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    Belgica
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    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    60 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2016
    Il y a du savoir-faire dans Belgica, qui lui donne le côté complètement immersif, qui lui permet de toucher même les spectateurs qui sont insensibles à la musique que les frères Dewaele. Avec justesse, Felix van Groeningen décrit le mécanisme d’entraînement qui pousse l'homme à se laisser aller à tous les excès, à son animalité presque par capillarité, avec en filigrane la montée du racisme et du protectionnisme.
    Requiemovies
    Requiemovies

    186 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mars 2016
    A y regarder de plus près, le cinéma de Felix van Groeningen se forme d’un tout d’une cohérence appuyée. Là où certains se définissent avant tout par leur grammaire cinématographique, le cinéaste s’appuie toujours sur ce qu’il semble faire de mieux, filmer cette humanité dans ses tréfonds d’âmes, des plus jolis au plus sombres, avec ce penchant continuel à poser un œil bienveillant, sinon tendre, sur ces femmes et ces hommes. Il réussit, dans un même genre, proche du drame social, a toujours garder cette hauteur qui permet même dans les instants les plus glauques et sombres, d’apercevoir cette lumière et procurer une beauté de fond à chacun de ses films.
    Les plus connus, « La mertitude des choses » qui l’avait fait connaître hors des frontières du plat pays et le magnifique et douloureux (multi primés) « Alabama Monroe » portaient ce magnétisme social dont Felix van Groeningen a le secret. Les deux précédents étant de la même veine (« Steve Sky » de l’ordre de l’essai et « Dagen zonder lief » déjà puissant dans sa forme et sa direction d’acteurs).
    Ceci étant plus ou moins établit, l’attente autour de « Belgica » était importante. Une fois les choppes de bière écoulées, le constat à jeun est plutôt positif et le mal de crâne évité. Ce qui n’enlève pas une certaine déception quant à la tenue « cadrée » de l’ensemble du film.
    Dans cette veine de toujours intérieure de filmer ses personnages au plus près et au plus vrai, le film l’assume et s’en sort vraiment très bien. Histoire de fratrie avec au centre ce troisième larron, 4 murs, un toit, et des litres de bières et autres shots pour former le vecteur perturbateur de cette famille. Toutes les scènes nocturnes sentent le houblon à plein nez, la sueur des virées nocturnes où l’essence des corps communie avec celle des sons. Enivrées jusqu’à plus soif les séquences à l’intérieur du « Belgica » semblent avoir été vécues de l’intérieur par le réalisateur lors de soirées qui se clôturent au petit matin. Sur ce point, c’est très réussit et la bande son concoctée par Soulwax en est un élément essentiel. Viennent se fracasser d’une enceinte à l’autre, bluegrass, rock, électro, choral cuivrée et autre son undergroud entre garage et fièvre trip hop(ée). Film qui de manière équitable partage donc le sensitif au sensible. Et c’est sur deuxième axe, excellence et réussite des précédents films du réalisateur, que la déception pointe un peu son nez. La relation compliquée et déjà-vu entre les deux frères ne déroge pas à la règle de ceux qui s’y sont déjà frottés. Mélodrame classique dans son évolution comme dans sa finition, et un léger manque de subtilité fait un peu balbutié. En outre, les seconds rôles sont trop sacrifiés, faute de temps et de caméra trop attentive aux deux frères qui laisse parfois échapper ce qui aurait pu être de belles intentions de personnages secondaires. Tout est parfois trop vite balayé. Heureusement, ce n’est pas au profit d’un vide immense puisqu’à chaque fois c’est bien ce bar/club qui prend le relais d’un ton festif dans une orgie musicale et visuelle (le soin apporté à filmer habillement et de manière très limpide le chaos du dancefloor est à souligner).
    Le film danse sur un pied mais tient finalement sur ses deux jambes. Felix van Groeningen n’a pas cherché à faire compliquer, quand dans son récit on sent au fil des minutes l’intention de partager avant tout au spectateur une sorte d’instants de fraîcheur et de fêtes. Pour cela, tout en saluant la performance des deux comédiens principaux, il ne faudra pas trop s’attacher à leur histoire, les laisser en toute fin et profiter avec eux tout simplement de ces nuits d’orgies et de débauches avec un amour déclarer et appuyer à la musique sous toutes ses formes, et la communion que celle-ci peut entraîner. Film sensitif plus que réflectif.
    Yves G.
    Yves G.

