Derniers Avis : X-Men: Dark Phoenix - Page 14

La saga X men ne représente pas grand chose chez moi. Reste une première trilogie qui n'a fait que décliner en terme de qualité, des épisodes Wolverine oubliables, et un reboot de la saga avec un Commencement assez bon et le retour du déclin avec ses suites.
Donc en gros, une succession de déception qui n'a fait que s'accentuer, avec en plus un sentiment de détachement vis à vis de ses protagonistes.
Donc on suit ici le personnage apparemment le plus craqué de cet univers, à savoir Jean Grey, qui après avoir été confrontée a un gros shoot de pouvoirs, se retrouve à péter la gueule à tout le monde sinon il n'y aurait pas de film.
Interprété par l'actrice qui possède le charisme d'une tortue sous calmant, Sophie Turner... Jean Grey va retourner sa veste constamment avec des motivations discutables.
L'écriture du personnage est étrange et je n'ai pas compris cette prise de position qui est dans l'indécision permanente.
Les autres personnages sont en free style, la faute eu scénario et à la réalisation en dents de scie.
Certains effets spéciaux sont ratés, d'autres sont assez bons.
On sent que certains acteurs sont venus pour clôturer cette saga, notamment Jennifer Lawrence qui ne fait aucun effort.
Reste tout de même deux belles scènes, les deux où les X s'affrontent entre eux et avec les envahisseurs.
Un peu faible pour un film de cette envergure et un peu faible pour la prétention de cette saga. Dommage pour certains acteurs (Fassbender et Mc Avoy) qui avaient réussi à insuffler un renouveau agréable à la licence, mais qui au final et en regardant l'ensemble, ressemble à un joli pétard mouillé.

Franchement jai été agréablement surpris !

Ambiance sombre tourmentée, musique captivante, belle photographie, bon effets spéciaux bien intégrés dans des décors réels où il faut, en évitant la surenchère.

Le scénario est "simple" (mais parfois comme dans la vie donc réel donc pour moi no problem).

Le choix de l actrice principale au début m'a un peu rebuté physiquement (sais pas pourquoi) mais après...

Franchement par rapport au dernier Advengers avec des effets spéciaux de OUF, et bien ce Dakphoenix ça m'a plus captivé émotionnellement.

qualité d'un téléfilm, ils sont entrain de tuer les xmens. le changement de Jane grey par la petite de game of throne n'ai pas crédible . vraiment très très moyen et scénario déja vu

Ah pardon c'est un film X men ce truc meme L'affrontement final était mieux
Le film n'est pas canon avec les autre autant COMPLETEMENT réécricre l'histoire de jean écrite dans les autre film un protagoniste sans interets un film mauvais...

Ce nouvel épisode était attendu au tournant et le voilà. Une grosse déception pour tout les fans de la franchise cinématographique. Le rachat de la Fox par Disney a fait des dégâts dans la production de cet épisode et c'est la raison pour laquelle, le film a mis beaucoup de temps à sortir dans les salles. Mickey a pris tout son temps pour re-shooter l'intrigue et le montage. Et voilà le résultat ! Si le film réussit la transformation de Jean Grey en Phoenix, le film ne tiens pas toutes ses promesses. L'acte final n'a rien de surprenant et aurait mériter une rallonge supplémentaire. Le rôle tenue par Jessica Chastain est finalement un cliché très fatigant : zéro hype. Le reste de sa troupe est très peu intéressantes. Une fresque spectaculaire, aux effets-spéciaux impressionnants, mieux traité que " L'affrontement Final ", mais les enjeux ne sont pas bien exploiter qui nous laisse malheureusement sur notre faim. Le film n'est pas mauvais. Il reste un sympathique divertissement avec son début haletant très impressionnants mais il reste est juste bancale On retiendra que James McAvoy et Michael Fassbender sont toujours parfait dans leurs personnages respectifs et leurs évolutions apportent un petit plus au film.

X-MEN : DARK PHOENIX est avant tout l'histoire de jean GREY, cette fillette qui a causé la mort de sa mère à cause de ses pouvoirs qu'elle ne maîtrisait pas et qui ensuite été recueillie par Charles XAVIER. Et de manière plus générale, le film nous fait découvrir les soucis d'ego de Charles Xavier, la popularité grandissante des X-Men, l'isolement de la bande à Magneto sur une île et bien entendu les angoisses de Jean Grey, qui vont dégénérer. J'ai vu que les notes étaient faibles et les critiques plutôt négatives, et j'avoue que j'ai du mal à les comprendre. Pour ma part, je trouve qu'il n'est ni pire ni mieux que les autres X-Men. Les scènes d'actions sont au rendez-vous, notamment toute l'attaque du train vers la fin qui envoie quand même du lourd. Rien à dire sur les effets spéciaux, qui sont excellents. Je n'ai pas relevé de temps mort, le film est bien rythmé et ne s'embarrasse pas de scènes superflues, ce qui est un atout pour ce genre de film. Alors évidemment, il n'y a pas que du bon. Tout d'abord, je m'interroge sur la mort de certains X-men qui sont pourtant des personnages principaux dans le futur... Pour assurer la cohérence de la saga, ils sont censé ressusciter... ou alors on se fout de la cohérence. Je ne sais pas, on verra ce que nous réservent les réalisateurs et les scénaristes dans les prochains épisodes mais la mort la plus troublante est bien évidemment celle de spoiler: Raven
. De plus, je me dis que les puristes regrettent probablement l'intrusion d'extra-terrestres (qu'on nous présente assez mal par ailleurs) dans l'histoire, mais c'est ce qui va permettre de nous offrir, d'une part, une réunification des mutants contre l'ennemi commun et, d'autre part, un "combat des boss" entre Jean et la chef des extra-terrestres. Personnellement, ça ne me dérange pas, ce qui explique que j'ai bien apprécié ce film.

