Avis sur Divergente 3 : au-delà du mur

Troisième volet décousu, avec des "moments forts" à des moments qui n'ont rien d'intéressants. Une histoire décevante avec des images belles mais un trop pleins de "regardez on est dans le futur". De plus le message du film reste le même de film en film, donc aucun apport au second volet. On rame, avec EN PLUS un jeu d'acteur plutôt mauvais.
Le must du film : DES INCOHÉRENCES PARTOUT. Que ça soit dans l'histoire ou dans les détails mis en valeur pour RIEN (ex :explication du fonctionnement du pistolet pas respectée dans le film). Beaucoup trop de défaut et trop peu de qualités, aucun attachement à l'histoire. Le réalisateur préfère mettre en valeur le son et l'image plutôt que la narration et le jeux des acteurs. C'est complètement mal foutu, et extrêmement décevant....

Deux ou trois bonnes idées (par exemple, j'aime bien l'idée des drones intégrés aux tenues de combat) noyées dans un océan de défauts, d'incohérences, de clichés déjà vus des milliers de fois, de niaiseries, j'en passe et des pires.
Un exemple parmi les nombreux aspects de ce film qui m'agacent : quasiment tous les habitants de cet univers sont des ados, à des rares exceptions près les adultes ne semblent pas exister. Alors je sais bien que les spectateurs ados sont la cible des producteurs de ce film, mais ça lui enlève toute crédibilité.

Je mets quand même la moyenne parce que ça se laisse gentiment regarder malgré tout.

Et puis aussi un point en plus à cause de quelque chose de vraiment très positif qu'on retrouve aussi dans Hunger Games : dans ces deux sagas, le Peuple est soumis à un régime oppressif et se révolte contre ses dirigeants (un thème très classique). Mais ces films montrent les uns comme les autres que, une fois la révolution accomplie, les leaders de ces révolutions sont aussi pourris que les dictateurs qu'ils remplacent. Et cette lucidité fait plaisir à voir, surtout dans des films pour ado. Les films équivalents des générations précédentes ne montraient jamais cette triste réalité.

Rarement je me suis autant ennuyer devant un film, et pourtant, moi qui avait apprécier le premier volet sortit en 2014, et qui me rappelait la saga incomparable mais comparée quand même, Hunger Games (qui restera unique en son genre), je ressort de la salle déçu comme rarement. Le premier volet, je l'ai vu en DVD, et j'avais bien aimer, il y avait une histoire et une intrigue intéressantes, c'était très bien construit et bien imaginé. Puis j'ai fait l'erreur d'aller au cinéma voir le second, puisque j'ai été assez déçu dans l'ensemble, par le manque d'approfondissement des personnages et surtout de l'histoire, et par l'action trop présente et trop surplombée d'effets spéciaux. Aujourd'hui, en ce mois de mars 2016, j'annonce mon désintérêt pour cette saga Divergente. Ce troisième film m'a désagréablement laisser sur ma faim, il manque quelque chose, c'est trop rapide en faite, il n'y a aucun véritable enjeu, c'est d'un ennui mortel, même les scènes d'actions et les effets spéciaux ne suffisent plus pour remonter la pente. Les jeunes acteurs se débrouillent bien, certes, mais honnêtement, tout est fait pour plaire aux ados, et particulièrement aux filles. De plus, le scénario est jonchée de pas mal de touches d'un humour, lourd, prévisible et peu marrant. Bref, il ne se passe rien, c'est catastrophique, tout est plat, tout est noyé pour laisser uniquement la place à l'action, au suspense et aux effets spéciaux. De temps en temps, un peu d'humour, lourd donc décevant, et de l'amour, ennuyeux donc décevant. C'est vraiment catastrophique, le film de trop, je n'irais pas voir le dernier volet.

