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    L'Ennemi de la classe
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    30 critiques spectateurs

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    velocio
    velocio

    1 163 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2016
    Le cinéma a souvent exploré le monde de l’éducation scolaire mais peu de films ont montré de façon aussi juste et honnête que "L’Ennemi de la classe" les problèmes qui ne manquent pas d’exister entre des jeunes en pleine construction et leurs professeurs, des adultes chargés de leur apporter le savoir dont ils auront besoin tout au long de leur existence. Des problèmes qui, de génération en génération, ne cessent de grandir, toute forme d’autorité apparaissant de plus en plus, à tort ou à raison, comme de l’autoritarisme. Comment gérer au mieux la coexistence entre élèves et professeurs, tel est le thème majeur de l’Ennemi de la classe ? Une grande sévérité ? Une bienveillance pleine de sympathie ? Une des grandes forces de Rok Biček, c’est d’avoir traité ce sujet sans aucun manichéisme, sans chercher à imposer un point de vue aux spectateurs.
    traversay1
    traversay1

    3 090 abonnés 4 623 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2015
    Venu de Slovénie, L'ennemi de la classe est le premier film de Rok Bicek, qui a tourné plusieurs courts-métrages, et a choisi pour son premier long de retranscrire des événements qui se sont produits dans son propre lycée, après le suicide d'une jeune fille. Prix du public au Festival d'Angers 2014, entre autres récompenses, le film a un propos universel autour du sujet du système éducatif. L'ennemi de la classe se révèle captivant parce que ce huis-clos scolaire -on est toujours entre les murs- réussit à s'affranchir des clichés dans cet affrontement entre élèves et professeurs, surtout l'un d'ailleurs, personnage énigmatique, sévère et apparemment sans émotion, qui devient tête de turc. Deux mondes qui ne se comprennent pas donc mais qui sont traversés par des courants contraires dans chaque camp. Bicek ne cherche nullement à jouer au moraliste, la sécheresse de son propos n'est qu'apparente, l'émotion est canalisée mais elle parvient à s'échapper, à différents moments. Un film sous tension, vraiment intéressant, qui pose plus de questions qu'il n'apporte de réponses. Mais de cela, un film n'en a aucune obligation.
    Zoé B.
    Zoé B.