S'ennuyer dans un film Marvel n'est pas évident. Pourtant c'est le cas dans Dark Phoenix.
Une histoire de deux heures qui ne captive pas, n'accroche pas. Même les acteurs sont mous. Sophie Turner est une jolie actrice, mais cela ne suffit pas, elle joue le même jeu que celui dans GOT ; on a l'impression de voir le personnage de Sansa Stark.
A part les effets spéciaux je n'ai rien apprécié.

Le pire des X-men. Un scénario bidon, des mechants pas crédible, on s'ennuie ferme avec des dialogues et des scènes de bagarre sans intérêt

X-MEN : Dark Phoenix : une transmutation féministe électrisante ?

X-Men: Dark Phoenix à l'origine nous devait plein de merveilles!, mais la brutalité dans l'exécution a rendu l'oeuvre un peu fade. Mais en y voyant plus clair, si on regarde le tout avec une certaine indulgence (abstraction faite de ses quelques défauts) on passe néanmoins un bon moment.
La mythologie des X-Men semble totalement changer de direction: elle emprunte un chemin de pensée jusqu'ici inexplorée, que l'on identifierait volontiers à un genre de féminisme criard, hasardeux!, autoritaire. Mais peut-on dire que cette Saga ne convainc plus? En tout cas ce nouveau opus semble ne pas être très apprécié ni par la critique populaire, et ni par le grand publique en sus de l'échec cuisant de son précédent opus X-Men: Apocalypse.

Cet esprit de synthèse enfermé dans un vocabulaire stéréotypé semble prendre une propension inutilement démesurée. Sans jamais passé à l'acte, il jette l'anathème sur le genre masculin en commençant par relever les failles de l'autorité patriarcale qui doit littéralement céder le pouvoir et l'autorité à la gent féminine. Dans une série de confrontation décérébrée, et sexiste: elle débute par une opposition idéologique franche entre Mystique et le Professeur Xavier, accusant ce dernier d'avoir mis en danger la vie des autres mutants lors de la mission de sauvetage d'astronautes de la NASA: un feu vert donné par le président de la république des Etats-Unis à Charles qui trouvait dans cette mission une opportunité de consolider les liens en ces périodes houleuses ou la coexistence entre Humains et Mutants peine à se faire valoir. Mystique entend par là! que les décisions prises lors de cette mission de sauvetage par Charles sont totalement discutables! parce qu'elles auraient mis en péril les principes sacrés des X-Men, que le professeur Xavier voulait s'attirer les bonnes grâces du président des Etats-Unis, en vertu de la gloire, de la domination et de l'assujettissement du genre féminin qui veut dorénavant prendre le contrôle du pouvoir sur les hommes.

Au fond tout porte à croire que X-Men: Dark Phoenix se lance dans une entreprise féministe qui relativise les bases du système patriarcal ''oppressive de la femme'' en convoquant en son centre la paternité en la personne du professeur Charles Xavier dans une tribulation qui l'oppose au portrait tout feu tout flamme d’une super-héroïne vengeresse (alias Dark Phoenix) devenue incontrôlable. Mystique quant à elle dans sa figure de style reflète l'image de la femme autoritaire, cette femme en quête d'indépendance, cette femme qui a mûrit: celle qui veut briser le carcan patriarcal en s'opposant constemment aux choix arbitraires de Charles (en sus d'avoir caché des vérités à Jean sur son passé) : elle veut s'affirmer en tant que femme libre, en tant que femme autonome, plus précisément celle qui veut s'échapper de l'ombre de la domination idéologique masculine. Un choix politique ambitieux! en réaction de la vague féministe qui secoue Hollywood depuis l'affaire Weinstein.

Hélas ce fût pas la finale espérée, cela ne devait pas se terminer ainsi... Cela ne devait pas se terminer avec si peu d'émotion, et si peu de sens. X-Men Dark Phoenix n'arrive pas à séduire quoi qu'il fasse de ses intentions: il échoue à combler le vide scénaristique dont l'intrigue principale semble se perdre dans un univers qui n'arrive plus à concilier ses choix: on a du mal à discerner s'il s'agit d'une histoire d'origine ou d'une finale de la saga, mais c'est sûrement une finale chaotique, et sombre... plus sombre qu'un Avengers: Endgame.