Franchement, il faut vraiment que je tienne à ma compagne pour me coltiner cette pathétique saga : après un premier opus d'une qualité plus que médiocre et un second volet cumulant encore plus d'incohérences, je n'attendais rien, mais alors vraiment RIEN de ce troisième film...et vous avez quoi ? Bin j'ai pas été déçu : y'a RIEN !!! Il n'y a vraiment rien à sauver...tout est cousu de fil blanc est c'est presque du copier-coller d'autre chose au niveau de la structure (la saga "Labyrinthe" en premier) : l'enceinte (ici Chicago) dans laquelle on est enfermé n'est en fait que le lieu d'une expérience suivie par une communauté survivante vivant à l'extérieur (ouais, c'est bien en fait une genre de télé-réalité : « Chicago Story » quoi), on s'échappe et on va donc essayer de voir à quoi ressemble ce lieu inconnu; là on découvre un Eldorado futuriste qui sent bon vivre : un vrai paradis sur cette terre dévastée (au passage, on ne sait toujours pas ce qui s'est réellement passé sur cette foutue planète !) ; puis finalement le paradis n'est qu'un enfer encore pire que celui qu'on a quitté et les nouveaux amis sont en fait les vrais méchants et faut vite s'échapper à nouveau pour revenir dans notre ancienne prison et dire à tout le monde que finalement c'est pas si mal de vivre reclus...sans déconner, y'a pas une nano-seconde de réflexion originale de la part des scénaristes : "Divergente" est tellement étiqueté produit pour ados qu'on ne fait aucun effort...pire on abuse d'effets et d'images au top du cliché ( spoiler: le traître qui devient ami mais qui est toujours un traître, Tris est la seule « pure » donc y'a qu'elle qui est entièrement vêtue de blanc à l'écran...
), on continue de cumuler les incohérences (marque de fabrique de la saga !) comme le fait que tout le monde pense la même chose mais personne n'agit (la nana qui sort spoiler: « Y'a pas que vous qui n'aimez pas David »
: j'ai failli m'étrangler !!), que des types sont incapables de toucher une nana qui coure vers eux à quelques mètres d’eux mais qui parviennent à coller une balle entre les deux omoplates d’une nana se trouvant en haut du mur à une distance d’environ 150m, ou encore le magnifique coup du gaz à la fin ( spoiler: alors là coup double : 01) alors qu'on nous montre avant que cette saleté vous lobotomise en 10-15 secondes, à la fin lorsqu'il est lâché dans Chicago, les gens ont largement le temps de courir dans tous les sens sans que le gaz n'agissent sur eux ! 02) Et lorsque nos héros stoppe la diffusion du gaz, et oui il y a bien écrit sur l'ordi le mot « DIFFUSION », et bien le gaz disparaît direct en rentrant même là par où il est sorti et plus aucune trace ne subsiste dans l'air : c'est super pratique dites-donc !!!
). Mais là où j'ai réellement l'impression que les producteurs se foutent royalement de la tronche de tous les spectateurs, y compris les fans des romans, c'est vis-à-vis du personnage de Tris : en plus de changer une nouvelle fois de coupe de cheveux (3 films, 3 coiffures : quelle fashion victim la Tris…surtout dans un monde dévasté où les coiffeurs se font très rares !!), la pauvre perd 40 points de QI à chaque nouveau film...le problème c'est qu'en ayant commencé la saga avec un score de 80, bin aujourd'hui elle est en négatif, et je n'exagère rien du tout ; il n'y a qu'à voir comment elle réagit vis-à-vis du chef de la nouvelle communauté : tout le monde (et j'entends par là les autres protagonistes mais aussi le public qui visionne le film dans la salle) possède un métro d’avance sur la miss qui est totalement incapable de se rendre compte spoiler: que Jeff Daniels la dupe
alors que cela est visible comme un mammouth dans un couloir !! On dépasse clairement la notion de lavage de cerveau là : notre héroïne devient réellement de plus en plus débile et s'éloigne grandement de ce qu'elle était dans le premier épisode : à savoir une jeune fille forte et consciente de ce qui se passe autour d'elle. Cet excès outrancier de naïveté, en plus d'être incohérent (et encore une de plus !), s'avère devenir extrêmement gênant puisqu'il reporte le titre de protagoniste alpha sur les épaules du pauvre Theo « Tobias » James...et ce dernier étant charismatique comme un chat écrasé sur la route, cela devient irrémédiablement un handicap pour le film car on a de plus en plus de mal de croire en la réussite de ses héros. Et l’attitude de Shailene Woodley ne fait rien pour arranger les choses : son manque d’implication dans son personnage traduit une lassitude évidente de la part de l’actrice qui doit avoir envie de passer à autre chose et de faire évoluer sa carrière. Bref, avec ce troisième opus, la saga "Divergente" montre clairement un très sérieux essoufflement : qu’il s’agisse des choix scénaristiques douteux (incohérences à gogo, la régression mentale de l’héroïne, le refus systématique de s’attarder sur des choses intéressantes comme le pourquoi de ce qu’il s’est produit des générations plus tôt ou la nature et le rôle réels des divergents pour l’avenir de la société), de la non implication de son actrice principale ou encore de la décision stupide et commerciale (mais dorénavant commune !) de scinder le dernier épisode en deux films distincts (et, comme pour "Hunger games" ou "Harry Potter", cela donne une « première partie » totalement molle et inutile) ; on voit bien que les producteurs ne portent d’importance qu’à une seule chose, à savoir le fric que va leur rapporter la célébrité des romans (bin ouais : même si c’est archi nul, les fans hardcores iront toujours dépenser du fric pour voir les films !). Quand à moi, pour éviter de m’endormir, j’attendais avec impatience la nouvelle apparition de Zoé Kravitz avec son débardeur décolleté : quand je vous disais que ce film était pathétique…

