Derniers Avis sur Joy

On n'est pas loin du chef-d'oeuvre ! Pourtant : pas d'effets spéciaux, pas ou peu d'action, quelques longueurs, mais franchement on a envie d'aller au bout. La vedette du film est excellente, mais la grosse surprise vient d'un De Niro et un Bradley Cooper qui jouent juste ce qu'il faut. Beau film, vraiment un bon moment.

JOY s'inspire d'une histoire vraie et raconte une partie de la vie, des combats, des hauts et des bas d'une femme farouchement déterminée à réussir. C'est le rêve américain !!

Sans faire dans le mélo-dramatique insoutenable, ce film montre les aléas d'une vie ordinaire et/ou extraordinaire. Le Casting est impressionnant mais peu exploité ou exploitable car la star du film est portée par une Jennifer Lawrence impressionnante. Ce film m'a permis de connaitre tout simplement Joy Mangano.

Ce film est une bombe !
Déjà parce qu’on trouve une nouvelle fois le trio Cooper/Lawrence/De Niro mais aussi, parce qu’en plus d’une histoire originelle géniale, la perversité et la toxicité de la famille sont génialement interprétées.
C’est la première fois, qu’une réalisation traite aussi bien ce sujet.

C’est un film très touchant avec des acteurs incroyables. L’histoire est captivante et nous garde en éveil malgré une ambiance sombre et lente. Jennifer Lawrence rayonne quelque soit le rôle qu’elle joue. J’ai passé une très bon moment devant ce film. Ça ne me dérangerai pas de le revoir.

Joy est un film dramatique sorti en 2015 avec Jennifer Lawrence en tête d’affiche. Toujours impeccable, Jennifer Lawrence joue une nouvelle fois le rôle d’une femme forte de caractère.

Bon, les 30 premières minutes sont vraiment chiantes, nous n’allons pas nous mentir, mais devient très intéressant par la suite et notamment pour son message. Quel message faut-il en 2015 et en 2022 ? En 2015, probablement, le travail acharné paie toujours, si l’on veut réussir, on réussit !

Mais en 2022 avec tous ces réseaux sociaux toxiques tels que Twitter, Instagram et Tiktok peut-être pas. Le film démontre toutes les difficultés à être entrepreneur et tous les sacrifices que cela demande et parfois ne sont pas toujours synonyme de réussite. Sur Tiktok et Instagram, nous avons un peu l’impression que c’est facile de devenir entrepreneur, de devenir riche sauf que dans la réalité combien ont essayé avec caractère et courage, mais échouer tout de même ? Beaucoup, beaucoup échouent ou ne réussissent pas convenablement. spoiler: C’est pour cela qu’une défaite de l'héroïne aurait été encore plus impactant aujourd'hui, cependant, un motif d’espoir reste une bonne affaire.

Un terrible navet qui prend les spectateurs pour des idiots à propos du rêve (désormais cauchemar américain) avec un casting d'enfer qui se prête à ce jeu minable...
A fuir de chez fuir

Ce film, réalisé par David O. Russell et sorti en 2015, n'est pas mal mais sans plus. Le film retrace le parcours de Joy Mangano qui a inventé le balai-serpillère auto-essorant, dont je ne connaissais absolument pas la vie. Et ainsi, étant donné que je ne connais pas l'histoire de cette personne, je ne sais pas si le film en est fidèle ou s'il en fait des caisses, ce qu'il a l'air de faire par moments. Je veux dire que nous sommes devant un biopic plutôt classique : une personne inconnue qui galère dans la vie et qui s'est battue afin de réussir et, par extension, de gagner de l'argent. C'est typiquement le genre de parcours dont raffolent les américains puisqu'ils représentent l'essence même de l'american dream : partir de rien pour arriver à tout, en essuyant bien évidemment de multiples galères. Et des galères, Joy en a beaucoup ! Tout d'abord son contexte familial, qui fait par ailleurs énormément penser à la famille de la série "Shameless", son introduction dans un "monde d'hommes", comme on lui fait bien comprendre à plusieurs reprises, et puis toutes les galères financières auxquelles elle a dû faire face. Je veux dire, au bout d'un moment, c'est un peu trop, c'est comme la fin de "Gravity", on n'y croit plus tellement ! Après, peut-être que le film est très fidèle à la réalité et, dans ce cas, il retranscrit très bien les choses. Car malgré ce côté très américain dans lequel le pathos est fortement appuyé, et bien, on se prend d'affection pour le personnage principal et on prend plaisir à la suivre dans ses galères, non pas pour s'en réjouir mais pour espérer la voir arriver au bout de son projet et, si on a été checker la page Wikipedia de Mangano, on connait un peu la fin ! Concernant les acteurs, nous retrouvons principalement Jennifer Lawrence, Robert De Niro et Bradley Cooper qui jouent très bien, de même que le reste du casting d'ailleurs. "Joy" est donc un divertissement sympathique mais qui ne marquera pas les mémoires pour autant.

