Derniers Avis : Divergente 3 : au-delà du mur - Page 4

Une catastrophe à comparer aux autres films... je m'attendais à beaucoup mieux. Je l'ai trouvé presque ennuyant et un peu trop "futuriste" à mon goût !

se film est trop cool. ce film est super pour les ado. j'aime trop les histoire d'amour et les film action. c'est super active, mais c' pas le meilleur des film des autre.
PS : mais le titre donne trop envie de le regarder.

Un troisième volet qui poursuit ses pérégrinations vers le cinéma d'action, avec une très faible réflexion. En soit je veux bien, mais quand c'est fait de cette façon, je crie non les gars. L'action est sans âme, on sent l'argent partout, sans l'âme. Alors oui les paysages rouges sont beaux, mais ça fait terriblement artificiel. Alors oui le film est un poil mieux que le second volet, mais une fois la fin du film arrivé, on se dit ah ok c'est finis. Mon conseil final serait: ne regarder que le premier volet, le reste est navrant de facilité, et d'une terrible vacuité.

Trés bonne suite des premiers volets...à ne pas rater si vous avez aimé les 2 autres bien sur...car à voir les autres critiques certaines sont trés trés divergentes ! LOL , en tout cas trés bonne trilogie ! soit disante pour certain adapté aux ados.
Ma femme a aimé également et nous avons à nous deux 117 ans ! LOL.

Vu le 18/01/2019.
Bon, j'espérais après un 2è opus décevant que le 3è et dernier relèverait le niveau... Et je me demandais pourquoi à l'image de Hunger Games (dont il est assez fortement inspiré) il n'y avait pas de film n°4. Et bien, je me dis que finalement, c'est pas plus mal car ce dernier film est encore plus moyen que les précédents. Je ne dirais pas que c'est mauvais, car y'a de l'action, une continuité dans les idées, des acteurs assez corrects (j'ai dit corrects, pas bons), des effets spéciaux, donc ça reste un film moyen.
Dommage car l'idée de départ semblait être intéressante mais encore une fois, on se retrouve avec les mêmes défauts que le n°2: Jeanine est morte, et Evelyn repart sur le même mode, à croire qu'ils n'ont rien appris de leurs erreurs, ou alors que l'Homme est définitivement pourri et guidé que par sa soif de pouvoir. Le simulacre de tribunal, c’est du grand n'importe quoi, on veut renverser un régime alors on se comporte encore pire que lui, pas de pardon, la vengeance à tout prix!!!
Dans le 1 et le 2 on avait Jay Courtney (Eric) en bourrin de base qui obéit au chef sans même réfléchir, ben dans le 3, on a son fils spirituel Edgar (joué par Johnny Weston), même rôle, même obéissance aveugle, même violence. Et puis que dire de David, ce mystérieux personnage qui essaye lui aussi tel le mafieux politique de base de faire sa petite carrière perso. Aucun charisme, aucune crédibilité...
Je parle pas trop des invraisemblables incohérences du film (la pluie de sang qui tombe au-delà du mur mais pas dans Chicago même, ou le dialogue hallucinant de Peter pour qu'il parte avec les fuyards "sinon je crie"...).
Au final, autant j'aurai plaisir à revoir la série des Hunger games, autant Divergente non, et je ne prendrai même pas la peine de lire les bouquins, dommage, y'avait de l'idée

Pour finir cette saga (le quatrième épisode prévu a été annulé), nous auront droit aux cheveux mi-longs. Cela s'améliore par rapport au 2 mais ce n'est toujours pas ça...
Le film commence sur les chapeaux de roue avec ce franchissement non autorisé du mur (coucou Trump). Des images à couper le souffle émergent de ce nouveau monde visible depuis le haut du mur.
Et puis, le drame !! Le film change complètement de registre, la patte Robert Schwentke entre en jeu et avec lui c'est blockbuster à fond, sans demie-mesure : absence de scénario, tsunami d'effets spéciaux ! On rentre à plein dans le genre blockbuster bête et méchant, sur-vitaminé, superficiel avec une intrigue nébuleuse : le conseil, la marge, les pures, les déficients, le bureau, les dépouilleurs... Tout cela est bien confus pour le spectateur et on s'ennuie franchement durant 2 heures.
Je n'ai pas du tout accroché ce passage chez les fondateurs. Je n'aime pas la direction prise, on est loin de l'ambiance du début.
Le 1 était prometteur, le 2 en baisse de régime, le 3 est loupé !