Troisième chapitre de la franchise Divergente, au-delà du mur s'avère certainement le pire de la série jusqu'à maintenant. Après une mythologie intéressante du premier volet, spoiler: on ferme ici ce principe et on en développe un nouveau.
Dans Au-délà du mur - première partie de deux, inspiré du dernier livre de la série éponyme de Veronica Roth -, Tris et ses comparses traversent le mur érigé autour de Chicago et se retrouvent dans un désert volcanique contaminé où des soldats du Bureau de la protection génétique les accueillent et les introduisent à leur monde. spoiler: On apprend alors que la ville de Chicago est une expérience qui devait générer des êtres purs. Seulement le spécimen de Tris a réussi l'épreuve. De là, on nous balance différentes histoires parallèles comme un directeur affamé de pouvoir, une ville bientôt en guerre, un traître, un mystérieux conseil...
Tout cela est bien confus pour le spectateur. Pourtant, certaines scènes d'action nous gardent en haleine, mais elles ne sont pas suffisamment nombreuses...Techniquement et visuellement, c'est vraiment plaisant : spoiler: les rochers dans le désert.
Futuriste à souhait ! La réalisation de Robert Schwentke (Divergente 2) possède un rythme très inégal mais un style intéressant. Par ailleurs, la talentueuse Shailene Woodley n'a jamais été aussi sombre et effacé... Même Four (Theo James) spoiler: n'apparaît plus comme un héros principal, et on ne parle même pas de Christina, Tori, Caleb et Johanna, qui ne passent plus totalement à l'écran.
On laisse par contre beaucoup de place à ce directeur, joué par Jeff Daniels, dont on ne connaît pas les véritables visées (surement pour le quatrième et dernier opus de la franchise en 2017). Donc, Divergente 3 : au-delà du mur ne parvient malheureusement pas à nous captiver. L'équipe de production a décidé de séparer le dernier livre de la série en deux comme l'a fait Harry Potter et Hunger Games. Le résultat final n'est pas à la hauteur de nos attentes. Cela se dégrade progressivement d'opus en opus et c'est inquiétant...

Décidément, le «phénomène aux 4 millions de spectateurs» devient de plus en plus catastrophique. Divergente 3 : Au-delà du Mur, ou Allegiant - Part 1 si l'on veut respecter le titre du roman et conserver le titre original, est décevant, encore plus que le deuxième qui était également une mauvaise surprise. À vrai dire, l'ensemble, creux, mou et prévisible, est uniquement compenser par des effets visuels à gogo qui ruinent toute l'histoire. Certes, visuellement c'est très bien fait, les effets spéciaux sont excellents, mais c'est simplement du remplissage : des scènes d'actions spectaculaires remplies d'un amas d'effets spéciaux. Les acteurs malgré tout restent très bons, bien qu'on regrette la quasi-absence de Naomi Watts, qui n'apparaît que quelques minutes sur les deux heures de film. Deux heures de film qui, malgré tout, passent lentement, tant l'histoire et le scénario sont dénués de toute originalité. C'est l'ennui qui prend le dessus, malheureusement. Apparement le roman n'est quasiment pas respecter, contrairement aux Hunger Games par exemple. Le changement de réalisateur reboostera cette saga, j'espère, qui possède malgré tout du potentiel ! Moyen, très moyen, je déconseille.

Quel dilemme pour noter ce film.

