Derniers Avis : X-Men: Dark Phoenix - Page 13

C'est l'un des films les plus inaboutis avec X-men 3, dommage de finir sur une histoire aussi peu travaillée avec une intrigue aussi simpliste. Les dialogues sont d'une vacuité abyssale, des personnages à la ramasse. Grosse déception donc, même si je n'en attendais pas grand chose.

Intrigue sans intérêt, le casting est aux fraises et Sophie Turner ne vaut pas un clou, je ne sais pas ce que les gens lui trouve...
Jennifer Lawrence le seul bon moment c'est vers la mi film, vous comprendrez.
Cyclope est risible, le seul qui est bon c'est magnéto mais c'est aussi un figurant

Un film à effet spéciaux uniquement, l’histoire de « Jean » est très simpliste tout comme le film en fait. Dommage car les Xmen le commencent et day of the futur past était simplement excellent.
Ce film ne vaut pas le détour l’un des plus mauvais de la série Xmen.

Très déçu par ce film sûrement le pire x-men. Beaucoup de scène longue. Peu ou même pas de moment intéressant. Le seul plus du film Evan Peters que j’aime beaucoup.

Une licence surexploitée qui n'apporte rien de neuf....Il serait temps de passer à autre chose .. Après, j'imagine que si les suites s'enchaînent, c'est que le public répond présent.

Sophie Turner mange le big bang et se bat contre des extraterrestres mi humanoïdes mi arbres.

Franchement à éviter

Heureusement qu'ils s’arrêtent! Ce film est pathétique, sans aucune cohérence avec les autres films de la saga. On est déçu du début à la fin et le personnage principal, Jean Grey, manque cruellement de charisme, interprété par une actrice qui manque cruellement de talent. Dommage, grosse déception !

Que c'est long, ennuyeux, aucune émotion ressenti, des nouveaux méchants très mal exploité, une jean grey fade, j'avais envie qu'elle meure pour finir le film plus vite.
Enfin cette franchise est fini. Ouf. Dire qu'il plus adulte? Plus sombre? Plus nul oui, inconsistant oui

Pâle conclusion de saga, X-Men : Dark Phoenix se revendique d’une esthétique noire, obscurcie par la difficulté avec laquelle les mutants gèrent leurs pouvoirs et les traumatismes que ces derniers exacerbent en eux. Ce faisant, il se place dans la veine actuelle des héros crépusculaires, dont la cape se tache d’un sang souvent familier. Le souci pourtant, c’est que le présent film ne possède pas la radicalité d’un BrightBurn et paraît jouer avec le feu sans prendre le risque de ternir les personnages au contact de ses flammes. Introduire un antagoniste extérieur détruit la puissance qu’aurait eu une fracture strictement interne à la famille des X-Men : l’intrigue prend aussitôt place dans le petit train que nous ne connaissons que trop bien avec ses mêmes accélérations, ses mêmes pauses, sa même explosion finale. Pour incarner ce redoutable adversaire, une Jessica Chastain albinos assez ridicule qui erre dans le métrage à la recherche de sens ; elle s’ennuie beaucoup, et la faute n’est pas à rejeter sur elle. Car le problème vient principalement du scénario qui tente, tant bien que mal, de rassembler les grandes figures de la saga en deux heures montre en main : puisqu’il faut une place pour chacun, les interactions avec Jean Grey s’apparentent souvent à un défilé de postures figées censées mettre en avant l’acteur et le protagoniste qu’il incarne. La démarche est nostalgique : rappeler à soi les anciens, leur offrir un dernier tour de piste avant le vestiaire. Dans cette approche unitaire des X-Men, la cohésion et l’esprit de groupe (ou de famille) disparaissent, les enjeux individuels écrasent les retombées politiques des actions déployées, exception faite de la première partie – la plus pertinente d’ailleurs – où Charles Xavier n’a de cesse de nourrir une diplomatie avec le gouvernement. Le voilà, le personnage le plus passionnant de X-Men : Dark Phoenix : le professeur Xavier, dont la réputation jusqu’alors idéale se voit intelligemment remise en question. Hans Zimmer compose une brume sonore où l’instabilité rencontre l’épique dans ce qu’il a de plus formaté. Manque une inventivité, manque une vision artistique qui, seules, auraient élevé cette conclusion au rang de spectacle digne d’un First Class ou d’un Day of the Future Past. Un phœnix pas déplaisant mais qui, par ses semelles de plomb, reste cloué au sol.

