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    Borg/McEnroe
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    Tricepa D.
    Tricepa D.

    11 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 novembre 2017
    Excellente évocation des aspects psychologiques du tennis. Les acteurs sont incroyables. Le casting donne l’impression de sosies des réels protagonistes, à part Connors.
    Un très bon moment de cinéma, d’histoire et de sport.
    Michel C.
    Michel C.

    236 abonnés 1 374 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2017
    Film qui va plaire aux amateurs de Tennis, notamment ceux qui étaient en culotte courte ou du genre dans les années 70 / 80. Même si ces deux Géants du Tennis et cette finale culte de Wimbledon en 80, où tout se joua au bout d'innombrables avantages/égalité.... ce film ne me régale pas .... il m'agace même, par sa lenteur, par des mimiques - pas du tout très réalistes - et je préfère me cantonner à "revoir" la finale en replay avec les "vrais". Vous avez compris... pas mon truc donc et assez déçu à la sortie de la salle. Très déçu même !!**
    Stéphane C
    Stéphane C

    54 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 novembre 2017
    L’imperturbable et méthodique Borg contre l’imprévisible et fantasque Mc Enroe, telle fut la tête d’affiche de cette finale de Wimbledon du 5 juillet 1980, probablement l’un des plus beaux matchs de l’histoire du tennis ... au fil des tours, le réalisateur déroule le parcours de ces deux légendes aux personnalités complexes en mettant l’accent sur l’essentielle psychologie de ce sport; les séquences de match sont plutôt réussies, les gestes sont là, on retrouve le jeu des deux champions et on vibre encore (même en connaissant l’issue du match) tout en se répétant : « à quoi ça tient un match de tennis ? » un film plaisant à regarder.
    selenie
    selenie

    5 456 abonnés 6 021 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2017
    Le film démarre juste avant cet open de Wimbledon de juillet 1980 et nous plonge dans les coulisses précédant la finale en question et, surtout, nous fait entrer dans l'intimité et la psychologie des deux sportifs. On s'aperçoit alors que le passage de témoin (plus qu'une rivalité, Borg étant au sommet entre 74 et 80, McEnroe plus entre 80 et 85) n'est pas si anodin, la jeunesse de Borg renvoyant irrémédiablement au caractère de McEnroe. Mais dommage que McEnroe soit un peu moins traité que Bjorg. ... Même si on connait l'issue du match Perdersen réussit à imposer une tension palpable et une intensité qui arrive à nous toucher et nous émouvoir.
    Site : Selenie
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    151 abonnés 510 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 novembre 2017
    Un film absolument magnifique. Et pourtant, hormis l'aperçu qu'en fournit la bande-annonce, je n'y croyais guère... Je suis allé voir cette histoire de Tennis comme, il y a 7 ans, j'avais été voir Jesse Eisenberg jouer Mark Zuckerberg : en me fichant complètement du sujet. Mais on retrouve ici tous les éléments qui ont fait de "The Social Network" un chef-d’œuvre : un scénario très bien construit, une mise en scène exceptionnelle, des comédiens démontrant un très fort pouvoir d'incarnation (et ce, jusqu'au plus petit second rôle), des dialogues très bien écrits et une bonne musique. Il y a sans doute quelques petites facilités de temps en temps (notamment des phrases toutes faites revenant en leitmotiv, ou un peu de bon sentiment). Mais personnellement, je ne peux que m'incliner devant les centaines de plans tous plus beaux les uns que les autres qui composent le film. Le découpage-montage est extrêmement efficace et a dû demander un temps fou. D'autant que chacun de ces plans a réclamé une fidèle reconstitution des années 1970... Le brio est encore plus net dans la fameuse finale de Wimbledon qui occupe la dernière partie du film : je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de cinéastes capables de mettre autant de rythme et de variété dans la capture d'un match de tennis... Ce fut d'autant plus haletant pour moi que j'ignorais tout du dénouement de ce match. Les comédiens ont une densité remarquable et dessinent parfaitement la ligne tendue sur laquelle les sportifs de très haut niveau sont sans cesse en train de marcher, et qui les relie à leur passé d'enfants et d'adolescents tourmentés. On pourra peut-être reprocher un McEnroe trop puéril, mais vu le sérieux du film, j'imagine que cela correspond pour beaucoup à la réalité. Quand à Borg, il illumine et irradie chaque scène. A mes yeux, un grand film, classique certes, mais puissant.
    Kev-Tarantino
    Kev-Tarantino