Ce film est assez intéressant grâce à certaines idées présentes dans son scénario mais perd en originalité à cause de sa mise en scène déjà vue. La musique et les effets spéciaux ne sont pas terribles non plus. Il est quand même relativement agréable à regarder.

C'est très difficile de tourner un troisième opus. Généralement on fait du réchauffé afin de faire du business. Là ils ont créé un nouveau monde au-dessus l'ancien monde, un monde plus moderne et plus juste. Il y a une bonne recherche, la vie, la science, le film prouve qu'import les sociétés et les modes de gouvernances, les hommes se feront toujours la guerre. Un petit aparté intéressant. C'est un bon film.

Que dire de ce navet ? Conçu pour les ados, ce produit est idiot : par exemple dès que vous voyez un adulte à l'écran, même l'air sympa, c'est un méchant. On s'ennuie beaucoup et on se fout complètement de ce qui se passe. Du reste le 4 n'a même pas été tourné, c'est dire.

Les aventures de Tris touchent à leur fin dans la première partie du dernier chapitre de "Divergente". Après avoir révélé au grand jour les machinations qui se cachaient derrière les Factions, "Divergente 3 : au-delà du mur" amorce un combat final à plus grande échelle. Bien qu’à chaque film, la saga continue de trouver son rythme, en terme de dynamisme et d’engagement dans les scènes d’action, on se retrouve encore une fois devant de nouveaux éléments qui viennent compliquer une trame franchement peu intéressante. Ce troisième volet de la franchise n’en finit plus de rajouter des couches pour asseoir la solidité de son histoire mais, bon, fondamentalement, on s’en fiche un peu. Vivement la fin. Bref, dans ce troisième volet, sous le choc, Tris et Quatre doivent fuir et franchir le mur encerclant Chicago. Pour la première fois, ils quittent la seule ville et famille qu’ils aient connu. Mais au-delà du mur se trouve un monde hostile qu’ils vont devoir affronter. Tris et Quatre doivent rapidement déterminer en qui ils peuvent avoir confiance alors qu’une bataille menaçant l’humanité toute entière est sur le point d’éclater… Concurrents directs de la saga "Hunger Games", les films "Divergente" et "Divergente 2 : L’insurrection" continuent leurs petits bonhommes de chemin, continuant la tradition initiée par "Harry Potter", à savoir un dernier chapitre divisé en deux films. Le risque avec ce procédé, c’est de livrer une première partie insipide qui ne fait qu’étirer des sous-intrigues pour gagner du temps (et donc, de l’argent). Chez "Divergente", on ne mange pas de ce pain-là ! Démarrant juste après les événements du dernier opus, le film de Robert Schwentke en explore les répercussions tandis que les anciennes Factions, encore sous le coup de la colère, sont bien décidées à se venger. Voyant que la situation tourne au désastre, Tris décide d’aller à la rencontre des fameux membres Fondateurs afin de rétablir son monde au bord de l’implosion. En effet, les anciennes Factions continuent de se déchirer, se divisant entre une soif de justice qui les poussent au meurtre et une envie d’apaisement et d’harmonie. Du coup, comme on ne change pas une équipe qui gagne, ils se trouvent de nouveaux surnoms pour mieux s’affronter (parce que sinon ce n’est pas drôle). Mais les nouveautés ne s’arrêtent pas là, puisque Tris finit par découvrir ceux qui se cachent derrière tout ça et là, "Divergente 3 : au-delà du mur" s’étale sur une théorie opaque sur des recherches génétiques ayant mal tourné, dont seule l’héroïne du film en serait ressortie Pure (et les autres sont tous déficients parce qu’ils entrent dans un moule). Une fois les prétextes établis pour se donner des nouveaux petits noms, le film retombe dans son piège initial en jouant le jeu d’un système divisionnaire et discriminatoire qu’il semblait dénoncer dès le premier film. Et le plus étrange, c’est que tous les personnages semblent d'accord avec ça ! Le but n’était-il pas d’être libre et d’être soi-même ? Pourquoi continuer à se coller des étiquettes dans tous les sens ? Le problème est multiple. Déjà que la franchise "Hunger Games" est déjà passée par là pour bien jalonner le terrain, on se doute rapidement que les nouveaux alliés dans "Divergente 3 : au-delà du mur" réservent quelques mauvaises surprises pour Tris et ses compagnons. Mais le plus embêtant, c’est tout le blabla mis en place, alors qu’il