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    The Birth of a Nation
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    154 critiques spectateurs

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    crachou94
    crachou94

    22 abonnés 427 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Un énième film sur la condition des esclaves noirs mais le sujet est très bien abordé.
    Certaines scènes sont très dures mais le sort des esclaves l'était aussi.
    Une interprétation impeccable de tous les comédiens.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Très beau film, assez dure, mais vraiment très bien joué, avec une historie très intéressante qu'il est bon de se rappeler dans ces temps difficiles. Le film se met en place tranquillement pour permettre de réellement s'imprégner des personnages, ce qui permet d'avoir d'autant plus de sensations lorsqu'il bascule.
    Claudine G
    Claudine G

    181 abonnés 485 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Film qui ne laisse pas indifférent, à la fois émouvant de part la vie de ces esclaves, qui malgré des travaux pénibles et asservissants arrivent à rencontrer l'amour et fonder une famille. De plus ce mélange de foi prodigué par Nate afin d'aider ses congénères à l'obéissance et cette envie de révolte au plus profond de tout ce peuple font que l'on est pris dans l'engrenage et ceci dès le début du film. Bien interprété, avec des scènes d'une extrême violence (j'ai fermé les yeux à une scène particulièrement odieuse) dont la réalisation n'a pas dû être simple, ce dernier ne laisse pas indifférent et l'on comprend fort bien que cette dernière enfouie au plus profond de ces êtres humains (car ce sont des humains et non des animaux) puisse éclater quitte à en perdre la vie. Dommage, que d'après notre histoire cela n'a fait que renforcer l'esclavagisme.
    PaulGe G
    PaulGe G

    101 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 janvier 2017
    avec une mise en scène est délibérément lente et linéaire, le jeu des comédiens en est particulièrement intéressant . narration pleine de sang et de violence d'une des premières révoltes de noirs avant le guerre de cessession est une leçon d'histoire. l'Amérique est toujours poursuivi par cette période peu glorieuse. c'est un très grand film qui fait honneur au cinéma américain.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    47 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Très bien, mais je l ai trouvé trop à charge et pas assez nuancé.

    C est plus un sentiment diffus sur l ensemble du film, une impression générale et pas forcément étayée sur un fait ou une scène. C est toute la difficulté de l art, la même chose peut être ressentie différemment selon les jours, les circonstances, l œuvre.

    Cette impression est arrivée au moment du dîner annuel. Alors que jusqu'alors je pensais que film avait de la nuance, Samuel dégoûté par les pratiques des autres exploitations par exemple, il s avère que finalement, dans le film, le blanc est méchant et le noir bon. Cela m a semblé bien trop manichéen.

    Elisabeth : durant la scène où cherry étend le linge, nous est montré comme pas fiable est la seule blanche avec une nuance différente mais qui sert le happy end : cherry s en sort.
    Le jeune noir qui n' est bien sûr pas le lâche opportuniste qu on pourrait penser.

    Au sujet de la prise de Jérusalem, les pierres montrent une préparation. Ce qui se passe juste après, en particulier avec la porte de l eglise me semble totalement incompatible avec ce qui s est passé juste avant dans la cour. Jamais "ils" n auraient laissé faire ce qui s est passé dans la cour, si "ils" avaient eu le moyen de l éviter. Parker, le réalisateur le réalisateur a voulu se faire plaisir en faisant du sensationnel et a discrédité 1h30 de film.
    Ufuk K
    Ufuk K

    472 abonnés 1 406 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    "the birth of nation" longtemps favoris des oscars injustement écarté pour une sombre affaire concernant le réalisateur m'a vraiment retourne l'esprit. Même si le film n'égale pas le chef oeuvre "twelwe years a slave ",celui-ci est tout même poignant,bouleversant et terrifiant sur une sombre page de l'histoire des États Unis avec un nate Parker parfait dans ce rôle.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    166 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 janvier 2017
    L'un des premiers actes révolutionnaires contre l'esclavage aux Etats-Unis méritait bien un film. Le réalisateur, scénariste et acteur Nate Parker le met en images pour nous faire connaitre la prise de conscience et le soulèvement que l'esclave et prêcheur Nat fit pour libérer les esclaves de sa région. Scénaristiquement, le film est bien construit. Il reste très proche de l'écriture classique des biopics mais on se prend au jeu. Visuellement, il est majoritairement très bien filmé, dont des images très poétiques. On regrette le manque d'audace lors de certaines scènes d'actions, surtout vers la fin. Les acteurs sont tous bons. Un bon film sur un acte important qui a conduit au durcissement des lois envers l'esclavage puis à la guerre de sécession.
    Jonathan P
    Jonathan P

    59 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 janvier 2017
    A Sundance dernier, le film a fait grand bruit. Le premier film de Nate Parker jouissait d'un direct to Oscars 2017.

    Puis, vient l'affaire d'une sombre histoire de viol vieille de 17 ans qui a longuement été commenté, si vous souhaitez en savoir plus je vous conseille de vous renseigner par vous même, car en toute franchise même si cette histoire est horrible et triste, je préfère critiquer le film et non la personne et son passé.