    47 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 novembre 2017
    Si tous les biopics étaient comme celui-ci, on aurait alors de très grands films... Janus Metz choisit ici d'intensifier ses deux héros que sont Björn Borg et John McEnroe et de les montrer dans leurs tourments, de les montrer en tant que sportifs de haut niveau mais surtout, de les montrer en tant qu'êtres humains. Un véritable thriller sous fond de sport où les acteurs se donnent à fond pour nous offrir un divertissement de grande qualité. Quant au match, il est (de nouveau) exceptionnel, et bien que l'on connaisse le score final, on est constamment pris au jeu.
    Shia LaBeouf est dément (comme d'habitude) en John McEnroe et Sverrir Gudnason est une véritable révélation dans le rôle de Björn Borg.
    Un excellent thriller qui se place haut la main avec "Rush" de Ron Howard dans les plus grands biopics sportifs.
    N'hésitez plus, courez le voir !
    Vinz1
    Vinz1

    124 abonnés 2 295 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 novembre 2017
    Le film se focalise principalement sur la finale de Wimbledon de 1980 et les angoisses de leurs principaux protagonistes, à savoir Borg (campé par Sverrir Gudnason, véritable sosie du tennisman) et McEnroe (interprété par l’excellent Shia Labeouf, malheureusement sous-exploité au détriment de l’iceberg suédois, personnage beaucoup moins intéressant !). Le métrage, par ses changements de rythmes et d’époques, est très inégalement cadencé et paraît long à regarder. Si on apprend deux, trois choses sur ces sportifs de légende, on n’en sortira pas transcendé, la faute également à de vains effets de mise en scène pour accentuer la dramaturgie. Le biopic en lui-même est déjà un concept casse-gueule, alors quand en plus on choisit de focaliser les trois-quarts de son long-métrage sur un individu certes psychologiquement torturé mais au final peu charismatique, on prend le risque de lasser le public, ce qui fut mon cas assez vite et pourtant je suis fan de tennis !
    velocio
    velocio

    1 170 abonnés 3 034 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 novembre 2017
    Même si la fameuse finale de Wimbledon 1980 occupe une partie importante du film, c'est loin d'être la plus intéressante et la plus passionnante. En effet, le réalisateur, celui là même qui avait réalisé "Armadillo" il y a 7 ans (un film dont on pouvait penser que c'était une fiction mais qui était un documentaire), nous intéresse beaucoup plus lorsqu'il nous parle de la jeunesse de John et, surtout, de celle de Björn. Un jeune Borg qu'on découvre aussi colérique et mal embouché que son rival américain. Un volcan que son entraineur Lennart Bergelin va arriver en transformer en "Iceborg" mais qui restera toujours aussi maniaque et superstitieux durant toute sa carrière. On notera la très belle prestation de Tuva Novotny dans le rôle de Mariana Simionescu qui était la fiancée de Borg au moment de la finale de Wimbledon 1980 et devint son épouse 3 semaines plus tard. On notera aussi la prestation de Leo Borg, fils de son père, interprète de celui-ci à l'âge de 13 ans. Quant aux deux comédiens principaux, si l'acteur suédois d'origine islandaise Sverrir Gudnason ne se contente pas de ressembler physiquement à son personnage mais est également parfait dans son rôle, on n'en dira pas autant de Shia LaBeouf qui a tendance à surjouer les fameuses colères de McEnroe.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    385 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 novembre 2017
    À la sortie de séance, quelque chose dérange, comme si nous n’avions pas vu la totalité du film présenté. Il faut dire que Borg / McEnroe s’intéresse particulièrement au premier, ne voyant le second que par le prisme de son aîné. Là où Rush avait l’intelligence de traiter ses deux personnages, le métrage de Janus Metz Pedersen survole totalement l’un des deux. En cherchant à se concentrer que sur le tournoi, le réalisateur ne va pas au bout de l’histoire et créer une sensation de manque.
    Yves G.
    Yves G.