s’agit tout de même du troisième volet, qui ne fait que complexifier une trame déjà peu attrayante en ajoutant des éléments farfelus et peu plausibles (la mère de Tris et quid de son père du coup ?). Et comme si cela ne suffisait pas, quand on y regarde de plus près, je constate que pendant que le personnage de Quatre prend de l’ampleur en multipliant les scènes d’action musclées (et peut-être même en préparant une nouvelle intrigue romantique, soyons fous), l’héroïne du film est carrément en retrait, tandis que son travail consiste à rester assise devant des écrans ou à se balader dans de jolies tenues bien blanches (rappelant sa Pureté, n’est-ce pas ?). Bref, le film de Robert Schwentke continue d’enfumer un peu plus l’ensemble avec une consistance bien fragile et, pour ceux qui comme moi n’ont pas lu les livres, le jeu ne prend pas. Si j’apprécie les efforts de mise en scène et le fait que le film soit plus dynamique et punchy, l’histoire générale renifle la mascarade à plein poumons pour masquer des écueils scénaristiques flagrants. Là, je me demande si le dernier film "Divergente" (qui au final ne verra jamais le jour) aura réellement quelque chose à proposer : soit nous connaissons déjà la dernière menace, soit (pire) la saga inventera de nouveaux problèmes supplémentaires. Je ne sais pas quelle option est préférable… D’ailleurs, visuellement, "Divergente 3 : au-delà du mur" trouve son identité à travers la photographie du film, avec des effets spéciaux un peu mieux maîtrisés et un univers identifiable. Seul bémol, sur ce sujet, les costumes des acteurs qui sont d’une laideur absolue : quand l’une ne se balade pas constamment avec une serpillière entourée autour des épaules, c’est surtout le look de Tris, mémérisant au possible (comme dirait Cristina Cordula), qui détonne alors que la saga est sensée viser un public jeune. Au casting, les acteurs arrivent en bout de course et donnent trop souvent l’impression de remplir leurs obligations contractuelles plus que de s’éclater dans un film qui les motive (ce qui est trop souvent le cas dans ce genre de films, à l’exception des films "Harry Potter", bien sûr). Ici, c’est pareil : Shailene Woodley, largement desservie par une garde-robe affreuse, transpire l’ennui total, laissant toute la place à un Théo James un poil plus animé; ce qui est normal étant donné que la saga s’achève, il lui faut préparer le terrain pour la suite vu que sa carrière est plutôt faiblarde sans "Divergente". Deux acteurs qui méritaient mieux, Miles Teller ("Les 4 Fantastiques", "Whiplash"…) est relégué au second plan tandis que son personnage indécis ne cesse de retourner sa veste sans véritable raison et Ansel Elgort passe malheureusement pour un boulet pendant la majeure partie du film. En parallèle, les faire-valoirs Naomi Watts, Maggie Q, Octavia Spencer, Jeff Daniels et autre Daniel Dae Kim se succèdent à l’écran et Zoé Kravitz fait de la figuration. En conclusion, j’ai toujours eu un petit faible pour la saga "Divergente", car malgré une histoire peu innovante, je trouve que les premiers films proposaient un univers plus accessible et moins surestimé que dans "Hunger Games". C’était donc l’occasion de révéler des personnages plus ambitieux, mais finalement c’est plutôt l’autre saga populaire du moment, "Le Labyrinthe", qui semble tenir la route pour l’instant. Du coup, ce troisième volet de "Divergente" m’a attiré plus par curiosité qu’autre chose, pour finalement répondre à mes craintes : si la forme est plus attrayante et aboutie, l’intrigue s’éternise en détours inutiles au lieu de véritablement entamer sa conclusion. Du coup, "Divergente 3 : au-delà du mur" déçoit en tombant dans des pièges faciles et surtout en se contredisant à travers la culture d’étiquettes pour définir ses personnages. Bref, une conclusion vraiment pas terrible pour cette saga cinématographique qui promettait au départ mais qui comme la saga "Hunger Games" a plutôt mal fini. Il reste que les décors restent sublimes, la réalisation sympathique et la mise en scène classique mais efficace. Cela reste pour moi cependant un divertissement vraiment pas terrible, qui est au même niveau du second volet de la franchise. Je suis bien content au final que cette saga pour ados soit terminée, et je trouve que malheureusement elle n'aura pas apporté grand-chose, pour ma part en tout cas