    J'en attendais énormément, que ma
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    L'année 2017 commence bien !
    En allant voir "The birth of a nation" le jour de sa sortie, je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre pour le premier film de Nate Parker en tant que réalisateur.
    Et bien je dois avouer que ce film m'a beaucoup plu !
    Tout d'abord pour son fond, le sujet de l'esclavage des afro-américains est un sujet plutôt lourd mais efficace quand il est bien abordé. J'ai trouvé très pertinent de la part de Nate Parker de ne pas diaboliser les blancs mais aussi de ne pas idéaliser les noirs avec certains esclavagistes plutôt "bons" étant donné leur place et certains esclaves mauvais ou en tout cas lâches. La première partie fait aussi référence à la situation actuelle du monde. Des riches qui dominent en laissant des miettes aux pauvres sans totalement les asservir (Toutes proportions gardées évidemment mais je trouve que ça fait pas mal écho à notre époque).
    Au niveau de la réalisation, Nate Parker fait un très bon taff pour un premier film, avec des scènes magnifiques comme celle du baptême ou celle juste après le fouet. J'aime beaucoup la manière dont les corps cachent l'arrière plan pour l'embellir quand on les découvre enfin.
    Ensuite les acteurs sont impeccables, Mention spéciale à Nate Parker qui a un charisme incroyable. Il joue aussi bien la tristesse que le courage. Il m'a parfois fait pensé à Jamie Foxx dans "Django Unchained ce qui est très bon signe. Simplement parfait ! Au passage ça me fait plaisir de revoir Strand de FTWD qui comme à son habitude fait le taff !
    Enfin le scénario est attendu mais fonctionne, on est pas dans un type de film pour lequel on cherche à être surpris. C'est plus le message de fond qui nous intéresse et nous émeut. Quelques facilités scénaristiques mais que l'on pardonne rapidement au vu de la qualité du reste.
    In fine, "The birth of a nation" me fait démarrer mon année cinématographique de manière idéale. Peut être pas un chef d'oeuvre éternel mais très sûrement un des films phares de l'année et nous ne sommes que le 11 Janvier !
    4/5
    selenie
    selenie

    5 515 abonnés 6 034 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Film ayant fait sensation au festival de Sundance 2016. Le scénario prend des libertés et des raccourcis importants.Il y a des très bonnes idées comme insérer des scènes de cérémonie chamanique faisant écho aux fantômes du passé et sur l'importance de la Bible, l'esclave étant aussi prêcheur. Si le film ne réinvente rien avec entre autres un traitement basique pour le genre Nate Parker signe un vrai bon film, bien écrit, qui va à l'essentiel (peut-être trop), un film fort, dur et efficace auquel il manque un peu plus d'émotion et une approche moins "percutante".
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    Basé sur la célèbre révolte de Nat mais trop mièvre, pas de mise en scène, direction d'acteurs inexistante (le réalisateur est aussi l'acteur principal). Aucune scene n'est vraiment crédible.. très loin de l'excellent 12 years a slave.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Très beau film, dans la lignée de 12 years a slave. Belle interprétation de NATE PARKER. Scénario tiré de faits réels bien ficelé, on ne s'ennuie pas un seul instant. A voir absolument.
    guillaume B.
    guillaume B.

    4 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    Seule la photographie sauve ce film du naufrage.
    Les personnages sont caricaturaux au possible et malgré la gravité du sujet traité aucune émotion ne se dégage de ce film sans âme.
    On est loin très loin de "12 years a slave ",s'en est même une version discount à la limite du direct to DVD.
    L'affrontement final entre les deux communautés qui aurait pu être un Bel hommage à la scène d'ouverture de "gang of New-York " finit d'enterrer le film .
    Dire que certains médias prédestinaient ce film a un oscar... j'en rigole encore.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    387 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    Manque de subtilité. Prenez Free State Of Jones et 12 Years A Slave, enlevez l’épaisseur du premier et la dignité du second pour obtenir un The Birth of a Nation d’une lourdeur absolue. Non pas que le message n’en soit pas moins pertinent, surtout à notre époque, mais le réalisateur semble prendre un plaisir, presque malsain, à en remettre des couches à la truelle, rendant le propos indigeste. Et que dire de cette scène où Nate Parker se prend pour le Christ, chemin de croix en prime ? Il y a bien quelque chose de révoltant dans The Birth of a Nation…
    ObiwanagainKennobi
    ObiwanagainKennobi