    441 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2015
    On connait tous un prof d‘anglais ou d’espagnol qui ne parle à ses élèves que dans la langue qu’il a la charge d’enseigner. L’immersion ça s’appelle, une pédadogie plutôt efficace. Mais en Slovénie, pays encore marqué par la guerre et son annexion de fait par le Reich, un prof d’allemand qui s’obstine à ne parler qu’allemand joue gros. Pour peu qu’il soit raide et austère, comme Robert, le personnage principal de "L’Ennemi de la classe", et revendique un minimum de discipline, il s’expose à se faire traiter de nazi, l’injure suprême. Robert est professeur remplaçant. Il reprend en cours d’année le poste d’une collègue partie en congé maternité. Il a une haute idée de son métier, il pense qu’être élève, c’est un devoir, pas seulement un droit. Il n’a aucun goût pour les petits accommodements que pratiquent ses collègues pour acheter la paix en classe, et il ne fait strictement rien pour être aimable. Une personnalité âpre et sévère comme ce lycée n’en a sans doute jamais vu. Alors lorsque Sabrina, une de ses élèves de terminale, se suicide, toute la classe se révolte : il est forcément le responsable de la mort de leur camarade. Rok Bicek, dont c’est le premier long-métrage, filme cet affrontement sans manichéisme et ne ménage personne, ni le professeur, ni la bande d’ados qui l’accuse - aussi fougueuse que disparate. Ni la communauté éducative - enseignants et parents d’élèves - quand l’affrontement quitte le huis-clos de la classe. Subtil et sans apprêt, réalisé caméra à l’épaule – ce qui donne un petit flottement à des cadres par ailleurs très sûrs - « L’Ennemi de la classe » s’avère un film d’une portée universelle : Comment, lorsqu’il lui faut affronter l’incompréhensible, l’inacceptable, un groupe a besoin de la figure du bouc-émissaire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 mars 2015
    Un film de qualité. Certains y voient un message pro-autorité, conservateur. Ce n'est pas la lecture que j'en ai. Le but n'est effectivement pas de dire que "tout est noir" ou que "tout est blanc", que le professeur porte l'entière responsabilité de l'évènement, mais il n'est pas pour autant "blanchi". Il interroge cependant sur la manière politique (au sens large) dont chacun va interpréter le drame : la plupart des élèves répètent régulièrement leurs "analyses" ("c'est à cause du nazi", "c'est à cause de tout le système"; "nous subissons trop de pressions") dont rien n'indique qu'elles sont fausses. Mais elles ne prennent pas en compte la totalité des causes et on s'interroge alors en filigrane sur l'ensemble des responsabilités du mal être de l'adolescente qui s'est suicidée ; puis sur leurs méthodes de révoltes vis-à-vis de l'enseignant. Le film pose sûrement davantage de questions qu'il n'apporte de réponses. Mais il pose les bonnes questions, avec un bon jeu des acteurs adolescents et de l'enseignant, une bonne complexité psychologique des personnages, chacun avec leurs spécificités. Le tout dans un huis-clos un peu austère, mais on ne lâche rien pendant 2 heures. Je le conseille pour sa qualité technique, et également pour le débat qu'il induit.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 mars 2015
    Dans un lycée, une élève se suicide après l'arrivé d'un nouvel enseignant, bien plus stricte et sévère que les autres. Ses camarades font immédiatement le rapprochement et accuse le professeur. Alors que le lycée tente d'étouffer l'affaire au maximum, les élèves, eux, jugent que c'est tout le système scolaire qui est responsable et vont peu à peu se révolter.
    Le sujet du suicide chez les jeunes, pour diverse raisons, est malheureusement de plus en plus fréquent, et l'idée de la traiter à travers un film est assez bonne en sois. Encore faut il le faire bien. Le scénario est très bien écrit, on sent bien la tension monter peu à peu, les dialogues sont naturels et les réactions, ambiances, et personnages sont très réalistes ( à l’exception du premier de la classe ). Luka est au départ un personnage très attachant, mais qui va changer peu à peu pour au final devenir assez agaçant. C'est tout l'inverse de Tadej, que je ne supportais pas au début, puis qui est devenu de plus en plus attachant, particulièrement vers la fin, où on ne peu s’empêcher de le prendre en pitié. La meilleur copine de Sabina et petite amie de Luka, est également très attachante et surtout très naturelle. Pour en revenir au premier de la classe qui se moque totalement de ce qui arrive, son personnage n'est pas naturel, ça sonne faux dans son jeu c'est dommage. J'aime bien Nik, le dernier de la classe complètement à l'ouest, il est assez amusent et ajoute une touche ( bien qu'infime ) de légèreté au film. Les acteurs, majoritairement amateurs, s'avèrent être excellents à touts les niveaux. J'aime beaucoup Igor Samobor, qui arrive a rendre son personnage très attachant malgré tous les efforts du réalisateur pour le rendre détestable. Le réalisateur justement, Rok Bicek fait du très bon travail en arrivant à recrée une atmosphère réaliste et moderne, sans longueurs ni répétitions. Et quand on sait que c'est son premier long métrage, on se dit qu'il ira loin l'artiste. Seul petit problème agaçant, la caméra qui tremble, mais c'est vite oublié. A l'arrivée, le film est excellent sans être un chef d'oeuvre, et fait réfléchir sur les relations prof/élèves et les jugements, parfois injustes et faciles, dont ils peuvent faire l’objet.
    lugini
    lugini

    16 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 janvier 2016
    Film magistral. Les adolescents passent d'un univers surprotégé à un monde où ils doivent se responsabiliser.La transition est extrêmement difficile pour eux car les enseignants les ont habitués à une éducation copain-copain et d'un seul coup, ils se retrouvent face un enseignement adulte-adulte.
    islander29
    islander29

    758 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2019
    un film intéressant, pour voir la complexité des sentiments et des rapports de force ,dans une classe, et à fortiori dans une école…..Complexité est un mot faible, on peut parler de corruption hiérarchique….Chacun doit faire entendre sa voix, plus fort que le voisin, l'élève que le prof, le prof que la direction, etc....Le film est bien réalisé, très sérieusement et sobrement….Il n'y a aucun chichi….On n'est presque dans a "représentation théâtrale...Coup de chapeau donc aux acteurs (élèves, profs, directrice, parents d'élève) et à la mise en scène….L'histoire très sombre montre une histoire de harcèlement, mais des cas comme celui là existe par centaines malheureusement, dans toutes les écoles, ce n'est donc pas un cas particulier, mais un état des lieux….Si vous voulez aussi savoir ce qu'est Dallas, et son univers impitoyable, je vous conseille ce long métrage qui dégage plus de philosophie que d'émotions...Ce sera le tout petit reproche…..
    nikolazh
    nikolazh

    52 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mars 2015
    Une histoire plutôt intelligemment portée et bien écrite dans son évolution, même si on meurt d'envie de débarquer au milieu de cette classe d'ado hystérique donneurs de leçon - qui deviennent eux mêmes les fascistes qu'ils pensent dénoncer - pour distribuer des claques (ce qui n'est pas très constructif). Bref, un film qui remet en perspective les choses et met en évidence le danger des groupes qui se radicalisent en auto entretenant leur haine et en l'amplifiant en boucle, se fermant à toute aide et avis extérieur (le film rappelle de ce point de vue "La Vague"). Un sujet plus que jamais d'actualité... Effrayant.
    Marcel D
    Marcel D

    99 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mars 2015
    Un film très juste, pas manichéen. Des acteurs dans le ton de ce huis-clos, avec un prof intransigeant mais pas dans l'excès. Ca fait du bien de voir des films éloignés du bling bling d'Hollywood... ah, si seulement les distributeurs nous offraient plus de films comme ça...
    Loïck G.
    Loïck G.