    1 292 abonnés 3 296 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 novembre 2017
    En 1980, Björn Borg, âgé de vingt-quatre ans à peine, est déjà au sommet de sa gloire. Vainqueur à quatre reprise du tournoi de Wimbledon, il remet une cinquième fois son titre en jeu. John McEnroe, avec son jeu de service-volée et ses facéties de mauvais garçon, pourrait remettre en cause sa suprématie.

    Le cinéma a toujours peiné à filmer le sport de haut niveau. Certes des films ont été tourné autour d'un stade de football ("À nous la victoire", "Joue-là comme Beckham", "Goal!", "Looking for Eric"), d'un circuit de formule 1 (Rush), des routes en lacets du Tour de France ("The Program"). Mais aucun n'est un chef d’œuvre. Idem pour le tennis où je ne peux guère citer que le très oubliable "La plus belle victoire" que ne réussit pas à sauver le coup droit de Kirsten Dunst.

    Aussi c'était une sacrée gageure pour le réalisateur danois Janus Metz (auteur de l'excellentissime "Armadillo") de faire revivre les légendes du tennis des années 80.

    Cette époque a pour moi le goût des madeleines proustiennes. En 1980, j'avais neuf ans. Et je rejouais avec une raquette et une balle contre le mur du garage les matchs les plus exaltants de Roland Garros et de Wimbledon. Jimmy Connors, Vitas Gerulaitis, Roscoe Tanner étaient mes idoles. Mais mon Dieu avait pour nom Borg. J'étais fasciné par sa grâce féline. Par son patient jeu de fond de cours. Par la maîtrise absolue de ses émotions. Et par son invincibilité. J'avais neuf ans et j'y étais résolu : quand je serai grand j'aurai les cheveux longs, un serre-tête en éponge... et je serai numéro 1 au classement ATP. La vie en a décidé autrement...

    Reste pour moi cette vénération enfantine pour le dieu suédois. Je l'ai retrouvé sous les traits de l'acteur (islandais) Sverrir Gunadson : même beauté, même grâce féline, même détermination inébranlable. En revanche la star américaine Shia LeBoeuf déçoit dans son interprétation brouillonne de John McEnroe. Décidément des deux héros, le meilleur, sur les cours comme sur l'écran, c'est Borg.
    Hypertension
    Hypertension

    2 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 février 2018
    Coup de poker réussi ! Il faut se le dire réaliser un film de tennis au cinéma c'est quelque chose... surtout un tel mythe qui à révolutionner son sport. Se que j'ai apprécier c'est qu'on se focalise sur le psychologique des deux adversaires l'un adoré du public mais qui à ses superstitions qui peuvent le rattraper a tout moment, et l'autre critiqué de toute part qui manque de confiance en soi et de reconnaissance avec un franc parlé prononcé. L'opposition est idéal et crée tout l'intérêt du film. Quant aux scènes de jeux elles sont prenantes et suffisamment lisible sans forcément montrer tout l'échange.
    traversay1
    traversay1

