Derniers Avis : Brice 3 - Page 8

Brice 3 vient s'inscrire dans la lignée de Brice de Nice : même humour potache, mêmes personnages, une histoire convenue mais quelques petites tranches de rire tout de même. Jean Dujardin commence à se faire un peu trop vieux pour ce personnage apparu il y a plus de 15 ans! A noter le clin d'oeil sympa à la bande des Nous c nous, que l'on avait pas vu réunis depuis un paquet de temps.

rarement vu un film aussi nul
une vraie belle DAUBE!!!
à aucun moment je n'ai ri ni même exquissé un sourire!

Je trouve la note General un peu abuse quand vous aller voir Brice 3 vous vous attendez a quoi? Rien Que sur l'affiche le 2 je l'ai casse je repete vous vous attendez a quoi? Se film sens.clairement la nulité et c est completement assumer On le sais Que se film va Etre rempli de blague debile et humour tres limite normalement c est se quon recherche quand on va voir se genre de film surtout quon avait un avant gout avec le 1er tout les criteres de la cretinerie son remplis a voir pour les fans comme moi

A prendre comme un délire, une sorte de cartoon, car on nage dans le potache et l'absurde et les acteurs y vont à fond ! Au passage, ce 3 est bien meilleur que le 1er.

Pas drôle, scénario naze, à la fin je me suis vraiment dit "Quoi ? Déjà ? C'est tout ?" Ce film c'est le sida.

On regarde ce genre de film pour rigoler sans réfléchir mais dans ce cas ne perdez pas votre temps. C'est mauvais, voir très mauvais ! Dujardin peut nous faire de bon films comme les pires navets!

Comme beaucoup, j’étais fan du personnage de Brice de Nice dans les sketchs des années 90 (avant que Jean Dujardin explose grâce à "Un gars Une fille"). Comme beaucoup, également, j’avais été un peu déçu par le film de 2005, qui avait, certes, pas mal de qualités (l’extrapolation du côté "gamin pathétique" de Brice, le personnage de Marius Lacaille, quelques répliques improbables et hilarantes, l’imitation du client à bec de lièvre…) mais, également, un certain nombre de défauts (ah, les pieds en forme de pouce…) que le rendait très inégal. Et, comme beaucoup je pense, je n’attendais pas forcément un come-back de ce bon vieux Brice, surtout 10 ans plus tard et alors que Dujardin s’est hissé à un niveau ne le contraignant pas faire appel aux services de son "clown". Et pourtant, la côte de sympathie de l’acteur et des critiques presque bienveillantes (au moins en partie) m’ont rendu curieux. J’ai, donc, été logiquement puni puisque ce "Brice 3" (et non pas "Brice 2", qu'il a cassé… ce qui est la meilleure vanne du film, c’est dire !) est tout de même très très moyen… Je ne peux presque pas en imputer la responsabilité à James Huth vu que, comme à son habitude, le metteur en scène use et abuse de ces recettes habituelles, au point qu’on ne peut plus être surpris de ses dérives cartoonesques et des écarts de langage grossiers des personnages alors que l’ensemble est censé parler à un jeune public. Il n’en demeure pas moins l’un des responsables que ce qui ressemble, le plus souvent, à un grand n’importe quoi, qui, certes, garde une certaine cohérence à travers le personnage de Brice (toujours aussi "yellow" et fier de l’être) mais qui me parle encore moins que le premier opus. En effet, malgré ses défauts, "Brice de Nice" avait le mérite de s’inscrire dans un univers crédible où le seul élément discordant était Brice (et Marius par la suite), ce qui permettait de jouer sur le décalage existant entre le héros et les gens normaux. Ici, on a l’impression que tout le monde est plus ou moins barré, du nouveau méchant Grégor d’Hosgor (Alban Lenoir) aux adhérents de la plage consacré à Brice en passant par le grotesque Colin de Cogolin (sosie en pire de Brice). Le film s’autorise, ainsi, tout, ce qui, en soi, aurait pu être un parti-pris acceptable… qui plus est justifié par le fait que l’histoire soit racontée par un Brice vieillard (bravo pour le maquillage) à des enfants sceptiques. Mais, là encore, ce qui aurait pu être une bonne idée est gâché par le traitement réservé par James Huth, dont le ton n’est définitivement pas pour moi. Pire, le film tombe dans le piège, qui paraissait pourtant, grossier, à savoir celui de courir après l’illustre passée de son héros. On retrouve, ainsi, des gags qui font terriblement penser au premier opus (il y a même une imitation de bouche !) et des personnages du premier opus (retour de Clovis Cornillac et de Bruno Salomone) sans que ces retours apportent grand-chose... C’est sans doute surestimer de beaucoup la place de Brice de Nice dans l’inconscient collectif actuel et, plus généralement, considérer que le public se contente sans peine de recyclage (ce qui est de moins en moins vrai, surtout en matière de comédie). spoiler: On assiste même à la réunion des Nous’C’Nous (avec les apparitions de Eric Collado, Eric Massot et Emmanuelle Jouclat) lors d’une séquence chantée qui n’est, malheureusement, pas à la hauteur de l’évènement.
Tout n’est pas à jeter dans "Brice 3" et on se prend à sourire devant le jusqu’au-boutisme de Jean Dujardin, qui croit tellement en son personnage qu’il continue à le rendre sympathique (et surtout, qui a le bon goût de ne pas cachetonner bêtement) et devant certaines fulgurances comiques (le "ah d’accord, alors lui que méchant" entre autres). C’est peut pour faire oublier la lourdeur d’autres gags hyper prévisibles (la taille du cerveau de Brice entre autres). Espérons que Dujardin se tournera plutôt vers OSS 117 que Brise la prochaine fois qu’il voudra se faire un trip nostalgique.