J'ai vu le premier film qui m'avait plu, j'ai donc lu le livre par la suite, quelques différences mais cela était assez concordant sur l'ensemble de l'histoire.

J'ai ensuite lu le deuxième tome et vu le film par la suite, celui-ci m'avait déçu car même s'il reprenait beaucoup d'éléments du livre, des détails importants étaient omis et certains ajoutés on ne sait pourquoi, cela en faisait un deuxième film correct mais pas en accord avec l'histoire originale.

Pour cette première partie de clôture de cette saga, j'avais donc décidé de m'abstenir de lire le tome 3, et je suis allé voir le film comme une suite des deux autres et non comme l'adaptation d'une trilogie littéraire.

Et je ne regrette pas, car j'ai trouvé le film appréciable, cohérent par rapport à ses prédécesseurs, avec un passage vers la SF sympathique, j'ai passé 2 heures de films agréables, attendant le 4e opus.

Et je viens donc de finir de lire le tome 3, et je peux comprendre le lynchage fait à ce film par les adeptes de l'histoire originale, car autant le 2e film reprenait maladroitement des éléments du tome 2, autant ce 3e film differe totalement de l'histoire (un peu les mêmes éléments mais piochés au hasard), une autre histoire créée dans le même univers.

Alors là vient ce dilemme dois je le noter comme je l'avais fait pour le 2e film comme une adaptation de l'histoire originale (dans ce cas là, je lui mettrai 0.5 étoile).

Ou alors je note ce film, par le plaisir qu'il m'a procuré en le voyant.

J'ai opté pour la 2e notation et je pense faire de même pour toutes les adaptations de romans, il faut faire la scission entre l'histoire que l'on lit et le film adapté (je pense notamment à Labyrinthe, 1er film assez concordant au livre, 2e film beaucoup plus différent, j'attends aussi pour lire le tome 3).

Cette première partie de Divergente 3 est un bon film qui suit bien les deux premiers films, en ajoutant un côté SF inattendu.

Par contre c'est une très mauvaise adaptation du tome 3.

J'attends la suite de ce film avec impatience.

Des blockbusters aux scénarios abracadabrantesques j'en ai vu pas mal mais Divergente 3 navigue entre réactions absurdes des personnages et scènes irrationnelles avec une fluidité et une densité que peu ont atteint avant lui.

Si Divergente 3 commence bien mal avec des scènes molles et des acteurs mal dirigés, très rapidement, le film prend une ampleur visuelle assez incroyable. L’univers est cohérent, vaste et les couleurs sont sublimes. Les effets spéciaux ne sont pas en reste et les bâtiments et véhicules qui sont de l’autre côté du mur surpassent ce que l’on avait vu dans Hunger Game et consorts.
Même s’il reste limité par son formatage « film d’ado », le film fait passer un bon moment avec de belles claques visuelles. Du coup, il me tarde de voir la fin.

Je vais faire assez court, Divergente 3 : au-delà du mur est une vraie déception. Le seul point positif sont les effets spéciaux qui sont superbes même si trop d'effets tuent l'effets comme on dit. Mais franchement, ce film est mauvais partout, le casting est composé de belles nanas et de beaux mecs musclés pour le simple plaisir des adolescents, l'intrigue principale n'est pas interessante puisqu'elle n'est pas assez bien exploitée pour l'être, et les scènes d'actions, moins présentes que dans le précédent film, restent assez divertissantes mais c'est tout, il n'y a aucun objectif dans cette saga! Le film est mou, remplit de scènes d'action archi-numérisées, mais sans plan en faite. Les personnages avancent mais continuent d'avancer. Ils vont d'un point A à un point on ne sait pas lequel en faite!! Long, ennuyant, prévisible aussi, et trop bavard, infidèle aux romans, et uniquement fait pour divertir, Divergente 3 est une vraie déception!!!