Je ne connaissais pas ce film. Je l'ai regardé pour la 1ere fois la semaine dernière. Et j'ai regardé les 3 parties à la suite. J'ai adoré le côté futuriste de l'histoire. Et la relation entre Tris et Quatre est très séduisante (Théo James ���)
C'est dommage qu'il n'y ait pas un dernier opus, mais j'espère qu'ils vont changer d'avis !
En tous cas, je le recommande !

Un troisième volet sublime et prévisible avec une intrigue plus dynamique, des scènes d'action soignés, une Shailene Woodley au top et un scénario bien construit.

Sûrement l'épisode le plus réussi. Disons le moins raté. La narration est toujours aussi pauvre et facile, mais elle a au moins le mérite de justifier certaines incohérences du premier volet. Les comédiens sont toujours aussi... Neutre. La mise en scène est efficace et calibré, sans prétention. En tous points, c'est un film moyen.

Précision : je n'ai pas lu les ouvrages desquels la saga Divergente puise sa source, seul le film m'intéresse.
Ce film (la saga en fait) au demeurant banal visuellement, est néanmoins porteur d'un message politique marqué, et surement pas celui que certains semblent avoir perçu.
Il s'agit d'une critique sans concession d'un monde progressiste qui atomise la société tout en prétendant au contraire, dans lequel il n'y a plus de diversité mais des mondes qui s'ignorent, le fameux vivre ensemble qui, dans les faits, est un vivre chacun dans sa sphère, fort de ses droits particuliers qui s’opposent aux autres.
Le monde invisible qui se trouve défait ou plutôt révélé dans ce troisième volet, est un pouvoir transnational. Par allégorie (et en simplifiant), on peut y voir l’hégémonie des marchés financiers qui imposent non pas une mondialisation, qui n'est jamais que la marche éternelle du monde, mais une globalisation qui est un totalitarisme : tous identiques, donc purs... aucune alternative, l'humain réduit à un concept, une idéologie mortifère.
La conclusion du film révèle qui est de l'autre coté du rideau, sans pour autant trancher les têtes, c'est même un des cotés séduisant de cette saga, la violence est dénoncée tout en respectant le réalisme de la situation, ici pas de mièvrerie, merci pour ça !.
In fine, cette saga s'avère être une fable futuriste avec un fond philosophique certes simple mais, c'est de la simplicité du message que sa portée s'en trouve plus forte. A suivre donc.
Concernant les acteurs, ils sont plutôt bons, sachant que jouer sur un fond vert n'est jamais un exercice facile.

La boucle est bouclée. C'est un peu une histoire sans fin. Même si je dois bien l'avouer cet opus est plutôt assez bien réussi, en ce qui concerne le scénario, il fait preuve de légèreté. Je résumerai par "Tout ça pour ça !". Pourquoi faire 3 parties si en fin de compte, la fin nous perd encore un peu plus. A croire qu'ils ne savaient plus trop comment terminer tout ceci. Le film en lui-même, les décors, la bande son, nous ouvrent une tout autre perspective, mais il aurait été opportun que l'histoire tienne debout, et ne soit pas aussi légère. C'est dommage, le début semblait prometteur. Cette trilogie aura la mérite de vous divertir, un grand moment d'évasion, mais avec pour fin une perte du spectateur.