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Laurence N.
49 abonnés
39 critiques
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2,5
Publiée le 31 décembre 2019
Lecture mitigée de cette rencontre entre 2 dépressifs à l'autre bout de l'espace, qui n'ont de fait, absolument rien à se dire. Et c'est pourtant ce que l'on attend tout le long du film, à force de contemplation d'un néant à peine inventif, et poussif dans sa narration. Ne peut décemment pas rester dans l'histoire, faute à un scénario qui rivalise avec la taille d'un confetti. Ca ne m'a pas empêché d'éprouver un certain plaisir devant un esthétisme parfaitement réussi et un rythme lent qui pousse à la curiosité. Les 20 dernières minutes n'en sont que plus ratées.
Le personnage de Tommy Lee Jones dit à un moment donné qu’il "reçoit l’énergie de tous" pour accomplir sa mission. Je ne peux pas en dire autant, n’ayant absolument rien ressenti devant ce prétentieux film de James Gray. Techniquement, « Ad Astra » est bien fait mais cette quête personnelle et les questionnements qui vont avec sont tellement assommants, qu’ils proscrivent tout approfondissement.
J'en suis à 59 mn et je m'efforce d'avancer tant bien que mal depuis un jour, c'est catastrophique de devoir se forcer car j'aime aller au bout des choses même lorsque je regarde un film. Brad Pitt est mou ou est-ce le scénario ? Des acteurs aux abonnés absents, tout est flou, on s'y perd, à part les images et effets spéciaux, ça manque de piment, déçue....
Un scénario décousu, des scènes dont on se demande l'utilité car complètement déconnectées du thème principal. Des scène d'action ou de suspence sans lien aucun avec l'histoire et sans explication sur le pourquoi. Quand on voit les critiques presse et certains avis à 5 étoiles, on se dit que la drogue de certains doit être de la bonne came.
Film critiqué car la campagne de communication le fait passer pour un film d'action. Or c'est un voyage. une rétrospective sur le sens de la vie humaine. Visuellement c'est une claque. Très bonne découverte. Et Brad Pitt a enfilé ce rôle comme un gant.
Je me fesai une joie de voir ce film... Mon dieu quel supplice !!! Tout est lent, plat, sans intérêt aucun, les personnages sont antipathiques, pas du tout attachants, le tout est bourré d'incohérences incroyables... Genre il met 79 jours pour aller de mars à Saturne, il s'installe une sonde pour la nourriture pour ce long voyage, par contre le retour il le fait "évanoui" dans son scaphandre et se réveille sur terre... Sans être sondé pour la bouffe... Donc il a passé 79 jours sans manger et sans boire pour le voyage retour... Bravo !!! Et il atterrit sur terre ??? Mais pourquoi ??? Puisqu'à l'aller il a fallu s'arrêter sur la lune, puis sur mars, pour rejoindre saturne...bref... Complètement incohérent... Et alors sa traversée de la ceinture d'astéroïdes en scaphandre protégé par un vulgaire morceau de tôle... Juste risible 🤣🤣🤣 bref... Passez votre chemin... C'est une daube intergalactique !!!!!
Étant fan de SF et d'astronomie, AD Astra et pour moi un excellent film de SF il m'est en avant un astronaute solitaire qui à dû mal à s'attacher au gens et Brad Pitt est vraiment parfait dans se rôle, le réalisateur James Gray nous fais découvrir des côtés plus philosophique de l'exploration de l'espace lointain, qui se déroule d'ailleurs dans un futur proche, les photographies sont parfaites, les musique excellente, même si le scénario laisse à désirer, et il ne conviendra sûrement pas au amateur de SF, il peut paraître long dans sa réalisation mais il ne perd pas de son intérêt, j'ai pris du plaisir à le regarder.
J'ai trouvé ce film inconsistant sur tous les plans. Tout d'abord le scénario que j'ai trouvé fade, pauvre et lent. Traité le sens de la vie et de la solitude intérieure au travers de quelques scènes d'introspection ne m'a pas convaincu faute d'intensité émotionnelle. D'autre part, j'ai relevé un nombre non négligeable d'incohérences voire d'absurdités dans le contenu du film et qui m'ont déçu dans le traitement du sujet. Le jeu des acteurs est, quant à lui, également très très 'léger'; les protagonistes interprètent leur rôle sans conviction ni épaisseur. Concernant la photographie, mises à part quelques images intéressantes, rien de quoi 'casser une patte à un canard'. Pour moi, il s'agit d'un des moins bons films d'anticipation vu depuis très longtemps.
Les images et la reconstitution de l'espace et des fusées sont extrêmement bien faites et très pointues ! Cependant on s'ennuie ferme dans ce film qui comme le héros ne fait pas beaucoup monter le palpitant. J'attendais plus. Je suis déçu.