Un épisode plat ou on s'ennuie franchement. Aucune originalité et beaucoup de scène mal joué et sans véritable scénario. Déçus tout simplement

Particulièrement frustré par le chemin que prend la franchise "Divergente" lancée en 2014 par Neil Burger. Si la réalisation est efficace et suffisante pour impressionner, le reste est d'un vide sidérant. Les intrigues lancées dans les précédents films nous on fait poser pas mal de questions auxquelles on n'a jamais eu de réponses exactes, et c'est la raison pour laquelle je voulais voir ce troisième opus, je voulais des réponses, et il s'avère que je n'en ai pas eu une seule. Le film change complètement de registre et d'intérêt, cette-fois, la "troupe" prend la direction des terres hostiles se situant derrière le Mur, et fait un long détour, certes riche en action et en effets spéciaux, mais carrément inutile ! Ce film n'est là que pour combler entre deux événements, ceux du deuxième film et ceux du quatrième à venir : c'est du remplissage inutile et même un peu lent qui qualifie très bien la première partie d'un final coupé en deux comme son ancien adversaire "Hunger Games", et comme son ancêtre "Twilight". Histoire vide, scénario mou et creux, cependant des acteurs qui relèvent un peu la pente face à un scénario trop basique et prévisible, néanmoins. Un film misant tout sur son visuel et bâclant son scénario, ce n'est pas un film, c'est ce qu'on devrait appeler maintenant un teen-movie blockbuster d'action, avec supplément pour adolescentes d'une douzaine d'années (muscles de l'acteur Theo James). Décevant.

Jetais fan du film 1 et 2 mais là je tombe de haut.
Ce film est très mauvais!!!
Il ne se passe strictement rien pendant tout le film.
C'est très plat.
Scenario décousu et absurde.
Meme les effets spéciaux sont totalement ratés, exagérés.
Le décor est juste grotesque.
Bref ce film est très mauvais.

Divergente 3, ou la suite plus décevante et ridicule du siècle. Même Twilight a fait mieux, c'est dire. Toujours réalisé par Robert Schwentke, à qui on doit le deuxième volet déjà très décevant, ce troisième et avant dernier opus est une catastrophe, la saga, qui avait un potentiel énorme, a complètement chuter. Ce troisième film, mal renommé Au-delà du Mur, n'a aucun point positif ni même un atout. Les acteurs sont "passables" meme si je supporte mal Miles Teller et Ansel Elgort. Kate Winslet, ma première raison d'avoir commencer à regarder cette saga, manque à l'appel et ça se ressent. Naomi Watts, une actrice que j'adore, n'apparaît qu'une dizaine de minutes, quel dommage. Et ces deux personnages sont clairement balayés pour laisser place à d'autres personnages sans intérêt et inutiles. Côté histoire, c'est vide, plat, sans intérêt non plus, zéro. Intrigues quasi-inexistantes et peu intéressantes, le détour derrière le "mur" ne sert strictement à rien, ça tourne en rond, ça rame, c'est lent et ennuyeux. Et les effets spéciaux/mise en scène on en parle? Tellement superflus, tellement sophistiqués et tellement abondants qu'on les remarque et qu'au final, c'est trop numérique, trop synthétique, trop voyant et donc ça fait très faux au final (tellement d'effets que ça éclate les yeux au bout des 2h, je suis devenue aveugle). Donc voilà, pour conclure, c'est très mauvais, très décevant et ça aurait mériter un travail plus approfondi et plus intelligent, parce qu'on au final, Divergente 3 n'est rien d'autre qu'un énième blockbuster inutile qui n'a qu'un but : divertir, en livrant un tsunami d'effets spéciaux. Très mauvais, à éviter, si vous n'avez pas apprécier le 2, n'y allez surtout pas, si vous avez aimer le livre et que vous voulez voir ce que donne le film, n'y allez pas non plus, c'est une déception générale.

Toujours aussi sympathique cette série Divergente avec ce troisième opus qui permet d’en savoir plus sur ce qui se passe en-dehors de la cité forteresse de Chicago. On retrouve le casting de jeunes acteurs sympas, avec en plus le plaisir de retrouver un vétéran comme Jeff Daniels dans le rôle d’un gourou aux ambitions louches. L’intégralité du design futuriste louche fortement du côté d’Oblivion, tandis que la musique voudrait imiter celle de Tron. Ce sont d’excellentes références pour moi, mais cela enlève un peu de personnalité au film, d’autant que la réalisation de Robert Schwentke est efficace, mais plutôt impersonnelle. Il a au moins eu le mérite de faire passer la saga à la vitesse supérieure d’un point de vue visuel depuis le deuxième segment. Bref, du travail de pro pour un résultat calibré (peut-être un peu trop justement) afin de plaire aux ados, surtout aux filles d’ailleurs. Il n’est pas interdit d’y prendre plaisir, même si on a dépassé la limite d’âge prescrite depuis longtemps, comme votre serviteur.