour cette épopée laborieuse et sans saveur qui procure davantage d’ennui que de sensations fortes ou d’émotion. James Gray qui n’a pourtant pas son pareil pour filmer New York et la faune interlope qui la peuple, que ce soit dans des polars feutrés («The Yards » ou le sublime « La Nuit nous appartient ») ou des drames intimistes ou romantiques forts (« Two lovers » ou « The Immigrant ») échoue complètement en essayant de se renouveler. Il réalise ici un rêve en adaptant la quête de sir Fawcett à la recherche d’une cité perdue au fin fond de l’Amazonie. Et il ne semble ici pas du tout à l’aise, « The Lost City of Z » étant une grosse déception plutôt plombante.

    Son nouveau long-métrage alterne péniblement scènes d’exploration dans la jungle et scènes en Angleterre où l’officier tente de convaincre sa hiérarchie de la véracité de ses dires et sa femme de le laisser partir. Les premières ne parviennent jamais à rendre compte de la difficulté de ces expéditions et se ressemblent toutes. On a l’impression qu’elles ont été filmées au ralenti et nous plongent dans une torpeur certaine. Faire le choix de l’anti spectaculaire est une gageure mais celle-ci aboutit à un film au rythme neurasthénique dont les deux heures nous paraissent interminables. Quant aux scènes prenant place dans la civilisation, elles sont plus intéressantes mais semblent attendues. Seuls les duels verbaux entre Fawcett et sa femme ou son fils sont intéressants en montrant la dualité du personnage principal entre son rêve et sa famille.

    Au final, on a l’impression que toutes les scènes se répètent pour un désagréable effet de redondance et cette épopée qui aurait pu se révéler palpitante est, au final, terriblement ennuyante et soporifique. La mise en scène, molle et désincarnée, donne au film un aspect suranné voire daté dans le mauvais sens du terme. Charlie Hunnam se débrouille bien pour porter le film sur ses frêles épaules mais Robert Pattinson, pourtant éclairé dans ses choix artistiques post-« Twilight » semble perdu et fait ce qu’il peut avec un second rôle peu approfondi. « The Lost City of Z » brasse beaucoup de thèmes (la paternité, le besoin de reconnaissance, …) mais échoue à nous faire vibrer sur un sujet pourtant passionnant. Voilà un film décevant et poussiéreux dont on ressort attristé.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 mars 2017
    Magnifique Film !

    Foncez le voir, histoire, mise en scéne, photographie parfaite, acteurs excellents, tout y est pour ce film d'aventure hommage à ceux des années 70 et qui ne ce font plus aujourd'hui ! James Gray est vraiment l'un des meilleurs réalisateurs américains de films indépendants !

    5/5 pour moi ...
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    387 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 mars 2017
    Tout simplement : du grand cinéma. À l’image du travail du chef opérateur, Darius Khondji, qui apporte à cette œuvre en pellicule 35 mm une extrême finesse et beauté, The Lost City of Z est un film d’une grande délicatesse. Même si la construction du récit risque d’en ennuyer plus d’un, c’est un long-métrage admirable, aussi rare dans le paysage cinématographique que son cinéaste.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 15 mars 2017
    À mon goût ce film part de très bonne base avec un contenu très riche et un scénario intéressant néanmoins je trouve que beaucoup de scènes reste encore mal exploitées dû justement à toutes ces différentes étapes qui s'enchaînent dont Fawcett doit franchir. Je trouve également que ce film ne se focalise sur rien et qu'il n'y est pas un moment dont on ne s'attendait pas qui pouvait impacté réellement le cours de l'histoire.
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