    1 288 abonnés 3 295 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mars 2016
    J’avais beaucoup aimé les précédents films de Félix Van Groeningen – qui, comme son nom l’indique, n’est ni italien ni portugais. La Merditude des choses et Alabama Monroe, une comédie dramatique et un drame non dépourvu d’humour qui avaient tous les deux la truculence et la générosité d’un potjevleesch flamingant.

    J’ai été du coup d’autant plus déçu par Belgica qui s’annonçait dans la continuité prometteuse de ces deux premiers films.

    L’action se passe à Gand, dans le café où le jeune Félix a grandi. Deux frères décident de transformer ce rade minable en bar branché. Ils y mettent toute leur -communicative – folie et connaissent vite le succès. Mais la réalité a tôt fait de rattraper leur rêve.

    Oui, Belgica est un film survolté, euphorisant, énergisant. Oui, l’anarchie de la fête, son bruit, sa sueur, son hébétement, son euphorie aussi, ont rarement été aussi bien filmés – et je sais de quoi je parle moi qui passe mes nuits en boîte ! Oui, les deux héros, avec leurs brisures et leur grand cœur, sont attachants. Oui, la musique est géniale.

    Pour autant, le film fait du surplace. Son seul moteur est la rivalité, aux motifs pas très lisibles, qui grandit entre les deux frères. Aucune surprise, aucune émotion non plus – si ce n’est peut-être dans certains rôles secondaires (l’épouse délaissée, la maîtresse moins cruche qu’il ny paraît…) trop vite sacrifiés. Belgica aurait pu sans préjudice faire trente minutes de moins. Un poil trop racoleur, un brin trop vulgaire pour convaincre.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 mars 2016
    Belgica est tout à la fois euphorisant par moments, car les séquences de fêtes dans le bar sont parfaitement mises en image et en musique, mais aussi désespérant dans la manière que ce film a de ne pas aller au-delà de ces scènes pour construire quelque chose de vraiment cohérent. Et j’ai ainsi du mal à être complètement satisfait devant ce travail qui me semble trop peu abouti pour être réussi.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    36 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mars 2016
    Un bar où les pintes de bière se vident à la vitesse des corps qui se déhanchent sur la piste, un endroit où les ambiances musicales se succèdent au rythme frénétique de la soirée, un lieu de perdition où viennent s'échouer les gens qui veulent oublier leurs soucis : bienvenue au Belgica, l'établissement accueillant n'importe qui prêt à prendre part à la folie de la nuit. Comme on peut s'y attendre, un montage rapide et un mélange de lumières colorées participent à la retranscription de l'ambiance si particulière de ce lieu underground. Mais Felix van Groeningen va également impliquer le spectateur par le biais d'une musique volontairement trop forte et d'une caméra suggérant le point de vue d'une personne ivre, ce qui donne des images floues et légèrement ralenties. En résulte des scènes festives nerveuses, prenantes, qui fonctionnent aussi grâce à un système de contrepoint. En effet, le film s'attache à montrer les coulisses de l’établissement, géré tant bien que mal par deux frères, Jo et Frank. Leur relation fraternelle est tantôt bon enfant, tantôt difficile, et leur conflits occasionnels, exacerbés par un mode de vie éreintant, provoqueront la chute du bar, dont les prémisses sont visibles très tôt dans le récit. Ce déroulement est particulièrement convenu, sans compter qu'une lente conclusion alourdit la fin, mais l'histoire reste intéressante car elle est vécue par des personnages suffisamment bien écrits pour être attachants. Les employés du Belgica sont tous le temps les uns sur les autres, ce qui amène logiquement un ras le bol général survenant au moment où le spectateur est complètement écœuré par le monde de la nuit (ce qui est quand même une prouesse). Une des femmes fait même explicitement référence à ce ressenti, ce qui la ramène beaucoup vers le public. Ces marginaux subissent les conséquences de leur travail (c'est particulièrement visible lors des scènes avec les compagnes des deux frères) et ne paraissent finalement pas si déconnectés de la réalité. Malgré son histoire banale, Belgica est un film aux qualités évidentes. Malheureusement, peu de choses ont retenu mon attention. Je ne garderais sans doute pas grand souvenir de ce long-métrage, à l'exception peut-être de la musique, qui est quand même vachement bien fichue.
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mars 2016
    Belgica, c'est deux petits enfants névrosés. Et pour réussir dans leur vie, ils en font trop. Comme le cinéaste. Mais si Felix Van Groeningen a boursouflé jusqu'à l'étouffement son Alabama Monroe, il est beaucoup plus réaliste ici. Le grand a les bonnes idées, le petit sait les gérer. Le film trouve son équilibre. Et ce dernier est très juste quand la fratrie rencontre ses problèmes de couple. Il y a une puissance émotionnelle dans ces scènes qui finalement passe au dessus des scènes festives, trop vite redondantes. Les compagnes jouent le rôle du vice, vice qui ne cesse de les rattraper dans ce bar. Mais l'énergie que développe ce lieu n'éclate pas à l'écran.
    Dunno The Movie
    Dunno The Movie