    282 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mars 2015
    Ce film remarquable va poser bien des questions, et soulever bien des débats autour de l’éducation, de l’autorité, émanant de la part d’un homme que rien ne semble ébranler. Ce professeur d’allemand est remplaçant dans une classe d’élèves bien sympathiques au demeurant, mais qui ne vont pas accepter le changement de ton que va leur imposer ce personnage hors du commun. Un sujet d’autant plus douloureux et vif qu’une élève mettra fin à ses jours. Le déclencheur d’une révolte sourde qui petit à petit va prendre le pas sur la raison. Igor Samobor dans le rôle-titre est absolument fabuleux, tout à fait dans la lignée du Billy Bob Thornton de la série Fargo. La pression du système scolaire peut-elle expliquer à elle seule l’émergence d’un totalitarisme esseulé ? On est alors proche de la dictature, ce que semble incarner le personnage de Samobor qui se remet à peine en question malgré tous ses silences pesants, et cette photo qui discrètement l’accompagne. On n’en saura pas beaucoup plus. Dommage que le cinéaste appuie de plus en plus là où ça fait mal, il se torture lui-même. La fin n'en finit pas, mais le film est fait, et plutôt bien .
    Pour en savoir plus
    LBDC
    LBDC

    84 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mars 2015
    [...] On s’imagine au début, car le film prend clairement cette direction, que l’on assistera à une progressive réconciliation; que chacun finira par apprendre de l’autre, que tout cela finira main dans la main, dégoulinant de bons sentiments… Pfff. Déjà-vu. Ennui à prévoir.
    SAUF QUE NON.

    À la faveur d’un acte aussi surprenant qu’hors champ, le film continue sa lancée haineuse, sans intention de calmer le jeu.
    Pire – ou plutôt mieux – l’unité étudiante éclate littéralement, chacun acquérant subitement une personnalité, et surtout des enjeux dans cette histoire.
    Le réalisateur/scénariste Rok Bicek semble à ce moment, patauger dans sa propre écriture. Pendant cette partie, ou l’attention se porte de façon très détaillée mais équivalente sur chaque individu, le film ne semble jamais savoir quelle direction prendre, qui suivre, qui mettre au premier plan et pourquoi… Une confusion qui s’installe doucement en nous, surfe à la limite de l’ennui…
    Mais ce serait une nouvelle GRAVE ERREUR que de s’arrêter là. Car dans sa dernière partie, Rok Bicek s’amuse à nous faire réaliser que ce qu’on prenait pour des fautes scénaristiques, pour des maladresses de réalisation, était en fait partie du processus destiné à embrouiller le spectateur, à l’image de ce qui se déroule à l’écran [...]

    L'intégralité de la critique, sur Le Blog du Cinéma
    Daniel C.
    Daniel C.

    131 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 mars 2015
    Voilà un film, qui vient autrement questionner la question du discours du maître. Il y a d'abord eu Whiplash, qui n'hésitait pas à verser dans la maltraitance, à recourir à l'humiliation pour permettre l'émergence d'un réel talent.Ici Le professeur d'allemand est réellement allemand. Cela va jouer contre lui, en en faisant potentiellement un nazi. La question posée est celle du niveau d'exigence des enseignants vis-à-vis de leurs élèves et de la matière, qu'ils enseignent. "Sanctionner" les apprentissages est souvent confondu avec la sévérité et l'autoritarisme. Dans ce film, le professeur renonce à toute séduction, à toute démagogie. Il ne cherche pas à engager le dialogue avec ses élèves, il entend les contraindre à se prononcer, à exercer leur engagement dans une pensée construite et argumentée. Il prend le risque d'être impopulaire. Fellag, dans "Monsieur Lazhar" incarnait un enseignant, qui disait à l'un de ses élèves, en lui mettant une tape derrière la tête : "un peu de tenue!"
    Là où dans Whiplash, le sadisme est banalisé, dans "L'ennemi de la classe", ce sont les circonstances, qui sont tragiques. Le caractère trop direct de l'enseignant dans le traitement des faits lui attire des projections très négatives de la part de ses élèves. Mais, il n'est pas sadique et n'est pas mu par une dynamique perverse. Il vise l'autonomie de pensée de ses élèves, ne cherche pas à exercer son emprise sur eux.
    Un film à voir.
    elriad
    elriad