    7 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    … Euhhhh l’oscar ? Ca va pas être possible … Et maintenant, le plus dur : il va falloir essayer d’oublier …
    Pour sa première réalisation, Nate Parker s’en tire pas si mal ; Pour devenir Tarentino ou Clint Eastwood il faudra travailler pendant les vacances et pas se relâcher au troisième trimestre, mais on a vu des acteurs se prendre plus méchamment les pieds dans le tapis rouge en voulant se placer derrière la caméra. C’est pas mal filmé, la photographie est bonne, le montage est fluide, l’histoire que Parker raconte est peu connue, et méritait de l’être ...
    Malheureusement, on a bien vite la légère impression d’être pris pour des lapins de trois semaines … Côté jeu des acteurs, c’est clairement « La case en moins de l’oncle Tom » ; Les acteurs ne jouent pas vraiment mal, mais sont poussés à un jeu tellement caricaturé (… Zou, on va leur faire çà au hachoir et à la truelle…) que c’en devient risible. Nate Parker est aussi expressif qu’un panda géant, affichant toujours le même regard de petit lapin pris dans des phares de voiture face à chacune des turpitudes de ses abominables geôliers. Les trois quarts du film, Il fait penser à un bisounours découvrant l’esclavage, pas à un homme ayant grandi dedans… Et quand le bisounours finit par décrocher son fusil d’assaut pour faire la misère à la moitié blanche de ce monde … Après son arrestation, le vrai Turner sera décrit comme un homme extrêmement intelligent, un « fanatique qui fera glacer le sang dans les veines » de l’officier qui prendra sa déposition. … Pas comme « Tinkie-Winkie au pays de la vengeance », non, vraiment çà passe pas.
    Les rôles de blancs ne sont pas joués avec plus de nuance, qu’on se rassure, il ne leur manque que le filet de bave leur coulant sur le menton pour exprimer tout le crétinisme sadique qu’on leur connait ... La plupart des rôdeurs de « Walking dead » jouent avec plus de finesse… Bref, devant l’alternance manichéenne entre « très très gentils » et très très méchants » on a rapidement l’impression de voir Parker-le-réalisateur jouer à Jacquouille la fripouille avec son interrupteur « … JOUR !!!! … NUIT !!! ». Et pour que le viol mental soit complet, cà se double d’une musique qu’on a bien compris qu’on devrait la trouver super-émouvante mais que non, désolé, la prochaine fois peut-être, mais là elle devient aussi omniprésente et lourde que les vannes du Tonton Daniel…
    … Et tout a coup, on réalise que pour faire le film de ses rêves, Parker a pris pas mal de libertés avec l’histoire (… Le chenapan…) ; on passe beaucoup de temps sur la femme de Turner et son idylle avec elle, mais on ne sait pas bien s’il a vraiment été marié, et le fils de sa possible femme n’était pas le sien. Une chose est certaine : Turner n’a jamais agi par vengeance d’un hypothétique viol de sa femme. Il était illuminé et se pensait prophète ; il croyait sincèrement recevoir des messages divins, et les décrit très longuement dans ses confessions comme étant à l’origine de ses actes, et sans jamais faire la moindre allusion à sa femme. Ce n’est pas rendre hommage à son histoire – d’activiste ou d’illuminé, sans doute des deux- que de la ramener à une simple histoire de « sérieux t’aurais pas dû, ayé j’chuis colère … ».
    Parker « omet » par ailleurs un autre détail d’importance, le fait que dès le début de leur expédition punitive, Turner avait clairement donné l’instruction d’assassiner les hommes, mais aussi les femmes et les enfants. La première victime de Turner fut d’ailleurs Joseph Travis, sa femme et leurs enfants, Travis dont Parker dira plus tard toujours dans ses confessions « Travis était un maître gentil qui avait toute confiance en moi. Je n’ai jamais eu à me plaindre de ses traitements envers moi ». Ceux qui ont le cœur bien accroché pourront lire le rapport de police du massacre de l’école Waller par la bande Turner : au final, la moitié des victimes de Turner et sa bande auront été des enfants.
    Bon, ayé, j’arrête de faire mon intéressant genre « moi je connais l’histoire ». Pour les autres omissions, libertés prises avec la vérité, mensonges, lire les « confessions de Nat Turner », on y découvrira que 1° J’invente rien, 2° Nat Turner de toute évidence ne faisait pas que lire la bible, il la fumait aussi, et de toute évidence, « …c’était de la bonne ».
    Des détails ? Peut-être, mais de détail omis en mensonges avérés, Parker (Le fripon) nous emmène peu à peu d’un fait historique : « Turner était un illuminé sanguinaire qui n’avait pas toute sa raison» (même si vu ce qu’il a vécu, on peut le comprendre) à « Turner avait ses raisons » et enfin à « Turner avait raison ». A ce rythme là, moi, je peux vous faire un biopic sur Torquemada ou Gilles de Rais sur le mode « … Des mecs sympas qui ont peut-être un peu déconné… » Par les temps qui courent, je suis pas sûr que ce soit une bonne idée de donner des arguments aux intellectuels qui se trouvent des bonnes raisons de soulager leur prochain du fardeau de la vie.
    On peut violer l’histoire, à condition de lui faire de beaux enfants … Là, çà voudrait être épique et très beau mais au final, la seule réflexion profonde qu’inspire ce film est qu’on peut aussi s’emmerder sévère devant une histoire dans laquelle tout n’est pas totalement faux.
    Donc si un soir d’hiver de traquenard télévisuel on vous somme de choisir entre le DVD de « Birth of a nation » ou « Louis la brocante »… Eh ben à vous de voir, perso, j’ai rien contre les vieux meubles, et Victor Lanoux, lui, il joue pas si mal …
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