    61 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mars 2016
    À mi-chemin entre une descente aux enfers viscérale et un rêve américain à la sauce belge, le nouveau film de Felix Van Groeningen est d’une densité hypnotique et animée par une énergie contagieuse qui scotche nos yeux sur un écran quasi-psychédélique. Belgica raconte l’amour fraternel, pour le meilleur et pour le pire dans un film à la fois lumineux et très sombre, porté par une mise en scène vertigineuse et une bande-originale absolument géniale qui cristallise des scènes purement orgasmiques (it’s a metaphor). On frôle le coup de coeur de très peu, si seulement Belgica n’éternisait pas une chute qui finit par faire traîner le film en longueur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 mars 2016
    Franck renoue avec son frère Jo, pour l’aider à faire tourner Le Belgica, un bar qui devient vite un haut lieu des nuits Gantoises. La musique y est excellente : de l’électro rock bien frappé. Jo rêve d’un lieu alternatif qui rassemble tout le monde dans son « Arche de Noë ». Son projet est un peu mis à mal par les contraintes administratives… mais aussi par son frangin que la nuit piège parfois. Car au Belgica, on danse, on boit sec et la coke n’est jamais loin. Malgré le succès, les frérots peuvent aussi se « déchirer »…
    Depuis le superbe Alabama Monroe, on savait que Felix Van Groeningen aimait la musique. Mais la filmer comme il le fait était une vraie gageure. 130 heures de rushs ont d’ailleurs été nécessaires pour restituer ce climat, bien aidé par le gros son métal du groupe Soulwax. C’est sur cette trame que Jo et Franck essaient d’avancer, avec leurs tempéraments opposés et une vie perso qui a du mal à s’adapter aux échappées nocturnes. Se retrouver, se perdre et recommencer… les rapports fraternels sont forts et traités sans manichéisme.
    C’est encore un film tonique et désenchanté, euphorisant et libertaire que signe le cinéaste Belge. Musique omniprésente, photographie très soignée, Belgica sonne toujours juste. Et l’émotion se faufile dans une mise en scène virtuose. Stef Aerts (le borgne) et Tom Vermeir sont parfaits dans cette histoire « Sexe, coke et rock’n’roll » aux allures autobiographiques. Tout juste peut-on déplorer quelques longueurs, car on pressent que leur histoire peut être sans fin. C’est la petite faiblesse d’un scénario trop balisé pour surprendre.
    alain-92
    alain-92

    305 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2016
    Après le superbe Alabama Monroe, Felix Van Groeningen impose, dans Belgica, une belle bande son composée par Soulwax. Au cœur même de l'intrigue, elle fait partie intégrante d'un scénario parfaitement construit.

    Le réalisateur commente : "À mes yeux, le film raconte en même temps quelque chose sur la façon dont notre société à changé ces 20 dernières années, comment elle est devenue plus sévère, peut-être aussi comment elle a un peu perdu ses idéaux … le café est comme une mini société". Au travers de dialogues souvent violents Felix Van Groeningen appuie avec force sur ce changement, dans lequel l'austérité vient balayer une certaine idée de la fête. Les dernières images du film sont, en ce point, éloquentes. Des caméras comme autant de frontières entre les individus.

    La réalisation parfaitement maîtrisée est superbe de minutie.

    À la tête d'un casting d'une grande justesse, les deux principaux protagonistes, Stef Aerts et Tom Vermeirs s'imposent avec talent et donnent à leur personnage respectif un relief tout particulier.

    Je suis sorti de la salle stupéfait par la virtuosité d'une mise en scène qui vous entraîne, là où vous ne voudriez pas, ou ne pourriez pas être.