Youpi, le plus grand héros de tous les temps est revenu ! Eh oui, Brice de Nice est de retour. Et il casse tout ! Normal, c'est sa spécialité. Grande joie de le retrouver, donc, car il continue ici à nous exploser de rire, grâce à une succession de gags tous plus burlesques et tordants les uns que les autres. Ce que j'ai apprécié dans ces nouvelles aventures, c'est que le réalisateur a repris pas mal de ficelles (ainsi que les trois héros principaux) du premier opus, ce qui contribue à notre plaisir. Après, c'est parfois trop grotesque et souvent trop décousu. Mais cela reste très sympa et l'on rit beaucoup et de bon coeur. Merci mon héros !

Le film serait mieux sans la scene animé et en rajoutant les scenes coupées. Film bien con avec un Brice comme on aime. Bien évidemment ce n'est pas un chef d'oeuvre mais c'est toujours drole a regarder entre amis ou en famille. A regarder en laissant le cerveau de coté !!

L'un des pires films que j'ai vu de ma vie... Aucun intérêt au niveau du scénario. Mais qui l'a écrit ? Aucune émotion, de l'humour bas de gamme et aucune ligne directrice... Jean Dujardin rabaisse son niveau au plus bas. Le plus dur n'est pas d'être au plus haut, c'est d'y rester.

Brice a décidé de casser le volume 2, c'est donc tout naturellement que l'on passe à "Brice 3". Ce personnage écervelé revient sur le devant de la scène après une bonne décennie de vacances ; on espère donc que cette longue pause ou cette soudaine résurrection soit bénéfique... Que nenni ! Inutile de vous dire que cette longue absence n'a pas été vouée à la recherche et l'écriture des vannes, vous vous en rendrez rapidement compte par vous-mêmes. En effet, les blagues et vannes en tout genre (tout comme le scénario, mais là ne sera pas la surprise) seront extrêmement lamentables. Un festival de jeux de mots que même Laurent Ruquier n'oserait pas sortir. Brice à beau avoir réussi ses spots promotionnels (belle blague quant au streaming), il en sera tout autre quant au contenu de cette suite. Les fans nostalgiques des "Nous Ç Nous" (s'il y en a encore) auront le plaisir de voir la troupe réunie sur un bateau, génial non ? En résumé, la bande-annonce et les teasers suffisent amplement. Jean Dujardin était peut-être le seul à ne pas en avoir pris conscience, mais Brice de Nice appartient bel et bien au passé.

Un second volet qui ne manque pas de rythme certes mais un scénario creux sans queue ni tête, un humour qui tombe complètement à plat pour quelques sourires au mieux. Une suite inutile et sans intérêt.

j'adore dujardin mais ici . on a touché le fond .. l'humour ne fonctionne pas . j'espère qu'il n'y aura pas de suite .

