A défaut d'être un chef d’œuvre du septième art, ce film atteint à 100% les objectifs annoncés par le sujet et le casting, une croustillante satire des mœurs de la bourgeoisie parisienne dans le style d'une pièce de boulevard exagérant les traits simplement pour en rire, sur fond de travailleurs pauvres. Les comédiens jouent tous parfaitement les personnages caricaturaux et stéréotypés dont ils sont affublés, les bons sentiments mêlés à l'hypocrisie dans cet immeuble des gens biens rappellent quelque fois Le Père Noêl est une ordure. La deuxième partie du film tourne un peu à vide une fois passée la réquisition surréaliste des logement par un gouvernement de gauche.
1h40 (paraissant largement le double!) de supplice, à partager entre grotesque le plus total, hurlements, hystérie et autre agressions auditives permanentes! Un monumental flop, ne servant visiblement que d'alibi fiscal à tous ses protagonistes!
Donnez plutôt la pièce à un sans abri, ce sera nettement plus utile...
une comédie chorale avec un bien triste sujet social et tellement d'actualité. Ne nous voilons pas la face, nous nous sommes tous un peu reconnu dans les personnages . Serions nous prêts à accueillir des gens chez nous , pas si sûre. J'ai trouvé le film très en rythme avec un casting de premier choix. Pour moi la révélation est l'actrice sandra ZIDANI dans le rôle de la SDF , cette actrice m'a touché et mérite de beaux rôles .
Comédie sympathique à regarder, Karin Viard, quelque soit le film dans lequel elle joue, à toujours sa scène pseudo-érotique, ça devient systématique....................3 étoiles !
L'idée de départ de cette comédie sur la solidarité est intéressante puis fait du surplace, certains dialogues de début sont bons et la distribution fait le boulot, mais le spectateur attend blagues et situations humoristiques qui ne viennent pas et ne récolte que clichés et personnages caricaturaux. Seule Josiane Balasko parvient à faire décrocher quelques rares sourires. Le potentiel était là mais pas suffisament exploité. Dommage...
Amusant, le Grand Partage m'a fait penser au très beau film Les Femmes du 6ème Etage, mais en moins profond et plus stupide. Cependant, ça en reste drôle du coup. Mais il y avait plus de potentiel, les personnages ne sont pas assez creusés pour certains et les gags auraient pu être plus drôle. Mais l'ambiance reste fort sympathique;
Une agréable réalisation d’Alexandra Leclère. Dans un climat de crise sociale, cette comédie traite de la solidarité avec des dialogues caustiques et des scènes souvent drôles et parfois même émouvantes. Ce film bénéficie d’un casting très riche et de bonnes prestations de Karin Viard, Didier Bourdon, Valérie Bonneton et Patrick Chesnais… Le pitch : Suite aux conditions climatiques difficiles de l’hiver parisien, un nouveau décret d’hébergement d’urgence est mis en place. Branlebas de combat chez les bobos du 6éme chez qui la situation va se dégrader. Fuite, conflits ou compassion, passes droits ou magouilles, chacun va réagir à sa façon…
Le pire c'est de lire des critiques positives de ce film! Je ne comprends pas même si je sais que les goûts et les couleurs! Avons nous vu le même film? Sûrement des copains! C'est plat terriblement plat! tristement plat! L'idée de base est bonne le casting de rêve mais alors l'écriture le rythme les chutes ...plats! On attend quelque chose mais cela de vient pas! N'y aller pas n'achetez pas ne le volez pas! Comment peut-on faire un film pareil et surtout comment peut-on le promouvoir? A qui profite le crime ?
Que dire de ce film? Que c'est une grosse nullité,rempli de caricatures avec des acteurs jouant tous très mal, ça n'est pas une comédie, ça n'est pas un drame, pendant tout le film on se demande quand ça va décoller et au final il ne passe rien; on dirait presque un mauvais sketch des Monty Pythons!
Ce film m'a beaucoup fait sourire car il retrace "trait pour trait" celui de mes amis bobos qui n'imaginent pas habiter ailleurs que dans le XVIe... ont leur carte du PS et toujours les mêmes discours écrits et pensés par d'autres MAIS ne supportent pas de côtoyer, de près ou de loin, la populace pour lesquels ils militent. Militantisme tout relatif comme celui que l'on a pu le voir de certains artistes "engagés" qui trouvent toujours toutes les excuses du monde pour ne pas accueillir les indigents chez eux. «je ne veux pas faire peur aux enfants» pour Emmanuelle Béart à qui un journaliste radio avait fait une blague en lui demandant d'héberger dans son 300 m² une famille de sans papiers maliens.... «si nous avions un logement plus grand pour Pierre Arditi et Évelyne Bouix qui nous feraient croire qu'ils habitent un 50 m² sous les toits... Alexandra Leclère n'a vraiment rien inventé. Son film est un constat très juste sur la fourberie humaine et les engagements factices de l'élite sociale prêt à tout pour conserver ses privilèges malgré tant de "beaux" discours aussi consistant que le vent. J'ai beaucoup aimé ce film.
Mon dieu ! quel naufrage, pour un film si prometteur... Un casting très avenant et un scénario intéressant, mais malgré cela Alexandra Leclère, comme dans ses précédents films, à du mal à faire décoller cette comédie, qui du coup file au ras des pâquerettes. Le film dure 1h42min et cela semble une éternité tellement on s'ennuie. Les personnages volontairement ultra-caricaturaux ont du coup vraiment le trait beaucoup trop forcé (j'ai eu l'impression qu'on m'enfilait un gâteau entier dans la bouche en espérant que j'avale tout ça d'une bouchée), ce qui n'aide pas à relever le niveau du film. La seule réussite, c'est la bande-annonce, qui contient les rares gags qui se dégagent de ce grand gâchis. Oubliez donc le film, et visionnez là, cela devrait amplement suffire.
Le film devient très vite une épreuve de force entre notre volonté de regarder l’œuvre d’Alexandra Leclère jusqu’au bout et les assauts répétés de Morphée pour nous éloigner de ce calvaire.
pas aussi nul que veut bien le dire la critique. C'est le genre de film qui vide la tête tout en apportant un amusement gentil et de bons sourires, voire de bons rires. En fait, l'idée de départ est intéressante : remplir les appartements insuffisamment habités. Et la conclusion est aussi intéressante : finalement, on pourrait vivre autrement que la vie nous a obligé. C'est entre les deux que le scénario a capoté.
Comédie relativement médiocre, le scénario, le jeu d'acteurs, les tentatives de situations comiques, ... Tout est moyen et malheureusement Didier Bourdon n'y peut rien. À croire que seul le besoin de surfer sur la vague du social, de la politique simpliste ou encore du clivage primaire gauche/droite a motivé la réalisatrice.