    Le dernier mot au réalisateur :"Le fait de raconter des histoires sur d'autres est aussi une agréable façon de na pas devoir parler de moi".
    Steev_Toy
    Steev_Toy

    1 abonné 34 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2016
    Quel film! Plongez dans un univers de débauche, rythmé par la musique, celle la même donne envie de rentrer dans l'écran pour aller dans ce lieu de perdition, et par ces deux personnages charismatiques. Belgica un bar que l'on aimerait trouver chez soit et tout y oublier en poussant la porte d'entrée. Entrez dans le monde de deux frères qui se lie derrière un comptoir, avec tout ce qui s'ensuit.
    Emma Schell
    Emma Schell

    9 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 mars 2016
    Avertissement aux Oreilles Sensibles, n’oubliez pas vos boules-quies Et rejoignez moi au Belgica ! Quel Son, Quelle Atmosphère, Quelle Ambiance…
    Ce film respire la musique, la danse, la sueur, l’alcool et le tabac froid des lendemains de fêtes !
    J’ai plongé, tête la première, dans ce bijou cinématographique et me suis laissée embarquer par le réalisateur –un virtuose- qui filme le monde de la nuit sans filtre, avec son lot de sexe et de drogue (à priori l’un ne va pas sans l’autre).
    Filmé, tantôt comme un clip-vidéo, tantôt comme un docu-amateur, on assiste à la montée en puissance des deux frères puis aux inexorables difficultés de la cogérance. Etre au sommet, c’est bien ; Y rester, beaucoup plus difficile… La chute, souvent, Inévitable.
    Belgica ne plaira pas à tout le monde, trop d’excès, trop d’excentricités, trop de sons mais d’un film, j’attends qu’il me transporte dans une autre « galaxie », me fasse vibrer, me fasse rêver, me dérange aussi.
    Avec Belgica, le Pari est réussi !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 mars 2016
    Excellent film, tant sur le plan artistique que sur celui de l'histoire elle même, très forte. Dommage que la production ait mal présenté ce film (Bande annonce peu en lien avec l'intérêt du film, affiche désastreuse...)
    ffred
    ffred

    1 502 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2016
    J'avais peu goûté à La merditude des choses, un des premiers films de Felix Von Groeningen, et beaucoup aimé Alabama Monroe, son dernier, véritable phénomène, succès critique et public. Une certaine attente donc pour ce nouvel opus. Si on est un cran en dessous au niveau de l'émotion (tout de même moins de mélo ici), Belgica n'en est pas pour autant moins réussi. On est là devant le schéma classique ascension-apogée-chute-rédemption. Mais une nouvelle fois chez le réalisateur flamand, la mise en scène est solide, la scénario finement écrit, les personnages bien dessinés, les dialogues ciselés. Tandis que la direction d'acteurs est toujours impeccable. Tous les acteurs sont formidables. Les deux frères sont magnifiquement interprétés, dans des styles différents, par Tom Vermeir et Stef Aerts (on retrouve aussi, dans des petits rôles, Sam Louwyck et Jean-Michel Balthazar deux piliers du cinéma belge). Le duo fonctionne parfaitement. Ils sont aussi touchants et attachants que parfois agaçants ou horripilants (surtout l'ainé !). Belgica est donc un beau film sur les rapports entre frères, tout autant que sur la famille, les espoirs, les rêves brisés, les aléas de la vie. Même si on en ressort moins perturbé que pour Alabama Monroe, on passe tout de même un très agréable moment, empli d’une certaine mélancolie, mais surtout de musique, de bière et d'une belle énergie. Une pierre de plus à l'édifice du dynamique et talentueux cinéma belge actuel.
    poet75
    poet75

    256 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mars 2016
    Que pouvait-on attendre de Félix Van Groeningen après "Alabama Monroe", film moralement très douteux que j'ai déjà eu suffisamment l'occasion de dézinguer? Voici donc "Belgica", un film qui n'a rien à dire ou quasiment rien. Juste une histoire de frangins qui s'associent pour diriger un bar puis qui se disputent et se séparent. Les quelques tentatives que fait le réalisateur pour donner un peu de sens et de consistance à son film avortent toutes rapidement. Ne reste qu'une débauche de décibels, d'engueulades, de violence, de défonce et de sexe! Et l'impression pour le spectateur que je suis d'avoir vu quelque chose de creux et d'abrutissant. 3/10
    Anne M.
    Anne M.

    62 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mars 2016
    Gand. Franck décide de s'associer à son jeune frère Jo pour ouvrir un bar musical. Marié et père d'un petit garçon il investit ses économies dans ce projet.

    Frank s'engouffre dans une spirale destructrice et manque de faire fermer le bar.

    Alcool, sexe, drogue, violence, montage nerveux, bande son superbe, ce film souvent cru apporte de l'ivresse, comme après une nuit blanche à faire la fête.

    Je n'ai été captivée que partiellement, même si la relation entre les deux frères est bien mise en valeur et intéressante, peut-être à cause de la violence des rapports humains en jeu.
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