J'ai trouvé ce film sans grand intérêt, on s'intéresse à la vie d'une femme qui invente un balai et essaye d'en faire son business, puis le début est un vrai bordel avec aucune cohérence. La photographie est le véritable point fort, ainsi que la persévérance de la mère de famille, mais bon c'est bourré de cliché et c'est un enième film sur le "rêve américain". Le sujet aurait pu être mieux traité, c'est dommage car l'intrigue sortait de l'ordinaire mais David O.Russell c'est mélangé les pinceaux avec cette histoire peu crédible. Puis entre nous faire une histoire de 2h sur le brevet d'un balai faut pas pousser...

Un film très passionnant du début jusqu'à la fin une histoire construite j ai passé un bon moment dans l ensemble sans m ennuyer

Joy est convaincant et touchant ! On suit cette histoire de dingue et ce combat de fou que fait cette femme bien interprété par Jennifer Lawrence ! On s'attache au personnage et on est attendri par son combat ! Un beau film !

Vous en avez marre des biopics de chanteurs ou héros de guerre ? Voici Joy : 2h05 de biopic...de la serpillière. Si, si, c'est possible. On attend avec impatience la nouvelle mode de films sur la création de nos produits ménagers (Joy 2 : l'éponge à récurer, Joy 3 : l'aspirateur sans fil...), ça promet d'être épique. Mais outre son sujet assez vide d'intérêt (étalé sur plus de deux longues heures), Joy nous pose un vrai problème de montage. Que l'on pense à la séquence du bateau où l'on fait partir la musique beaucoup trop tôt (rendant incompréhensible la fin de la dernière phrase), à celle de la table ronde des négociations du contrat où les dialogues (d'une autre conversation, pas ceux de la table ronde...) sont cette fois-ci jetés n'importe comment sur les images, ou encore à la petite musique festive qui accompagne le décès de la doyenne (il ne manquait que les cotillons)... On n'en croit ni ses yeux, ni ses oreilles. Malgré le nom du réalisateur David O. Russel que l'on sait plutôt doué avec les drames (Fighter, Happiness Therapy...), on constate un travail de montage qui ressemble à celui d'un amateur. La trame narrative n'est pas non plus très soignée entre la présentation au forceps de cette famille au début du film, le manque cruel d'émotion, de rythme et d'humour (les gags proposés par le personnage de Robert De Niro ne vont pas chercher bien loin), et surtout d'enjeu. Bien, on a affaires à une révolution pour le ménage, inventée par une femme qui veut se faire self-made-woman mais dont le reste de l'intrigue paraît bien fade (la famille est moins complexe que prévu, pas de surprise sur le déroulement de la vente de son produit...) et dont l'interprétation générale laisse à désirer (les personnages ressemblent à des caricatures, les acteurs en font des tonnes). Peu trépidant, très mal monté et aux personnages excessifs : ça n'est pas la Joy...

Avis aux amateurs: voici le plus long film ayant pour thème la vente de serpillères. Le message est explicite: quand on veut, on peut, car l'Amérique c'est le pays de la réussite pour ceux qui ont du génie, de l'audace et de la persévérance. Tout le monde peut réussir avec de la volonté, même une femme divorcée sans argent d'une région déshéritée (enfin, pas n'importe quelle femme physiquement tout de même, il ne faut pas exagérer). Comme quoi ceux qui restent pauvres le méritent bien un peu. Encore une fois la fable du "self made man", portée par un Robert de Niro qui rejoint à ce niveau Donald Trump.

Je me demandais pourquoi j'avais mis que 3* : Le scénario inspiré d'une histoire vraie est Bon mais la réalisation est 1 peu bancale! Ça alterne entre Le drame et Le comique, 1 sorte de récit Avec des flashbacks peu utiles et qui nous perdent 1 peu c'est dommage

Un biopic fantaisiste et émouvant sur l'ascension d'une femme ordinaire ayant eu une idée révolutionnaire, porté par l'interprétation très convaincante de Jennifer Lawrence.

Que dire de "Joy" ? Pas grand chose malheureusement. On a face à nous le biopic d'une entrepreneuse américaine ayant inventé le balai-serpillière auto-essorant. Le film se penche sur les difficultés rencontrées par cette femme pour commercialiser son produit ainsi que sur ses problèmes familiaux. Le hic ? C'est que tout cela n'est guère intéressant. Cette étape de la vie de Joy Mangano ne présente pas vraiment d'intérêt scénaristique et le cinéaste David O. Russell peine à sublimer cela pour en faire une oeuvre cinématographique digne de ce nom. Car dans la forme, le film est bien réalisé et le casting est bon. Cela ne suffit pas à nous accrocher complètement et, en dehors de quelques passages, "Joy" est plutôt anecdotique.