Le début est intéressant mais le problème est qu'il y a énormément d'incohérences. Marvel a, pour une fois, fait du grand n'importe quoi.
Que ce soit pour le lieu où la maison de Jean ce trouve, ou encore pour la mort d'un des personnages important que l'on retrouve dans les autres X-Men qui, normalement, ce passe après cet épisode.

Bon,ils ont réussi ,rien ne va on s'ennuis ferme ,les personnages sont fade et sans saveur,même les images sont laides.Des acteurs qui d'habitude sont plutôt bon là deviennent médiocre si ce n'est grotesque.

De l'action et des effets spéciaux. Ce n'est pas l'épisode du siècle mais ça ne mérite pas les critiques négatives que j'ai pu lire. Quelques libertés avec le destin et la mort de certains personnages (ça va être compliqué d'intégrer ça au MCU).
En résumé, un bon divertissement.

C'est en 2000 que les studios 20th Century Fox débutent la franchise “X-Men”. Douze épisodes plus tard, il est temps de conclure la saga suite au rachat de la Fox par Disney. En effet, les héros mutants vont être intégrés à l'Univers cinématographique Marvel et avoir droit de ce fait, à un reboot.Dans cet ultime volet, Jean Grey frôle la mort frappée par une force cosmique lors d'une mission de sauvetage dans l'espace. Au lieu de mourir, la jeune mutante devient encore plus puissante et a du mal à maîtriser ses nouveaux pouvoirs. Ses proches vont devoir s'unir et se battre contre leur amie devenue incontrôlable. Flop au box-office, ce dernier “X-Men” est une déception due à une écriture sans cesse reprise et un tournage calamiteux. Le film tient néanmoins la route grâce à des comédiens qui souhaitent tirer leur révérence avec honneur et des effets spéciaux intéressants. L'histoire a malheureusement déjà été racontée en 2006 avec “L'affrontement final”. “X-Men : Dark Phoenix” essuie ses plaies comme il peut, mais le résultat est loin d'être épique pour une saga engagée 19 ans plus tôt.
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Un bon xmen, peu de nouveautés, scenario peu inspiré....
Mais divertissant, on s'ennuie pas...
Par contre, seul bemol, comme dans Captain Marvel, on fini avec un combat de divin. Limite invulnerable notre heroine mutante ( spoiler: genre la lance a la fin qui l'a traverse ne lui fait plus rien

Ils ont tellement fait de Marvel , xmen etc. qu'il faut toujours faire plus impressionnant et des pouvoirs toujours plus fort a chaque fois. Mais la, on peut difficilement faire plus...Le combat des dieux (wonderwoomanou/superman/captain Marvel), ou ils sont invulnerables gachent un peu le suspence... comment tuer un immortel ? ...( en plus phoenix renait de ses cendres) . Combatre quelqu'un d'immortel n'a aucune interet...

Completement perdu dans la chronologie de la saga. spoiler: Dans certains opus on voit Mystique avec le Pr Xavier et Magneto qui sont âgés et Logan. Ici elle meurt alors qu'ils sont jeunes. Jean c'est pareil, elle devient Dark Phoenix jeune et disparait alors qu'elle n'est pas comme ça adulte et qu'elle est avec Logan. On a ici ajouté des extra-terrestres obsolètes, ça part dans tous les sens
.Tout comme dans Spiderman, il y a des incohérences d'un scénariste à l'autre, même quand on retrouve les mêmes acteurs. Stan Lee est parti, les Studios Disney mettent leurs grosses pattes partout et tout devient infantile ou sans queue ni tête.