Ad Astra est un voyage vers Jupiter, Ζεύς πατὴρ ou Dyaus Pitar – le « Ciel père », celui qui gouverne le ciel et tout le vivant. C’est l’histoire d’un fils, qui à l’instar de Télémaque à qui Athéna annonce que Ulysse est en vie, entreprend un voyage, non pas pour trouver le sens de la vie, ou une autre vie dans le Cosmos, mais pour retrouver son père, donner du sens à son abandon et atteindre la résilience, en d'autres termes : couper le cordon pour lier des relations plus saines.
J'ai perdu 2 heures de ma vie. Film vide sans intérêt. Rien n'est exploité a part une psychanalyse écrite sur 3 lignes. Je cherche pourtant toujours les points positifs et ne critique que rarement. Jusqu'à la dernière seconde j'ai attendu et puis rien. Pourquoi Brad Pitt nous à produit cela... Sa réputation en prend un coup. Passez votre chemin.
Je ne comprend pas la note élevée qu'on a attribué à cette chose. je m'attendais à un film de science fiction avec des effets époustouflants mais tout ce que j'ai trouvé c'est une histoire sur une psychanalyse d'un fils dont le père à déserté ses responsabilités. Pour qu'un film de sf me plaise , le scénario doit être crédible ici ,beaucoup de choses ont été bâclées.
Notamment la scène sur la lune qui est censée se dérouler dans le futur et dont les véhicules lunaires ressemblaient à ceux de la mission Appolo des années 70 . là ou j'ai compris que je venais de me faire avoir par ce navet c'est lors de la scène ou Brad Pitt monte sur l'antenne du vaisseau de son père et y démonte un panneau pour s'en servir comme bouclier ou planche de surf en s’élançant tel superman qui traverse les anneaux de Neptune.
Je pense sincèrement que le réalisateur n'a jamais vu un film de science fiction. Brad Pitt est tombé bien bas pour avoir associé son nom à un tel désastre cinématographique
Une nullité interstellaire, scénario léger, pas de jeu d'acteur, une fin bidon, ce n'est que pour du fric sur le dos des débiles qui veulent voir brad pitt. Quand je vois comment la presse l'a notée il y a de quoi se poser des questions sur leur compétence, ceux qui l'ont vu ont confirmé sa nullité !!!!
(NB: Catégorie: Espace à question métaphysique Si vous aimez : ce style) "Ad Astra" est une oeuvre psychanalytique, psychologique et sociétale. James Gray y pourvoit des thèmes déjà visités autrement dans sa filmographie et tente d'y attacher les formes dans un contexte qu'il ne fréquente habituellement pas. La fresque spatiale est un symbole, un outil servant à accentuer les traits de ses personnages. Le cloisonnement, la solitude, la réussite, la performance, le désir de contrôle, la "soumission" et le lâcher prise qui sont ses fils conducteurs de cette oeuvre lente et étrangement très peu contemplative. Gray choisis plutôt les huis clos et et les grands espaces sont suffisamment rares pour souligner un parti pris. Et à ce titre on peut émettre des réserves quant au traitement, tout comme l'utilisation de la voix off qui n'apparaît pas toujours comme le choix le plus judicieux, d'autant si elle provoque des ruptures rythmiques et narratives. La voix off est un choix de conte narratif, cependant ici, l'histoire n'atteint jamais cette dimension de conte et ces interventions explicatives viennent appauvrir l'éventuel propos, plutôt que de nourrir un imaginaire plus approprié. On comprend pourtant que ce choix est l'option pour orienter le spectateur et lui faire mieux comprendre les enjeux et les réflexions d'un être déchiré mais dissimulateur de ses émotions et pauvre en communication. Les évaluations et les flashbacks sont les autres outils pour décortiquer le personnage incarné par Brad Pitt. Mais quitte à le répéter, ce quoi choix coupe la route de l'imaginaire, aussi sommes nous sur une oeuvre très peu lyrique et peu poétique. A noter également que l'absence de figure maternelle accentue clairement l'entonnoir des explorations existentielles. A travers des scènes notoires et symboliques, opposant l'animalité à l'humanité, l'importance de l'idée de mission et de réussite au détriment de l'être, l'aveuglement justifié dans le désir de contrôle et de domination plutôt que le risque de l'expérimentation des sentiments, l'acceptation des sens et finalement l'exposition aux autres, le refus de la peur et la mort comme dimension échappatoire à la condition humaine et à l'acception des vérités inéluctables, Gray échoue à nous démonter sa propre capacité au lâcher prise, sa propre capacité à s'immerger dans le contemplation absente, et à s'attacher finalement à cette intouchable étoile, cette brillance obsessionnelle et incompréhensible de l'"ad", pauvre et riche âme humaine.