Ressusciter le personnage de Brice Agostini dit "Brice de Nice" après une absence de onze ans était un pari risqué. On est en effet désormais très loin pour Jean Dujardin de l'époque de la sitcom "Un gars, une fille" au sortir de laquelle avec l'aide de son ami James Huth, il avait décidé de porter à l'écran les aventures délirantes d'un surfeur d'opérette né de son imagination, n'ayant pratiqué la planche que dans ses rêves où vient le visiter régulièrement la statue du commandeur de Bodhi Salver (Patrick Swayze), le héros de "Point Break", le film culte de Kathryn Bigelow sorti en 1991. En onze ans, le p'tit Jean est devenu Monsieur Dujardin, le seul acteur français oscarisé dans la catégorie reine pour "The artist" (2011). Entre temps il s'était imposé dans l'hexagone comme l'acteur comique numéro un, prenant la suite de José Garcia grâce au personnage d' OSS 117 qu'il avait parodié à deux reprises avec bonheur dans des productions de luxe sous la houlette de Michel Hazanavicius. Depuis 'The artist" et sa pluie de récompenses, son statut ayant changé, Jean Dujardin souvent comparé à Jean-Paul Belmondo a suivi un peu la même voie que José Garcia, choisissant de faire évoluer sa carrière vers des rôles plus sérieux visant à lui façonner un statut de sex-symbol. Le résultat, il faut bien l'avouer n'a guère été convaincant, des films comme "Möbius" (Eric Rochant en 2013) et "La French" (Cédric Jimenez en 2014) brouillant l'image de l'acteur sans lui offrir de nouveaux débouchés. Le bouquet sera atteint avec le kitchissime et ripoliné "Un de plus" de Claude Lelouch qui frise sans rougir le ridicule. En outre, son Oscar ne lui a permis que quelques apparitions dans des seconds rôles très mineurs à Hollywood ("Le loup de Wall Street" de Martin Scorsese en 2013, "Monuments men" de George Clooney en 2014) qui ont laissé moins de trace que sa présence dans une publicité pour une célèbre marque de café auprès de George Clooney. Autant dire que l'atterrissage n'a pas été simple même si Jean Dujardin jouit toujours d'une forte cote d'amour dans sa patrie d'origine. Comme José Garcia, il lui fallait donc se résoudre à retourner à ce qu'il sait faire de mieux, faire rire . Mais se parer à nouveau à près de 45 ans de la perruque blonde de Brice de Nice pouvait s'avérer être une mise à l'eau un peu brusque. On craignait donc le pire, d'autant plus que l'opus original malgré son succès avait beaucoup clivé à sa sortie. Mais c'était oublier que Brice de Nice est Jean Dujardin et réciproquement. Aucun changement à l'horizon pour le plus grand bonheur des fans, Brice est toujours aussi naïvement méchant et le passage du temps n'a en rien altéré son entrain "à casser". On peut même parler d'un véritable exploit réussi par Huth et Dujardin tellement réaliser une suite paraissait déjà improbable en 2005. Les deux compères ont évité l'écueil en passant directement à Brice 3 sous-titré "...parce que le 2 je l'ai cassé". On pourra préférer la première partie du film, plus intimiste où Brice nous rappelle avec bonheur sa véritable nature et nous invite à la redécouverte de son environnement baroque au bord de la petite plage de Nice entièrement dédiée à ses petites manies autocentrées. En effet le retour de Marius de Fréjus (Clovis Cornillac) sur une plage d'Hawaï où sévit un sosie de Brice devenu gourou despotique des lieux s'avère un peu moins réussi malgré l'analogie bien trouvée avec la fameuse Skull Island de King Kong. Le tout nous est narré par un Brice cacochyme qui comme l'indien centenaire joué par Dustin Hoffman dans "Little Big Man" (Arthur Penn en 1970) ne prend pas beaucoup de gants avec la réalité historique de sa vie pour épater les vilains petits garnements qu'il a bien du mal à convaincre. Ceux qui sont tombés sous le charme de "Brice de Nice" en 2005 seront à nouveau séduits n'en déplaise aux nombreux critiques qui ont vilipendé le film. Ces mêmes critiques ont bizarrement été beaucoup moins sévères avec des films comme les "Tuche 1 et 2 " ou "Papa ou maman 1 et 2" qui en plus d'être moins originaux tentent de nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Bravo Monsieur Dujardin, comme José Garcia n'était pas De Niro ou Al Pacino, vous n'êtes pas Jean-Paul Belmondo ou Alain Delon mais tout simplement Jean Dujardin, un grand acteur comique. Ravi de vous retrouver !

Pourquoi 5 étoiles ?
Parce que ce film était exactement ce que je m'attendais à voir : un brice de nice mais en plus travaillé en plus wtf.
En direct dans la lignée des Rrrrrrrr et autres comédies française bidesques mais qui se laissent regarder avec une bonne bouteille et des amis barrés, Brice 3 a le mérite de s'assumer et ça c'est beau.
(je lui aurais mis 3, mais pour les deux dernières minutes de film ce chef d'oeuvre vaut 5). allez le voir et faites vous un opinion mais si vous êtes entre pote ça ne peut qu'aller bien !