Mais néanmoins X-Men: Dark Phoenix réussit à tous les sens du terme sa mue féministe en mettant en perspective la situation féminine dans le cadre du modèle patriarcal. La métaphore du pouvoir du Dark Phoenix est un choix astucieux! parce qu'il met l'accent sur une certaine spécificité du prétendu pouvoir féminin longtemps mis en branle par la gent masculine par une forme de castration à affection interne et externe qui anesthésie la volonté féminine condamnée à incarner cette figure assujettit et prisonnière des considérations patriarcales trop protectrices. Et la femme quant à elle est impuissante, et tente à se faire valoir de ses droits et de ses principes. Une métaphore parfaitement illustrée par la mythologie X-Men quand Charles Xavier - pour des mesures de sécurité - décide d'ériger des barrières dans l'inconscient de Jean pour la préserver elle et des autres du pouvoir dévastateur du phoenix qu'il perçoit comme un danger. En éliminant provisoirement de sa mémoire toute trace de souvenir désagréable qui pourrait l'affecter soit directement ou indirectement. Bref une façon de canaliser (limiter) ce trop plein de pouvoir incontrôlable à un processus latent qui stabilise ses capacités psychiques qui partent malheureusement en vrille quand elle fût accidentellement toucher par un pouvoir cosmique dans cette mission de sauvetage où elle devient victime d'une force incommensurable, faisant d'elle une figure super-héroïque vengeresse en quête de sens et de responsabilité. Mais comme le dit la célèbre formule: ''un grand pouvoir implique de grandes responsabilités''. Et c'est à Jean de faire ce choix en commençant d'abord par distinguer ses ami(e)s de ses ennemi(e)s.

Bien qu'il soit axé sur le pendant féministe post-Weinstein: cet épisode ne semble pas pour autant abandonner son concept d'origine dans lequel la mythologie X-Men fût elle-même bâtit. Simmon Kinberg dans un soucis de préserver au fond l'esprit de cette saga, renvoie ceci à un choix idéologique et universel (toujours en effervescence) centré sur deux concepts fondamentaux d'une philosophie occidentale de l'Être et du Devenir: en convoquant au passage une forme de réflexion (non moins révolutionnaire) qui aura le courage de s'interroger sur le destin et les responsabilités féminines (en remettant en question l'autorité patriarcale), dans un monde où la liberté de la femme se retrouve cloisonner par des barrières morales (inventées de toute pièce par des simples d'esprits), l'empêchant de prendre son envol, que le pouvoir du phœnix illustre très bien.

Enfin X-Men: Dark Phoenix brille par son duo improbable Professeur X/Magneto (campé par un James McAvoy et un Michael Fassbender toujours aussi excellent l'un comme l'autre) qui forment l'esprit et le corps de cette saga. Et si cette dernière ressemblait à un organisme qui brille par le talent de ses protagonistes, Jean en serait parfaitement le cœur.
Et Malgré une prestation de Jessica Chastain (au style gothique) qui bat en retraite, cette dernière parvient néanmoins à insuffler une touche de fantaisie horrifique à cette saga plus sombre que d'habitude.

Les goûts et les couleurs.
Quelle n'a pas été ma surprise quand j'ai vu les notes de ce X-Men.
Je l'ai, pour ma part, trouvé absolument fantastique, j'ai passé un vrai moment de cinéma.
Le scénario n'est pas sans défauts, c'est sûr, mais voilà :
- La photographie est sublime, l'étalonnage des couleurs, la lumière, les plans...
- La musique de Hans Zimmer est... Extraordinaire, elle colle à chaque séquence, douce et discrète quand il le faut, intense quand l'action décolle.
J'ai vu tous les X-Men et c'est de loin mon préféré.
J'aimerais tellement que plus de productions à très gros budget puissent être aussi sombres. Encore !

Mon âme charitable aurait tendance à sauver le premier quart d’heure dans l’espace, pour ce qui est du reste c’est d’une platitude assez déconcertante, rien qu’en terme d’enjeux c’est très très faible, les personnages ne semblent jamais sortir de l’ombre face à l’éclairage donné à Jean, tiraillée sans grande dramaturgie, tout cela sonne trop facile et surtout jamais intéressant, le dénouement est complètement nul, et puis la scène finale est grotesque, c’est ça qui censé clôturer la saga ? Rude. L’impression d’un volet expédié en deux temps trois mouvements, comme pour se débarrasser des X-Men, étrange désastre.

J'ai trouvé que cet épisode était l'un des meilleurs de la saga, n'en déplaise au détracteurs. Il était plus axé que les précédents sur les émotions et les sentiments des personnages. J'ai trouvé également les scènes de combat magnifiques.

Le début est un peu tirée par les cheveux mais heureusement la suite est bien plus crédible et accrocheuse.
On est ensuite pris par le scénario.

Un scénario peut inspiré, une réalisation quelconque et des dialogues ridicules.
Vraissemblablement le pire X-Men de toute la série, il n'y a rien pour rattraper quoi que ce soit. Mêmes les acteurs sont mauvais. Le point positif : à côté, Apocalypse est pas si mal. C'est pour dire la catastrophe.

Tout ce qu'il ne faut pas faire avec les X men est la dedans. 100% décevant, jeux d'acteur inclus. A garder : peut être les effets spéciaux.