Derniers Avis : Les Profs 2 - Page 8

Le film le plus désastreux que j'ai jamais vu. Je n'ai pas réussi à rire, alors que j'avais "ri" en regardant le premier.

Le premier opus des Profs était déjà très bancal. Cette version british est assez navrante. Nanty, Bourdon, Martin-Laval et les autres épuisent par leur fainéantise qui se ressent davantage dans leur jeu que dans leur rôle. Grand étonnement, seul Kev Adams apporte une énergie presque touchante à cette bouillie de caricature. Les Profs 2 est un ramassis de gags recyclés et peu apprêtant.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44

C'est en voyant ce film que je comprends pourquoi le cinéma français va mal... J'ai pas ris une seul fois durant tout le film, alors que celui-ci se prétend comique... Enfin si... j'a souris une ou deux sans plus. Les acteurs sont plutôt bon, à l'exception de Kev Adams qui en fait encore trop. L'histoire est ressemblante au premier (du moins le schéma) et elle n'est pas passionnante, on entre pas vraiment dans le film. Et pour finir je trouve le film trop enfantin, un humour pas super développé ou quoi que ce soit. Bref, à l'image du premier... Pas drôle

Comment peut-on faire une suite aussi nulle ? Rien n'est crédible, gags lourds, traits forcés, humour à la limite de la débilité. Restez sur l'impression du premier!

Déjà la première version posait la question de cet insuccès prometteur. Mais la seconde, dans un scénario décousu, pose la question : est ce donc ça le cinéma français ?
Parce que rire pour rire, il y a des limites à ne pas franchir. Grosse déception concernant Didier Bourdon, Isabelle Nanty, qui parviennent eux aussi à mettre leur talent de côté le temps de cette "bouse".

Humour potache aux pays des Rosbeef, pourquoi traverser la Manche pour tenter un ersatz du 1er film qui tenait la route, malgré la lourdeur de certains comédiens.
Please rewind and forget it quickly.
SVP rembobinez ce film et oubliez le vite.

Septième plus gros succès dans les salles françaises en 2013, Les Profs avait su attiré pas loin de 4 millions de spectateurs, alors que le top 10 annuel n’était composé que de titres américains. Et comme partout ailleurs (les studios hollywoodiens ne sont finalement pas les seuls à se fourvoyer de la sorte), qui dit réussite commerciale dit forcément suite! Et l’adaptation de la bande-dessinée n’échappe donc pas à la règle en cette année 2015. Résultat : un score moins imposant que le précédent mais qui reste tout aussi exorbitant (presque 3,5 millions d’entrées). Mais honnêtement, Les Profs 2 n’a vraiment pas de quoi se vanter.

Il est vrai que le premier opus n’était déjà pas folichon. Certes, celui-ci n’avait aucune prétention si ce n’est celle de promettre amusement et bonne humeur (ce qu’il faisait) pendant la durée de son visionnage, avec un casting qui s’éclatait réellement et une première partie en sketchs (comme pour Les Sous-Doués) plutôt réussies. Mais très vite le film partait dans le n’importe quoi typique des comédies françaises à gros budget pour finalement n’être qu’un divertissement lourdingue qui ne faisait pas vraiment honneur à la BD d’origine (malgré des personnages bien retranscrits) ni au cinéma français dans son ensemble. Avec cette suite, autant dire que le public n’en attendait pas grand-chose, si ce n’est le même constat. Au final, si le plaisir de revoir les mêmes comédiens (hormis Didier Bourdon remplaçant Christian Clavier) est là et qu’un sourire se dessine sur le visage des spectateurs à quelques moments du long-métrage, regarder Les Profs 2 s’avère bien plus douloureux que prévu.

Un film réussi, comme le premier!
Le par rapport au premier: Plus de sentiments: d'émotion, d'amour,...
Le -: Bien moins drôle que le 1er...

Ils se sont lâchés un peu plus que dans le premier opus ; et ce coté parodique d’Harry Potter n’est pas si désagréable que cela. "Les profs 2" propose un gros package de vannes et de jeux de mots pour arriver à atteindre le statut du divertissement "honnête", le professeur de sport interprété par Arnaud Ducret y étant pour beaucoup. Un volume 2 qui surpasse son prédécesseur, et qui provoquera davantage de rires, mais toujours à destination des 10-16 ans.

Pas grand chose à sauver de ce 2ème volet, le seul qui tire un peu son épingle du jeu étant PEF, mais sans plus, le reste est navrant, lourd, pas drôle pour un sou. Et en plus, il manque Christian Clavier, qui était un des meilleurs dans le 1er. Le 1er était moyen, le 2 est mauvais.

Une véritable daube. Des acteurs qui n'en sont pas ou d'autres qu'on a pas vu depuis des années et on comprend pourquoi. Ce film se veut humoristique mais il ne m'a pas fait rire une seule fois... Je ne le recommandé vraiment pas...

Le 1er était pas mal. Un succès qui méritait un peu d'implication dans l'écriture de la suite. Las... C'est confus, brouillon, pas drôle. Nul.

A l'image du précédent ce film est complètement loufoque et décalé. Les acteurs sont bons et on rigole de bon coeur sur certains gags.
Le scénario est plutôt moyen avec quelques longueurs.
Moins bon que le précédent et certains gags ont été repris du premier opus.
Dans l'ensemble c'est un film qui se laisse regarder en famille sans prise de tête pour rigoler.

Un humour et un scénario qui ne volent vraiment pas haut. Suis resté de marbre devant la plupart des blagues qui je pense s'adressent à un public de collégien pas plus. Les humoristes n'y sont vraiment pas mis en valeur.

Une suite d'un premier opus mieux réussi à mon sens . Bien sûr , l'humour ne fait pas dans la délicatesse autant vous prévenir mais le ton est dans un ambiance bonne enfant qui ravira plus d'un je pense . Kev Adams est encore une fois mis dans un rôle de l'adolescent mais franchement autant vous dire que dans un rôle plus ''sérieux'' ça ne le ferais pas trop (enfin ça reste à prouver mais c'est mon ressentis ! ) Le personnage le mieux réussi reste sans aucun doute le prof d'histoire Polochon qui arrive à tenir son rôle et à garder son potentiel comique sans en faire de trop , avec beaucoup de naturel ! Une comédie bien pour se détendre avec des situations serte exagéré et probablement improbable mais avouer qu'on a déjà tous au moins eu un prof étrange dans notre scolarité .