    3 108 abonnés 4 627 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2017
    C'est un match de légende qu'il faut avoir plus de 40 ans pour avoir vécu devant sa télévision. Un extraordinaire face à face entre le feu, incarné par le jeune et rebelle John McEnroe, et la glace, l'idole suédoise aux allures de playboy monégasque, Björn Borg. A l'époque, c'est le match de tennis lui-même,disputé en son temple, Wimbledon, qui fit l'événement, digne du plus grand des thrillers avec ses multiples rebondissements et notamment un tie-break d'anthologie au quatrième set. Le film de Janus Metz n'est évidemment pas le simple récit de la rencontre, même si sa dernière partie lui est dévolue, remarquablement faite d'ailleurs, au point de se prendre au jeu et d'oublier que l'on connait le résultat. Non, Borg/McEnroe va bien au-delà, se penchant sur la personnalité hors norme de ces deux champions, en mettant à mal au passage les clichés du feu et de la glace. C'est principalement vrai pour Borg, lequel est de loin le plus et le mieux traité par la narration. Où l'on découvre l'enfance et l'adolescence d'un joueur tout aussi enragé que son futur adversaire et tout aussi difficile à gérer, avant d'être "domestiqué" par son coach. Il est normal que le grand blond soit au centre du film, non seulement parce que le film est suédois mais aussi parce que psychologiquement il y a beaucoup plus à dire de lui, être complexe et qui a été façonné pendant des années. Cela tombe extrêmement bien : des deux acteurs qui incarnent ces gladiateurs sur herbe, c'est Sverrir Gudnason qui impressionne le plus et pas seulement pour son quasi mimétisme avec Iceborg. Il est exceptionnel de bout en bout, maîtrisant à la perfection l'art de jouer une cocotte-minute prête à tout moment à exploser, déguisé en glacière scandinave.
    pierrre s.
    pierrre s.

    352 abonnés 3 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 octobre 2017
    Borg/McEnroe est un Biopic intense qui nous en apprend beaucoup sur la vie des champions. De leur enfance à leur vie d'adulte tout n'est pas si beau et facile qu'on peut se l'imaginer. Côté cinéma, le match est un grand moment de suspense et de tension, beau tour de force quand on sait que le résultat est connu depuis presque 40 ans!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 octobre 2017
    Vu en avant-première, très bon film qui relate brièvement le parcours de deux grands noms du tennis, et qui qui éclaire sur les enjeux et les sacrifices qu'un tel niveau engendre.
    Shawn777
    Shawn777

    463 abonnés 3 331 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2017
    J'ai eu le chance de voir ce film en projection privée grâce à Allocine et je ne regrette pas du tout car sans être exceptionnel, il reste bon. Le film revient sur la vie de deux figures emblématiques du tennis dans les années 80, Björn Borg et John McEnroe. Ne connaissant pas du tout la vie de ces deux personnes, je ne peux pas dire si le film retrace correctement leur vie ou non mais en tout cas, c'est très intéressant surtout pour les fans de tennis. Personnellement, je ne suis pas un fan de ce sport car je ne m'y intéressait pas vraiment et c'était l'occasion de justement le découvrir à travers ce film. Même si le film revient sur la vie des deux joueurs au travers de flashbacks notamment, il se concentre plus sur le tournoi de Wimbledon de 1980 et de l'ascension des deux personnages finalistes pour en arriver à cette finale justement. On découvre également toute la pression qui régnait autour d'eux due à leur entraineur, aux fans etc. qui ne leur laissait pas une vie facile. Pour ce qui est de la réalisation, le film reste très académique mais la façon de filmer les matchs est très sympa, notamment lorsque la caméra place le spectateur au-dessus du terrain. Du côté des acteurs, nous avons principalement Sverrir Gudnason, Shia LaBeouf et Stellan Skarsgård qui jouent franchement très bien et sont à fond dans leur rôle. D'ailleurs, la ressemblance physique entre Gudnason et Borg est frappante ! "Borg McEnroe" est donc un bon film qui ne m'a pas plus époustouflé que ça car je ne suis pas un fan de tennis mais qui reste très intéressant.
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