    380 abonnés 1 784 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juin 2016
    beaucoup plus fin qu'il n'apparait dans la première demi-heure, ce film slovène austère dans sa réalisation touche et interpelle avec les thèmes universels que sont la mort, le deuil, la culpabilité. cette classe d'ados rebelle apprendra à grandir dans une révolte collective après le suicide d'un camarade et le face à face tendu entre le professeur rigide et ces jeunes dans le huit-clos d'une salle de classe, sans jugement aucun du réalisateur, en fait toute sa force. reflet d'une société aux repères perdus, une phrase de la directrice de l'établissement résonne dans ma mémoire: "Avant les élèves nous craignaient, maintenant, c'est nous qui avons peur d'eux. Bienvenue au 21eme siècle"...
    Hastur64
    Hastur64

    190 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 octobre 2016
    D'abord petit aparté : c'est je crois le premier film slovène que je regarde de ma vie ! Et pour une première, je dois dire que c'est plutôt une bonne pioche. Ce quasi-huis clos dans un lycée slovène constitue une intrigue très prenante et très riche. Suite au remplacement de la prof trop cool d'allemand, une classe se retrouve avec un prof beaucoup plus rigide qui, dès le départ se met les élèves à dos. Le suicide d'une camarade tancée par ce prof va entraîner un mouvement virulent de récolte chez ses camarades pour qui cela ne fait aucun doute M ... est le responsable de cette tragédie, ainsi que les autres profs, le lycée et toute la société au final pour avoir permis par leur passivité que cela se produise. Ce face à face ados/adultes est extrêmement bien mené et montre la difficulté des enseignants à raisonner des jeunes que leurs sentiments à fleur de peau et leurs certitudes inébranlables rendent revêches à toute forme de raison. Cette intrigue est une sorte de mini Mai 68, où la colère et la tristesse des ados se muent en opposition à ce qu'ils appellent le “système”, même si au final ils ont peinent à tomber d'accord sur les méthodes pour le combattre et pour le remplacer. Cette intrigue tient du film initiatique dans l'évolution des personnages qui apprennent que tout n'est pas manichéen avec d'un côté les gentils élevés du côté de la vérité et de l'autre les profs et les parents dans l'hypocrisie et le mensonge. Si le casting est composé pour partie d'acteurs amateurs, à l'image cela ne se voit pas, tant l'interprétation est sans reproche. Nanti d'une histoire très forte ce film slovène vous saisit assez rapidement dans les convulsions de cette révolte lycéenne qui comme beaucoup de générations avant elle trouve le monde injuste et veut tout mettre en œuvre, y compris par la violence, pour corriger le tir. À voir de toute urgence.
    BeatJunky
    BeatJunky

    121 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2017
    Premier film slovène que je vois... Et ma foi, j'ai adoré ! Quasi en huis clos, l'histoire se situe dans un lycée qui va devoir faire face à une tragédie (le suicide d'une élève) et ses conséquences: la révolte de ses camarades qui cherchent un responsable.. Mais pour qu'une révolte aboutisse, il faut que le mouvement soit bien suivi... Et ici, il a plutôt fait ressortir des avis des points de vue différents entre ceux qui s'impliquent mais sans trop se mouiller, ceux qui en profitent pour régler leur compte avec la terre entière ceux qui n'en ont rien à faire, ceux qui parlent comme leurs parents... le conflit va même s étendre et diviser les avis au sein des profs et des parents Le metteur en scène nous fait partager ces différents points de vue en toute objectivité et nous laisse juger en fonction de notre sensibilité et de la façon d'interpréter les arguments des uns et des autres.
    Condamneriez vous le prof ou les paroles de truc ? Ou bien sa meilleure amie qui finalement ne l'écoutait pt être pas assez....
    Ou pt être est ce Le système éducatif le responsable? Et d'ailleurs, est ce vraiment nécessaire de trouver un responsable? Est ce que ça changerait qq chose???
    Sujet sensible mais parfaitement mis en scène et brillamment interprété par de jeunes comédiens sincères et crédibles... Le film nous rappelle que nous avons tous notre propre sensibilité,, notre propre façon d encaisser la pression, notre façon de réagir face à tel ou tel événement, tout le monde n'arrive pas forcement a exprimer son chagrin, sa douleur par la parole comme miss par exemple...
    Film qui amène surtout à réfléchir et à se poser des questions intéressantes sur l'éducation et ses limites notamment. Film slovène captivant à découvrir absolument!!
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